Chapitre 7

Eve et moi avons commencé, une fois seuls, à nous regarder longuement. Encore un peu hésitante malgré tout ce que nous venions de faire, elle est venue se blottir tendrement dans mes bras. Je l’ai accueillie avec toute la tendresse et l’amour que je ressentais pour elle.

Nous nous sommes longuement embrassés à pleine bouche, debout, serrés l’une contre l’autre, puis elle a murmuré, rompant ainsi notre baiser d’amour :

Papa, si tu savais comme je t’aime. Je suis heureuse, tu sais, je n’aurais jamais cru pouvoir l’être autant.

Je lui ai répondu, en la fixant dans les yeux :

 Moi non plus, ma chérie ! En te faisant l’amour, j’ai cru revivre ce que je faisais avec ta maman, mais c’est à la fois pareil et complètement différent. Je t’aime, tu sais, jamais je n’aurais cru que je pourrai te faire l’amour un jour… et avec d’autres, en plus !

Moi non plus, tu sais. Mais si tu veux, on va manger – parce que j’ai faim, déclara-t-telle avec un rire triomphant – puis après on fera l’amour juste tous les deux. Tu veux bien ?

Je l’ai reprise dans mes bras en la serrant et j’ai mis mon visage dans ses cheveux. Je lui ai répondu :

Oh oui, ma petite chérie !

Ce fut elle qui, la première, rompit notre étreinte. Elle me prit par la main puis me dit, en me conduisant vers la cuisine :

Manger d’abord !

J’ai éclaté de rire mais, bien sûr, je l’ai suivie.

Nous avons fait un délicieux repas : certes, les deux files avaient préparé des choses que nous n’avons au qu’à réchauffer, mais surtout j’ai ouvert une bouteille de champagne que nous avons vidée en entier.

A la fin du repas, elle était plus que pompette et je commençais à être un peu parti. Nous avons tout de même fini notre repas entrecoupé de nombreux éclats de rire, puis nous avons débarrassé la table et fait la vaisselle.

Nous nous sommes mis debout l’un en face de l’autre et, gravement, elle m’a déclaré :

Papa, je t’aime !

Je lui ai répondu avec la même gravité :

Moi aussi, je t’aime, ma chérie !

Nous nous sommes longuement fixés puis elle m’a repris par la main et m’a attiré dans le couloir. Elle a ouvert la porte des W.C., s’est assise sur le siège et m’a dit :

 Regarde-moi, papa, je veux tout faire sous tes yeux. J’ai envie de faire pipi. C’est le champagne !

Effectivement, quelques secondes après sa déclaration, un joli flot doré jaillit entre ses cuisses. Je l’ai regardée faire puis, une fois la source tarie, alors qu’elle venait de s’emparer d’un morceau de papier, je le lui lui ai retiré des mains et, précautionneusement, je lui ai essuyé le sexe. Elle a semblé ravie et elle m’a murmuré :

Merci, mon papa d’amour ! Tu es si doux ! Mais toi, tu n’as pas envie ? Parce que j’aimerais tellement t’avoir dans ma main pendant que tu fais pipi.

Ça tombait bien, parce que j’avais, moi aussi, envie de me soulager la vessie. Je craignais toutefois que, dès que l’instrument adéquat serait mis entre les mains de ma fille, il ne me serve guère à cette utilisation.

J’avais raison : dès que la main de ma petite fille adorée a entouré mon pénis, ce dernier s’est mis à bander sans que je lui demande rien et… impossible de pisser.

Ma petite chérie a eu une réflexion qui m’a fait penser à sa défunte mère et qui a fait surgir tout un tas de souvenirs dans ma tête.

