C’est sans doute lhiver, le vent froid résonne à la fenêtre. Par la fenêtre je peux voir voler a droite et a gauche, les journaux jetés nimporte où. Ma chambre est bien chauffée, si mes vitres sont closes, il nen est pas de même des volets et autres rideaux. Cest le début de la nuit, jai laissé mes lampes allumées. Tant pis si la fille du cinquième en face me voit comme à son habitude. Je la connais de vue : une blonde assez grande, avec une belle poitrine gainée dans un pull démodé. Quand je pense à elle jai comme des envies dans le bas ventre. Avant diner, ce soir, je vais faire comme tous les jours à la même heure, avant daller à la pension pour manger je vais me taper une queue.

Pour moi cest une habitude dont je ne peux me passer. Jaime bien me masturber, faire aller et venir ma main sur la bite, caresser mes couilles en mettant souvent un doigt dans le cul. Avant je prends une douche pour bien bander : je commence à mexciter avec le jet deau chaude sur le gland. Le jet va ensuite tout le long de ma tige vers le bas ventre : je commence à me branler. Ensuite avant daller trop loin je sors nu toujours me coucher. Et là je regarde par acquis de conscience si la fille me regarde. Je laperçois souvent. Je sais quelle me regarde faire au moins torse nue : je vois bouger ses épaules en cadence : elle doit de donner le même plaisir que moi.

Je suis fier de savoir que je lexcite à défaut de la lui mettre, ce que jespère toujours. Je me masturbe en regardant sa fenêtre et son ombre maintenant que la nuit arrive.

Ma main prend ma bite en entier. Je commence toujours par faire descendre de prépuce vers mes couilles. Je remonte ma main, je lâche ma queue avant de vite la reprendre. La main gauche va sur mes couilles bien remontées vers la pine. Jai la main pleine de ma queue, je sens le plaisir venir du fond du ventre. Jarrête tout avant de jouir. Je reste sans me toucher un bon moment, jen profite pour regarder la fenêtre : Je distingue la silhouette de la fille.

Jaimerai lavoir là, à mes cotés, sur le lit, nue comme moi, ma bouche sur sa chatte et ma queue dans sa bouche. Je rêve de faire un 69 avec elle.

Je suis obligé de reprendre mes mouvements sinon je ne jouirais pas.

Je sais quelle mobserve longuement, jimagine quelle aussi se donne le même plaisir que moi. Il faudra que je me décide à lui demander de venir avec moi : elle refusera, à moins que je lui montre quavec moi se serait bien meilleur quavec ses seuls doigts. Je reprends mon va-et-vient. Je sens arriver lorgasme du fond de mes couilles et de mon cul. Ça y est les spasmes sont là : je jouis. Mon sperme gicle comme un jet deau sur mon ventre. Je suis vidé : je nai plus de semence à ma disposition. Tant pis, jen aurais encore ce soir en me couchant.

Je sors pour aller à la pension. Je la rencontre en sortant de limmeuble : nous nous sourions. Nous sommes complices : elle sait que je sais quelle se donne du plaisir, je sais comme quelle sait que je me branle. Je me jette :

— Bonsoir, vous êtres charmante.

— Merci.

— Je crois savoir ce que vous faites en fin daprès-midi.

— Moi je sais ce que vous faite. Cest excitant ;

— Pour moi cest jouissif.

— Je sais je vois comment vous finissez.

— Je peux vous inviter chez moi, ce soir par exemple ?

— Je préfère demain soir.

— Daccord.

Et voilà, cest pas plus compliqué que ça. En rentrant je me mets nu à nouveau et recommence. Cette fois jai fermé les volets. Ma bite retrouve ma main. Je fantasme sur cette fille. Tiens je ne connais même pas son nom.

Je jouis encore. Demain je jouirais avec elle.

Nous voilà demain, jai encore la gaule au réveil. Je me branle encore en pensant à elle. Je dois lui sucer les seins et le cul et.. La baiser simplement, lui donner du plaisir avant de prendre le mien. En fin daprès midi mon corps demande encore une masturbation : je résiste : jattendrai ce soir.

Comment va-t-elle savoir comment venir chez moi ?

La réponse arrive quand jentends frapper à la porte : cest elle. Elle sest faite plus belle avec sa robe courte avec des bretelles.

— Bonsoir, je ne suis pas trop en retard ?

— Non, pile à lheure.

— Je ne vous ai pas vu tout à lheure, vous fermez la fenêtre maintenant ?

— Je nai rien fait de spécial tout à lheure, jai préféré vous attendre.

— Dommage jaime vous voir.

— Je peux vous montrer de suite.

— Ça peut attendre un peu. Elle vient près de moi. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle est plus douce que je le pensais. Cest sa langue qui vient dans ma bouche. Je sens sa salive aussi douce que ses lèvres. Que doit être le reste?

Je lai dans mes bras, elle sabandonne totalement :

— Jaime te voir te faire du bien, jen fais autant en te regardant.

