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2 trous et 23 cms – Chapitre 5




Suite..

Claude bandait fort, normal puisqu’entre les doux baisers de ses deux femmes et le branlage de sa queue par l’une ou par l’autre l’excitait au plus haut point.

— Mon papa chéri, lorsque je regarde ta grosse et longue queue, il me vient une idée et je me pose la question c’est de savoir si maman a déjà eu cette idée !

— Ma salope de fille, je me demande qu’elle idée tu as dans la tête ? Serait-ce encore une punition ?

— Non ! Ta bite dépasse de quatre à cinq centimètres ton nombril, lorsque tu es assis et en pleine érection, c’est merveilleux pour toi de la voire aussi près !

 – Où veux-tu en venir ?

— Bien, lorsque tu nous lèches la chatte, nous ressentons à l’intérieur de notre vagin certaine chose inexplicable, tu es d’accord maman ?

— Oui ! Entièrement d’accord !

— Nous lorsqu’on te suce la queue, tu dois également ressentir des choses comme nous, ce qui nous excite encore plus, mais nous les femmes on ne peut pas se lécher la chatte, mais toi mon salop de papa tu peux te sucer la queue et c’est ce que tu vas faire pendant que d’une main, nous allons te branler.

— Ma salope de fille digne de sa mère a raison, mon chéri, tu vas te pencher et te sucer, je veux que tu rentres au moins le gland dans ta bouche si ce n’est encore plus profond, je veux voir ta langue jouer la valse sur ce gland, tu pourras relever la tête de temps en temps pour éviter le mal de dos, mais vu la longueur de ta tige tu ne vas pas souffrir trop de cette position.

— Je vois où vous voulez en venir ! Vous voulez que je jouisse dans ma bouche ?

— Exactement mon petit papa, on veut sentir entre nos doigts le sperme couler dans ta bite, on veut que tu avales la première gorgée, ensuite lorsque ta bouche sera de nouveau bien pleine, tu nous embrasseras en nous donnant une partie de ta liqueur.

— Vous êtes de véritables salopes, jamais je n’aurais pensé que vous aviez de telles idées, mais l’idée ne me déplait pas du tout, et je .

— plus un mot mon chéri sinon tu vas être obligé de tout avaler, par la suite tu seras autorisé à nous baiser de n’importe quelle manière !

Claude s’installa le mieux possible sur le canapé afin d’avoir sa queue le plus près possible de sa bouche afin aussi d’avoir le moins possible à se pencher. Pendant que la fille branlait doucement l’objet du désir, sa mère caressait doucement les couilles. Tout en masturbant la longue tige de son père, Cécile la tenait bien droite en direction de la bouche ouverte de Claude. Ce dernier passa ses deux mains en dessous de ses cuisses, se plia en deux un peu plus et enfourna sa propre queue.

Les deux femmes furent surprises de voir que Claude avalait son sexe sur un tiers de sa longueur. A le voir ainsi, les deux salopes constatèrent qu’il ne faisait pas beaucoup d’effort pour se pomper le dard. Il ressortait doucement sa bite de sa bouche en laissant sa langue terminer sa course sur le gland, il faisait exactement ce que lui faisait sa femme et sa fille, après avoir jeté un sourire aux deux femelles, il avalait de nouveau cette queue qui ne débandait pas. De temps en temps Julia léchait une partie de la tige ou bien embrassait à pleine bouche Cécile qui continuait à branler son père.

— Bien ! Mon papa suceur, je vais aller plus vite et tu vas en faire autant, cette auto fellation dure depuis au moins dix minutes alors il est temps que tu te déverses dans ta bouche ! Qu’en penses-tu maman ?

— D’accord avec toi, mais je voudrais qu’il avale tout ce que sa bite va lui envoyer, nous on aura encore l’occasion de boire sa jute, puis, on va voir quelle sera sa réaction  après avoir avalé autant de sperme. Tu es d’accord mon chéri ?

Claude garda sa queue bien au chaud dans bouche et leva le pouce d’une main pour confirmer qu’il était d’accord.

— D’autant que j’ai très envie de te lécher et toi de m’en faire autant car je sens ma mouille couler le long de mes cuisses, dit Cécile !

— Moi aussi ça coule fort, branles le maintenant pendant que je serre un peu plus ses testicules, elles sont pleines à ras bords, mon salop de mari est un véritable baiseur.

