Cette histoire se déroule quelques jours après avoir fêté mes 17ans.
Depuis quelques jours, je passe mes journées dans ma chambre à surfer sur le net, et plus particulièrement sur un site de rencontre libertine.
Après avoir posté une annonce très coquine, les demandes ont afflué à un rythme hallucinant sur ma boite mail.
Il faut dire que la photo de mon annonce ne peut que rameuter tout ces hommes en chaleur.
Elle me montre entièrement nue, à quatre patte, mes fesses cambrées, avec mon vibromasseur planté bien au fond de mon anus et mon visage tourné face à l’objectif en me mordant les lèvres.
Pour moi cela ne reste qu’une forme d’amusement, voir de fantasme, mais je n’ai jamais vraiment concrétisée un plan ou une rencontre.
De toute manière aucune des propositions ne me convient. Soit il s’agit de vieux pervers qui veulent juste se taper une jeune fille, soit leur physique ne me plaît absolument pas, soit leur demande est vraiment bizarre.
Quelques rares cas ont eu le droit à une réponse de ma part.
Mais savoir que je plais à tout ces hommes ne me rend pas indifférente et mentraîne bien souvent dans des masturbations endiablées avec mes jouets intimes.
Cette après midi, libre des cours du lycée et avec cette chaleur d’été, je décide de me rendre à la piscine de mon quartier. J’ai d’ailleurs supprimé mon annonce coquine avec cette photo outrageante et j’ai laissé à la place sur ce même site de rencontre pour m’amuser, une simple petite annonce indiquant que je suis à la piscine toute l’après midi, sans aucune autre précision.
Bien entendu, j’ai posté cette annonce sans imaginer les conséquences qui suivent.
Pour m’y rendre, je me suis habillé d’une petite jupe arrivant à mi-cuisse avec un petit débardeur moulant qui met ma petite poitrine en valeur. Des lunettes de soleil et mes cheveux brun bouclé, détaché tombant sur mes épaules. Pas de sous vêtements par cette chaleur et comme je suis d’humeur coquine jemmène mon vibro’ avec moi, on ne sait jamais si une envie me prend dans les cabines.
Après une petite marche à travers la ville me voici arrivé à la petite piscine de quartier, seulement fréquentée par des petits vieux faisant leur longueur ou se délassant paisiblement dans l’eau. Je me suis vêtue de mon maillot deux pièces noir avec un shorty qui laisse déborder mes fesses de chaque cotés et je ne me suis pas fait prier pour me jeter à l’eau par cette chaleur.
Après avoir fait mes petites longueurs, je me dirige à l’extérieur avec ma grande serviette pour me laisser bronzer sous ce magnifique soleil. Je m’allonge sur un des transats à l’extérieur dans l’herbe et le plus à l’écart. Je met tant bien que mal ma petite crème pour bronzer dans mon dos, quand un inconnu sassoit sur le seul transat à côté du mien.
— "Besoin d’aide jeune fille?"
J’ai à côté de moi un belle homme noir de peau, très grand et musclé et d’une trentaine d’année.
Il a d’ailleurs un très jolie sourire. Mais ce qui m’a immédiatement interpellée chez lui est le fait qu’il remplit énormément son maillot de bain.
Je décide de le laisser faire pour me détendre un peu, et puis j’aime que l’on s’occupe de moi, ce sont ces petites attentions qui me plaisent beaucoup. Je le regarde en souriant à mon tour avec mes petits yeux vert, en lui tendant le tube:
— "Avec plaisir! Merci!"
Il verse dans sa main une belle noisette de crème et l’étale avec douceur sur l’ensemble de mon dos. Je suis littéralement bercée sous ses deux mains expertes. Sentir ses mains chaudes me palper le corps me fait divaguer dans des pensées érotiques. D’ailleurs mon état se fait ressentir par cette homme, car Il commence à devenir bien plus entreprenant en effleurant ma poitrine du bout de ses doigts.
Ses mains s’attardent maintenant sur mes cuisses qu’il palpe avec plus de vigueur. Pour lui ce n’est plus un massage pour étaler de la crème, ce stade est dépassé depuis longtemps et cela se ressent.
Mais quand finalement une de ses mains s’insinue sous mon shorty pour peloter l’une de mes fesses, je me redresse sur mes coudes en le fixant du regard pour protester:
— "Faut pas vous gêner….." Mais avant même de pouvoir finir ma phrase, il me plaque contre le transat avec force, en me maintenant en place et colle sa deuxième main sur ma bouche. Il faut dire qu’avec mes 1 mètre 60 et mes 58 kilos toute mouillée je n’ai pas pu faire grand chose face à ce mastodonte.
— "Ferme la voir un peu! Je sais que t’aime ça!…… n’est ce pas?… Sarahcoquine!" Me murmure t-il malicieusement à l’oreille.
En l’entendant prononcer mon pseudo utilisé sur internet, la peur commence à m’envahir.
Je le regarde tant bien que mal tandis qu’il garde sa main sur ma bouche en me bloquant sur le transat.
