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Six "sions" pour une scission. – Chapitre 6




CHAPITRE 6 : La condamnation.

Toute la nuit, j’entendis les gémissements de Lucille et Monsieur. Toute la nuit, j’entendis les meubles de toute la maison grincer, à mesure que Monsieur défonçait celle que j’aimais sur une table dans le salon, contre une commode dans sa chambre, contre le réfrigérateur, dans les escaliers

J’étais en train de perdre Lucille. Elle qui avait tant fait et qui semblait prête à tant de choses pour moi, elle était désormais sous le joug du membre de Monsieur.

Comme je la comprenais. Il sait tellement y faire. Avec lui, on se sent femme. Mais dès le lendemain, j’en étais sure, j’aurais de nouveau le droit à cette queue. Et dès le lendemain, j’aurais de nouveau droit aux caresses de Lucille. Et dans cette perspective plus joyeuse, je finis, en dépit du bruit des ébats incessants entre l’homme et la femme de ma vie, par trouver le sommeil.

Je me réveillai, à ma grande surprise, attachée au lit. Mes poignés étaient rongés par de vieilles cordes très serrées, qui semblaient descendre chacune à un pied du lit, tandis que mes chevilles étaient comme menottées par deux anneaux, reliés entre eux par une tige métallique d’environ 80 centimètres de long. De sorte que j’avais les jambes constamment écartées.

« Elle revient à elle, entendis-je alors Lucille annoncer à voix basse.

— Lucille, lui demandai-je, que se passe-t-il ? Pourquoi suis-je attachée ?

— Ta gueule Poufiasse ! m’interrompit alors Monsieur. Tu es ici pour ton jugement. Au sein de notre juridiction, tu seras ton propre avocat. Nous tâcherons de prendre en compte tous tes arguments, dans la mesure où ils seront clairement audibles pour tes arguments oraux, ou lisibles pour tes arguments écrits.

— Dites tout de suite que je ne sais pas parler. C’est un nouveau jeu ? répondis-je, inquiète mais cependant satisfaite de susciter de nouveau l’intérêt de Monsieur. »

Mais je n’eus pas le temps d’en dire davantage, que déjà Lucille s’approcha de moi et m’inséra un étrange objet dans la bouche. Une sorte de boule assez grosse qui me maintenait la bouche ouverte, alors que des angles faisaient le tour de ma tête. Je ne pouvais plus parler.

« Bien ! reprit Monsieur, si l’accusée a un dernier mot avant l’énoncé des faits qui lui sont reprochés, nous sommes tout ouïe.

— Hmm Hmmmm ! puis-je alors exprimer pour seule réponse.

— Greffière, s’adressa Monsieur envers Lucille, prenez note des paroles de l’accusée. J’ai cru y comprendre une sorte de gémissement de plaisir. Veuillez maintenant lire l’énoncé des faits qui sont reprochés à l’accusée.

— Certainement Monsieur le Président, commença Lucille. L’accusée ici présente, reconnue par la cour sous l’appellation de Sac à foutre’, de Poufiasse’, ou encore de Vide-couilles’, est soupçonnée :

D’avoir laissé Lucille, reconnue comme la seule et unique femme de la vie de Robert, lui-même connu sous l’appellation de Monsieur’, espérer une relation amoureuse.

D’avoir été incapable de réaliser le moindre cunnilingus correct sur la personne de Lucille.

D’avoir agi en trainée de bas étage, pour le compte de Monsieur’, sous les yeux de Lucille.

D’avoir dérobé des sous-vêtements féminins dans la garde-robe de Monsieur’, sous-vêtements appartenant à l’ex-femme de Monsieur’, en la personne de Lucille.

— Hmmm hmm !! ne pus-je alors émettre comme seul son de protestation, alors que ces sous-vêtements m’avaient été donnés. »

Je n’écoutais plus qu’à moitié les faits qui m’étaient reprochés. Ils étaient grotesques. Et le fait qu’ils soient énoncés par Lucille, aussi froidement de surcroit, me détruisait le cur. C’est d’ailleurs la seule chose à laquelle je pensais. Moi qui me voyais faire ma vie de femme aux côtés de Lucille, lui jurer amour et fidélité je venais définitivement de la perdre. J’étais détruite.

C’était décidé. A la fin de leur pseudo jugement, je prendrais la fuite.

« et enfin, termina Lucille, l’accusée est soupçonnée :

D’avoir des murs frivoles dans un club libertin, participant notamment à des séances de sexe pluripartenaires, dites gang-bangs’, directement sur le comptoir du bar, sous le regard médusé et choqué de Lucille.

De n’y avoir pas assumé jusqu’au bout son statut de vide-couilles, et jouant sur les sentiments de Lucille à son égard pour obliger cette dernière à terminer ces séances de baise à sa place.

