CHAPITRE 1
Depuis plus de deux ans je suis un adepte des réseaux sociaux et plus particulièrement de Facebook. Jai de nombreux amis et amies glanés auprès de mes connaissances et dans ma famille. Et jai pour habitude de consulter ce qui sy passe régulièrement.
Je suis plus particulièrement lune de mes cousines âgée de dix-huit ans qui, au travers de ses écrits, me semble un peu délurée avec ses propres copains et copines. Ils ont tous à peu près son âge, la plupart étant dans son lycée en classe de prépa. Je ninterviens pas dans leurs échanges hormis ce jour où tout a basculé
Juliette, appelons-la comme ça, montrait souvent les photos de ses amies dans des positions équivoques. Certaines dentre elles étaient de véritables mannequins aux formes suggestives et je rêvais de tout ce que jaurais pu leur faire si elles avaient été consentantes. Encore aurait-il fallu quelles sintéressent à un monsieur divorcé de quarante-huit ans !!
Cest pourtant ce qui sest produit le jour où je mis en ligne une photo de moi à vingt ans avec juste ce commentaire :
— Jétais beau à cette époque !
Hormis Juliette qui réagit immédiatement en me disant que si javais été lun de ses copains dans ces années- là, elle aurait fondu pour moi. Lune de ses amies, Capucine, ajouta :
— Vous étiez beau à ce moment-là mais vous nêtes pas mal aussi maintenant !
Ce à quoi je répondis juste :
— Flatteuse !
— Non, non, je suis sincère.»
Je décidai den rester là car je ne savais pas comment poursuivre sans déraper alors que notre dialogue serait vu de tous.
Néanmoins curieux je décidai daller consulter son profil et surtout les photos delle quelle avait publiées. Je vis quelle avait dix-huit ans et demi, quelle habitait près de chez moi, comme Juliette. Ses photos montraient une magnifique jeune fille aux formes bien proportionnées, la plupart dentre elles laissant deviner une poitrine pleine et des fesses aux contours alléchants. Son sourire était ravageur et ses yeux dun bleu lumineux. Son corps, parfois révélé en grande partie lorsquelle était en maillot de bain ; montrant des seins bien proportionnés, laissait transparaître laura caractéristique des filles bien dans leur peau, toujours mis en valeur dans des tenues élégantes, troublantes et, de ce fait, excitantes.
Daprès les interventions sur son mur il semblait quelle navait pas de copain attitré ou ne voulait pas le faire apparaitre. Bizarre
Les mois passèrent quand je reçus sur mon adresse de courriel personnelle un curieux message accompagné dune photo dun bébé nu, allongé sur le ventre : « Moi aussi jétais belle à cette époque ! Si vous voulez en savoir plus contactez-moi ce soir à partir de 23 heures sur SKYPE » Cétait suivi de son pseudo peu imaginatif « belleinconnu213 ».
Je fis une recherche sur ce pseudo et, layant trouvé, je fis une demande pour recevoir son assentiment plus par curiosité que convaincu car javais déjà expérimenté ce genre de messages en provenance darnaqueuses habitants en côte dIvoire, plus proches de grands noirs baraqués que de sublimes blondes nordiques ! Ce que lon appelle « lescroquerie à livoirienne »
À lheure dite, je me connectais via Skype pour constater quelle avait accepté ma demande. Jétais à peine en ligne que le son dun appel en instance se fit entendre. Je lacceptai en pressant le bon bouton et une voix féminine agréable, un peu rauque, se révéla dans mes haut-parleurs, mystérieuse, sans la vidéo, alors que ce profil possédait une Webcam.
— Bonjour Hervé !
— Bonjour belle inconnue ! Pourquoi ne mettez-vous pas en route votre webcam que je puisse vous découvrir ?
— Parce quil nest pas encore temps que je me dévoile Mais jaimerais bien que vous le fassiez, vous
Je mexécutai immédiatement.
— Oui cest bien vous !
— Vous me connaissez ?
— Oui depuis longtemps je flashe sur vous et jai tout appris de votre vie Je sais que vous êtes divorcé et que vous avez quarante-huit ans. Vous êtes directeur financier et vous habitez une maison au Vésinet. Mais vous, vous ne me connaissez pas ou, tout du moins, vous avez dû mapercevoir une fois ou deux mais vous ne devez pas vous en souvenir
Elle avait aiguisé mon appétit. Mon cerveau se mit à fonctionner à une allure folle, le contenu de mes neurones sentrechoquant dans ma tête. Je me rappelai son curieux message et la photo dun bébé nu quil contenait et je fis le rapprochement avec ma propre photo de moi ; prise à vingt ans ; que javais diffusée dans Facebook sur mon mur.
Non, cétait impossible, ce ne pouvait être elle, cette gamine ; pour moi ; de dix-huit ans et demi avec qui javais eu un court échange sur le réseau social ! Tout à trac, de peur de faire un impair, je lui lançais brutalement :
— Je sais qui vous êtes !
— Non vous avez déjà trouvé ? Ça me flatte de vous avoir laissé un tel souvenir alors !
