Frantisek désigne un escalier accédant à un sous – sol. Là, nous nous retrouvons à l’entrée d’une salle qui doit faire une dizaine de mètres de côté ; avec, au centre, une estrade carrée d’un demi-mètre de haut. Rien d’autre. Visiblement, les spectateurs doivent se placer debout autour de l’estrade. Je regarde ma montre : 1 h 45.
Le moustachu qui a amené Jana jusqu’ici, arrive à son tour, et nous fait entrer un par un, après que nous lui ayons remis notre billet de réservation. Je remarque qu’il laisse entrer Éva sans lui demander quoi que ce soit. Me voici dans le cercle autour de l’estrade, Éva se trouvant à ma gauche. Puis il ferme la porte de la salle et allume une sorte de projecteur qui illumine la scène. Quelques minutes plus tard, une porte qui se trouve sur un côté s’ouvre et une ombre en sort et monte sur l’estrade, en pleine lumière. Jana est là, pour le moment revêtue d’une sorte de cape qui couvre la totalité de son corps. Elle porte un petit masque, qui couvre le visage de la moitié du front à la moitié des joues. Je trouve cela dommage, mais je comprends qu’elle préserve ainsi son anonymat.
Nous sommes très près de la scène, à environ un mètre cinquante. Puis un air de musique, très lent, très suave, retentit. Jana fait tomber sa cape. Jana, superbe, avec ses cheveux blonds. Si l’on savait que sa propre sur se trouve dans le public !
Sa cape cachait une tenue très sexy : une minijupe quasi ras-des-fesses et un débardeur très moulant. Elle évolue ainsi, durant deux minutes, se déhanchant, se penchant en avant pour que l’on voie bien qu’elle n’a pas de culotte. Puis elle retire avec une lenteur calculée les deux pièces de vêtements et elle apparaît, enfin, complètement nue. Machinalement, je regarde ma montre, comme pour avoir une idée de la durée de ce spectacle si particulier : 2 h 10.
Elle commence une sorte de ballet, ondulant du bassin, écartant les jambes ; puis viennent les attouchements, les caresses. Jana se masse les seins, le ventre.
Puis voici le moment que ces messieurs semblent attendre : elle passe ses doigts sur sa chatte lisse. La voilà, sur scène, en train de se masturber devant deux douzaines de voyeurs en transe.
Ces derniers, qui, jusque – là, conservaient une certaine retenue, se lâchent. Plusieurs d’entre eux se mettent à caresser leur sexe à travers leur pantalon tout en matant la fille nue qui s’excite toute seule sur la scène. Quant à moi, c’est instinctivement que je pose ma main gauche sur le postérieur d’Éva. Elle me regarde, l’air coquin, puis me chuchote :
— C’est excitant, n’est-ce-pas, mon chéri ?
Comme si elle m’avait donné un signal, je lui pelote les fesses sans aucune retenue jusqu’à que son voisin, placé à sa droite, remarque ma manuvre et se rapproche ostensiblement d’Éva. Sur la scène, Jana se masturbe sans retenue et ses gémissements se font entendre. De plus, elle se tient les jambes bien écartées, de manière obscène.
Et l’entendre gémir de plaisir m’excite de plus en plus. Ma main gauche qui tripotait les fesses d’Éva à travers sa culotte, se glisse sous le tissu, palpant ses globes de chair. Puis elle sent quelque chose se poser le haut de ses cuisses. Je lui murmure :
— C’est mon voisin. Il doit trouver que tu as de jolies cuisses.
Ce qui est excitant c’est qu’Éva se laisse faire, appréciant visiblement ces caresses multiples, qui sont comme une ode à sa peau douce. J’avance mes pions :
— Hum retire donc ta culotte ce sera plus simple pour caresser tes belles fesses !
Eva me regarde. J’imagine qu’elle va se faire prier un moment Mais non. Ses mains saisissent sa culotte qui se retrouve vite sur ses chevilles. Puis elle la ramasse. Notre voisin, un gars d’une trentaine d’années, un peu rondouillard, retire sa main des cuisses d’Éva pour saisir sa culotte, qu’elle lui abandonne. Il se met à la sentir, tandis, qu’à deux mains je soulève sa mini-robe, dévoilant sa chatte et ses fesses.
