Mais alors que je tentais de reprendre mes esprits, et me rhabiller, le vieux monsieur se plaça derrière moi.
Je pensais simplement, qu’il avait envie de reluquer mon cul, une dernière fois, je ne faisais pas cas.
J’étais quand même assez gêné de ce qui venait de se passer ce soir, je n’arrivais pas, à faire abstraction, que finalement je ne connaissais pas du tout cet homme, et qu’il était tout de même, un parfait inconnu.
Je me suis penché en avant pour relever mon jeans, non sans tourner ma tête dans tout les sens afin de m’assurer qu’il n’y avait personne, quand j’ai senti quelque chose qui glissait doucement entre mes fesses.
J’ai tourné la tête rapidement et j’ai vu que le vieux glissait son majeur de bas en haut entre mes fesses. Il ne bandait plus, sa queue pendait tristement, mais il me touchait quand même. J’avoue que j’étais un peu surpris. Je m’étais redressé pour ne pas tenter le diable, laissant mon pantalon traîner au sol.
— T’as un beau p’tit cul tu sais..
J’ai préféré ne pas répondre, Il était tard et à présent il fallait que je rentre. Il me contourna et vint se placer face à moi cette fois.
Il me reluquait, puis il prit mes couilles entre ses mains pendant quelques secondes, comme pour les soupeser.
J’ai cru qu’il allait enfin s’arrêter et que je pourrai enfin me rhabiller.
Il entreprit alors de prendre ma queue avec le bout de ses doigts et il caressa ainsi mon gland, pendant une petite minute. Je dois avouer que les doigts doux et fins du vieillard, ne me laissaient pas indifférent, mais…
– Attends, retourne-toi doucement et ne bouge pas.
— Comment ça ? lui dis-je..
Mets-toi à genoux par terre et appuie toi sur le banc.
Je ne sais pas pourquoi je l’ai écouté, ni pourquoi je me suis exécuté.
Le chien s’est immédiatement remis à me bouffer le cul.
J’avais beau me dire que ce n’était pas possible, mais j’étais bel et bien en train de me faire brouter le trou encore par ce chien et le pire c’est que ça me plaisait.
Au bout de quelques minutes, le vieil homme tapota sur mes fesses et le toutou de me grimper immédiatement dessus.
— Non je ne veux pas ça !
— Tais-toi petite Salope et laisse-toi faire !
Pourquoi avais-je cette sensation d’être soumis, j’obéissais sans rien dire, sans doute l’excitation qui me dévorait une fois de plus.
En tout cas, je dois avouer, que sentir la queue de cet animal, qui essayait d’entrer en moi et ainsi forcer le passage entre mes fesses, me ramenait à ma première expérience avec prince, le chien de mes amies.
Était-ce un vieux fantasme enfoui ? Je ne saurai jamais l’expliquer, mais toujours est-il qu’à ce moment-là, j’ai machinalement entrouvert doucement mes cuisses ; et avec mes mains, écarté mes fesses.
Le chien qui a immédiatement profité de l’occasion, cherchait désespérément, l’entrée de mon orifice.
Je sentais que mon anus suintait déjà de plaisir, sa queue tapait de partout, sur mes fesses, sur mes couilles, il essayait de s’introduire en moi, je voyais bien qu’il était désespéré à l’idée de me baiser, et moi je crois bien, sans trop me l’avouer que j’attendais qu’il trouve enfin le chemin.
Le vieillard vint s’assoir sur le banc, baissa son pantalon et son boxer jusqu’à ses chevilles et quand ce fut fait, pris mes bras qui étaient posés sur le banc et se glissa juste devant moi.
Sa queue était là face à moi et le vieux salaud n’attendait que ça, que je le suce encore.
Il se pencha alors un peu en avant, glissa ses doigts sur mon torse et entreprit de me caresser doucement le bout de mes tétons, j’adorais ça et le vieux avait dû s’en rendre compte.
Après quelques minutes de ce petit jeu, il se pencha encore un peu plus en avant.
Ceci eu pour effet de rapprocher sa queue a quelque cm seulement de ma bouche, mais c’était pour mieux se rapprocher de la mienne et je sentis ses doigts qui venaient caresser encore, le bout de mon gland.
Soudainement, j’ai senti la bite du chien s’enfoncer dans mon anus.
