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Après le week-end – Chapitre 4




Étouffée, la jeune fille se dégage. Il reste à plat ventre, la respiration haletante. Les couilles du sexe artificiel trônent au ras des fesses. Fabienne appuyée sur un coude peut enfin voir et ne sen prive pas. Elle pense quelle devait offrir un spectacle semblable, hier, avec le martinet dans le cul. Elle se souvient dune sensation bizarre, pas désagréable, juste un peu gênante, encombrante. Il doit en être de même pour lui.

Christophe reprend ses esprits. Il veut saccroupir et fait une grimace à cause de lengin fiché dans ses intestins.

— Attends ! Ne bouge pas, je le retire.

Elodie extrait peu à peu le godemiché. Sa longueur étonne Fabienne. Dire que Christophe lavait entièrement dans le cul ! Elodie lessuie avec un coton et le replace dans sa boite sous le regard effaré du garçon. Ce nest pas possible quil ait supporté un tel engin ! Il lui semble plus long que tout à lheure quand Elodie la présenté !

Les deux filles sempressent autour des godemichés. Curieuses, elles les prennent en main, les caressent. Lisette examine le plus gros sur toutes les faces.

— On dirait presque du vrai !

— Montre.

Elles échangent les olisbos. Le contact est doux, presque soyeux. Elodie simpatiente :

— Dites, les filles ! Vous êtes de grandes égoïstes ! Vous avez eu Christophe, vous ! Aidez-moi donc à remettre ce jeune homme en condition. Ensuite, vous aurez tout loisir de vous amuser.

En riant, elles lâchent les godemichés et se précipitent sur lui. Il persiste à rester à plat ventre, protégeant son intimité.

— Peut-être quune fessée comme tout à lheure, le remettra en condition ?

Lisette lève la main pour frapper les fesses.

— Ah ! Non alors !

Il se retourne vivement, erreur grossière ! Les deux filles se jettent sur son sexe. Après avoir vainement tenté de se protéger, il labandonne entre leurs mains et leurs bouches avides.

— Ne me chatouillez pas !

Ce nest pas leur intention. Elodie vient à la rescousse. Les trois femmes patouillent, sucent, pincent le corps qui ne se débat pas beaucoup. Il se prend au jeu. Ses mains ne restent pas inactives et happent au passage, une fesse, un sein ou une cuisse.

Au bout dun moment Fabienne sécrie :

— Ca y est, je crois que ça vient !

— Fais voir, sécrit Lisette jalouse de ne pas avoir été la première à observer sa résurrection.

La petite curieuse vient constater de visu les progrès. La queue sallonge à vue dil sous leurs regards. Elodie sinterpose :

— Laissez-le-moi ! Écartez-vous, vous aller lui faire peur !

Christophe se rebiffe. Cela lénerve quon le traite comme une vulgaire marchandise.

— Vous pourriez me demander mon avis, non ?

— Pourquoi ?

— Cest de moi quil sagit ! Jai bien le droit de dire quelque chose ?

Fabienne déclare dun ton péremptoire :

— Ce nest pas nécessaire !

Elodie se précipite sur le sexe encore chancelant et le porte en bouche. Il ferme les yeux de plaisir. Elle dépose des baisers sur la hampe, promène dessus sa langue. Le gland senfle et pointe hors de la fine peau qui le recouvre.

— Enfin ! Le revoilà prêt à lemploi !

Les deux filles se désintéressent de Christophe. Elodie na quà soccuper de lui ! Elles nont dyeux que pour les sosies dattribut masculin. Lisette a pris le plus gros en main et le contemple perplexe :

— Pourquoi les grosseurs sont si différentes ?

— Je pense quil y en a un pour devant et lautre pour derrière.

Elodie approuve :

— Tu as tout à fait raison Fabienne.

Une idée traverse son esprit. Elle nest pas fana de la sodomie, mais là, en présence de ces deux gamines, après avoir vu le plaisir de Christophe, elle a une envie folle de recevoir dans le cul la queue quelle tripote entre les doigts :

— Cest comme pour moi, je me réserve Luc pour devant et

— Et moi pour le cul !

— Tu as tout compris !

Fabienne lève la tête, un peu surprise. Elodie lui a avoué que la sodomie nétait pas sa tasse de thé. La jeune femme lui sourit, hausse les épaules et monte sur le lit à quatre pattes. Ma foi ! Si cela lui fait plaisir ! Christophe se met à genoux derrière elle. Il caresse les deux globes, passant les mains partout, sur les cotés, devant derrière, entre les jambes. Elle écarte les cuisses pour faciliter lattouchement

Les deux filles se désintéressent du couple. Les godemichés sont plus passionnants, surtout pour Lisette. Elle manipule avec gourmandise le plus gros. Ses yeux brillent. Elle meurt denvie de lessayer. Elle le présente contre son sexe. Fabienne a peur pour elle, il est si volumineux. Entre les cuisses, lengin paraît encore plus imposant.