Sur la scène, Jana se masturbe comme une damnée et finit par jouir bruyamment. Puis je vois des mains la saisir aux poignets et aux chevilles pour la faire descendre de l’estrade. Tous ceux qui l’entourent ont maintenant leur sexe sorti. Ils l’entraînent dans un coin de la pièce. Elle ne semble pas paniquer, sachant certainement ce qui l’attend. Ces messieurs, qui avaient jusque- là une certaine retenue, s’abandonnent à leur vice, et Jana est là pour les satisfaire. Ils lui demandent de s’agenouiller, tandis qu’ils forment un cercle autour d’elle : ils vont se branler et juter sur son corps, tous, autant qu’ils sont
Cependant, vu leur nombre, ils doivent attendre leur tour. Et quelques-uns de ceux-là se mettent à lorgner Éva. Et, très vite, de deux qui étaient autour d’elle, on passe à cinq. Et tous ces messieurs ont leur queue sortie du pantalon : cinq bites congestionnées qui sont braquées sur elle. Un homme, brun, la quarantaine, apostrophe Éva :
— Alors, qu’est-ce qu’elle attend pour se mettre à poil, la demoiselle ? Elle a commencé par enlever sa culotte, et elle nous laisse sur notre faim.
Ils sont trois autres à reprendre ;
— Tu dois être sacrément bandante, toute nue allez, à poil, et plus vite que ça !
Éva regarde ces mâles affamés de sexe. Elle semble un peu nerveuse, dans cet environnement qu’elle ne connaît pas, même si elle se maîtrise assez bien. Elle déboutonne sa robe, avant de l’ôter, me la tend, puis dégrafe son soutien-gorge libérant ses seins laiteux. Pour finir elle est invitée à retirer ses sandales. La voilà nue et offerte.
— Appétissante, la demoiselle ! Il faudrait trouver un endroit plus intime que cette salle
C’est toujours le quadragénaire qui parle. Éva regarde sa bite bien dressée. Et l’autre a bien vu où elle posait son regard :
— Alors, comme ça, tu aimes les grosses bites ? Tu vas être servie, ma belle !
Voilà qu’on se met à la tutoyer. Les cinq hommes se concertent et se mettent d’accord sur les toilettes qui sont attenantes à la salle. Comme j’ai les vêtements d’Éva sur les bras, ils m’apostrophent :
— Viens donc ! C’est ta copine ? Elle aime la bite, on dirait ; alors on va la faire bien jouir !
On se retrouve dans les toilettes. L’un d’eux referme la porte, tandis qu’Éva est priée de se placer, debout, face à un lavabo. Le quadra, en verve, fait des commentaires graveleux, tout en s’adressant à moi :
— Elle a vraiment un beau cul, ta copine. Elle a déjà dû goûter à la sodomie, n’est-ce-pas ?
Je sais bien qu’ils vont baiser Éva devant moi. C’est déjà arrivé que d’autres la prennent ainsi. Mais jusque- là, je dirigeais la manuvre. Là, ce sont eux qui prennent le contrôle, avec l’intention de satisfaire leurs envies. Sans doute sentent-ils qu’Éva se soumettra à leurs désirs sans difficulté. Quant à moi, l’excitation commence à me submerger.
— On l’a déjà enculée un nombre incalculable de fois Elle est habituée Allez-y
Je parle comme un automate. Dans mon slip, ma queue me fait mal, tant elle est dure. Je n’imaginais pas que la situation se présenterait ainsi. L’homme sourit, tout en palpant les fesses d’Éva :
— Ton ami est généreux et toi, tu m’as tout l’air d’une salope qui aime la bite. On va te faire jouir comme une folle !
Dans le même temps, un autre, par derrière, lui glisse une main entre les cuisses :
— Hum ! Dis donc t’as vu ? Elle a écarté les cuisses, direct ! Une vraie pute, cette Éva !
Puis il lui caresse la vulve avec les doigts :
— Elle ne va pas tarder à mouiller ! Allons-y !
