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Peggy et paolo – Chapitre 1




Cela faisait trois mois que mon frère cadet Paolo de 18 ans lorgnait discrètement mon corps depuis que nous avions discuté de relation intime dans ma chambre à coucher et j’avais noté secrètement son érection tendre son jean’s large, nous avions osé nous avouer si l’on était encore vierge ou pas en jouant à vérité ou défi et ce soir j’apprenais qu’il n’avait toujours pas coucher avec sa petite amie alors que moi Peggy, sa soeur ainée d’un an ne l’était plus depuis quelques années grâce à une aventure en colonie de vacances mais je ne lui avouait pas que je continuais à avoir d’autres aventures par si et par là puis nos parents venaient dans ma chambre pour nous signaler qu’il était l’heure de dormir et Paolo filait à toute vitesse afin que notre père ne s’aperçoive pas de son état que j’avais secrètement perçu.

Donc après nos aveux, Paolo me lorgnait depuis quelques mois d’une autre manière et cela me plaisait inconsciemment même si cela était assez pervers venant mon propre frère, je ne faisais rien pour calmer son attention du fait que je m’habillais assez coquine du genre robe courte, jean’s très serré qui m’en faisait une deuxième peau, j’agitais aussi parfois volontairement mes hanches larges en courbant ma taille fine, j’étais convoitée par tous les hommes, mon corps était très sexy de nature, mes seins étaient à mon gout trop grand mais lorsque les hommes me lorgnaient cela me plaisait instinctivement sans afficher mon bonheur sur mon visage.

Puis un vendredi soir, nos parents partaient pour tout le week end et nous laissaient seuls moi et mon petit frère, notre mère nous faisait la morale afin d’exécuter les taches quotidiennes et lorsqu’ils partaient, Paolo et moi lâchions un soupir commun qui nous faisait ricaner bêtement, je roulais et attachais mon t-short long et ample sous ma poitrine, je percevais immédiatement son regard viser mon entre cuisses plaquées d’un short blanc et orange moulant de gymastique

’Hé ne te gène pas petit vicieux’Disais je faussement et tournant sur moi même affichant un bref instant mon fessier du genre grosse pèche à demi haché en deux à cause de mon string blanc pour courir dans ma chambre à coucher pendant que j’entendais des excuses de sa part alors que je mordais discrètement ma lèvre inférieure avant de claquer la porte de ma chambre sachant que je venais de le narguer.

Un long moment plus tard, j’annonçais à mon frère en tapant sur sa porte qu’il était l’heure de manger et qu’il se dépêche de venir me rejoindre avant que cela ne refroidisse, quand il entrait dans la cuisine j’étais volontairement entrain de nettoyer la casserole dans l’évier, je percevais par le reflet de la fenêtre son regard viser mon cul car j’étais toujours dans short moulant blanc et cette fois si j’avais ôté le string assorti donc ma grande et profonde raie des fesses était clairement évidente, il s’asseyait rapidement faisant mine de n’avoir rien vue, nous mangions en regardant les infos et soudainement je me levais pour changer de chaine afin de lui afficher mon cul en pleine face pour un petit temps car je cherchais une chaine plus attrayante et je trouvais Friend’s alors que la télécommande était sur notre table puis j’en faisais moi même la notification pour dissimuler mon attitude aguicheuse

’Pff quelle gourde, la télécommande était là’Soufflais je naturellement alors que Paolo avalait ses pates difficilement.

A la fin de notre repas, je lui demandais s’il voulait regarder la télé avec moi dans le salon mais sa réponse était négative car il avait prévu une soirée msn messenger sur internet en m’avouant bêtement qu’il cherchait une autre âme soeur car sa petite l’avait délaissée pour un autre type, j’en étais désolée pour lui et vraiment secrètement heureuse du fait que je n’aimais pas trop cette fille.

’Elle n’était pas faite pour toi Paolo’Disais je pour le rassurer en débarrassant la table et pour me caler dos à l’évier afin qu’il aperçoive clairement mon short blanc dessiner ma chatte.

’Une de perdue, dix de retrouvée’Disait il en envoyant un oeil furtif sur mon entre cuisse avant de prendre rapidement la poudre d’esquempete pour quitter l’ambiance tendue qui regnait et secrétement j’étais faché envers moi meme de ma reflexion faite auparavent sur son regard vicieux car il n’osait plus fixer son regard sur moi, je m’en rongeais l’ongle en cherchant un autre moyen de le provoquer et de rattrapper mon erreure involontaire.