Claude accélérait le mouvement avec sa tête il se suçait comme un damné un véritable expert en fellation, sûr et certain qu’il recommencerait à se vider les couilles dans sa propre bouche, Cécile branlait l’objet au même rythme que la tête de son père, elle serra un peu plus fort la tige afin de bloquer l’arrivée du sperme, puis elle relâcha la pression. Claude sentit son sperme cogner contre sa gorge et avala directement. Lorsqu’il sut après avoir avalé plusieurs jets de sperme et qu’il n’y avait plus rien à boire, il releva la tête, regarda sa bite et lécha la dernière perle de jute qui ornait son gland.

— Vous êtes satisfaites mes salopes, j’ai fait comme vous vouliez ?

— Mon papa chéri, tu es un artiste de la baise en tout genre, as-tu aimé te sucer et avaler ta liqueur.

— Oui ! J’ai tout aimé et c’est vrai que mon sperme a bon goût, mais je crois que c’est mieux lorsque c’est vous qui me sucez !

— Tu dis cela mon cher et tendre époux, mais je suis certaine que tu recommenceras à te sucer lorsque tu seras tout seul et tu avaleras tout n’est-ce pas ?

— Le faire lorsque je serai seul, je ne le crois pas mais oui, lorsqu’on sera ensemble et pendant que je me sucerai, l’une de vous deux léchera la chatte de celle qui me branlera.

— On est d’accord papa, maintenant excuse-nous maman et moi nous allons nous nettoyer la chatte avec nos langues car de te voir travailler ta queue avec ta bouche cela nous a excité l’une comme l’autre et on mouille en abondance, pendant ce temps recharges tes batteries car on a besoin d’être ramonée de la chatte et du cul. Au sujet du cul, lorsque tu ramoneras maman, je vais t’enfoncer deux ou trois doigts dans le tiens et pour te rassurer, avec ma langue je te le préparerai comme il faut.

Sans attendre la réponse du père, Cécile s’allongea sur le dos et sa mère vint se positionner sur elle, tête à cul ou plus exactement tête à chatte, puis sans grand discourt sachant l’une comme l’autre ce qu’elles avaient envie de faire, les langues se mirent à jouer avec la chatte de l’autre, léchant, entrant le plus profondément dans le vagin, bref la jouissance arriva très vite et chaque chatte expédia sa liqueur dans la bouche de l’autre.

— Et bien mes petites putes endiablées vous avez fait vite à jouir et en plus vous êtes toutes propres, moi, regardez ma bite a repris la forme rapidement et rien qu’en tâtant mes couilles je sais qu’elles sont pleines à ras bord si je puis dire, vous aurez chacune votre ration de spermatozoïdes. Et je vais commencer par toi mon amour de femme, restes sur le tapis en position de levrette, je vais te sodomiser tout doucement, je vais t’enfoncer ma grosse queue jusqu’à l’estomac, ensuite je vais te ramoner le cul afin que tu jouisses très fort, pendant ce temps ma fille chérie viendra te lécher la chatte en passant sa tête entre mes jambes afin qu’elle puisse me lécher les couilles et lécher ta chatte. Rien que de t’expliquer tout cela, je suis encore plus excité.

Une fois en position, Claude avança sa grosse tige face au petit trou tout plissé, et doucement il s’enfonça dans les ténèbres du rectum, Julia ayant l’habitude de la sodomie douce ou violente, elle se cambra un peu plus pour faciliter l’avancement du gland dans les profondeurs du cul, pendant ce temps, Cécile caressait les couilles de son père, puis vint jouer avec la rosette du trou de bal sa langue passait dessus ou se frayait un passage dans l’anus. Toute cette action excitait Claude, Julia commençait à onduler de l’arrière train et Cécile sentait sa mouille sortir de son vagin.

Après s’être absentée quelques secondes, Cécile recommença sa lèche, puis  deux doigts d’un coup prirent la place de la langue, sa salive faisant office de corps gras afin de faciliter l’intrusion dans le rectum de son père.

— Alors papa, tu te régales à niquer le cul de maman ? Qu’est-ce que tu ressens en t’enfonçant dans le trou noir de ta femme ?

