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le conflit des générations – Chapitre 5




Je revins dans le village de ma tante quelques années plus tard. En me promenant sur la place, je fus bousculer par un gros chien qui me faisait la fête, je lui caressais la tête.« Excusez-le, il n’est pas méchant d’ailleurs il a l’air très heureux de vous voir. Il vous connaît ? »

« Non, j’ai vécu quelques mois ici, il y a huit ou neuf ans chez ma tante. Elle avait une ferme avec une vigne plus loin »

« Oui, je la connais cette ferme, Francis était ami avec eux »

« Vous connaissez Francis ? »

« Oui je suis de sa famille, j’ai hérité de la maison et de son chien maintenant qu’il est en maison de retraite. »

« Son chien ? »

« Oui, il a neuf ans »

« Donc il me connait effectivement, j’étais là quand Francis l’a ramené le premier jour »

« On ne s’est pas déjà vu ? »

« Non pas du tout, je ne me rappelle pas de vous. On a environ le même âge donc je me souviendrais de vous si c’était le cas. Mais j’ai toujours vu Francis seul »

« Vous accepteriez de venir boire un verre chez moi, ça vous rappellerai des souvenirs de venir à la maison »

« Oui bien sûr, je vais à la ferme de ma tante, il y a apparemment un cousin qui y habite, il me laissera peut-être faire le tour de la maison même si on ne se connaît pas »

Je repris ma voiture et j’allais à la ferme où je rencontrais ce fameux cousin inconnu. Il avait l’âge qu’avait mon oncle lors de mon séjour lorsque j’avais 18 ans. Aujourd’hui j’ai quelques années de plus et le cousin de ma tante lui 75 environ. Je me présentais et il m’invita à entrer, je fis le tour de la maison où j’avais de bons souvenirs et certains pour ne pas dire beaucoup très cochons et excitants quand j’y pense. Comme je lui annonçais que je restais quelques jours, il m’invita à manger un soir quand je serai disponible. J’acceptais avec joie, on se fit la bise et je repartis vers le village où je me promenais avant d’aller chez Francis ou du moins le membre de sa famille.Je sonnais à la porte, le chien me fit de nouveau la fête. Je me demande s’il se souvient de ce qui se passait ici. Une chose est sure comme tous les chiens, il veut à tout prix sentir mes fesses.

« C’est un chenapan, je vais l’attacher dans le jardin sinon il ne va pas arrêter de vous embêter »

Ca m’arrangeait bien car il avait la truffe fureteuse et même un peu trop. 

On s’installa dans la cuisine où on but l’apéritif et on se racontait des souvenirs de Francis, ma tante et les autres. Bien sûr, je ne racontais que les souvenirs corrects mais je me rappelai du reste aussi. Comme j’avais un peu bu, il m’invita à manger. On parlait de tout et de rien et il m’invita à boire le café dans le jardin car nous étions en plein été et il faisait chaud. On s’installa sur le banc. Je sentis sa main dans mon dos.

« Tu sais que tes seins ont l’air gros ? Tu permets ? »

Il se pencha sur moi et fit sauter un bouton de mon chemisier et glissa sa main dans mon soutien-gorge et un fit sortir un dehors. J’avais un peu bu et de me souvenir du passé m’émoustillais, je le laissais donc faire. Je sentais ses doigts rugueux sur ma peau.

« Viens on rentre »

Je le suivis dans la cuisine, il m’enleva mon chemisier et mon soutien-gorge. Il embrassa mes seins, les suça tout en ouvrant ma jupe pour la faire tomber à terre, sa main glissa dans ma culotte qui alla rejoindre ma jupe. Il me prit par la main et me guida dans la chambre.

« Allonges-toi et montres-moi ta chatte »

Je m’allongeai et relevais mes jambes et les écartais pour ouvrir ma chatte. Il la regardait pendant qu’il se déshabillait puis il me rejoignit et me la lécha. Je sentais sa langue sur mon clito, dans ma chatte, je gémissais et je jouis en criant. Il se releva et me pénétra, on fit l’amour avec douceur puis de plus en plus rudement.

« Tu aimes ça quand c’est fort ! Tournes-toi que je te prenne par derrière ! C’est bon, tu aimes quand c’est profond ! »

Je sentais ses violents coups de reins contre mes fesses, j’allais à sa rencontre pour que ce soit plus fort. Je criais de plaisir quand je le sentis partir ses coups de reins encore plus forts. On retomba tous les deux sur le lit.

« Viens j’ai quelque chose à te montrer. Non restes comme tu es, c’est mieux »

Pendant que j’étais à la salle de bain, je l’entendais dans le séjour où je le rejoignis. Je m’installais à ses côtés sur le canapé et il mit son magnétoscope en route.