Il la tourne sur le côté. L’un colle sa queue contre ses fesses, tandis qu’un autre lui enfonce deux doigts dans la vulve. Un troisième joue avec ses seins :
— Elle a des beaux nichons en plus ! Hmm ! Un régal !
Pendant un bon moment, Éva semble un jouet entre leurs mains. Mais, peu à peu, toutes ces caresses diffuses font naître l’excitation. Il y a d’abord cette respiration haletante :
— Mais, c’est qu’elle aime ça, la chienne Dis, elle suce bien ta copine ? Elle avale ?
Ils me demandent tout ça, en rafales. C’est que le temps est compté et qu’ils ne peuvent pas s’éterniser en ces lieux.
— Oui, elle fait tout ça et elle aime les grosses queues, en plus.
J’ai ajouté ça, juste pour les exciter un peu plus.
De l’endroit où je me trouve, je vois son dos, ses fesses, ses cuisses. La situation est d’autant plus excitante, qu’elle est nue avec cinq hommes habillés (ils ont juste sorti leur bite).
— Bon, maintenant qu’elle est chaude, si on passait aux choses sérieuses ? Ecoute-là, on dirait une chienne en chaleur ! J’ai une folle envie de l’enculer et justement j’ai une grosse queue !
C’est un homme assez jeune, avec une carrure d’athlète. Les trois qui tripotaient Éva jusque- là, s’écartent.
— Penche-toi bien, ma poule Je vais t’enculer bien profond avec ça.
Et il lui montre sa bite toute raide et décalotté. Un bel engin, qu’Éva regarde sans broncher. Puis il l’invite à se pencher en avant tout en se cramponnant au lavabo, les jambes écartées. Après quoi l’homme se penche pour localiser, avec son doigt, l’orifice anal d’Éva. Puis il y enfonce son doigt et le fait tourner dedans. Éva a dû se contracter un peu avec l’intrusion de ce doigt.
— Détends-toi, ma poule Tu as été enculée pas mal de fois, non ?
Puis il saisit Éva aux hanches et pose le gland sur sa rondelle. Puis, sans trop de ménagements, il commence à pousser. En changeant un peu de place, je peux apercevoir le visage d’Éva en reflet, dans le miroir. Elle se mord les lèvres, mais encaisse l’intrusion forcée de cette tige de chair dans son anus. Il continue de pousser. Éva se contrôle difficilement. Elle serre les dents, laissant échapper de petits cris de douleur.
— Hum Ça rentre, ça rentre. J’ai une grosse bite, mais ton cul s’ouvre bien. Laisse-toi faire ! Comme ça, salope !
Il pousse une ultime fois. Éva pousse un cri étouffé. La bite de l’homme s’enfonce dans son conduit anal, jusqu’à ce que les couilles butent sur les fesses d’Eva.
— Eh bien voilà, petite salope. Tu as ma bite dans ton cul ma grosse bite bien au chaud dans ton trou du cul. Maintenant je vais te défoncer, te ramoner et jouir dans ton cul de pute !
Il devient vulgaire et s’en régale. Puis il commence à faire des allers–retour. Au début, c’est assez dur pour elle. Mais avec les frottements répétés de la bite sur la paroi anale vient l’excitation. Éva commence à mouiller et les coups de rein de l’homme se font plus doux, sa bite coulissant avec aisance dans son trou. Je vois son visage s’épanouir, les yeux mi-clos. Elle gémit, et maintenant c’est de plaisir. Aussi l’homme se met à accélérer les coups de rein. Sa bite coulisse sans difficulté, étant enduite de mouille.
— La salope ! Elle aime ça, une bite dans son cul ! Elle aime se faire ramoner le trou de balle ! Tu vas être servie, ma belle : enculée cinq fois d’affilée !
Éva se met à couiner. Sous les coups de rein de l’homme, ses nichons ballottent en cadence. Elle remue son cul, ce qui excite à mort son enculeur :
— Putain, quelle salope ! Elle aime se faire ramoner son trou à m Quelle pute ! Tiens, prends ça, cochonne !