— Vous êtes Capucine, une amie de ma cousine Juliette
— Bravo ! Je ne pensai pas que vous trouveriez si vite.
— Le moins que lon puisse dire cest que vous navez pas froid aux yeux. En général ce sont les hommes qui font le premier pas. Non ?
— De votre époque dit-elle en riant joyeusement. Ma génération est spontanée, nous naimons pas attendre quand nous aimons quelque chose. Il nous faut tout, tout de suite ! Et dans ce cas-là nous agissons. Cest ce que jai fait. Vous mavez plu, jai tout fait pour vous contacter en tirant les vers du nez de Juliette.
— Vous vous rendez compte que vous pourriez être ma fille.
— Oui et alors ? Jai toujours rêvé damours incestueux.
Jétais décontenancé par son culot mais je repris vite mes esprits en calculant rapidement comment jallais profiter de cette situation. Elle ne me laissa pas le temps de réagir.
— Comme vous avez deviné je peux maintenant me révéler entièrement à vous.
A peine ces mots dits que la vidéo diffusée par sa webcam se mit en route révélant Capucine, nue comme un ver, allongée de manière identique à la photo du bébé.
— Peut-on se tutoyer maintenant que tu sais tout de moi ?
— Si tu veux mais je ne sais pas où tout ça va nous mener.
— Regarde moi je ne te fais pas envie ?
— Si bien sûr tu es une jolie fille mais crois-tu que je pourrais répondre à tes attentes ou, plus, répondre aux miennes ? Tu nas pas de copain ?
— Non ! Les jeunes de mon âge ne me satisfont pas, je les trouve benêts et cest pourquoi je suis toujours vierge aujourdhui. Je nai pas trouvé « LHOMME » à qui je me donnerai pour la première fois.
Perplexe devant cet aveu hors du temps, une jeune fille aussi belle quelle, à lhymen encore intact, ça me semblait incongru. Je lui en fis part :
— Jai peine à croire ce que tu me dis. Tu nas pas de copain et tu ne tes jamais faite déflorée ?
— Non ! Jattendais un homme comme toi, un peu désuet mais pas trop
— Désuet ?? Tu ne crois pas que tu exagères à mon propos ?
— Non dans le sens où ton langage est châtié pas comme celui des jeunes aujourdhui qui parlent « djeun » sans aucune subtilité. Je vais dailleurs taccorder une récompense pour ça
À peine avait-elle prononcé ces mots quelle se relevât de son lit et se mît, assise au bord, face à la caméra. Je pus alors admirer sa plastique magnifique : un visage dange aux yeux bleus profonds, aux lèvres finement ourlées sous un nez mutin le tout encadré par des cheveux noirs, légèrement bouclés, qui lui tombaient en cascade sur les épaules. Les mouvements de son corps pour passer à cette position avaient été si rapides que le cadrage automatique de la caméra révélait juste la naissance de ses seins sans en montrer plus Jétais un peu frustré mais cela ne dura pas car elle fit effectuer un zoom arrière à sa webcam qui me révéla sa jeune poitrine magnifique qui se tenaient fermement et dont les pointes dardaient arrogantes au centre de chaque mamelon. La longueur de ses tétons étaient remarquables, ils faisaient plus dun centimètre de long et semblaient me narguer. À cet instant précis jaurais aimé les sucer et les mordiller pour lui arracher des gémissements de plaisir. Je bandais déjà.
— Alors ? Je te plais ?
— Tu es très belle et ton corps est magnifique. Cest lattrait de ta jeunesse.
— Merci ! Tu veux en voir plus ?
— Si tu veux mais tu men montre déjà beaucoup !
— Tu aimerais me toucher ?
— Oui bien sûr mais cest un rêve pour linstant
Elle prit la caméra en main et la braqua sur son entre-jambe.
— Tu vois comme ma minette est luisante de plaisir ? Cest toi qui me fais cet effet-là ! Il ne tient quà toi den profiter. Je vais me masturber devant toi car je ne tiens plus et je voudrais que tu me voies jouir. Cest un premier cadeau que je voudrai te faire.
— Tu es folle ! Tu te rends compte si tes parents entraient dans ta chambre et te voyaient nue texposant à un inconnu !
— Ça ne risque pas Ils vivent une grande partie de lannée sur la Côte dAzur et je suis seule dans une grande maison à la merci du grand méchant loup. Ça pourrait être toi si tu le voulais
— Tu nas pas de frères et surs ?
— Non je suis fille unique. Tu vois si tu viens me rejoindre tu ne risques rien ! Mais trêve de balivernes je nen peux plus il faut que je me doigte devant toi.
Mon écran vit alors safficher une image surréaliste, en gros plan, Capucine se fourrait deux doigts dans sa chatte déjà baveuse et entamait un branle de son point G à une vitesse incroyable. En quelques minutes ce qui devait arriver arriva un jet de mouille vint arroser la caméra et jentendis un cri de jouissance extrême montrant que Capucine venait davoir un orgasme violent.
Sensuivit une image brouillée qui semblait montrer que Capucine nettoyait la webcam souillée par ses sécrétions. Puis tout redevint clair et son visage paru à nouveau en plein écran.