Aprés la vaisselle faite, je montais vers sa porte qu’il avait verouillé en affichant son panneau amusant ’Ne pas déranger’ et je toquais dessus en disant assez fort.

’Veux tu quelques conseils pour draguer sur msn? ’Disais je en croisant mes doigts

’Non merci Peggy, je suis assez grand’Disait il

’bon d’accord, bonne nuit Paolo’Disais je tristement en entendant la meme réponse

Je rentrais donc dans ma pièce en m’effondrant sur mon lit tout en cherchant une autre façon de retrouver son désir dans ses yeux.

La nuit passée forcement et au petit matin, je me levais de bonheur en ayant subitement trouvée une idée puis une demi heure plus tard, je sautillais dans le salon au rythme d’une vidéo de Cindy Crawford, j’avais monté fortement le son pour reveiller Paolo et aprés plusieurs minutes alors que je tordais ma taille de gauche à droite avec les jambes écartées, reins cambrés et fessier bombé, je tombais sur son regard matinal et ses yeux admiratifs sur ma queue de cheval valsait dans l’air, mon léger maquillage rose brillant sur mes lèvres pulpeuses, mes baskets blanche avec mes chaussettes rose roulées aux chevilles, mon haut noir tout petit servant de soutien gorge et qui comprimait mes gros seins ainsi que mon short trés court moulant noir de gym recouvert d’un string rose adapté en lycra que j’avais monté au dessus de mes hanches.

’Bonjour Paolo, viens me rejoindre pour une gymnastique! ’Disais je en soufflant sans cesser mes mouvements et recherchant par la suite de mes deux mains le sol en gardant mes jambes tendues et ecartées.

’Heu! ! ! Bonjour Peggy’Bafouillait il en regardant mon cul affiché devant ses yeux vicieux que je croisais un bref instant la tete baissée entre mes jambes. Secrétement je souhaitais qu’il péte les plombs et me viole sur place mais il maitrisait son état primaire pour filer dans la cuisine sans dire un mot, je souriais toute seule car nos regards n’ont fait qu’un seul et sans reflexion.

Je continuais mes exercices durant un moment en disant ’et un et deux et trois…. ’ puis j’allais à la porte de la cuisine en m’épaulant dessus tout en croisant mes bras sous ma poitrine et tordant mes hanches au maximun pour trouver Paolo entrain de déguster son petit déjeuner.

’Alors votre soirée internet c’est bien passé cher Casanova’Disais je en souriant

’Ouais bof comme d’habitude, du tchat, du tchat ect… ’Disait il en admirant ma tenue sexy du coin de son oeil.

’Et bien moi je n’ai pas besoin d’internet, j’ai Franck qui m’appelé hier soir pour m’inviter ce soir au cinéma’Disait je coquin car je savais qu’il détestait ce type qui était notre voisin puis au quart de tour, il toussait son café en devenant rouge de colère.

’Et bien fait ta vie, cela ne me regarde pas’Disait il en essayant de garder un ton normal tout en se levant pour débarrasser son déjeuner et je percevais encore un peu de son excition par un léger bombement dans son survetement.

Je restais dans la meme position alors qu’il passait à coté de moi pour rejoindre sa chambre puis lorsqu’il arrivait en haut des escaliers.

’Mais non Paolo, je plaisantais, je déteste ce type autant que toi’Disais je alors qu’il se retournait.

’Tu n’es qu’une petite peste’Disait il d’un ton clairement soulagé

’Mais je cherche quelqu’un pour m’accompagner ce soir, est tu libre Paolo’Disais je naturellement.

’Oh oui Peggy’Criait il de joie. ’Heu je veux dire que oui je pourrais t’accompagner Peggy’Se reprenait il géné de son entousiaste.

’Ok Petit frère, alors à ce soir dix neuf heures car je passe la journéée avec mes amis’Disais je.

’D’accord Peggy, je rentrerais à dix huit heures alors’Disait il comme un soldat qui dissimuler sa joie sans ce soucier du film que je voulais voir alors que l’on se regardait assez fixement.

Puis je cassais la glace en filant ranger le salon que j’avais déranger pour ma gymnastique tout en secouant mon fessier devant ses yeux que je savais hynoptisés dessus.

Une heure plus tard je toquais à sa porte en lui signalant que je partais et lorsqu’il l’ouvrait j’étais déjà dans l’escalier entrain de descendre sensuellement les marches dans un polo blanc, mon jean’s bleu clair et trés serré puis je tournais ma tete.