— "Tu crois que je ne te reconnais pas petite salope?" Il sort de sa poche une feuille ou est imprimé ma photo, publiée sur mon ancienne annonce coquine. Nue, à quatre patte, sodomisée par mon sextoy et avec un regard de dévergondée.
Il range à nouveau la photo dans sa poche après m’avoir dévisagée.
— "Tu aime chauffer les mecs sur internet en t’enfonçant des godes dans le cul, hein? Si tu bouge ou tu gueule, tu vas déguster! C’est compris?"
Jhoche d’un oui de la tête, en tremblant littéralement de peur sur ses paroles qui me glace le sang. Mon ventre se resserre tellement sous la panique que j’ai l’impression qu’il va se déchirer. Et personne à l’horizon pour me délivrer de ce pervers.
Il libère enfin mon dos de sa lourde main et retourne explorer l’intérieur de mon shorty. Ses doigts me donne la chair de poule à chacune de leur avancés, jusqu’à ce qu’il entre en contact avec ma rosette qu’il commence à masser avec ses doigts.
— "Alors comme ça la petite Sarah aime en recevoir plein le cul, hein?
Il porte un de ses doigts à sa bouche pour l’humidifier et retourne dans mon shorty pour cette fois pénétrer mon anus avec son doigt.
Mes jérémiades sont étouffées par sa main. Il continue à murmurer des injures et insanités à mon oreille en triturant rapidement mon anus avec son doigt et sans ménagement.
La douleur est bien plus présente au moment ou il introduit un deuxième doigt dans mon petit trou si serré.
Il s’arrête un instant pour descendre mon shorty sur le haut de mes cuisses et pour laisser à l’air libre mes fesses. Je gesticule comme je peux et creuse mes reins à la reprise de sa pénétration et pour clamer mon non consentement.
Il s’arrête après de longues minutes et retire ses doigts de mon anus en me disant au creux de l’oreille:
— "T’aime petite chienne, te faire prendre par derrière hein? Hein que t’aime ça! Allez, maintenant écarte tes fesses avec tes mains ou je t’éclate vraiment le cul!
Devant le ton menaçant et autoritaire de cet homme, je place à contre coeur mes petites mains sur chacune de mes fesses et je les écartent au maximum, laissant mon trou grand ouvert et à sa merci.
Il se met à cracher sur ma petite rosette, ce qui je l’avoue a atténué ma douleur et il renfonce plus délicatement ses deux gros doigts à l’intérieur. Il y entre avec bien plus de facilité qu’au début et ne manque pas de m’en faire la remarque à l’oreille.
Toujours avec une main sur la bouche, je gémis de plus belle, car ses mouvements sont maintenant lent mais très profond, dans ma petite rondelle brune, tandis que j’écarte mes fesses au maximum.
Après de longues et intenses pénétrations dans mon intimité, Il retire enfin ses doigts de mon trou qui me semble toujours ouvert.
— "Faut pas vous gêner nom de dieu!" s’écrie un vieil homme derrière nous.
Mon violeur sarrête immédiatement en retirant ses mains de mon corps et me libère ainsi de son étreinte. L’intervention de mon sauveur me permet de remonter mon maillot et de m’extirper de ce transat.
Je me dirige rapidement mais avec difficulté, à cause du sol mouillé de la piscine, en direction des vestiaires en essuyant tant bien que mal mes larmes avec mes mains. Mes tremblements gagnent tout mon corps sans que je puisse les contrôler, je n’arrive même plus à ouvrir mon casier. Après plusieurs tentatives infructueuses, j’ai enfin enfin pu prendre mon sac et m’enfermer dans la première cabine à proximité où je me met à pleurer à chaude larme sur le petit banc. Je n’en peux plus, j’ai l’impression que tout s’écroule autour de moi.
Il me faut au bas mot une vingtaine de minutes pour me calmer et m’habiller complètement.
J’ouvre la porte de ma cabine et le grand noir m’y repousse avec force et referme la porte derrière lui. Je suis pétrifiée et ne sais plus quoi faire.
— "Je te laisse le choix ma grande! Si tu fait ce que je te dit, là, maintenant je te laisse partir! Si tu l’ouvre ou tu crie, je te ramène chez moi et je te fais tourner dans toute ma cité! J’te passerais de bloc en bloc, de cave en cave, pour te faire défoncer à la chaîne et je filmerais tout pour l’envoyer à toute ta famille et ton école! C’est compris?"
Je fis un oui timide d’un simple hochement de tête, sans croiser son regard, blottit et retenant mes larmes dans le coin de la cabine.
— "Voilà une fille obéissante! Met toi assise sur le banc maintenant, et n’oublie ce qui arrivera si tu ouvre ta gueule!"
Je mexécute et massoie sur le petit banc en larme. Il déboutonne son pantalon devant moi et libère un sexe de taille impressionnante et très épais. Entièrement noir avec le gland rose et sans aucuns poils. Il l’approche de mon visage fièrement dressé et caresse mes lèvres fermées et crispées.
— "Allez n’ai pas peur! Ouvre ta bouche et goûte ma queue! Tu vas voir ce que sait qu’un vrai mâle ma jolie!"