Cette fille me sidérait, si jolie et perverse à la fois alors quelle avait à peine dix-huit ans, elle venait de se faire jouir devant moi alors que nous ne nous étions jamais rencontrés. De plus cétait une « femme fontaine ». Javais de plus en plus envie de faire sa connaissance vu son potentiel à devenir une vraie salope, encore fallait-il que je sois sûr de la dominer et pour cela rien de tel quun interrogatoire approfondi pour voir jusquoù elle pourrait aller.
— Belle démonstration, je vois que tu as des possibilités intéressantes mais quest ce qui te fait croire que je voudrais de toi ? Tu es très jeune, vierge, sans expérience, face à un homme comme moi qui ne pourra se contenter du peu que vous vous accordez entre jeunes. Il y a longtemps que je ne joue plus à « touche-pipi ». Il me faut du piment dans mes relations sexuelles. Sauras-tu répondre à mes demandes ? Autrement-dit accepteras-tu que je devienne ton initiateur et sauras-tu obéir en toutes circonstances à tous mes caprices sexuels, devenir mon jouet ?
— Je te lai dit je cherche « LHOMME » et je suis sûre de lavoir trouvé en toi. Dailleurs tu viens de me le démontrer en manifestant immédiatement tes exigences alors que nous nous connaissons à peine. Ma réponse est OUI je veux que tu sois mon formateur et cela le plus vite possible.
— Moi je veux bien mais tu es vierge et, hormis te doigter, quelle est ton expérience sexuelle ? As-tu branlé un ou plusieurs garçons ? Las-tu sucé jusquà son orgasme ? As-tu avalé son sperme ?
— Oui, un seul garçon que jai branlé et sucé mais je lai fait finir sur mes seins. Je ne connais pas le goût du sperme.
— Je vois ! Vraiment peu dexpérience cest étonnant. Tu es sûre davoir plus de dix-huit ans ? Je dois dabord men assurer. Montre-moi ta carte didentité !
Capucine se leva et alla fouiller dans son sac posé sur une chaise. Jen profitai pour détailler son corps sans défaut. Ses cuisses, sans une once de cellulite, le galbe de ses fesses et la petite aréole brunâtre de son anus qui se révéla lorsquelle se pencha, ses jambes bien droites Je rêvai déjà à tout ce que nous allions pouvoir faire ensemble et comment jallais pouvoir la pervertir. Je navais quune hâte, la rencontrer mais je devais jouer finement pour ne pas trop montrer mon vif attrait pour elle et ne pas inverser les rôles pour passer de la position de « dominateur » à « dominé ».
— Voilà ma carte ! Tu es rassuré ? Tu ne risques pas le détournement de mineure. Je suis pleinement consciente de ce que je fais et entièrement consentante. Regarde mon corps qui sera bientôt entièrement à toi. Tu pourras me modeler selon tes désirs et uniquement les tiens. Dès à présent jaccepte tout de toi. Donne-moi des ordres je les exécuterai.
— Pourquoi mavoir choisi moi alors que tu ne me connaissais pas ?
— Cest à cause de Juliette ! Elle me parlait de son cousin pour qui elle avait un faible, bien que plus âgé. Elle ma montré des photos de toi et jai craqué. Cest ma meilleure copine et on se confie tout. Bien que réticente, jai réussi à obtenir delle tous les renseignements que je voulais pour pouvoir te contacter. Elle est bi, comme moi, et jai su avoir les arguments nécessaires pour la faire fondre. Je peux te dire quelle a hurlé de plaisir une fois quelle ma tout lâché !
Jétais époustouflé. En quelques minutes japprenais que ma cousine Juliette était amoureuse de moi, quelle était bi et que Capucine létait aussi. Ça mouvrait un avenir prometteur
Je décidais de prendre immédiatement les choses en main.
— Bon écoute Capucine, il se fait tard et je travaille dans quelques heures. Nous allons voir si tu es réellement motivée. À partir de maintenant tu mobéis ! À 18h00 pile tu arrives chez moi, inutile de préciser, tu connais déjà mon adresse. Tu es en retard ? Je ne touvre pas et cest la fin de cet intermède ! Jhabite un pavillon isolé au bout dune impasse. Tu es en voiture ?
— Non en scooter.
— Alors tu entres directement dans le garage qui sera ouvert. Une fois à lintérieur la porte se fermera automatiquement. Tu te déshabilles entièrement et tu laisses tes vêtements et tes chaussures sur une chaise. Tu montes les quelques marches qui te mèneront à létage où je tattendrai. Cest à cet instant précis que commencera ton éducation. Tu es daccord ?
— Oui je suis daccord. Jai hâte dy être.
Son visage, zoomé plein écran, affichait un sourire lumineux qui ne trahissait aucune inquiétude. Elle avait lair même rassuré.
— Alors à tout à lheure ! Ne sois surtout pas en retard !
Je ne lui laissais pas le temps de répondre et je coupais la communication. Je lui avais menti en disant que jallais travailler. En fait javais pris quelques jours de congés auparavant sans savoir que je serai amené à les utiliser pour suivre le scénario précis que javais désormais en tête.