Le soir même, Fred et Béa nous ont invités chez eux pour le dîner. Nous avons accepté avec un grand plaisir.
Nous sommes arrivés vers 19h chez eux. Ils nous ont accueillis très chaleureusement. Béatrice portait la même tenue que le matin : un string, des hauts talons et… c’est tout. Ma femme portait une robe légère au-dessus de son maillot de bain. Nous avons bavardé un petit moment.
Les filles ont eu envie de profiter de la piscine. Julie avait gardé son maillot de bain alors que Béa était totalement nue. Dans la piscine, les filles s’amusaient. A un moment, Béatrice a enlevé le haut du maillot de ma femme. Elles ont continué à jouer dans l’eau. Fred et moi parlions entre nous sans décrocher le regard de nos femmes.
Béatrice est sortie la première de la piscine. Elle me faisait envie. Julie est sortie à son tour. Elle était complètement nue elle aussi. J’étais surpris, je ne l’avais pas vue enlever le bas de son maillot. Béatrice a dit :
Ca fait du bien, vous auriez dû venir avec nous.
Fred a répondu :
On préfère regarder.
Ah d’accord ! Et nous, on aimerait peut-être aussi vous regarder. T’es pas d’accord avec moi ma puce ?
Julie a souri d’un air à la fois timide et coquin. Elle a dit :
C’est vrai, il n’y a pas de raison.
Fred s’est levé et s’est déshabillé complètement. Tous m’ont regardé, je n’avais pas vraiment le choix. J’ai enlevé mes vêtements. Fred et moi bandions. Je regardais sa queue avec envie. Béa s’en est rendu compte :
Apparemment, il n’y a pas que nous deux qui avions envie de te voir tout nu mon chéri.
Elle m’a fait un clin d’il. J’étais un peu gêné. Nous ne leur avions pas parlé de mon côté bi léger. Julie a dit :
Il aime bien de temps en temps sucer des mecs.
Je me suis senti rougir. Je ne parlais plus. Béatrice a dit :
C’est vrai ? Chéri, tu ne veux pas faire plaisir à Eric ?
Euh… Je sais pas trop…
Allez chéri ! En plus, j’aimerais bien voir ça moi.
Je n’osais pas le regarder dans les yeux. Fred a bu son verre cul sec et a lancé :
Bon d’accord.
Il s’est levé pour se mettre devant moi. Sa queue avait perdu un peu de sa superbe. J’ai échangé un regard complice avec ma femme et j’ai commencé ma fellation. Je jouais avec ma langue partout sur son membre avant de gober son gland. Je sentais son sexe durcir. Béatrice demande à son mari :
Alors, c’est comment ?
Ca va…
Je prenais beaucoup de plaisir à sucer cette belle queue. Au bout de quelques minutes, Fred commençait à respirer plus fort. Il m’a prévenu que ça venait. Je dois bien avouer qu’après avoir vu la veille Julie et Béatrice avaler, j’avais envie d’en faire de même. J’ai gardé son gland dans ma bouche. Sa queue s’est contractée pour envoyer plusieurs jets de sperme. J’ai tout avalé. Fred a repris sa place sur sa chaise.
Julie me souriait. Béatrice a dit :
C’était plutôt excitant. Tu voudrais pas essayer mon chéri ?
Non non non non non…
Allez ! Regarde Eric, il a l’air d’avoir aimé ça.
Vraiment non, j’en ai pas envie.
Elle n’a pas insisté.
Nous avons fini l’apéro et nous avons dîné. L’ambiance était détendue même s’il y avait une certaine tension sexuelle. Pendant qu’on mangeait, Béatrice m’a parlé de mes légères tendances bi et m’a demandé :
Tu n’as jamais voulu aller plus loin ?
Je ne me suis jamais vraiment posé la question en fait. Mais je ne suis pas sûr…
Sentant ma gêne, elle n’a pas insisté.
Après le dîner, nous sommes allés dans la chambre. Les filles se sont embrassées et un peu tripotées. Elles se sont dit quelque chose à l’oreille sans que je puisse entendre. Béa s’est approché de moi pour m’embrasser. Julie avait fait la même chose avec Fred. Elles se sont assises sur le bord du lit côte à côte pour nous sucer.
Béatrice s’est arrêtée et s’est allongée sur le lit, me faisant comprendre de m’occuper d’elle. Je me suis mis à genoux pour lui dévorer le minou. Julie et Fred nous ont imités. Après quelques minutes, ma femme gémissait assez fort. Elle a stoppé son lécheur en lui disant "viens". C’était souvent signe qu’elle était au bord de l’orgasme. Fred l’a pénétrée sans capote.
Béatrice a pris ma tête et m’a dit de venir en elle. C’était la toute première fois que j’allais faire l’amour à une autre femme. Je ne l’avais fait qu’avec Julie jusqu’à présent.
Les deux femmes s’embrassaient et se touchaient. Julie gémissait maintenant très fort. Elle a joui comme rarement. Presque aussitôt, Fred a retiré sa queue pour lâcher son sperme sur le ventre de ma femme. Elle m’a plus que surpris puisqu’elle a mis sa main sur son ventre pour récolter tout le sperme et l’avaler.