Mon arrière grand-mère maternelle, que je n’ai pas très bien connue mais dont je me souviens tout de même un peu, avait l’habitude de dire : « C’est l’atavisme ». Au début, je me demandais ce qu’elle entendait par là, jusqu’au moment où j’ai compris, à la suite d’explications de mes parents, qu’elle voulait simplement dire que c’était une habitude familiale, peut-être due à l’hérédité ou à un facteur de ce genre. Ma grand-mère maternelle utilisait parfois ce genre de mot, mais ma mère ne l’employait jamais, sauf lorsque nous nous remémorions un souvenir familial.

Ce mot m’est revenu instantanément à la mémoire lorsque ma petite fille chérie m’a dit, de sa voix si musicale qui ressemblait tellement à celle de sa mère :

Ça ne fait rien, mon papa d’amour ! Tu ne peux pas faire pipi ? Tu vas le faire dans ma bouche ! Je veux tout de toi.

Je ne pouvais tout de même pas raconter à ma fille le séances épiques qui s’étaient déroulée dans ce même lieu entre sa mère et moi. Quand je n’arrivais pas à pisser parce qu’elle me tenait le vit, Christelle avait formulé le même vu et j’avoue que, après avoir un peu peiné, je m’étais agréablement soulagé dans sa bouche. Et voilà que ça recommençait avec ma fille, cette petite beauté que Christelle et moi avions fait à l’image de ma défunte femme !

Je n’ai pas eu le choix : Eve s’est agenouillée devant moi, a mis ma queue dans sa bouche et m’a fait signe de commencer. Je n’y arrivais pas, jusqu’au moment où j’ai « lâché le bonde ».

Elle a tout avalé puis elle m’a dit, une fois qu’elle a eu fini :

Merci, mon papa d’amour ! Maintenant, viens, on va se laver puis se coucher.

Je ne savais pas quoi dire ; je me souviens avoir balbutié un vague remerciement puis je l’ai suivie dans la salle de bains.

Là, nous nous sommes lavés les dents côte à côte, puis elle m’a dit :

Nous sommes bien tous les deux, mon papa d’amour ! Je vais te savonner, tu vas m’en faire autant mais tu vas bien me nettoyer comme ce matin tu as fait à Émilie et à moi.

Comme elle trouvait que la mémoire ne me revenait pas vite, elle m’a précisé :

 Tu sais bien ! Je vais te mettre plein de savon autour de toi, puis tu vas t’enfoncer dans moi pour bien me nettoyer à l’intérieur, ensuite nous nous essuierons et nous irons au lit.

J’en rêvais déjà ! Je lui ai précisé :

Ce sera notre véritable nuit de noces, ma petite chérie !

Oh oui, mon papa d’amour !

Nous avons fait comme elle a demandé : nous nous sommes mouillés sous la douche, elle m’a mis du savon liquide partout, en insistant sur ma verge, je lui en ai fait autant autour de son sexe et de son anus. Quand elle a jugé que nous étions prêts, bien savonnés, elle s’est appuyée sur le lavabo, m’a présenté son postérieur et m’a dit :

Va, papa ! Tu sais, tu peux nettoyer mes deux trous en même temps, si tu veux !

Et comment, que je voulais, plutôt deux fois qu’une.

J’ai commencé par faire quelques aller-retours dans son vagin, puis, une fois qu’il a été bien savonné de l’intérieur, je me suis glissé dans son petit trou. Là, ce fut un peu plus difficile au début, mais il y avait tant de savon et elle en avait tellement envie – comme moi, d’ailleurs – que ne fut pas très difficile.

Après cela, nous nous sommes remis sous la pluie de la douche, en riant, en nous aspergeant comme deux jeunes adolescents amoureux, puis, lorsque j’ai fini par fermer le jet, nous nous sommes longuement regardés. Ma petite fille chérie m’a attiré à elle, je me suis trouvé plaqué contre ses seins à la fois si doux et si durs, puis elle a mis ses mains derrière mon cou et m’a embrassé à pleine bouche. Je lui ai bien entendu répondu, puis j’ai ouvert la porte de la cabine de douche en disant :

Viens, mon petit amour ! Je vais t’essuyer.