« Tu regardes encore des cassettes ? »

«Oui c’est un vieux film de famille, tu vas voir »

Et en effet, je vis. Je me voyais nue tenue en laisse par ma tante qui me fouettait les fesses. Je voulus me lever, je sentis son bras qui me serrait plus fort à la taille.

« Mais non bouges pas, tu ne peux pas savoir comme j’ai bandé souvent en regardant cette vidéo qui en fait est une compile de plusieurs films apparemment. Tu es une sacrée salope, c’est pour ça que j’avais l’impression de t’avoir déjà vu et quand tu m’as dit que tu étais là quand Francis est rentré avec Jack junior, je t’ai vraiment reconnu. Je n’aurai jamais cru que des vieux puissent être aussi cochons et qu’une jeune fille puisse accepter tout ça. Vous vous êtes vraiment beaucoup amusés. C’est un de mes passages préféré »

Je ne bougeais plus, j’étais fascinée par ce que je voyais. Je me rappelais que j’avais plusieurs cassettes chez moi dans un carton. Là je me voyais rampant dans la boue pour embrasser les pieds de ma tante et retournais embrasser ceux des hommes qui me regardaient, Francis, Albert et Gérard. 

 « Regardes ce qui avait avec la cassette. Je vais te mettre le collier et la laisse jusque dans la chambre et tu ramperas au sol pour venir me sucer. Ce soir, tu seras ma chienne et tu m’obéiras ! »

Il tenait à la main le collier, la laisse et le martinet noir de ma tante. Je me laissais faire en repensant par où j’étais passée pour arrêter ça du moins en parti mais c’était plus fort que moi, j’aimais ça. Il m’arrivait souvent de passer des annonces pour trouver quelque devant qui m’exhiber et me faire fesser. Je sentais que je mouillais, mon clito gonflait. Ça m’excitait comme par le passé. Il me mit la laisse et je me dirigeais vers la chambre sous les coups de martinet sur les fesses. A l’entrée de la chambre, il alla s’allonger sur le lit et je rampais pour le rejoindre. Je me mis à genoux et lui léchais le sexe et les testicules. Puis je pris tout son sexe dans ma bouche et commençais les va et vient tout le long de la hampe de chair. Il appuyait sur ma tête pour me l’enfonçait plus profondément dans le fond de la gorge. Tout en continuant à me fouetter les fesses avec le martinet.

« Tu suces bien salope ! Tu as de l’expérience, vas-y prends tout »

Il me jouit sur le visage.

« Demain, je t’attacherais sur la table et tu te feras baiser par la machine, elle marche toujours tu sais. Tu m’as dit que tu avais prévu de rester plusieurs jours, ça tombe bien, on va s’amuser tous les deux »

« Je dois aller manger chez mon cousin, j’ai promis »

« C’est une bonne idée, c’est un ami à moi. Nous on se connaît depuis longtemps car on nous invitait en même temps, même si nous n’avions pas le même âge, mais apparemment uniquement quand tu n’étais pas là et on comprend pourquoi maintenant. »

Je profitais de la nuit pour m’habiller et partir, je ne voulais pas recommencer tout ça, mais en même temps j’en avais envie. Je roulais et je pris une chambre l’hôtel. 

Le lendemain, j’allais à la ferme de ma tante voir ce cousin qui m’invita comme prévu pour manger. J’allais me promener dans l’après-midi dans la vigne et dans les dépendances. Je montais dans le grenier où j’y avais de bons souvenirs avec mon oncle quand il m’y attachait pour me baiser, je m’allongeais dans le foin, rêveuse J’avais glissé ma main sous mon tee-shirt et je me caressais les seins, lorsque j’entendis du bruit et je vis ce cousin qui passait la tête en haut de l’échelle, je retirais ma main.

« Hello, tout va bien ? »

« Oui, tout va bien, je me souviens de mon oncle, le premier mari de ma tante »

« Je suis de sa famille en fait pas de celle de ta tante. Dis-moi tes souvenirs avaient l’air bon au vu de ce que j’ai aperçu, il était gentil n’est-ce-pas mais un peu cochon je pense sinon tu te caresserais pas en pensant à lui. Pourtant il était beaucoup plus vieux que toi »

« Oui, il avait à peu près votre âge et oui très gentil. Il était un peu voyeur je dirai et ensuite oui ça a un peu dégénéré »

« Racontes-moi »