Il se met à la défoncer comme un forcené. Éva mouille. Ça dégouline sur ses cuisses. Elle éructe de plaisir, son corps étant secoué par les coups de reins puissants de l’homme. Puis son ventre se contracte et elle jouit, tandis que la semence de son enculeur gicle dans son trou.
À peine s’est-il retiré de son anus, qu’elle entend un ordre sec :
— Ne bouge pas, ma cochonne, j’arrive !
Elle sent une autre bite, toute dure, se poser sur son trou. Un coup de rein du nouvel arrivant, et elle s’enfonce, cette fois sans difficulté dans son boyau. Et le ramonage reprend. Les gros mots aussi.
— Tu aimes, salope ? Tu aimes ma bite dans ton cul ? Maintenant, il est bien graissé ton cul !
À ma grande honte, je bande en les regardant, l’un après l’autre, enculer Éva, transformée en garage à bite. Dès qu’un a joui et éjaculé dans son cul, il est remplacé par un autre. Et le plus bandant, c’est qu’Éva jouit à chaque fois. Quand le cinquième jute dans le cul d’Éva, l’un d’eux me lance :
— Tu veux enculer ta copine ?
Ce n’est qu’une invitation, mais je sens qu’ils ont très envie que je le fasse. Alors, déposant ses vêtements sur le sol, je m’approche. Elle est restée dans la même position. Son cul doit être gorgé de foutre, au point que ça déborde un peu : un filet de sperme s’écoule par son petit trou. Ma bite, une fois sortie, est raide d’excitation et je l’enfonce dans son trou du cul : ça rentre comme dans du beurre, tant c’est lubrifié d’un abondant sperme. Et comme les autres, je la ramone comme un forcené. J’entends ses gémissements, ses gloussements. Elle semble insatiable. D’ailleurs je jouis assez vite, ajoutant mon quota de foutre à celui de mes prédécesseurs. Éva est en sueur, ravagée par des orgasmes répétés. Elle peine à se redresser pour se regarder dans la glace. Pendant ce temps-là, ces messieurs rangent leur bite dans leur pantalon. C’est alors que la porte des toilettes s’ouvre.
Des exclamations résonnent : c’est Jana qui vient d’entrer, suivie de deux hommes. Elle est nue et en piteux état : engluée de sperme de la tête aux pieds ! Elle en a partout. Sur les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, le dos, les épaules, le visage, le sexe, et même les cheveux. Et elle n’a plus son masque. Elle esquisse un sourire, en nous apercevant :
— Ah ! Vous êtes là, vous deux ! En bonne compagnie aussi
Elle regarde sa sur, encore en sueur, un filet de sperme s’écoulant de son anus
— Eh bien, tu en as pris un sacré coup, toi aussi ! Avec moi, ils étaient déchaînés. Ils m’ont fait descendre de l’estrade et amener dans un angle de la pièce. À cet endroit, le sol était recouvert de plastique. Ils m’ont fait mettre debout, à genoux, allongée, bref, dans toutes les positions possibles et imaginables. Ils se branlaient sur mon corps, et jutaient dessus ! Certains ont fait ça deux fois. Je n’ai pas pu compter les giclées, la plupart bien épaisses. Plusieurs d’entre eux ont voulu que je les branle à la main, au point que j’ai mal au poignet droit. Je suis toute collante, et puis cette odeur forte vivement la douche, et pour toi aussi, ma pauvre sur !
Éva sent bien que le mot a échappé à Jana, mais elle ne le relève pas et lui raconte sa « séance » :
— Je me suis vite retrouvée à poil dans la salle. Et comme ils ne pouvaient pas être tous autour de toi en même temps, quelques -uns sont revenus vers moi et m’ont trouvé à leur goût et ils m’ont entraîné ici. Ils m’ont tous enculé, à la chaîne ; Bob en dernier. Ce que j’ai pu jouir c’est affolant. En plus, il y avait les commentaires d’une crudité à faire mouiller. Jusqu’à dire que j’étais un garage à bites ! Tu te rends compte ?
