Quand je travaillais encore aux HBL à la carrière de Merlebach j’avais un pote qui s’appelait Henri et qui était plutôt beau gosse. Il nous arrivait souvent de parler de sexe et il me semblait qu’il me tournait un peu "autour" comme on dit. A l’époque on était mariés tous les deux et je devais avoir dans les 40 ans et lui 35. J’ai toujours été attiré par les deux sexes mais j’ai rarement eu l’occasion de baiser avec un mec même si j’en avais beaucoup envie.
Il m’arrivait très rarement de me trouver sur le même boulot que mon pote vu qu’on ne faisait pas le même travail. Sauf ce fameux samedi matin où on nous a mis ensemble pour nettoyer une bande de roulement de sable. Bien sûr on a parlé de sexe et comme je voyais qu’il hésitait beaucoup je suis allé droit au but. J’en avais marre qu’on perde notre temps. Je lui ai dit que je le trouvais à mon goût et que j’aimerais bien baiser avec lui. Il m’a répondu qu’il avait peur que cela ne se sache et qu’on ait des ennuis. Je lui ai répondu que s’il ne racontait rien et bien personne n’en saurait rien. Que c’était aussi simple que ça.
Je l’ai entraîné tout en haut de la bande "une" dans un endroit calme et discret. On a enlevé nos casques et nos vestes et j’ai commencé à lui caresser le sexe à travers le pantalon. Il a dit que c’était bon et il l’a descendu avec son slip jusqu’aux chevilles. Il avait vraiment une belle queue bien longue et bien dure. Je me suis mis à genoux pour le sucer. Je me suis relevé et j’ai descendu à mon tour mon pantalon. Je lui ai passé une capote qu’il a immédiatement enfilée et il s’est présenté derrière moi pour m’enculer. Il poussait mais il n’arrivait pas à me la rentrer.
Il faut dire qu’elle était de belle taille. Le double de la mienne. Alors je l’ai guidée avec ma main et je l’ai aidé à me la mettre. Elle est rentrée tout doucement jusqu’à fond. Au début j’ai eu un peu mal mais c’est vite devenu vachement bon. Il m’a pris par les hanches et il m’a limé le cul de plus en plus vite. Au bout d’une dizaine de minutes il a joui. Il m’a demandé de ne rien raconter aux collègues de travail et que si je voulais on pourrait recommencer si on se retrouvait seuls au boulot comme aujourd’hui. Je lui ai répondu que si quelqu’un apprenait quelque chose cela ne pourrait venir que de lui.
Environ huit jours plus tard je suis allé aux bains douches chercher quelque chose que j’avais oublié sur mon crochet et je suis tombé sur lui qui était en train de les nettoyer. Je lui ai mis ma main entre ses jambes pour lui caresser la bite. Il m’a dit qu’on risquait de se faire attraper par le chef vu qu’on était en poste de midi et que c’était l’heure de sa tournée. Je lui ai répondu en défaisant la boucle de son ceinturon que je l’avais vu partir sur le chantier et qu’on avait largement le temps. Je l’ai de nouveau sucé et je me suis devant les lavabos en lui tendant mon cul. Il est venu derrière moi et il m’a enculé. C’est rentré mieux que la première fois et on a pris encore plus de plaisir tous les deux.
Ce fut la deuxième et la dernière fois qu’on avait baisé ensemble puisquensuite j’ai changé d’affectation et on s’est perdu de vue. Il habite à Creutzwald et il y a quelque temps déjà de cela je l’ai appelé au téléphone pour lui dire que comme j’étais divorcé et donc seul chez moi il pouvait passer quand il le voulait s’il avait envie de m’enculer. C’est dommage pour moi mais il n’a jamais donné suite.