— Ce nest pas trop gros ? On peut essayer Veux-tu maider Fabienne ?

Puisquelle y tient ! La jeune fille lui prend des mains et lenduit de crème. Elle est généreuse avec la vaseline, car elle se doute que ce sera nécessaire. Elle regarde lautre godemiché, le petit, enfin, le moins gros. Elle hésite. Oh, puis zut ! Elle le badigeonne également, il ny a pas que Lisette qui ait le droit de samuser ici ! Fabienne sarme de lénorme godemiché quelle assure dans la main par les boules qui figurent les couilles.

— Va sur le lit, ordonne-t-elle à Lisette, et écarte les cuisses.

Elodie rampe à quatre pattes pour lui faire de la place. Christophe prend sa queue en main et la présente au cul. Il chatouille lanus du gland. Il appuie un peu. Les chairs résistent. Il pousse plus fort. Elodie frémit quand il senfonce de quelques centimètres. Il reprend appui et pousse encore. La verge glisse et ne sarrête que lorsque les poils viennent buter sur le cul.

La jeune bonne sinstalle cuisses écartées. Sa chatte est minuscule en comparaison du diamètre du godemiché. Christophe nen revient pas, jamais cela ne rentrera ! Elodie et lui sont fascinés et en oublient leur propre plaisir. Lisette a bien lintention de se faire embrocher par cette énormité ! Fabienne présente le bout du godemiché à louverture du vagin. Elle a peur pour elle :

— Il est trop gros, il vaut mieux renoncer.

— Non, je ten prie, insiste !

— Alors, il faut que tu técartes encore plus.

La bonne prend les genoux en main. Elle les ramène contre ses bras, prenant dinstinct la position dune femme qui accouche. La chatte bée, largement ouverte. Fabienne présente le bout face au vagin.

— Quest ce que tu attends ? Vas-y !

Tous les trois contemplent incrédule la chair élastique de la vulve sécarter autour de lénorme queue et lavaler. Peu à peu lénorme pieu poussé à petits coups par Fabienne disparaît. Des expressions contradictoires passent sur le visage de Lisette au fur et à mesure de lintroduction.

— Ouch !

— Tu as mal ?

— Non non, non ! Tu peux y aller !

Elodie a peur que Fabienne fasse un faux mouvement dont les conséquences seraient désastreuses pour la bonne. La jeune fille opère avec précautions et arrive en fin de course sans encombre.

— Pffuuut, cest gros !

— Veux-tu que je lenlève ?

— Non, non !

Christophe nen revient pas de la facilité de lintroduction. Cette fille a un con en caoutchouc ! se dit-il. Elodie est rassurée. Elle apostrophe le garçon :

— Quest ce que tu attends ! Nous navons pas que cela à faire !

La verge du garçon a presque glissé hors de lanus. Il rétablit le contact et à grands coups de rein, butte sans ménagement sur les fesses. Il oublie Fabienne et Lisette et leurs jeux. Plus rien de compte que le cul dElodie. Celle-ci lui prend la main et la pose sur son sexe. Il comprend tout de suite et trouve le clitoris quil agace du bout du doigt au rythme de la pénétration

Fabienne retire un peu lengin de la chatte de Lisette et le renfonce immédiatement.

— Cest bon ?

— Oh ! Oui, il faut que tu essayes. Va plus vite sil te plaît.

Ce que la jeune fille voit ne lui donne aucune envie dessayer. Elle augmente la cadence. Elle aimerait rejoindre celle imposée par Christophe mais nose aller trop vite par peur dun accident. Chaque fois quelle bute au fond du vagin, Lisette couine un petit cri de plaisir. Elle écarte largement les genoux et projette son bassin à la rencontre du simili sexe. La retenue de Fabienne ne la satisfait pas. Elle empoigne le godemiché et se ladministre elle-même au grand soulagement de son amie.