— Alors, les filles ? Vous êtes deux surs, si j’ai bien entendu ?
C’est « l’athlète », à la grosse bite qui vient de parler. Jana pâlit un peu. Ce mot lui a échappé. Ce qui devait rester secret est, ainsi, dévoilé. Et, d’un même mouvement, les autres montrent leur intérêt pour cette nouvelle donne en rebandant.
— Hum deux surs, donc, ça vaut bien un petit supplément !
Dis le plus jeune, tandis qu’un autre a une idée plus « originale » :
— On leur demande de se gouiner ? Juste un peu, comme ça deux surs qui se tripotent
C’est finalement « l’athlète » qui décide :
— Le mieux, c’est que chacune lèche le sperme de l’autre : Éva sur le corps de Jana et Jana sur l’anus d’Éva. Cela suffira. Allons, Jana viens lécher le trou de balle de ta sur il déborde de foutre !
Éva se penche à nouveau en avant, les jambes bien écartées et on pousse Jana à s’agenouiller face à ses fesses. Elle se retrouve le nez sur la raie des fesses d’Éva. Elle voit un filet de sperme qui s’écoule du petit trou.
— Allons, lèche-moi ça, petite sur cochonne ! Lape tout le bon foutre qui sort du cul de ta grande sur.
Elle hésite un peu. C’est que c’est plutôt crade ce qu’on lui demande et elle a peur d’être incommodée. Mais, comme on la presse, Jana se résout à s’y mettre. Elle passe sa langue sur le cratère intime, qui se met à dégorger le foutre. D’abord c’est un goût âcre, puis salé, puis plus doux : le mélange des spermes
— Ouii ! C’est bon ça ! Vas-y ! Lape moi tout !
Ils l’encouragent tous, y compris avec leurs mains : ils la tripotent de partout, malgré le foutre séché. Surtout ses seins. Belles mamelles si attirantes Quand elle a léché tout ce qu’il était possible de lécher, on lui « suggère » de glisser un doigt dans le cul de sa « grande sur », histoire de tout récupérer. Elle obéit. C’est qu’ils sont tous là, autour d’elle, à la tripoter, à la pousser aussi, s’ils la voient hésiter. Ils lui font même tourner le doigt dans le cul, avant de le retirer. Et, elle le suce devant eux.
Puis Jana se relève, tandis qu’Éva se met à genoux :
— Maintenant, mange l’abricot de ta petite sur ! On a bien juté dessus
Éva passe sa langue avec application sur la moule de Jana. Elle sent aussi les différents goûts des spermes qui se sont accumulés. Et puis, c’est le seul endroit de son corps, où c’est encore gluant. Sur le reste du corps, cela s’est transformé en une croûte odorante qui tire la peau. Le truc imprévu, c’est que ce léchage appliqué, s’il retire le sperme, finit par provoquer l’excitation de Jana. C’est qu’Éva s’ingénie à titiller le clitoris de sa sur. Et quand la respiration de cette dernière devient saccadée :
— Ouiiii ! Quel sacrée salope ! Elle veut faire jouir sa sur ! Et l’autre pute ne demande pas mieux, on dirait !
Maintenant Jana se tort de plaisir, ondulant des fesses, gémissant, gloussant. Elle en oublie tous ces regards qui la matent et aussi toutes ces mains qui se baladent sur son corps. Éva n’est pas oubliée : l’un d’eux s’essaie à la masturber, tandis qu’un autre lui malaxe les seins. Pour finir, j’ai, moi-même, l’idée d’enfoncer deux doigts dans le cul de Jana. Le bon moment : l’action de mes doigts dans son cul associée au léchage de son clitoris, provoque une jouissance presque immédiate. Elle glousse de plaisir, tandis que gicle un petit jet de cyprine sur le visage d’Éva.
— Tu as bien joui, ma salope ? Ta sur t’a bien lapé la moule ? Vous avez l’habitude de faire ça Ça se voit.
