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Captive d'un soir – Chapitre 4




    Nous y sommes enfin, cet instant que tu espérais tant. Ton corps est dans un état d’extrême survoltage. La soirée s’est passé exactement comme tu l’avais envisagée, et maintenant je vais t’offrir un dernier plaisir charnel. Te laissant allongée sur le lit, nue, offerte, impuissante, je me déshabille. Jetant mes vêtements par terre, je me hâtes à enfiler un préservatif sur mon membre tendu au maximum. Je m’allonge lentement sur toi, embrasse tes formes, tes lèvres, tes seins, puis en douceur je m’insère au plus profond de ton intimité. Tu pousses un petit cri de douleur, une douleur apaisante pour toi, je sens ta mouille qui se déverse sur mon sexe et sur mon entrejambe. Toujours avec tendresse, je commence à donner de légers coups de bassin, nos corps s’entrechoquent à mesure que je te pénètre.

 – Je vous appartiens, chuchotes-tu en gémissant, souriante d’extase.

    Je poursuis ma mâle étreinte, m’enfonçant toujours plus en toi, mon ventre se mouvant tel un serpent. Docile, tu prends à ton tour ce rythme soutenu et ton être tout entier se met à onduler, soumis à mes pulsions. Étrangement, malgré toute l’excitation que nous partageons, j’en viens à me lasser, je ne te l’avouerai pas ce soir mais je ne suis pas trop à l’aise au dessus, je préfère laisser faire. Là encore je me rend compte à quel point je désire secrètement que tu m’asservisse. Souhaitant éviter de montrer tout signe de faiblesse devant toi, je décide d’user de mon pouvoir sur toi pour choisir une position qui me plaît davantage.

 – Met-toi sur moi, te dis-je sur un ton autoritaire.

 – Vous… Vous êtes sûr, monsieur ? Me demandes-tu, ton souffle coupé par mes coups de reins.

    J’empoigne alors tes joues et te force à relever la tête, tu émets un petit cri de surprise.

 – Je t’ai donné un ordre, esclave. Alors tu vas obéir. Je veux que tu me chevauches, que tu mènes la danse, laisse-moi te pénétrer à ton rythme.

    Je relâche ma cruelle étreinte et te laisse te mettre à califourchon sur moi. En douceur, tu commences à aller et venir comme une cavalière menant sa monture. A chaque mouvement, mon sexe s’enfonce davantage en toi et te fait pousser des gémissement de moins en moins retenus. Pour te motiver davantage, alors que j’admire ton visage en sueur, je commence à malaxer tes seins, puis je pince légèrement te tétons hérissés.

 – Applique-toi, esclave. Ce serait dommage que je doive faire rougir une si belle poitrine à coups de fouet.

 – Oui monsieur, t’exclames-tu alors, incapable de retenir ton embrassement charnel. Tout ce que vous désirez, monsieur. Je vous appartiens et… Hmm… J’aime vous sentir en moi, c’est tellement bon.

    Tu t’enflammes, j’aime te contempler en cet instant. Je savoure chacune des expressions de ton visage, cette façon sensuelle que tu as de te mordiller les lèvres pour retenir tes cris de plaisir, le soin que tu prends à caresser mon torse avec tes mains divines, tes sourcils qui se froncent à chaque fois que mes doigts viennent tourmenter tes douces mamelles. Entre deux gémissements, je pose mon index sur ta bouche bouillonnante. Aussitôt, tu te plais à l’embrasser, le lécher, le sucer avec autant d’entrain que la fellation que tu me fis tantôt. En donnant quelques coups de bassin, je te force à t’empaler davantage sur ma mâle raideur. Sans que j’ai eu besoin de te dire un mot, tu comprends aussitôt mon désir et tu accélères tes va-et-vient. Tu es magnifique, ondulant telle une sirène et incapable de résister à tes pulsions bestiales, te mettant à criailler ta surexcitation.