— Merci Greffière, reprit Monsieur. J’appelle désormais à la barre Lucille, la victime. »

Et dans une ridicule mise en scène, Lucille alla de l’autre côté de la pièce, lorsque Monsieur lui demande.

« Lucille, confirmez-vous les faits énumérés par la greffière ?

— Tous, sans exception. L’accusée a joué sur mes sentiments pour me pousser à réaliser des choses horribles. Très souvent à caractère sexuel.

— Accusée, enchaîna Monsieur, êtes-vous consciente que les faits qui vous sont reprochés relèvent du harcèlement moral et du viol en réunion ?

— Hmmm hmm !!

— Bien, constata Monsieur. Face à ces aveux, le jury doit trancher sur votre culpabilité. Ce jury ne pouvant être composé que de personnes qui ne soient ni membres de la cour, ni accusées, je désigne la victime comme seul et unique juré. Juré, quel est votre verdict ?

— Coupable sur toute la ligne, répondit Lucille.

— Dans ce cas, l’accusée est condamnée à 10 années de détention assorties de coups de cravache à volonté par ses geôliers, 10 années d’entrave, sous la forme d’une cage de chasteté dont la victime aura seule la clé, au port sur la même période d’un collier métallique, également cadenassé par cette même clé et scellant l’appartenance à la victime par les inscriptions Pute personnelle de Lucille, en accès libre et gratuit’. Enfin, la victime pourra jouir d’une liberté conditionnelle, en échange de la signature de la décharge ici présente. Le jugement est clos. »

Cette pseudo-condamnation n’était rien à côté de celle que j’allais vivre peu de temps après. Mais cela, je l’ignorais totalement à cet instant.

Lucille et Monsieur, très amusés par la situation, m’installèrent la cage de chasteté ainsi que le collier. Pour moi, c’était clair. J’avais fait une erreur en venant ici. Je pouvais et devais définitivement oublier Lucille, oublier la queue de Monsieur, et peut-être même oublier cette vie de femme. J’allais reprendre sérieusement les études et retrouver ma vie rangée.

Je n’avais plus qu’à signer cette décharge sans valeur, et vite aller trouver quelqu’un qui aurait les outils pour me défaire de cette cage et ce collier. J’allais disparaître de la vie de ces deux monstres.

Je découvris alors la décharge en question :

Je, soussigné Arnaud L., reconnu coupable et reconnaissant culpabilité pour des faits de harcèlement moral et sexuel, ainsi que de viols sur la personne de Lucille C.’

« Hmmm hmm ! protestai-je, de manière toujours aussi inaudible, alors qu’ils me déliaient les poignets et me tendaient un stylo. »

Je ne pouvais tout de même pas signer cela ?!?

Clac !’

Un premier coup de cravache venait de tomber sur les cuisses. Puis ils me mirent à quatre pattes sur le lit, les chevilles toujours attachées, et la décharge devant moi.

Clac !’

Cette fois-ci, c’était tombé sur mes fesses. Avant que d’autres coups de suivent.

Clac ! Clac ! Clac !’

Je ne comptais plus les coups. Ils pleuvaient. Lucille et Monsieur se relayant pour ne pas faiblir. Mes fesses brûlaient. Je n’en pouvais plus et je finis par signer ce document pour enfin me libérer de cette situation qui, je n’osais l’avouer, me plaisait et m’excitait, mais c’est justement cela qui me faisait peur. Je ne devais surtout pas rechuter.

Monsieur s’empara aussitôt du document et s’exclama :

« Bien ! Lucille, habille-la et prépare-la. Nous allons la ramener chez elle. »

Je sentis alors une seringue s’enfoncer dans mon dos. Tout devint alors opaque. Je vacillai, avant de m’effondrer sur le lit

Je me réveillai à l’arrière d’une voiture, Monsieur au volant, et Lucille sur le siège passager, qui se retourna et s’adressa à moi :

« N’aie crainte, petit sac à foutre, c’est fini, nous allons te dire adieu. Allez descends ! »

La voiture s’arrêta juste devant la fac. Je fus jetée hors du véhicule par Monsieur qui redémarra aussitôt. J’étais donc devant la fac, en pleine heure de sortie des cours et, je venais de m’en rendre compte, j’étais vêtue en femme, de la tête aux pieds.

Ou plutôt, en pute. Je ne portais que mon énorme fausse poitrine, une guêpière rouge parfaitement visible sous une nuisette noire transparente, des bas résilles et un porte-jarretelles noirs, et des escarpins noirs aux talons de 12 centimètres. J’avais bel et bien l’air d’une pute. Une pute de deux mètres de haut avec les talons.

Je vis mon reflet dans la vitre d’une voiture. J’étais maquillée comme une pute, comme Lucille savait si bien le faire, et avec notamment un regard élargi par d’épais coups de crayon, et d’énormes faux cils.

Tout le monde me regardait. Je reçus plein de remarques crues :

« Arnaud ?!? Mais tu es une trav ? »

« Ouah les gars regardez cette pute !! »

Que des moqueries, et même venant de mes amis.