Ils sourient tous. Ils sont tombés sur de sacrés numéros, ils en sont sûrs. Éva s’est relevée, mais celui qui avait commencé à la masturber tient à aller jusqu’au bout. Elle voudrait qu’il se calme, elle commence à être fatiguée. Mais lui y tient. Éva sait qu’elle ne sortira pas d’ici tant qu’il ne l’aura pas fait jouir avec ses doigts. Alors, elle propose un marché : s’exciter elle-même, jusqu’au bout, mais à son rythme. Et il accepte. Et, c’est ainsi qu’Éva se masturbe, avec deux doigts, devant nous. Elle s’astique le clitoris, les jambes bien écartées, jusqu’à jouir, dans un gloussement presque bestial, tandis que la cyprine dégouline sur ses cuisses.
Tous affichent maintenant un air satisfait. « L’athlète » regarde sa montre :
— Eh bien, le temps passe ! Déjà 3 h 50. Nous avons passés une bonne heure avec ces deux surs, deux belles salopes qui aiment le cul ! J’espère qu’on se reverra En attendant, les filles, la douche c’est au rez-de chaussée. Suivez-moi, je vous y amène Votre ami n’a qu’à suivre.
Nous reprenons l’escalier, puis longeons un couloir. Il ouvre une porte : c’est la salle de bain. Il y a une baignoire avec douche. Il a sorti des serviettes, des savonnettes, bref tout ce qu’il faut. Alors qu’il se retire, elles me font signe d’entrer, puisque j’ai les vêtements d’Éva sur les bras. Quelques minutes plus tard, « l’athlète » toque à la porte : il rapporte la tenue de scène de Jana ainsi que la valise contenant sa tenue de ville. Et elles prennent la douche, ensemble, sous mes yeux. Elles y passent un bon moment, se savonnant, se rinçant, se savonnant à nouveau, trois fois de suite, comme si elles voulaient changer de peau. Jana est obligée de se laver les cheveux, tant il y a de sperme dessus. Puis elles sortent de la douche et s’essuient. Elles sont détendues, maintenant.
Éva me demande doucement :
— Chéri ? Tu me passes ma robe ?
Comme je lui tends directement la mini-robe rose :
— Hum Tu n’as pas envie que je porte de sous-vêtements, n’est-ce-pas ?
Et comme je lui fais comprendre que c’est bien ça, elle me lance :
— Coquin ! Tu veux poursuivre le jeu, on dirait.
Et comme cela ne semble pas la déranger :
— Bon, d’accord. Seulement la robe alors.
Puis je me tourne vers Jana :
— Ta tenue de scène, tu ne l’as pas porté longtemps Si tu la remettais, pour rentrer ?
Elle fait la moue, mais plus par jeu, que par réticence :
— Et rien dessous, bien sûr je vais avoir la sensation d’être nue avec ce débardeur court et cette micro-jupe mais puisque tu as envie de me voir comme ça Continuons le jeu, comme dit ma sur.
Quand nous sortons de la salle de bain, un homme nous demande si nous désirons prendre une collation. Nous approuvons et il nous conduit dans un salon. Nous nous asseyons chacun dans un fauteuil. Quelques minutes plus tard, il apporte trois grandes infusions, ainsi qu’une généreuse part de gâteau, une sorte de biscuit. Les fauteuils sont petits, avec une assise étroite, ce qui oblige à se caler bien au fond, pour être un tant soit peu à l’aise. Ce qui a pour effet de faire remonter un peu plus leur jupe ou robe déjà bien trop courte, leur faisant exposer, au final, leur intimité aux regards de tous ceux qui ont la chance de se trouver face à elles. Et quand je leur fais remarquer, avec un brin de malice, qu’on voit leur minou, elles ne se privent pas de me dire, à l’unisson :
— C’est bien ce que tu voulais, n’est-ce-pas ?
C’est alors que s’approche le fameux moustachu, qui a l’air d’être l’organisateur de la soirée. Il tient une enveloppe à la main. Il me prend à part, à quelques mètres d’elles :
— Je suppose que vous êtes d’accord pour verser un pourboire pour la prestation de mademoiselle Jana ?
