Je m’appelle Julie, j’ai un frère jumeau Jules. Depuis notre naissance nous sommes inséparables. A l’école, nous sommes dans la même classe et assis côte-à-côte depuis la maternelle. Même si nous avons chacun nos amis, nous sommes réellement bien qu’ensemble. A la maison, nous dormons dans la même chambre. Nos parents ont souvent voulus séparer nos chambres pour disaient ils une question d’intimité mais y ont vite renoncés.

Jules est grand, brun, les yeux bleu, sportif, plus intelligent et plus populaire que moi. Moi je suis son opposé: timide, introvertie, les études ne sont pas ma grande passion, le sport est un mot qui n’a pour moi qu’une seule définition: télévisuelle. Seul nos yeux bleus, notre chevelure brune et quelques traits de visage nous unissent. Je l’admire, il est plus qu’un frère pour moi c’est ma moitié, mon équilibre.

Nos parents ont organisés une fête pour notre anniversaire et la fin des examens, ils nous ont laissé la maison, les 30 élèves de notre classe de terminale du lycée sont là. Toutes les filles ont plus ou moins le béguin pour Jules, il est déjà sorti avec 2 ou 3 d’entre elles et il est même passé à l’acte avec 2 d’entre elles. Je sais qui elles sont rien qu’à leurs regards sur mon frère. Je suis très jalouse, elles connaissent un côté de Jules que je ne connais pas. A l’inverse moi, je n’attire pas tellement l’attention des garçons, je n’ai flirté ou été dragué .

M’imaginant le déroulement futur de la soirée, c’est à dire moi dans mon coin et les autres en train de faire la fête et de m’oublier totalement, je décide de boire un verre. Une coupe, puis deux, puis trois, la bouteille de Champagne se vide rapidement sans que je m’en rende compte. La fête bat son plein. Les filles tournent autour de Jules ce qui à le don de m’énerver. Moi toujours dans mon coin contemple ma deuxième bouteille vide et je m’aperçois que les effets de l’alcool et des bulles font effet. Je me lève et me dirige vers la cuisine à la recherche d’un autre breuvage qui me fera oublier qu’il reste encore du monde chez nous et que la soirée est loin d’être fini.

C’est à ce moment que la fameuse série de slow commence. Je m’imagine déjà les filles se battre pour savoir laquelle va danser avec Jules. De loin je vois mon frère se lever et s’approcher de moi, il me prend par la main.

« -Alors petit sur, tu t’ennuies? Danses avec moi, cela évitera un pugilat dans la maison! »

Mon frère m’emmène sur la piste improvisée du salon. Et m’enlace tendrement. Je ne sais plus où me mettre, tous les yeux se tournent vers nous. Entre ceux des garçons dubitatifs et ceux des filles qui si elles avaient des fusils à la place des yeux auraient déjà commis un multiple attentat sur ma personne. Mon frère me tient et m’enlace par la taille, il est vrai que l’alcool ne m’aide pas à me tenir stable sur mes deux jambes tout en dansant.

« – Tu m’as l’air d’avoir un peu abusé de l’alcool.

— Tu sais, si ils sont tous ici c’est pour toi et pas pour moi. Donc j’essaye de faire que la soirée se passe rapidement.

-Alors que veux-tu pour notre anniversaire. Me chuchote Jules au creux de l’oreille.

— Juste une soirée tous les deux. Je ne peux plus les supporter. Heureusement l’année prochaine nous ne les verrons plus. »

Jules me regarde alors avec un petit sourire coquin que je ne lui connais pas.

« Puisque c’est ton anniversaire aussi, je t’offre ce cadeau. »

Il desserre son étreinte et s’adresse à la foule.

« -Désolé tous le monde mais je pense que la fête va se finir ici, Julie ne se sent pas bien. »

Nous nous regardons et je comprends toute suite que je dois y mettre du mien. Je fais alors semblant de me sentir mal. Je pousse mon frère et les autres autour de nous en titubant et direction de l’étage. Mon frère éteint la musique, j’entends quelques désaccords dans le salon notamment quelques critiques des filles mécontententes qu’on leur enlève la présence de mon frère. En moins de quinze minutes, le salon se vide. Mon frère me rejoint dans notre chambre. Je suis allongée sur mon lit avec les bulles de Champagne qui pétillent dans ma tête.

« Alors comme ça on préfère rester seule avec son frère plutôt que de faire la fête avec ses amis?

-Se sont tes amis moi je les supporte seulement.

-Comment veux-tu te lier aux autres en agissant comme ça?

-Je n’ai pas besoin des autres tant que je suis liée à toi. Les autres je m’en fout tant que je t’ai. » Lui dis-je le fixant dans les yeux.

Il s’allonge à côté de moi et me prend dans ses bras.

« Tu sais que l’on sera toujours lié.

-Je n’aime pas que les autres filles te tournent autour. Je sais que tu l’as déjà fait avec Marie et Cécile. Lui dis-je avec un froncement de front.