Contraint, j’ouvre ma bouche et je gobe ce sexe bien trop large pour ma petite bouche. Je me met à faire des va et vient le long de son membre dur comme du bois tandis qu’il gémit de plaisir. Malgré le dégoût et le chantage, je me décide à m’appliquer du mieux que je peux en pensant qu’il me laissera tranquille par la suite si je lui donne rapidement satisfaction.
Je branle vigoureusement sa hampe avec ma main droite tandis que ma main gauche masse ses deux grosses bourses pendantes, dénuées de tout poil.
J’alterne mes va et vient avec des coups de langues et en suçant son gland, tout en continuant à le branler vigoureusement. Il met subitement ses deux mains derrière ma tête et sans prévenir me donne des coups de rein qui senfonce très profondément. J’ai juste envie de régurgiter cette queue à chaque pénétration, mais je me retiens autant que possible.
— "Ahhh Quelle salope tu es! Tu me rend dingue! Attend j’enlève ton haut, que je voie tes seins, ils pointent sous ton débardeur! Tu prend ton pied ma belle, hein?"
Il prend mon débardeur et le tire vers le haut, ce qui libère ma petite poitrine.
Passant ses mains sur mes seins, il suce et mordille mes tétons qui deviennent dur comme de la pierre. En passant sa main sous ma jupe, ce dernier s’aperçoit que je ne porte pas de culotte et me fait un grand sourire avant de retirer son pantalon et de s’asseoir à côté de moi, le sexe dressé.
— "Vient te fait pas prier ma belle, assis toi sur moi!"
Je m’exécute et massoie à califourchon sur ses cuisses, son long sexe en érection derrière mes fesses.
Il me relève pour placer sa longue tige à l’entrée de mon sexe, ruisselant de mouille en abondance. Mes chairs sont écartées au maximum sous cette pénétration démesurée me laissant les yeux fermés, le front plissé et la bouche grande ouverte.
Je veux crier comme une folle, mais je ne peux pas. Je ne veux pas subir son courroux!
Sa longue hampe noir ressort et s’enfonce lentement en moi, tandis qu’il plaque ses mains sur mes fesses pour intensifier la pénétration, les miennes prennent appuies sur ses pectoraux.
Il me culbute à une telle vitesse avec son énorme mandrin, que je n’ai pas vu qu’il a trouvé mon vibromasseur rose dans mon sac.
Il s’arrête brutalement en m’empalant au maximum sur son sexe et me fait prendre en bouche, mon vibromasseur.
Après plusieurs aller retour pour que je l’humidifie, il le colla sur ma petite rosette et l’enfonce lentement en collant sa main sur ma bouche.
La douleur m’arrache un cri que je ne peux retenir et qui s’étouffe dans sa main. Le vibro’ bute contre le fond de mon anus et il enclenche les vibrations au maximum en recommençant à me besogner.
Il met une de mes chaussettes dans ma bouche pour étouffer mes plaintes et me culbute de plus belle, dans une chevauchée endiablée, où lui seul est le maître.
Une des ses mains s’est emparée du vibro’ qui le ressort et l’enfonce vigoureusement dans mon anus au rythme de son sexe dans ma petite chatte.
— "Petite garce! T’aime t’en prendre deux en même temps! Qu’elle chienne tu me rend fou!"
Je me soulève de moi même et m’empale en continu et sans ménagement sur son énorme chibre jusquà ce que je ne puisse plus me contrôler. Me faisant geindre et mordre le tissu dans ma bouche, faisant projeter en abondance ma cyprine et me prenant toute force en moi.
Après quelques secondes pour m’en remettre, affalée sur son torse, Il retire mon vibro’ de mon anus et me soulève, libérant son membre de mon intimité, trempée par ma cyprine.
Assise à nouveau sur le banc, il approche son sexe mouillé de ma bouche en le masturbant vigoureusement et inonde littéralement mon visage de foutre blanc en prenant le soin d’en mettre sur mes vêtements.
Après s’être vidé entièrement dans un râle de plaisir, il passe son gland sur mon visage et l’enfonce dans ma bouche pour que j’en avale le plus possible de ce jus amer.
Ne prêtant pas attention, je n’ai pas vu son téléphone portable posé en face de nous deux et qui filme toute la scène. Le visage recouvert de ce liquide épais, il montre mon visage en gros plan, avant que je ne puisse le cacher avec mes mains. Il fouille finalement mon sac et sort ma carte d’identité de mon portefeuille en l’exhibant devant l’appareil avec ma photo.
" Voici sarah, 17ans, comme vous venez de le voir c’est une vrai chienne et elle adore ça!".
Il Énonce à haute voix pour sa vidéo toute mon identité et mon adresse ainsi que mon numéro de portable qu’il trouve de mon sac.
Après s’être rhabillé, il se retourne et me dit qu’on sera amené à se revoir en me faisant un petit clin d’oeil et en exhibant son téléphone à la main. Il quitte la cabine laissant la porte grande ouverte et me laissant là, recouverte de son sperme, exténuée.
A suivre…
DogAngel