Il me tend l’enveloppe, tandis que je retire, discrètement, un billet de cent couronnes de mon portefeuille. J’avais admis être généreux alors, autant l’être. Puis il ferme l’enveloppe et va la remettre à Jana, avec une petite révérence à la clé. Puis il s’éclipse, tandis que nous continuons, sans trop nous hâter, à prendre notre collation. Mais quand sonne 4 h 45, Éva se décide :
— Bob ? Si on y allait ? On doit bien avoir une heure de route à peu près Ce n’est pas que je sois pressée, mais il faut quand même dormir un peu. C’est qu’avec mon père, il n’est pas question de rester au lit jusqu’à midi ou même 11 h. On pourra tenir jusqu’à 9 h, pas plus. Avoir son appartement à soi, ce serait idéal, mais c’est très compliqué chez nous.
Nous nous faisons indiquer la sortie et nous retrouvons la voiture à l’arrière de la maison. Jana est invitée à monter à l’avant par Éva, qui s’installe à l’arrière. Au moment de démarrer, je regarde Jana : sa micro-jupe dévoile ses cuisses jusqu’à la chatte, visible en partie. Le haut de son débardeur est tendu par ses beaux seins, dont les tétons pointent. Absolument bandante. Elle m’adresse un sourire aguicheur, satisfaite de se sentir désirable. Puis Éva me susurre :
— Tu sais, ça m’excite de savoir que Jana te plait.
Maintenant nous sommes sur la route. Il n’est pas loin de 5 h ; le jour est déjà bien sensible et le soleil est à l’horizon. La route est quasi déserte. Jana, qui tient dans sa main l’enveloppe que lui a remise l’organisateur, décide de l’ouvrir. Elle a un « Ho ! » de surprise quand elle constate l’épaisseur de la liasse de billets de banque qu’elle contient. Cela attire Éva qui demande :
— Alors, combien cette fois ? Ils ont été généreux, on dirait.
Jana compte les billets :
— Tu peux le dire ! Il y a vingt billets de cinquante couronnes et dix de cent ça fait deux mille couronnes (1). Avec un petit mot : merci pour le joli spectacle que vous nous avez offert, vous et votre sur. Eh bien, je vais t’en reverser une partie, tu le mérites !
Nous arrivons finalement à la maison vers 5 h 50. Je regarde Jana, qui n’hésite pas à m’adresser un sourire coquin. Si bien que c’est tout naturellement que j’en viens à caresser ses jolies cuisses. Et comme elle se laisse faire, j’en profite pour l’embrasser à pleine bouche, tandis que ma main gauche se pose sur sa chatte. Puis j’enfonce deux doigts entre les lèvres de sa vulve. Une fois bien enfoncés, je les remue à l’intérieur avant de lui ramoner le vagin, lentement, puis de plus en plus vite. Elle ne tarde pas à mouiller. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour que les gémissements de plaisir de Jana, se mêlent au clapotis provoqué par mes doigts fouillant son vagin trempé de mouille. Et elle finit par jouir laissant une large auréole de cyprine sur la housse du siège. Elle se reprend un moment, puis murmure :
— Mmm ! Ce que j’ai pu jouir, grâce à vous deux !
Sa main droite caresse ma braguette :
— Je te fais bander, hein ? Tu aimes me voir avec des tenues excitantes. Tu veux que je fasse comme Éva ? Rester toute nue dans la maison ? Bon, je pourrais te branler là, maintenant, mais j’ai mal au poignet d’avoir masturbé autant de bites. Alors, on reprendra ça plus tard. Il faut bien dormir un peu, n’est-ce-pas ?
Au moment de descendre de voiture, je constate qu’Éva est restée sur le siège arrière tandis que je faisais jouir sa sur. Mieux, le mouvement de sa main droite qui s’agite entre ses cuisses ouvertes, est là pour me faire savoir l’excitation que cela lui a procurée. Alors je reste là, attendant qu’elle atteigne le sommet du plaisir, avec, à la clé, un gloussement de contentement.
Après quoi, il faut bien se décider à entrer dans la maison, sans faire de bruit. Et vers 6 h 15, nous nous glissons sous la couette, chacun de son côté.
(1) L’équivalent d’un mois de salaire moyen en 1974
À suivre