’Ne m’oublie pas ce soir Paolo’Disais je en souriant car je percevais son regard affamé directement sur mon postérieur.

’Heu oui oui Peggy, à ce soir’Baffouillait il géné sachant que je venais de le reprendre les yeux dans le sac alors que moi j’avais prévu secrètement de faire quelques achats vestimentaires aprés avoir déjeuné avec mes amies.

Le soir venu, en rentrant sans bruit chargée d’un sac, j’avais étrangement des papillons dans le bas ventre, j’entendais sa musique rock ’Metallica’ resonnait dans sa chambre fermée, j’étalais mes achats sur mon lit avant d’aller prendre un douche, j’avais une heure pour me préparer. Durant la douche, j’essayais de me resonner car aguicher son propre petit frère en chaleur n’est pas du tout chose commune et meme interdite mais je ne pouvais pas le laisser dans cet état et comme étant une soeur affectueuse… Puis j’optais pour une épilation et durant le rasage je me demandais qui osera faire le premier pas, franchir la ligne, oser l’interdit et je sentais un millier de papilllon volaient dans tout mon ventre tant la situation était particulière.

Aprés une demi heure de réverie dans la salle de bain, je sautillais en passant devant sa porte verouillée, la serviette enroulée autour de mon corps, entendant toujours sa musique rockn’roll battre, il aurait simplement suffit que je toque dessus et que je laisse tomber ma serviette, m’aurait il traitée de folle, de salope, de perverse ou de nympho? Je ne voulais pas prendre ce risque.

Un quart d’heure plus tard, habillée dans ma tenue neuve à la mode, Paolo toquait sur ma porte, j’en frissonnait bizarement.

’Oui Paolo une minute, je suis presque prété’Disais je tendue et tournant une dixième fois sur moi meme devant mon miroir.

’Je t’attends dans la voiture Peggy, dépéche toi, on va etre en retard! ’Disait il naturellement sans se douter de mes intentions.

Puis je sautillais vers ma fenétre pour l’apercevoir marcher vers sa voiture qu’il avait eu pour ses dix huit ans et à mon grand soulagement il était convenablement habillé et coiffé pour l’occasion mais pas autant que moi puis je prenais un grand bol d’air avant de saisir mon sac à main, j’avais essayé les hauts talons dans la boutique mais lorsque je marchais à prèsent, j’avais l’impression de ne jamais les avoir chaussés puis avec de la volonté je m’adaptais trés vite à croire qu’il était fait pour moi.

Arrivée à la porte d’entrée, je me contemplais dans le dernier grand miroir posé tout récemment par notre père pour tirer sur ma robe courte rose et blanche à froufrou que je trouvais maintenant trop courte d’un coté car elle était coupé en diagonale mais je me disais qu’il était vraiment trop tard pour changer de tenue et je sortais l’air naturelle en verouillant la porte d’entrée tout en tenant mon sac à main et la fine bretelle de ma robe qui voulait s’échapper de mon épaule et je rejoignais Paolo qui était dos à moi car il inspectait son moteur sans ne m’avoir encore vue.

’Un problème Paolo’Demandais je le faisant sursauter et pivoter vers moi.

’Non non ! ! Oh mon dieu Peggy quelle classe’Disait il la machoire au sol avec la langue déroulée jusqu’à mes pieds (rires).

Mais soudainement des injures et des klaxons brisaient cet instant magique par des garçons mal éduquer qui passaient par là.

’Whaou combien tu prends petite salope, yyyaaaouuu’Criaient ils tout en accélérant alors que Paolo les injuriait à son tour en leur faisant un bras d’honneur, je me sentais soudainement trés mal à l’aise chaussée sur mes hauts talons à aiguilles rose, les jambes habillées de bas resilles blanc.

’Oh non Paolo, je suis vraiment désolé’Disais je rougissant et tournant rapidement sur moi meme pour rejoindre la maison mais ceci me faisait trébucher maladroitement au sol et j’en pleurnichais de dégout en plongeant ma tete dans mon bras.

’Oh non Peggy t’es blessée? ’Demandait il venant vers moi comme un éclair

’Je suis désolé de vous faire la honte Paolo, je voulais simplement etre.. ’Disais je n’osant pas dire que je voulais etre belle pour lui.

’Mais tu l’es Peggy, tu l’es vraiment’Disait il en s’accrouppissant prés de moi et touchant ma tete que je retournais pour découvrir son regard contemplé ma cuisse franchement denudée à cause de la chute puis je tirais bétement dessus pour dissimuler ma jarretière et jartelle tout en étant secrètement déçu qu’il découvre mon porte jartelle blanc dans cette stupide situation.