En voyant ça, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. J’ai prévenu Béatrice de ma jouissance proche. Elle s’est redressée et a mis ses mains sur mes fesses. Elle voulait que je jouisse en elle. Je l’ai inondée de ma jouissance.
Quand je me suis détaché de Béa, celle-ci a dit à ma femme :
Tu veux toujours ?
Julie a dit "oui" en se relevant. Je me demandais bien ce qui se tramait. Elle est venue se placer à genoux devant Béatrice. Elle lui a léché sa chatte pleine de mon sperme. Quel spectacle ! Béatrice a joui sous les coups de langue de ma femme. Julie est venue sur Béa, corps contre corps, pour l’embrasser longuement.
Les filles se sont détachées l’une de l’autre et sont parties prendre une douche ensemble.
Fred et moi sommes partis fumer une cigarette et discuter un peu dehors. Il m’a dit que j’avais beaucoup de chance d’avoir une femme comme ça, belle et libérée. Je ne pouvais que lui retourner le compliment. Béatrice et Julie nous ont rejoints une vingtaine de minutes plus tard, toujours toutes nues. Nous avons discuté autour d’une bouteille de champagne. Comme la veille, elles n’ont pas voulu dire ce qu’elles avaient fait.
Béatrice a lancé :
Tu veux aller dans la piscine ma puce ?
Avec plaisir !
Mais cette fois, vous venez avec nous les garçons !
Nous sommes partis nous baigner tous les quatre. Nous chahutions un peu puis très vite, Julie est venue se coller à moi. Nous nous sommes embrassés longuement et langoureusement. Ma femme me branlait sous l’eau. J’avais envie d’elle. On est sortis de l’eau et je l’ai prise en levrette au bord de la piscine.
De leur côté, Fred et Béa étaient bien occupés. Fred léchait sa femme assise sur le bord de la piscine.
Au bout de 2 minutes, nos hôtes sont venus à côté de nous. Béatrice s’est mise à quatre pattes tout contre Julie. Elles s’embrassaient. J’ai entendu Béa dire à ma femme :
Tu veux changer ?
Hmm… Oui si tu veux !
Les garçons, vous avez entendu ?
Sans dire un mot, Fred s’est retiré de sa femme. Je faisais de même et me voilà en train de prendre Béa.
Les deux femmes gémissaient. A un moment, elles se sont dit quelque chose à voix basse, puis Béatrice a lancé :
Continuez jusqu’au bout, ne vous enlevez pas.
Sur ces mots, Fred a clairement accéléré la cadence, faisant presque crier ma femme. Il a joui en elle. Je l’ai imité quelques secondes plus tard, trop excité de voir ma femme se faire inonder par le sperme d’un autre homme pour la première fois.
Dès que Fred et moi nous sommes retirés, elles se sont mises en 69. Je vivais un rêve éveillé ! Après plusieurs minutes fabuleuses, elles se sont relevées et se sont embrassées.
Nous sommes retournés nous asseoir. Nous avons fini la bouteille de champagne en discutant. On commençait tous à fatiguer. Nous sommes partis nous coucher.
Julie s’est endormie rapidement. Moi, j’avais trop chaud. Je tournais dans le lit. Au bout d’un moment, je décidais de me lever pour aller fumer une cigarette dehors.
Fred était dehors lui aussi. Il fumait une clope. Il m’a dit :
Toi non plus t’arrives pas à dormir ?
Non, j’ai trop chaud. Toi aussi ?
Je le sentais un peu mal à l’aise.
Non. En fait… En fait, je repensais à ce que tu m’as fait tout à l’heure.
Tu n’en faisais pas un cauchemar quand même ?
Non non, au contraire…
Comment ça ?
Bin… Je… Tu…
Dis-moi.
Tu veux bien que je te touche pour voir ce que ça fait ?
Bien sûr !
Fred et moi nous sommes levés. Il a posé maladroitement sa main sur mon sexe. Il a commencé à me branler lentement. Ses yeux ne quittaient pas ma queue maintenant bandée. D’un coup, il s’est mis à genoux et il a directement mis mon gland dans sa bouche. Il ne suçait pas si mal que ça. Sa langue me titillait le frein, ce que j’aime beaucoup.
Il m’a demandé de le prévenir quand je sentais que ça venait. Quand j’étais au bord de la jouissance, je lui ai dit :
Ca vient, ça vient ! Continue !
Il a sorti ma queue de sa bouche et il m’a branlé énergiquement. Le premier jet est parti directement sur son visage, le reste sur son torse.
Il s’est essuyé sommairement avec une serviette en papier et on s’est assis. Je lui ai demandé :
Alors ? T’as aimé ?
Oui, ça va, c’était sympa. Par contre, tu dis rien à Béa hein ?
Non, ne t’inquiète pas…
On est restés dehors à fumer quelques cigarettes et à discuter. On a ensuite rejoint nos femmes au lit.