Huuuuum que c’était bon, je devais vraiment être complètement fou, pour me laisser prendre par ce clebs, au beau milieu de la nuit et sur ces quais, même si, même si…
Le vieillard se rinçait l’il et encourageait son chien par ses répétitifs :
— Allez vas y mon chien, vas y, baise la bien cette petite pute, elle n’attend que ça, il faut lui donner envie de revenir !
Et lui de continuer ses va-et-vient dans mon trou.
Sa queue était de plus en plus grosse, je la sentais se gonfler en moi et je n’en pouvais plus de me retenir.
— Mais c’est pas possible me disais-je !
Comment puis-je être si excité ?
Putain mais c’est un chien qui t’encule, ressaisis-toi !!
Rien n’y faisait, mon cerveau semblait ne plus réagir à la raison, le lucre était le plus fort, j’étais battu…
Mais l’animal quant à lui, ne semblait pas gêné, le moins du monde et n’arrêtait pas de labourer mon trou…Que c’était bon Wow !
J’étais littéralement en rut et je pris la bite du vieux dans ma bouche, je n’en pouvais plus et je ne contrôlais plus rien.
Je n’obéissais qu’à mes sens, il n’y avait plus de logique, il n’y avait plus de limite, que ce plaisir qui envahissait mon ventre et mon corps tout entier et cet orgasme que je sentais si proche.
Je mangeais cette bite avec avidité pendant que ce putain de cabot m’enculait et me donnait tout ce plaisir.
— Hoo tu me la manges bien ! Continue lèche bien partout.
J’aimais bouffer la queue de ce vieux, c’est un plaisir de sucer un homme, c’est certainement le fantasme de beaucoup, mais qui refusent de se l’avouer.
Après un moment, le vieux s’est retiré de ma bouche. Voulait-Il éviter de me cracher dedans ? Se branler ? Toujours est-il que doucement il a libéré ma gorge et s’est positionné à côté de moi.
Doucement il s’est alors approché, et voyant que j’étais très excité et c’est un euphémisme, il s’est mis à quatre pattes perpendiculaire à moi et a commencé à me branler.
Doucement d’abord et en m’astiquant bien au niveau de mon gland, il avait deviné que c’était mon point faible.
Ce vieux vicieux, avait vraiment l’art et la manière de m’exciter.
Ma queue était devenue si dure, que je me demandais, combien de temps encore, j’allais tenir.
Je sentais les coups de boutoir de ce chien qui pilonnaient mon anus, m’offrant un plaisir indescriptible, et ce vieux qui accélérait à présent ces va-et-vient au niveau de mon gland.
Je sentais cette fièvre qui montait de nouveau en moi, quelques secondes seulement, me séparaient de l’orgasme, je le sentais.
À ce moment précis, le vieux me pris par la nuque avec son autre main, tourna ma tête vers lui et enfonça de nouveau, sa langue dans ma bouche, la fouillant au plus profond.
À peine quelques secondes plus tard, je sentis une explosion, mon sperme inonda la main droite du vieux, mais il ne lâcha pas ma bouche et ma langue, bien au contraire, il fouillait et fouillait encore ma bouche ce qui décupla cet orgasme incroyable.
Je n’en pouvais plus de cracher, c’était vraiment trop fort.
Doucement le vieux se baissa sous mon ventre, pris ma queue dans sa bouche et commença à me sucer, à me lécher et à faire ma toilette.
Il ne laissa pas une goutte et très consciencieusement, il avala tout le sperme qui restait. Quel vicieux ce vieux, mais putain qu’est ce qu’il m’avait fait du bien..!
Je crois bien que ça été un des orgasmes des plus forts que je n’avais connu.
Moi si hétéro, je venais d’avoir un énième orgasme, en me faisant prendre par un chien au beau milieu de la nuit, dans un lieu public, tout en me faisant branler et sucer par un septuagénaire.
Normalement j’aurais dû avoir honte de moi et de ma conduite, mais bien au contraire, j’éprouvais un bonheur et un plaisir immense.
Je venais de jouir d’une force que jamais je n’aurais pu imaginer.
C’était réellement quelque chose d’incroyable que je venais de vivre et pendant tout ce temps, personne n’était passé !
Discrètement il m’a mis son numéro de téléphone dans la poche de mon jeans.
Et on s’est séparé comme ça.. quand j’y pense j’en ai encore des papillons dans le ventre, je me suis dit que c’était la première et la dernière fois car ça, ce n’était pas moi. Et puis et puis…
La suite bientôt si vous avez aimé bien sûr..