’Prend ma main chère soeur, nous allons etre en retard au cinèma’ Disait il en se relévant d’un ton chaud, rassurant et qui me faisait oublier ces imbéciles de garçons et l’idée de changer de tenue, j’attrappais sa main tendue pour me faire soulever délicatement.

’Merci Paolo, tu es adorable’Disais je assez timidement tout en suivant fébrilement son pas car il tenait toujours ma main et m’ouvrais la portière comme un gentleman.

’Je t’en pris Peggy’Disait il tenant fixement mon regard lorsque je m’asseyais alors qu’il aurait bien pu matter entre mes jambes et découvrir se que je portais dessous car je ne faisait rien pour cacher mon entre cuisses, je rajustais ma robe lorsqu’il faisait le tour de sa voiture afin de nous conduire au ciné et durant le trajet je retouchais adroitement mon maquillage dans le pare-soleil sachant que les brettelles de ma robe tombaient sur mes coudes dévoilant mon magnifique soutien gorge en dentelle blanche tout envoyant un regard furtif sur Paolo qui prenait soin de nous éviter un accident et n’osant surement se rincer l’oeil sur ma grosse poitrine visible de dentelle.

Arrivée devant le cinè, toujours assis dans la voiture, nous regardions les affiches et elles étaient de son cotè, j’étais donc penchée au dessus de lui, ma poitrine planait presque au dessus de son entre cuisse, nos visages étaient prés l’un de l’autre et nous discutions des films puis je tournais subitement mon regard sur lui et découvrais qu’il hinalait mon parfum les yeux fermés, instinctivement j’envoyais rapidement un oeil entre ses jambes pour découvrir son pantalon faire quelques bombement successifs au rythme des contractions de son sexe qu’il ne maitrisait pas, je souriais à moi meme tout en faisant mine de n’avoir rien vue et maitrisant mon énorme envie d’ouvrir sa braguette pour le sucer sur le champ comme une affamée.

’Sex intention trois te dirait Paolo? ’Proposais je sachant qu’il s’agissait d’une demi soeur et d’un frère voulant se baisez à mourir.

’Heu ouais, je connais pas, pourquoi pas mais je n’ai pas vue le un et ni le deux’Disait il en ouvrant certainement ses yeux pour me découvrir penchée davantage vers sa cuisse que j’effleurais maladroitement et volontairement deux trois fois du bout de mes seins habillés et qui me faisait courir mes millions de frissons dans le corps et certainement dans le sien aussi.

’bon allons nous garer’Disait il pour libérer la tension curieuse qui montait.

’Connais tu le sujet de ce film Paolo’Disais je coquin

’Non pas du tout Peggy, si j’ai accepté, c’est uniquement pour toi’Disait il normalement alors que je croisais discrètement mes doigts espérant qu’il connaisse au moins le sujet.

’Alors vous allez surement adorer cher petit frère’Disais je en souriant comme un diable

’Oh je te vois venir Peggy, c’est encore un film stupide de fille’Disait il ne comprenant pas mon sourire.

Et nous allions dans la salle pour nous installer ou nous pouvions et durant le film, j’essayais d’attirer son attention, malgrè mes croisements et décroisements de jambes jusqu’à faire remonter ma robe à fleur de mon entre cuisse que percevais visiblement, mon autre voisin faisait un gros soupir d’étonnement sur mon porte jartelles, son regard resté figé sur l’écran jusqu’à la scène principale et finale puis il me murmurait.

’Il va la défoncer sa demi soeur’Disait il fixant tantot mon regard et mon entre cuisse que j’écartais légèrement

’C’est clair, elle l’aura bien méritée cette garce de demi soeur’Disais je vicieusement avec insistance.

De là j’aurais pensé qu’il ne se controle plus et envoye sa main entre mes jambes, j’en mourais d’envie j’aurais voulu prendre sa main et la mettre à sa place mais nous nous maitrisions incroyablement ou despoir de notre voisin qui se rincer l’oeil.

’On devrait partir maintenant, pour éviter la bousculade’Disait il dans mon oreille et effleurant mon auréole qui m’électrisait de la tete aux pieds.

’Il vaudrait mieux tu as raison’Disais je pendant qu’à l’écran le demi frère et la demi soeur s’embrassaient.