« Quand je suis arrivée ma tante était hospitalisée et je suis restée seule avec lui. Il entrait dans ma chambre la nuit pour me mater, il soulevait ma chemise de nuit et me caressait. J’ai fini par m’exhiber devant lui et il me tripotait jusqu’au jour où il m’a massé le dos après que je me sois fait mal, il a fini par me baiser régulièrement après »

« S’il t’a laissé de bons souvenirs c’est que tu as aimé ça »

« Oui au début c’était un jeu puis après c’était vraiment bon toutes ces choses qu’il me faisait. J’aimais sentir ses grosses mains calleuses et ses doigts rugueux sur ma peau »

« J’ai trouvé des photos, il a bien profité et toi aussi. J’aimerai bien te masser»

Les photos ? Je n’y pensais plus, je ne me rappelle plus ce qu’elles sont devenues. Mon dieu, je n’ai pas de chances décidément je les attire tous. Mais de me souvenir de mon oncle et de nos petits jeux, je m’étais émoustillée toute seule. Je me mis assise.

« Sans doute est-il préférable que je vous laisse »

Il se redressa et posa ses mains sur mes épaules et commença à me les masser.

« Tu vois, tu te détends. »

« Oui mais je dois vous dire j’ai fait l’amour avec votre ami celui qui habite chez Francis »

« Je ne suis pas jaloux à mon âge, on est au-dessus de ça, ça ne me gêne pas »

Il glissa ses mains sous mon tee-shirt et emprisonna mes seins.

 « Dis donc j’en ai plein les mains et tu as les tétons qui pointent petite cochonne. Tu sens mes grosses mains rugueuses sur tes nichons ? »

Je les sentais bien, ses doigts griffaient mes tétons c’était bon. Je me redressais et me dégageais.

« Je dois partir, il est tard »

« Mais non, tu restes dormir, je te laisserai tranquille »

Je réfléchissais entre les souvenirs et ses caresses, j’étais tentée. Je décidais donc déjà de rester manger pour voir. On rentra dans la maison et il prépara le repas, on ne parla plus de massage ni d’autre chose se rapprochant. Je me détendais, on alla boire le café dans le salon et on parla de choses et d’autres. Je me préparais et allais me coucher. Je m’endormis fatiguée.

 Je me réveillais en sursaut, je sentais la fraîcheur de la nuit, j’étais entièrement découverte et lui debout dans la lumière du couloir.

« Laisses toi faire, je vais te masser, juste te masser. Tu as la peau douce. Mets-toi sur le ventre et laisses toi faire, j’ai de l’huile d’amande douce. »

J’enlevais mon tee-shirt, j’étais entièrement nue et sur le ventre. Il se mit assis à côté de moi et commença à me masser les épaules, le dos, les jambes et il finit par les fesses qu’il prenait à pleines mains et les malaxait, de temps en temps son pouce s’enfonçait entre mes fesses et montait puis redescendait. A sa demande, je me mis sur le dos et il entreprit de me masser les bras, le ventre, les jambes. Il posa ses deux mains sur mes seins qu’il malaxa, il fit rouler mes tétons entre ses doigts, les pinçant légèrement. Une de ses mains descendit sur ma chatte, je sentais ses doigts de chaque côté qui montaient et descendait. Il posa sa grosse main sur ma chatte qu’elle engloba entièrement et il recommença ses mouvements très lents dessus, l’un de ses doigts entra dans la fente mais sa main continua à monter et à descendre sur ma chatte en même temps. Je sentais son doigt sur mon clito lorsque sa main était sur le haut de mon sexe. Je gémissais doucement et écartais les jambes mais sa main continua son lent mouvement. 

«Bon, je te laisse dormir, bonne nuit »

J’étais excitée et frustrée mais il sortit de la pièce avec un sourire en coin. Je me cachais et j’eus du mal à me rendormir en raison de l’excitation. Le lendemain, je me levais, il n’était là mais il avait préparé tout pour mon petit déjeuner. Quand il arriva en fin de matinée, il me proposa d’aller l’après-midi à la vigne avec lui, on ne parla pas de la nuit dernière. Après le repas, on partit dans la vigne, où il travailla puis vint s’allonger à côté de moi.

« Tu veux que je te masse ? Déshabille-toi »

J’obtempérais avec le plus grand des plaisirs et me retrouvais entièrement nue sur le ventre. Je sentis ses mains sur moi, il me massa comme la veille, les épaules, le dos, les jambes. Quand il arriva aux fesses, il écarta légèrement mes jambes afin que sa main puisse aller jusqu’à ma chatte. Il me retourna sur le dos et me massa, les bras, les jambes, le ventre puis les seins, les tétons. L’une de ses mains se posa sur ma chatte qu’il massa comme la veille au soir avec un doigt qui remontait le long de ma fente humide. Je gémissais, basculais mon bassin pour aider sa main.