Libéré dun gros souci, elle contemple le trio sur le lit. Ils jouissent de conserve. Elle reste la seule lucide. Un fourmillement dans le ventre lénerve. La seule lucide, peut-être, mais elle brûle dimpatience de rejoindre leur folie amoureuse. Elle attrape lautre godemiché et sinstalle cuisses écartées sur le fauteuil. Qua dit Elodie tout à lheure ? Oui, celui-ci est destiné à larrière. Elle tente de se lintroduire dans lanus. Ce nest pas commode, il faut une aide extérieure, indisponible en cet instant. Tant pis, elle le dirige vers son sexe. Il entre facilement. Elle lagite avec frénésie, nayant pas la crainte de se déchirer. Elle est si excitée que malgré son diamètre réduit, lengin lui procure un intense plaisir.

La chambre retentit de leurs gémissements, halètements et autres borborygmes. Lisette puis Fabienne sarrêtent, assommée par lorgasme. Christophe nen finit pas. Les deux premières séances avec la bonne et la jeune fille ont laissé des traces. La fatigue lempêche datteindre la jouissance. Enfin il éjacule. Il saffaisse sur les genoux, son sexe glisse du cul dElodie. Celle-ci na pas été satisfaite. Elle est un peu dépitée. Il faut se faire une raison ! Il ny a que Luc qui soit capable de la combler par larrière.

Fabienne repose son godemiché sur la table. Lisette gît inerte sur le lit, cuisses écartelées, lénorme engin fiché dans son sexe. Elodie sapproche, et avec des gestes très doux, le retire. Un peu de sang le macule. La jeune bonne soupire :

— Oh ! Que cétait bon !

— Peut-être, mais trop gros pour toi ! Tu en seras quitte pour deux ou trois jours dabstinence !

— Tant que cela ?

— Eh oui, ma petite ! Sinon tu risques de gros ennuis de santé !

Le calme est revenu dans la chambre. Chacun récupère. Fabienne se secoue et se lève de son fauteuil :

— Il nest de bonne compagnie que lon ne doive quitter. Je te remercie, Elodie pour tout ce que tu as fait pour moi, mais je suis obligé de vous laisser et de rentrer en ville.

Christophe saute du lit :

— Moi aussi !

Ce nest pas vrai mais il tient absolument à partir avec Fabienne.

— Vous ne voulez pas attendre le retour de Luc ?

La jeune fille secoue la tête en signe de dénégation.

— Non, malheureusement cest impossible pour moi.

— Moi, cest pareil !

— Vous ne voulez pas rester pour le déjeuner et ne partir quensuite ?

— Non, je te remercie, jai rendez-vous en début daprès-midi.

— Et toi Christophe ?

— Cest pareil.

— Je comprends et ne vous retiens pas. Mais noubliez pas de revenir. Le plutôt sera le mieux.

— Où sont mes Rien, rien ! Ne vous dérangez pas. Javais oublié que ma robe était là sur la chaise. Qui dois-je remercier de lavoir repassée, toi Lisette ?

— Oui, elle la fait hier après-midi pendant que tu reposais.

— Merci bien, Lisette.

Fabienne se tourne vers le garçon.

— Je vais me nettoyer. Profite de loccasion si tu veux partir avec moi !

Il récupère les affaires apportées par Lisette avec le petit déjeuner et la suit dans la salle de bain. Quand ils sont sortis, Lisette passe un doigt entre ses cuisses et grimace :

— Je serais obligée dattendre trois jours ?

— Oui, je pense. On contrôlera demain. Si tu as de la chance, le délai sera raccourci.

— Je lespère.

— Quand les deux autres seront partis, nous irons dans la salle de bain et je te donnerai de la pommade dont tu tenduiras.

— Tu ne pourrais pas me la passer ?

— Crois-moi, il vaut mieux que ce soit toi qui le fasses, je risque de te faire mal.

— Du mal ? En passant de la crème ?

— Oui, ma petite, tu le verras par toi-même.

La pauvrette est toute désolée. Elodie la cajole contre sa poitrine.

Christophe veut prendre Fabienne dans ses bras. Elle se dérobe :

— Non, je ten prie, je réellement pressée.

Son air penaud la fait rire.

— Viens avec moi sous la douche

Il savance un large sourire aux lèvres.

— Mais, sage ! Je te permets de me laver dans le dos, cest tout. Je te répète que je suis en retard.

— Tes désirs sont des ordres !

Elle est sérieuse. Il comprend quil vaut mieux ne pas insister, surtout en prévision de la suite. Il la frotte dans le dos en évitant les attouchements trop précis. Elle fait de même.

Il lui prend des mains sa serviette et tamponne les reins, les fesses. Une tape sur les doigts le dissuade dessuyer entre les jambes. Il se le tient pour dit. Il lui tend la serviette et présente son dos quelle sèche. Il se retourne mais Fabienne refuse de continuer. Tant pis ! Il éponge son ventre tout seul !