On sortait du cinèma les premiers en ricanant alors que j’avais failli trébucher de mes hauts talons puis nous filions à toute vitesse pendant que je racontais les deux films précedents de Sex intentions qu’il n’avait pas encore vu et une fois arrivé devant chez nous, il faisait un dérapage qui réveillait certainement nos voisins que l’on avait oublié car nous avions déjà sauté l’un sur l’autre pour une longue embrassade langoureuse, baveuse si profonde que sa grande langue touchait ma gorge (rires) alors que la mienne paraissait minuscule, ses doigts cherchaient à s’introduire en écartant mon string humide pendant que ma main cherchait à ouvrir sa braguette tendue à craquer.

’Rentrons Peggy’DIsait il en brisant son baiser

’Oui Paolo, il vaudrait mieux’Disais je otant ma main de sa braguette trop difficile à ouvrir pour sortir de sa voiture en ricanant et marchant sensuellement vers la porte d’entrée que j’ouvrais sans le regarder

’Oh Peggy tu es si sexy’Disait il en avançant vers moi, j’étais rentrée à l’intérieur en étant face à lui je m’amusais à descendre et remonter les bretelles de ma robe en l’aguichant

’Veux tu te dépuceler avec ta soeur Paolo? ’Disais je en laissant mes brettelles dans mes coudes pliés afin d’afficher la moitié de mes seins couvert de dentelle blanche.

’Oh oui je veux te faire l’amour, je veux défoncer mon allumeuse de soeur’Disait il démoniaque et avançant

’Alors laisse moi cinq minutes et laisses tes habits ou je laisserais les miens et rejoins moi dans la chambre ok? ’Disais je.

’Ok Peggy, mais cela va me sembler une éternité’Disait il pendant que je souriais fermant la porte d’entrée devant son nez.

Evidement, ma robe restait dans un tas sur place, je déchaussais mes talons en les laissant en haut des escaliers, je declipsais mon soutif pour le laisser un peu plus loin sur le sol et pour ma part je n’avais plus que mon string à enlever, je n’avais pas préciser la chambre à Paolo et je glissais mon string minuscule rose au pied de la chambre choisie à peine entre ouverte pour m’étendre dessus le lit et sur le ventre dans seulement la luminosité de la lune qui rentrait par la fenetre.

Quelques minutes aprés, je l’entendais monter les escaliers dans surement son caleçon et chaussures puis je croisais mes pieds sur mes fesses en m’accoudant pour voir du mieux que possible son attitude et son corps lorsqu’il rentrerait dans la chambre.

’Oh Peggy tu es vraiment coquine’Disait il derrière la porte en jetant son caleçon que je percevais maintenant sur mon string, je mordais le coin de mes lèvres en imaginant son corps nu que je n’avais plus vu depuis son adolescence alors que lui était de l’autre cotè voulant aussi désespérement me voir totalement nue, excepté des bas resilles blanc tenant par un porte jartelles en dentelle blanc entouré d’une froufrou rose sachant que cela me rendait terriblement allumeuse.

’était elle petite, longue, courbée, fine, épaisse, circonsise? Qu’importe je devais dépuceler mon petit frère et j’étais préte, mon ventre paillonnait comme jamais, mes mains et ma chatte étaient moites’Pensais je en voyant la porte s’ouvrir en grand mais dans la pénombre je ne voyais pas son entre jambes mais lorsqu’il avançait

’La chambre des parents est une bonne idée chère Peggy’Disait il m’apercevant gober les mouches le souffle coupé tant j’étais étonné de son sexe impressionnant gonflé et à demi décallotté à cause du stress commun que nous avions quand meme due à l’interdit de la situation.

’Pa! ! PaaaPaolo je n’ai jamais vue un sexe pareil! ! ’Disais je estomaquée devant son sexe épais et long comme mon déodorant ’narta’ à à qui il manquait encore de la dureté car il s’affaissait de son propre poids.

’Est elle suffisante Peggy? ’Disait il tel un petit garçon étonné de ma réaction

’Paolo, elle est merveilleuse, elle est le réve de toute femme aimant le beau sexe, avances s’il te plait’Disais je en m’assayant sur l’immense lit de nos parents que j’avais entièrement découvert pour ne laisser aucun indice alors qu’il me dévorait de ses yeux affamés, ma grosse paire de seins aux tétons droit parsemés de mes cheveux détachés, mes superbes fesses aussi bombées qu’une péche par ma grande raie du cul serrée ainsi que ma petite chatte épilée en losange aussi blond que ma chevelure.

’Tu es encore plus belle que je l’imaginais Peggy’Disait il contractant son sexe qui balançait seul en se décalotant davantage.