-Alors ma surette est jalouse! Me dit-il avec un petit sourire.

-Oui et alors je ne les aime pas, elles connaissent un côté de toi que je ne connais pas et je sens que cela t’éloigne de moi. »

Il me caresse alors le visage, soulève mon menton et dépose un baiser sur mes lèvres. Un frisson me parcours tout le corps. Mon souffle se coupe. Je ressens ce baiser comme une évidence. Pour une fois je prends les devants et passe ma main derrière la tête de Jules en lui rendant son baiser. Il me regarde étonné de mon geste. J’enfouis ma tête dans le creux de son cou et lui dépose des baisers.

L’alcool m’aide, je m’allonge sur lui. Un simple regard lui fait comprendre ce que je veux. J’enlève sa chemise et je parcours son corps de mes lèvres l’odeur de sa peau m’enivre je ne peux pas m’arrêter. Il ne me stoppe pas non plus. J’ai mon frère en entier et pour moi toute seule. Je me love sur lui et colle mon oreille à son torse. J’écoute les battements de son cur, je voudrais me fondre en lui pour ne faire plus qu’un.

Il me caresse les cheveux et parcours mon corps de ses mains. Elles descendent sur mes épaules et trouvent la fermeture éclaire de ma robe. Il la fait descendre.

Ma peau s’électrise au contact de ses doigts. Il enlève ma robe. J’écoute toujours son cur battre, les pulsations augmentent petit à petit. Je sens son pantalon devenir de plus en plus serré. Ses mains caressent mon dos. Je passe mes mains sur la bosse de son pantalon et libère son membre. Je le masse doucement tout en continuant d’embrasser mon frère. Son souffle devient mon souffle je veux l’aspirer.

Ses mains ôtent le dernier rempart de tissus qu’il me reste. Et il caresse mes fesses, les pétrit, les malaxe. Il me fait basculer et se retrouve au dessus de moi. Jules se détache de mes lèvres et descend sur mon cou, il le lèche et l’aspire. Il me marque d’un suçon mais je suis déjà à lui, il peut faire se qu’il veut de moi. Ses lèvres continuent leurs découvertes et s’arrêtent sur mes seins. Elles aspirent, lèchent et mordillent mes tétons. Nos mains sont liées. Je ressers notre étreinte.

Nos respirations se fondent l’une dans l’autre. Sa bouche me fait tellement de bien que mon corps ne peut contrôler les spasmes de plaisirs. Il se détache de moi pour enlever les derniers vêtements qu’il lui reste et vient vite se repositionner sur moi. Nos corps ne peuvent se passer l’un de l’autre. Nos doigts parcourent la moindre parcelle de chair.

Ma main se retrouve en contact avec son membre dur. Je le masse lentement, je le sens devenir de plus en plus dur et gros. Mon frère respire par saccade. Je me retourne et me penche près de son sexe et admire sa douceur et son odeur. J’ouvre mes lèvres et j’avale centimètre par centimètre ce membre chaud. Il est à moi, je l’absorbe jusqu’à ce qu’il touche le fond de ma gorge. Jules râle de plaisir, je ne me contrôle plus, je me déchaîne sur cette tige de plaisir. Pendant que ma main gauche et ma bouche s’active sur sa queue, ma main droite caresse ses couilles. Ma langue va et vient sur sa tige, que j’embrasse, lèche et je suce son gland.

Jules met sa main dans mon intimité mouillée de plaisir. Il titille mon clitoris et fait pénétrer deux doigt dans mon vagin. J’en veux plus, je met sa tête entre mes jambes et nous nous retrouvons en 69. Mon bassin bouge au rythme de ses coups de langue, sa bouche absorbe le jus de mon plaisir. Je ne peux réprimer mes gémissements. Je m’active sur son membre, mes mouvements deviennent de plus en plus rapide, je sens sa queue prête à exploser. Je lèche son gland du bout de ma langue , j’active ma main sur sa tige, je veux boire sa jouissance.

Pendant ce temps, il continue de me donner du plaisir en enfonçant sa langue dans mon vagin. Nous sentons tous les deux que la jouissance de l’autre est proche et on accélère chacun de mouvements. Jules pistonne mon vagin avec ses doigts et moi je gobe sa queue. Je sens son sexe se contracter, je l’enfonce au plus profond de ma gorge et il éjacule de puissants jets chauds. Au même moment mon vagin se tord de plaisir et Jules continue ses va et vient je n’en peux plus et je jouis projetant mon jus dans sa bouche. Je me retourne et nous nous embrassons mélangeant ensemble le fruit de notre plaisir respectif. Nous continuons de nous caresser tout en reprenant notre souffle.

Dans son regard, je vois l’amour qu’il me porte.

« Maintenant tu es à moi. » Me dit-il un sourire rayonnant sur le visage.

« Je t’ai toujours appartenu et t’appartiendrai toujours. »

Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre profitant de ce moment privilégié.

A suivre …

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