Ils reviennent habillés dans la chambre. Lisette est toujours pelotonnée contre Elodie. Les deux femmes forment un charmant tableau.

— Bon, et bien voilà, nous partons.

— Vous ne voulez pas rester ? Vous êtes décidés ?

— Oui, oui ! Je nai que trop tardé ! Vous embrasserez Luc de ma part.

— Et de la mienne ajoute Christophe.

— Nous ny manquerons pas, nest-ce pas Lisette ?

— Oui, je lembrasserai de ta part, Fabienne.

— Quand reviendrez-vous nous voir ?

— Je ne sais pas, pour moi, dans pas longtemps, la semaine prochaine peut être.

Christophe approuve dans son dos :

— Oui, la semaine prochaine.

— Je retiens le week-end pour vous ?

— Non, pas le week-end prochain. Appelle-moi demain soir, je serai fixée.

— Cest entendu, je te passe un coup de fil demain soir. A toi aussi Christophe ?

— Euh Je ne sais pas où je serai. Je préfère tappeler.

Si tout se déroule comme il lespère, ils ne seront pas loin lun de lautre Fabienne et lui.

— A ta guise.

La jeune fille embrasse les deux femmes. Christophe savance à son tour et en profite pour chatouiller Lisette qui glousse.

— Alors, tu viens ou tu restes ?

— Je viens, je viens !

A la porte, elle se retourne pour adresser un dernier baiser à ses amies. Christophe lui emboîte le pas.

Elodie attend dentendre la porte dentrée se refermer :

— Allons dans la salle de bain te traiter.

Lisette la suit. Les premiers pas lui arrachent une grimace.

— Tu vois, il faut te soigner. Tu as été imprudente.

Elle fouille dans larmoire à pharmacie et lui tend un tube. La bonne le refuse :

— Non, je préfère que tu le fasses toi-même.

— Je risque de te faire mal.

— Je ten prie.

— Bon, assieds-toi sur le tabouret et écarte les cuisses.

Les lèvres de son sexe sont rouges et congestionnées. Un filet de sang suinte. Elodie le nettoie avec une éponge naturelle. Ses gestes quelle veut le plus doux possible arrachent quelques grimaces, mais Lisette ne se plaint pas. Tout badigeonnant la crème Elodie est préoccupée :

— Que penses-tu de lattitude de Fabienne et Christophe ?

— Ils vont se mettre ensemble ?

— Tu as remarqué ?

— Oui, Christophe surtout. Il na dyeux que pour elle.

— Tu exagères, il ta bien fait lamour tout à lheure.

— Oui, mais tu as vu comme moi comme il était heureux quand il la prise dans ses bras.

— Ces deux là, se sont découverts ce week-end. Jespère que cela va marcher entre eux. Mais Christophe est si jeune.

— Tu sais, maintenant, la différence dâge entre garçon et fille na plus beaucoup dimportance.

— Tu as peut-être raison. Nempêche, Christophe mentendra sil ne rend pas Fabienne heureuse.

La toilette se termine.

— Au travail ! Va enfiler ton jeans ! Je taide à faire le ménage ce matin. Tu rangeras cet après-midi pendant que je ferai un saut au journal

Elodie est rentrée avant Luc. La maison est propre et nette. Lisette a bien travaillé. Elle vient juste de la féliciter quand son mari sencadre dans la porte dentrée. Elle se précipite pour lembrasser. Il jette un coup dil aux alentours, il ny a que Lisette en courte jupette qui attend son bon vouloir.

— Notre visite nest plus là ?

— Non, ils sont partis ce matin.

— Tant pis, on se passera deux, nest-ce pas ma jolie ?

Il fourrage sous la jupe de la bonne.

— Aïe !

Il sarrête étonné de la réaction.

— Tu sais, Luc, explique Elodie, cette petite dévergondée a fait des folies ce matin et sa chatte est indisponible pour deux ou trois jours.

— Comment cela ?

— Elle na pas pris de précautions en essayant mon gros godemiché !

— Cest vrai ça, Lisette ?

— Oui, malheureusement.

— La gourmande !

— Oh ! Oui, je suis bien punie !

Luc soulève la jupe et fourre son doigt derrière, entre les fesses de la bonne qui se trémousse.

— Je constate que lautre porte est intacte nest-ce pas ?

— Oui, elle na pas été utilisée !

— Tout nest donc pas perdu !

Il rabat la jupe et donne une petite tape sur le tissu.

— Bon ! Et si nous allions manger maintenant ?

Luc les entraîne vers la table

A suivre

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