 – S’il vous plaît, monsieur, supplies-tu alors que des gouttes de sueurs perlent sur tes hanches. Ai-je votre autorisation maintenant ?

    Je sais ce que tu veux, cela fait un moment maintenant que tu te retiens, tu en as envie et tu ne peux plus lutter. Mais je suis maître de ton corps, c’est à moi de décider si tu as mériter ta suprême récompense. Tout en te laissant poursuivre ta sensuelle étreinte, je caresses le haut de ton corps, tes hanches humides, tes seins pointus, ton cou parfait, tes cheveux ébouriffés suite à mes précédentes sévices. Poussant à mon tour un râle de satisfaction, je décide de te tourmenter encore un peu avant de t’offrir ce que tu désires..

 – Que veux-tu, belle prisonnière ?

 – Je veux jouir, monsieur ! T’écries-tu, soumise à la fois à ma volonté et aux appels désespérés de ton corps déchaîné. Je mouille, monsieur, je mouille pour vous, c’est tellement bon. Par pitié, c’est trop difficile, je ne peux pas résister.

 – Estimes-tu que ton plaisir passe avant le mien ? Dis-je sur un ton menaçant en pinçant tes tendres tétons.

 – Non monsieur, poursuis-tu en retenant un cri de douleur. Je vous en prie, je ferai tout ce que vous me direz, humiliez-moi encore et encore, punissez-moi, fessez-moi, enfermez-moi, faites moi manger par terre comme une chienne, laissez-moi vous sucer encore et encore. Mais par pitié, laissez-moi jouir.

    Tes suppliques m’excitent encore plus, le volcan que tu es attend que je l’autorise à   exploser. Attendri par la dévergondée que tu es devenue, je finis par céder.

 – Alors jouis, esclave. Tu l’as bien mérité.

 – Merci, monsieur ! hurles-tu en entrant aussitôt en éruption.. Merci…Haaaa… Oui, merci c’est tellement bon. Merci pour votre miséricorde. Je suis salope, je vous appartiens.

    Tout en poussant des cris de plaisir, tu viens sur moi. Tu trembles sous l’effort et je finis par jouir à mon tour devant ton visage rougissant de volupté. Nous gémissons tous les deux, nos êtres ne formant plus qu’un seul corps. Harassée, tu t’écroules sur moi et embrasse mon cou. Je te prends dans me bras et te laisse savourer cet instant de pure béatitude. Entre chaque baiser affectueux, tu continues de me remercier, à bout de souffle. Je relève ton visage dans un geste empli de douceur et pose mes lèvres sur les tiennes. Entrelacés, nous nous embrassons comme deux amants. Puis nous restons immobiles, unis par cet instant charnel, ton corps blotti contre le mien. Pendant ces longues minutes, il n’y a plus de jeu, plus de soumission, plus d’esclavage, il ne reste que l’amour entre nous. Je te laisse récupérer, massant ton dos en sueur, posant mes lèvres sur ton visage, sur ta bouche, sur tes cheveux. Tu es comblée, je le sens. Je te vois sourire, satisfaite de cette soirée. Tu es tellement belle.

    Plus tard, je reprendrai mon rôle de bourreau, t’obligeant à laver mon sexe avec ta langue, t’ordonnant de masser mon corps fatigué, te rabaissant à boire dans un bol au sol comme un animal. Puis je te laisserai te rhabiller pour que nous dînions ensemble, comme un couple parfait, avant de retourner au lit pour nous endormir entrelacés. Je t’ai offert ce que tu souhaitais, et tu m’as donné le meilleur de toi-même, tu m’as laissé prendre possession de ton être pour une soirée. Peut-être envisages-tu de recommencer, c’est ce que j’espère en tout cas, pendant que je somnole en étreignant ta peau encore bouillonnante.

Tu as peut-être été mon esclave ce soir, mais à l’avenir j’espère devenir celui avec qui tu passeras toutes tes nuits.

Fin

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