— Je peux te faire du bien moi aussi.

— Je te le rendrais.

Je passe ma main sous sa robe. Ses cuisses sont encore plus douces que je le croyais. Elle ne résiste pas, je monte vers sa chatte. Jai beau monter je ne trouve pas de vêtement : elle a oublié sa culotte ou son string. Je la sors de sa robe. Nue, je la caresse un peu partout, surtout sur ses seins qui gonflent. Je vais tout en bas. Jabouti juste sur son clitoris : il est déjà sorti de sa protection. Elle est toute mouillée. Je la caresse lentement, trop sans doute quand elle me demande,

— Vas plus vite, fais moi jouir.

— Comme ça ?

— Oui, cest bon je vais je vais. je jouis.

Elle attend juste la fin de son orgasme pour venir chercher ma queue quelle sort rapidement du pantalon. Elle la prend divinement dans sa main. Elle me branle presque mieux que moi.

— Vas doucement, te vas me faire jouir trop vite.

— Je sais. Je te ferais bander encore après.

Sa main ne cesse pas : elle ajoute lautre pour aller directement sur mon cul où elle entre carrément deux doigts. Je ne suis pas son premier, cest évident. Elle va de plus en plus vite. Je ne résiste pas longtemps, surtout que cest ma première fois avec elle. Quand jéjacule mon sperme va se perdre sur son ventre : je le vois couler sur elle. Jaurais aimé que ma liqueur aille dans sa bouche ;

Me voilà avec une bite en deuil, qui ne pointe plus.

— Allons dans ta chambre : je te ferais bander encore, jen ai besoin.

Les volets ne sont pas fermées, elle nen fiche, je me couche après mêtre mis nu, comme elle. Elle membrasse encore, sa langue revient dans ma bouche. Quand elle trouve sa position, elle est sur moi à linverse de la normalité. Son ventre est contre ma bite, elle le remue pour mexciter un peu. Ce nest pas suffisant alors elle se tourne pour me prendre avec sa bouche. Je la regarde faire, elle ouvre en grand ses lèvres, sort sa langue pour caresser le gland avec un certain succès puisque je sens que je recommence à bander.

Sa bouche souvre encore un peu plus : elle mavale totalement. Là je bande complètement : je voudrais quelle continue, que mon sperme parte dans sa bouche.

Elle se relève et au lieu de se donner normalement elle reste sur moi, elle est à cheval que mon bas ventre. Je vois sa chatte qui prend ma queue sans difficulté. Par contre quel plaisir elle me donne et se donne à voir son visage transfiguré. Si elle va doucement en début, elle accélère son mouvement jusquau moment où sa tête part en arrière :

— Mon dieu que cest bon, je vais encore jouir. Je Jouououiiiis. Je la sens bien quand ses spasme sont de plus en plus forts, tellement forts que sans bouger elle me fait jouir dans son ventre. Jentraine sans le vouloir encore un orgasme. Elle sécroule sur moi, sa bouche sur la mienne.

— Dommage jaurais voulu que te me bourre le cul.

— Moi aussi je rêve depuis longtemps de tes fesses. Je vais le lécher pour te faire jouir peut-être.

— Oui, suce-moi le cul.

Nous sommes en 69, si elle avale encore ma bite, je survole toute sa fente pour aller sur son anus ; Au passage mon nez a senti lodeur de nos liquides mélangés dans son con. Rien quavec çà je sens que ma queue se redresse rapidement. Ma langue trouve son rectum : elle le lèche un peu et force beaucoup pour entrer. Quand elle est engagée, je sens son gout pas désagréable de son cul. Je fais aller et venir la langue pendant quelle gémit :

— Oui, cest bon, mets moi toute ta langue dans le cul. Tu vas me faire jouir encore. Salaud, tu me fais jouir pour la première fois par cet endroit qui est sale ;

— Mais non ce nest pas sale, cest bon au contraire pour moi.

— Jai jouis, jai envie de faire pipi.

Jallais me relever pour lui permettre daller au petit coin quand elle se lâche sur ma bouche. Je reçois au début avec dégout son urine. Puis ce liquide chaud mest agréable. Javale tout ce quelle évacue en bandant encore plus fort.

Je la fait mettre en levrette pour poser ma queue sur son cul ; Elle se laisse faire. Jentre tranquillement dans son boyau. Elle est un peu serrée, mais tellement agréable à sodomiser. Elle se plaint un peu en début, quand elle est vite habitué à ma présence dans son cul elle comment à gémir des

— Cest bon, encules moi encore, défonce moi, jaime, encore, tu me fais jouir. Cest bon de jouir par le cul. Si javais su je me serais fait enculer bien plus tôt. Je jouis encore ; baises moi.

Nous restons couchés, bien enlacés. Jai envie de ma branler, je ne lui dit rien, je prends ma bite et me masturbe. Elle regarde ce que je fais, à son tour, elle se branle. Nous jouissons presque ensemble, en nous regardant faire.

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