— Comme toujours c’est merveilleux et je ne peux expliquer ce que je ressens en l’embrochant par derrière, comme je ne peux expliquer ce que j’ai ressenti lorsque tu m’as enfoncé tes doigts mais c’est bon et excitant, pendant que tu me lèches la queue ou la chatte de ma salope de femme, tu peux enfoncer un ou deux doigts dans mon petit trou.

— Ok ! Mais penches-toi un peu plus en avant pour faciliter l’entrée de mes doigts.

Ce que Claude ignorait encore, c’est que Cécile avait été cherché son god, un outil d’une quinzaine de centimètres sur  quatre de large, et qu’elle avait bien l’intention de l’enfoncer entièrement dans le cul de son père. Ce dernier penché sur le dos de Julia, tenait dans chaque main un sein de sa femelle, faisant des aller et retours dans le cul bien dilaté et il attendait que Cécile lui enfonce deux doigts avant de reprendre une accélération et entrer encore plus loin dans le rectum, il sentait la langue puis les doigts de Cécile sur son anus, puis Cécile présenta son god et d’un coup elle l’enfonça sur toute sa longueur dans le petit trou et qui n’était plus un petit trou. Claude gueula une insulte envers sa fille et arrêta de pistonner Julia.

— Espèce de salope « cria-t-il » envers sa fille, je comprends mieux toutes tes questions, mais je vais te décevoir ma chérie, en ne bougeant plus  ce n’est pas désagréable, on va voir par la suite.

— Tu vas aimer ma papa chéri, nous, on aime beaucoup la sodomie alors tu vas y goûter afin de comprendre pourquoi on aime et on en redemande, allez trêve de discussion, passons à l’acte, baises bien le cul de ma salope de mère pendant que je te baise le cul tout en te léchant la queue et que je lèche aussi la chatte de cette pute qui est ma mère chérie, ensuite tu me ramoneras le fion ou la chatte et ma mère te ramonera ton petit trou avec mon god ; Lorsque tu seras sur le point de jouir, on se placera face à ta bite et tu te déverseras dans nos bouches, ce n’est qu’ensuite que enlèvera le god de ton rectum, allez au plaisir de jouir maintenant.

Pendant plusieurs minutes qui parurent très longues, les trois acteurs de la baise s’en donnèrent à cur joie, l’excitation était à son comble, Julia poussait des cris de joie et de jouissance tortillant son cul dans tous les sens, de gauche à droite d’avant en arrière, Claude qui suivait le mouvement afin de bien rester dans le rectum mais à chaque poussée, il essayait de la pénétrer encore un peu plus loin, ses mains agrippées sur les hanches de sa femme permettaient de donner la cadence en poussant ou tirant sur le cul de Julia. Cette dernière poussait des cris ou demandait à son salop de mari : Plus loin mon chéri, vas-y encore plus fort, démontes moi le fion espèce de salop, fais-moi jouir du cul mon chéri !

Cécile léchait du mieux possible, elle avait une main mais qui parfois tenait un sein de sa mère ou bien titillait le clito tout gonflé et de l’autre, elle tenait le bout du god pour le faire entrer et sortir de l’anus de son père. Quant à lui, il lui demandait de le faire entrer et sortir dans le même mouvement qu’il impliquait à sa pénétration dans le rectum de sa femme. Tous les trois avaient réussi une parfaite harmonie dans les pénétrations, et chacun sentait la jouissance arriver et même Cécile allait jouir alors que personne ne la touchait l’excitation était très forte pour elle.

— Vite les filles mettez-vous en place je n’y tiens plus.

Les deux femelles se mirent face au gros sexe tout gonflé de Claude, la bouche grande ouverte, Cécile caressa les couilles de son père alors que sa mère vint placer une main sur la tige de son mari afin de bien la diriger vers la bouche de sa fille, puis elle colla sa joue contre celle de Cécile et toutes les deux attendirent la délicieuse liqueur d’amour. Un premier et puissant jet atterrit dans la bouche de Cécile et le second dans celle de Julia. Ensuite chacune suça la bite de Claude et à chaque fois l’une comme l’autre reçurent une dose de sperme, lorsqu’il n’y eut plus rien à déguster, Cécile lécha la dernière goutte pendant que sa mère d’une main retira le god resté dans le trou du cul de son mari.

 

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