’Merci Paolo, tu es trés beau aussi, et ton sexe est le plus beau que j’ai vu jusqu’à aujourd’hui’Disais je attrappant ses mains pour m’affaler avec lui sur le lit, son lourd pénis se posait sur mon ventre me faisant frissoner, il glissait son sexe sur mon ventre, je constatais du liquide couler de son gland tant il s’excitait, alors j’écartais mes jambes aussi larges que possible tout en empoignant son pénis épais que mes mains n’enrobaient pas sauf si je les joignais et je le faisais pour finir de durcir son sexe en le pompant ce qui décallottait enfin son gland au maximun, son pénis faisait presque la longueur de mon ventre. Paolo embrassait mon front, mon nez, mes joues et cherchait à sucer mes tétons.

’Je veux te faire l’amour, te sauter Peggy, je n’en peux plus’Disait il léchant mes seins.

’Doucement Paolo, il faut d’abord te soulager, elle est vraiment trés dure’Disais je en pompant doucement son sexe qui fuyait de plus en plus du pré-sperme, alors que ses couilles étaient coincées dans son sternum tant il était excité, je voulais vraiment le sucer comme une affamée pour traire tout son sperme mais qu’aurait il pensé de moi si je faisait cela d’entrée, pour sa première fois.

’Ok Paolo, viens prends moi prends ta soeur et quand tu te sentira jouir sort vite car je ne prends pas la pillule’Disais je poussant son bas ventre et posant son gland sur mes petites lèvres moites.

’Arrghhh’disait il poussant en moi

’Whaaaouuurrrff’Soufflais je en meme temps que sa pénétration difficile par la taille de son gros gland trés dur.

’Oui Paolo, encore, encore! ! ’Disais je pour l’encourager du fait que ma chatte serrait son grand pénis rentré à moitié, il faisait des va et vient comme il pouvait, il pleurnichait de bonheur, j’attrapais les dessous de mes genoux les apportant prés de mes épaules tout en ondulant mon bassin et en gémissant à son rythme pour etre dans sa cadence.

’Oui Paolo, baise moi, baise moi, baise ta soeeeeeeeeeeuuur’Criais je perdant les pédales car je me sentais déjà remplie de son sexe et cela ne faisait qu’une minute que nous baisions alors que je ne sentais pas encore son bassin claquer contre moi.

’Arrrggghhhh Peggyyyyyy, tu es serréeeee’Grognait il essayant de pomper son sexe en entier

’Encore, encoooooorrrrrre Paoooollloooo’Criais je écartelant mes jambes pour qu’il s’enfonce encore dans mes entrailles.

’Aaarrrgghhh’Grognait il alors que j’avais le souffle coupé de plaisir avec la bouche grande ouverte car il venait de toucher mon etre le plus profond par la totalité de son sexe enterré dans mon ventre, je jouissais soudainement comme jamais avant en m’accrochant à son corps et pleurnichant je crééais un étau jouissif autour de sa colonne en fer puis il pompait aussi dur que possible en cognant son corps sur le mien tout en faisant percuter mes seins sur mon menton un bref instant.

’Je vais jouiiiiiirrrrr’Disait il ayant oubliant le fait que je ne prenais pas la pillule, je lachais son corps en poussant difficelement son bas ventre pour sortir son sabre de mon ventre bouillant.

’Jouiiiiii Paolo, jouiiii sur moi’Disais je regardant son visage exprimer du bonheur tout en branlant son pénis de mes deux mains fortement enlacées pendant qu’il pompait aussi

’viiiiiiiens, viiiiiens sur ta soeur’Insistais je en regardant son gros gland violatre prét à exploser pour moi.

’Aaaahhh Pegggyyyyy’Grognait il regardant mes yeux affamés sur son sexe qui commençait à tirer des jets de sperme saccadés aussi puissant qu’ un karcher haute pression, certain filet crèmeux frappait ma poitrine, certain ricochait dessus pour s’éclabousser dans mes cheveux, boucles d’oreilles alors je soulevais davatange ma tete en ouvrant grand la bouche pour réussir à attrapper deux jets copieux qui finissaient dans ma gorge et que j’avalais alors que d’autres jets aussi copieux striaient mes gros seins et ma figure, je léchais le contour de ma bouche pendant qu’il me regardait tout en finissant seul de vidanger ses couilles sur mon ventre tartiné de sperme avec le porte jartelle baignant dedans.