Nous nous sommes bouchonnés longuement, tout doucement, avec deux grandes serviettes de bain, jusqu’à ce que nous soyons secs. Une fois cela fait, je l’ai prise dans mes bras, elle a mis les siens autour de mon cou et je l’ai portée jusqu’à notre lit.

Il n’y avait que quelques pas que j’ai franchis en serrant contre moi mon précieux fardeau. Je l’ai allongée sur le lit. Elle a tendu les bras vers moi en me disant :

Viens !

J’ai fait non de la tête et je me suis glissé entre ses cuisses. Elle a compris immédiatement ce que je voulais lui faire et elle s’est même ouverte avec les mains en murmurant :

Oh, oui, papa !

J’ai léché les lèvres de son sexe, sucé son petit bouton d’amour qui a bondi entre mes lèvres et sous ma langue, jusqu’à ce qu’elle commence à jouir. J’ai rampé longuement et doucement sur son corps jusqu’à ce que ma verge se trouve en face de son petit vagin encore si peu fréquenté. Je n’ai pas eu besoin de me guider, elle non plus : d’un seul coup je me suis retrouvé au chaud dans son sexe.

Une fois là, je n’ai plus bougé et elle non plus. J’ai appuyé mes avant-bas sur le lit pour soulager son corps du poids du mien et nous nous sommes fixés longuement dans les yeux. Il y avait une telle intensité d’amour dans les siens que j’ai fermé les miens pour mieux apprécier. Lentement, en bougeant le moins possible pour ne pas rompre notre étreinte si profonde, elle a mis ses deux jambes merveilleuses derrière mes reins. Le petit mouvement qu’elle a fait pour que nous soyons encore plus près l’un de l’autre a tout déclenché : j’ai tout doucement mis mes reins en route, elle m’a encore serré davantage contre elle, nous nous sommes liés encore plus profondément l’un à l’autre. Elle coulait autour de moi, elle était toute ouverte, j’étais raide en elle, tout au fond de son vagin. Nous étions bien, nous nous fixions les yeux, nous nous murmurions des mots d’amour sans même nous en rendre compte.

Peu à peu, nous avons accéléré nos mouvements, tout en douceur, jusqu’au moment où une sorte de fureur nous a fait nous précipiter l’un contre l’autre, nos pubis étroitement encastrés l’un à l’autre, ses jambes enserrant mes reins au maximum, ses mains serrant mes fesses contre elle alors que j’en faisait autant, nos lèvres soudées les unes aux autres. Finalement, je me suis déversé dans son sexe si accueillant que j’ai rempli de sperme.

Épuisé, littéralement vidé de toute énergie, je me suis effondré sur elle. Elle m’a caressé les cheveux comme le faisait sa mère et m’a murmuré :

Mon papa d’amour, je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Tu ne peux pas savoir à quel point je t’aime ! Je suis si heureuse !

Je me suis un peu redressé pour être de nouveau en face de son visage. Je lui ai dit, en fixant ses yeux verts :

 Moi aussi, je t’aime, ma chérie ! Désormais, tu seras toutes les nuits avec moi !

Elle me fit un beau sourire et m’apprit :

Si tu savais comme j’en suis heureuse, mon amour de papa ! A partir de maintenant, chaque nuit, nous serons ensemble. C’est merveilleux !

Elle ajouté, en sentant ma virilité redevenir raide dans son sexe trempé :

 Mais…

Je lui ai appris, non sans une certaine hypocrisie :

Et oui, ma chérie !

Nous avons refait l’amour, lentement, doucement, jusqu’à ce que je me déverse une nouvelle fois en elle. Sans changer de position, nous avons attendu que la nature nous sépare et que je me glisse hors de son délicieux fourreau d’amour.

Ce fut à cet instant que le sommeil s’empara de nous deux.

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