« Tu aimes quand je te masse, ça se sent, tu mouilles beaucoup ma petite cochonne. »

Comme la veille au soir, il s’arrêta une fois que j’étais excitée et il repartit travailler. Je restais nue allonger quand il eut fini, je m’habillais et on rentra. Une fois arrivé, je me déshabillais et m’allongeais dehors pour prendre un bain de soleil.

« Alors jeune fille, on me cherche, ça ne sert à rien à mon âge ça ne fonctionne plus trop »

Il avait mis une main en coupe sous mon sein et le faisait sauter, de son autre main il pinça les lèvres de ma chatte et serra. Je sursautais, il relâcha la pression et la caressa. Mon clito pointa, il le titilla légèrement mais sans plus. Il rentra pour préparer le repas, je le suivis mais restée nue. Il m’observa du coin de l’il sans rien dire. On mangea et on regarda la télé sans que je fasse l’effort de m’habiller. La soirée finit, on alla se coucher chacun dans sa chambre, j’attendis mais il ne vint pas.

 Le lendemain au réveil, je décidais de rester nue, on verrait bien lequel flancherait le premier, je trouvais le jeu amusant enfin de compte et surtout excitant. Mais j’allais le regretter.Dans la matinée, il m’appela, il était sur le devant de la maison et discuter avec le facteur qui ouvrit les yeux éberlués, j’étais à poil.

« Il y a un colis pour toi c’est ce que tu m’avais demandé et c’est déjà arrivé »

Je pris le colis étonnée, je n’avais rien demandé ni commandé. Je l’ouvris et lorsque je découvris son contenu, je le refermais. Il tira dessus pour regarder et laisser voir au facteur. J’étais très gênée c’était un collier de chien et des godes.

« Tu es contente j’espère au vu de ta tête, je me le demande. Ah les jeunes, on leur offre ce qu’ils veulent et voilà le remerciement »

Il me donna une tape sur les fesses en riant. Le facteur riait aussi mais sans me quitter du regard. Une voiture arriva conduite par un monsieur d’un certain âge et qui s’arrêta.

« Je venais te voir, mais tu as l’air occupé mon ami »

« Mais non, viens tu es le bienvenue comme toujours, elle fait partie de la famille ça n’a pas d’importance »

« Je te présente, un ami Richard, il est gentil et ne t’inquiète pas, il est près de 80 ans, il ne te fera pas grand mal non plus. Au revoir facteur à demain. »

On rentra tous les trois dans la maison.

« Aller déballes ton colis pour montrer à Richard les cadeaux que je t’ai fait »

Je posais sur la table, le collier et les trois godes dont un qui faisait bien 15 cm de diamètre. « Et bien dis donc, c’est une coquine et elle doit être très cochonne en plus »

« Elle est très gentille et oui c’est une cochonne d’ailleurs si tu l’as vois si peut habiller c’est parce que depuis hier elle essaye de m’exciter »

« Ha oui, la différence d’âge ne la gêne pas, c’est intéressant »

« Oui, elle a toujours aimé ça, je l’ai vu sur une vidéo »

Je me retournais et le regardais.

«Eh oui, j’ai vu la vidéo, il est venu me la montrer pour savoir qui je reconnaissais sur le film »

J’étais un peu atterrée, il ne m’avait rien dit. Je m’exhibais devant lui pour qu’il en vienne à me toucher mais en fait il avait déjà son idée derrière la tête d’où le paquet du matin et l’exhibe devant le facteur et maintenant devant son ami. C’était un traquenard mais quand arriverai le troisième car il va surement refaire surface celui-là…. Toute cette situation m’excitait en même temps. 

« Bien aller, on va boire un verre. Viens avec moi à la cuisine. Bon maintenant que tu as compris, tu vas faire le service. N’oublies pas d’écarter toujours un peu les jambes pour qu’on voit bien ta chatte et te pencher en avant pour que tes mamelles pendent dans le vide devant nous »

Il me mit le collier de chien. Je servis Richard dans cette position en mettant ma main sur le dossier de sa chaise afin que mes seins pendent bien quasi dans son visage. Avant que je n’ai le temps de me méfier, il avait tourné la tête vers moi et me mordais le mamelon et faisait rouler ses dents. Je gémis sous la morsure. La sonnette d’entrée retentit, je sus qui c’était et mon excitation augmenta. Je me retrouvais avec un vieux qui avait bien caché son jeu, un autre qui aimait mordre et le troisième qui n’avait qu’une envie m’avilir,  la journée allait être longue…..

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