Affalée et écartelée sur le lit passant mes doigts sur ma machoire, mon nez, mon front et mes oreilles pour récolter son jus délicieux que je glissais dans ma bouche en les suçant. Je le regardais avec un désir profond pendant qu’il souriait largement en se branlant doucement

’Huuum Peggy, c’était fantastique hummm’Gémissait il

’Oui Paolo, c’était incroyable, je n’ai jamais vu autant de sperme’Disais je sérieusement en contemplant avec lui la flaque crémeuse qui s’était formée sur mon nombril par les ruissellements de ses jets épais. Puis il lachait son sexe ramollissant à peine pour tomber dedans et cela faisait déborder son sperme qui coulait sur le contour de mes hanches. Figure striées et cheveux collant de foutre, je ne tenais pas m’arréter là et apparement Paolo aussi car son pénis garder une certaine vigeur tant il était encore excité.

’Je suis désolé cher Frère’Disais je pendant qu’il prenait l’air interrogatif et incompris

’oui Paolo je suis désolé de t’ avoir taquiné depuis quelques temps mais… ’Disais je sans oser finir ma phrase

’Non Peggy, j’ai adoré cela mais je ne pensais pas que c’était volontaire jusqu’à… ’Disait il s’arretant net aussi.

’Jusqu’à quoi Paolo’Disais je curieuse.

’Jusqu’à que j’aperçoive le porte jartelle que tu portais puis par le choix de ton film, Sex intention’Disait il me faisant sourire

’Tu connaissais donc ces films? ’Disais je alors qu’il aquiesçait de sa tete en souriant diaboliquement

Je me dégageais de ma position en faisant une pirouette afin de m’allonger sur le ventre tournant mon regard vers le sien qui fixer mon cul rebondi habillé de jartelle

’Tu le veux depuis longtemps mon cul’DIsais je agitant puis soulevant mes fesses en l’air et creusant mes reins, gardant mes genoux collés, afin que ma grande raie profonde s’écarte devant ses yeux admiratifs, ma poitrine était toujours aplaties sur le lit et débordante de mes flancs.

’Oh Peggy, il n’y a rien de plus beau’Disait il étudiant attentivement mes orifices.

’Hum Paolo, tu peux gouter mais pour une prochaine fois, c’est promis, prends moi comme ça, sautes moi comme ça’Disais je incapable de controler mes pulsions car par cette position de chienne en chaleur, je percevais son pénis aussi dur qu’avant

’Paolo, je te promets de te faire la pipe de ta vie si tu me baise tout de suite! ’Priais je en secouant ma grosse péche écartelé et à mon grand soulagement il arrangeait sa position en tenant la base de son sexe afin de viser ma chatte refermée mais ruisselante de notre premier acte.

Une fois son gland en contact je refoulais sur lui en l’absorbant, je pressentais un autre plaisir jamais connu par son grand pénis, mon ventre fourmillait et il plaquait fortement ses mains sur mes fesses pour les malaxer tellement que je sentais mon trou cul s’ouvrir.

’Whaou Paolo, prét à me baiser on dirait hhhhaaaarrrggg’Disais je avant de sentir un puissant coup de rein, son sabre rentrer entièrement dans mon fourreau bouillant, je fermais mes yeux, mordais mon poignet pour ne pas hurler de douleur et de plaisir mélangés pour éviter que les voisins n’entendent, il ne bougeait plus et grognait tant il était comprimé par mon fourreau, nous restions un temps court sans bouger qui paraissait une éternité, gémissant, contractant réciproquement nos muscles sexuels afin d’adapter sa dure colonne veineuses.

’Baise moi Paooooloooo’Gémissais je rouvrant mes yeux vers les siens, il débutait un doux va et viens de petites courses en serrant ses dents puis j’ondulais délicatement mon cul en ralant pour sentir les recoins de mon vagin inexploré, il planté ses ongles dans mes fesses et plus nous augmentions la cadence plus il s’aggrippait à mon cul.

’Rrrrraaahhh, rrrrraaahh, Paaaaoolloo, aaaaaahhhhh’Ralais je sous ses assauts devenant prersque de toute la longueur de son pénis.

’Je vais te baiser de mon mieux Peggyyyyyy’Disait il sur de lui en arretant son gland à l’entrée de ma chatte afin de replonger aussi loin et fort que possible, j’en glissais sur le lit, je m’aggrippais dessus en tordant mon cul de gauche à droite pour me faire véritablement ramoner jusqu’à trouver une cadence endiablé interminable, sonorisée par mes jus coulant, nos rales bestiaux, nos claquements de corps et mon poing battre le lit, je sentais une terrible jouissance courir mon etre entier, j’ouvrais mes mains en tendant mes doigts toujours appuyée sur mes paumes et mon corps entier frissonnait, tremblait sans que Paolo ne cesse sa baise acharnée jusqu’à s’expulser betement d’un va et viens, sa colonne veineuse s’alignait sur ma raie du cul et je m’effondrais car mes forces ne répondaient plus hormis les secousses jouissives descriptible par la chair de poule qui affluait sur mon corps.

’Oups Désolé’Disait il betement alors que j’avais les yeux fermés de plaisir serpentant légèrement sur le lit.

’Hummmmm merci cher frère de cette merveilleuse baise’Disais je langoureusement en glissant instinctivement une de jambe vers le haut.

’Mais Peggy, je n’ai pas joui! ’Disait il se mettant au dessus de moi tout en cherchant à remettre son pénis en moi.

’Oh humPaolo, nous avons la nuit, du calme’Disais je pour calmer sa fougue, mais je tordais mes hanches en remontant encore ma jambe pour permettre son intromission qui glissait comme dans du beurre chaud et de là il se mettait à me pistonner aussi fort que possible, je savourais complètement, affalée sur le lit avec seulement ma hanche tordue vers lui, mon frère me défonçait vraiment.

Sa transpiration coulait et coulait sur mon visage, il m’attrappait les épaules, me tirait les cheveux dans ses poings, mes yeux floues à demi fermés flottaient dans la chambre, je me laissais défoncer dans cette position incroyablement bonne une bonne partie de la nuit car il maitrisait son orgasme jusquà sentir au bout d’un moment ses fortes fessées ainsi que mon crane cogner le haut du lit alors que nous avions commençé en bas du lit.

’Ahhh aaahhh Paoooollloo, viiiiiens, viiiens, je t’en prie, vviiiiiiens’Criais je maintenant de douleur la tete pliée contre les barreaux du lit et il expulsait son sabre de mon fourreau rougeatre luisant de nos jus pour se branler aussi vite qu’un piston afin d’éjaculer encore plus fort et longtemps que la première fois, cette fois si, la partie de mon corps exposé à son larguage de sperme était complètement souillée, le mur derrière la grille du lit était autant tapissé de foutre coulant au sol, mes cheveux, ma figure mélangés de sueur et de sperme n’ étaient encore du jamais vue sauf dans des trucages de films pornos.

Je percevais de mon oeil pas badigeonné de sperme Paolo s’effondrer prés de moi en posant son bras autour de moi.

’Waaaaaooouuuh, je n’ai jamais autant éjaculé’Disait il sachant que cela était grâce à moi, sa soeur coquine et perverse.

’Tu devrais chercher une serviette pour tout nettoyer’Disais je avant de ricanement betement avec lui et n’oubliant pas que je lui avais promis la pipe de sa vie, fallait il que j’avale?, que je le laisse jouir ou il voudrait?

Et le soleil se levait, Paolo revenait avec la serviette, finalement nous venions de coucher ensemble durant plus de six heures, les meilleurs moments passent si vite.

’Quel pied Paolo et dire que tu n’as réellement pas fait l’amour à mon cul’Disais je taquin avant d’attrapper sa nuque pour l’embrasser à pleine bouche alors qu’il essuyait en meme temps son propre sperme abondant ruisselant sur mon corps.

’Je te casserais le cul Peggy, c’est promis’ ’Et je te donnerais la pipe de ta vie Paolo, c’est juré’disait on

Nous avions tout nettoyé jusqu’aux moindre poils pubiens, nous flanions dans la maison en nous embrassant de temps à autre, ma chatte était en chouffleur pour le reste de la journée, Paolo se plaignait de temps à autre de son pénis tant il avait baisé comme une machine et nos parents rentraient de leur week end.

’Vous avez passé un bon week end les enfants? ’Demandait notre père

’Oh toujours le meme votre fils, ordinateur toute la journée’Disais je betement en tapant le pied de mon frère sous la table.

’Pfff elle dit n’importe quoi’Disait Paolo complice.

’arrêtez de vous chamailler les enfants’Finissait notre mère secouant betement sa téte.

’Et puis mangez calmement, on dirait que vous n’avez rien mangé du week end! ’Disaient nos parents alors que Paolo et moi sourions discrètement l’un à l’autre.

’Je te violerais avec ma bouche’Pensais je regardant mon petit frère dépucelé et souriant qui devait certainement pensé à mon cul.

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