Je rentrai le plus vite possible à la résidence, non sans être suivie par plusieurs mecs.

Une fois dans ma chambre, je pensais avoir trouvé le calme, lorsque j’entendis frapper à ma porte, puis une voix s’exclama :

« Arnaud, c’est Marc, ouvre-moi ! »

Marc était mon meilleur ami. C’était bien le seul qui pourrait m’aider dans cette situation. J’avais toute confiance en lui et lui ouvris donc la porte.

« Entre vite !

— Mais qu’ est-ce qui t’a pris de te balader ainsi ? Tu as perdu un pari ?

— J’ai complètement déconné. J’ai fait des choses qui me dépassent totalement et aujourd’hui j’en paie les pots cassés.

— Qu’est-ce que tu as fait ? Et pourquoi on ne t’a plus vu depuis plusieurs semaines ? »

Je lui racontai toute l’histoire. Depuis ma rencontre avec Monsieur jusqu’à mon retour à la fac dans cet accoutrement.

« Voilà ! J’ai complètement pété les plombs.

— Mais comment as-tu pu en arriver là ?

— Je crois que j’étais devenue accroc à la queue. Je sais, c’est n’importe quoi, et c’est fini maintenant. Mais si tu savais tout ce que j’ai fait. Et je plaisais en femme. C’était nouveau et vivifiant pour moi.

— Bah faut avouer que t’es plutôt bonne comme ça ah ah ! s’esclaffa Marc. »

Je vis une bosse se former sous son pantalon. Il bandait, c’était clair. Et il remarqua que je le regardais à cet endroit précis.

« Salope ! me dit-il à voix basse, sans grande assurance.

— Pardon ?

— Salope ! répéta-t-il plus fort. »

Je frissonnai, et il s’en aperçut.

« T’es devenue une vraie pute en fait, un vrai garage à bites ! »

Et il sortit sa queue, tendue et d’un calibre équivalent à celle de Monsieur. Il l’approcha de mon visage.

« Non Marc, s’il te plaît, pas toi, j’ai besoin de sortir de ce merdier. »

Il ne me laissa pas aller plus loin, me prit la tête à deux mains. Lui debout face à moi, et moi assise sur le bord du lit. Il approcha mon visage, força un peu, puis je perdis tout contrôle et ouvrit la bouche.

Je me sentais merveilleusement bien, à mesure qu’il me pilonnait la gorge sans retenue. Cela dura une dizaine de minutes. J’avais un début de crampe à la mâchoire, lorsqu’il sortit son sexe et m’aspergea le visage de sa semence. Il s’empara alors de son téléphone et me prit en photo, le visage couvert de sperme.

« T’as intérêt à être sage ! »

Il partit. Je venais de perdre mon meilleur ami.

Décidée à mettre fin à tout cela, j’ôtai mes vêtements de femme, nettoyai mon visage et me démaquillai, avant de me coucher.

Le lendemain, c’est en homme, pour la première fois depuis longtemps, que j’allais en cours, bien décidé à faire le nécessaire pour rattraper le retard accumulé durant ces nombreuses semaines d’absence.

Tout se passa bien durant le premier cours, même si je sentais les regards insistants de plusieurs personnes dans l’amphi.

Mais tout bascula lorsque j’allai aux toilettes, lors de la pause déjeuner. Un étudiant que je ne connaissais pas força le passage et entra dans la même cabine que moi.

« Alors comme ça t’es une pute ? Où sont tes nibards ? Où est ton maquillage ? Et ta jupe ? Et tes talons ? Allez tant pis, je vais fermer les yeux. »

Il sortit sa queue, et attendit. Je n’avais qu’à crier et il m’aurait laissée tranquille, mais ce fut plus fort que moi, je le suçai goulument. J’avalai même tout son sperme afin de ne pas en garder la moindre trace sur mes vêtements. Ce fut très bref. Pas un « merci ». Il repartit, vidé, tandis que moi je me sentais humiliée, mais excitée. Cela ne devrait cependant plus se reproduire.

Je retournai en cours, après le repas, et me plaçai cette fois-ci au dernier rang, afin d’éviter les regards de mes camarades.

Deux étudiants vinrent alors s’assoir de chaque côté de moi. Le cours débuta normalement, lorsque l’un deux, à ma droite, me prit la main et la posa sur son sexe, dont je pouvais sentir l’érection à travers son pantalon. Le second, à ma gauche, en fit de même. Je voulus retirer mes mains, mais quelque chose m’en empêcha. Mon désir le plus profond, probablement.

« Allez, assume ce que tu es, me dit l’un d’eux, ôtant l’écharpe que je portais pour dissimuler mon collier métallique indiquant que j’étais une pute à disposition. »

La situation m’excitait trop. Je m’allongeai sous la table, et suçai alternativement ces deux queues. Pas énormes, mais j’y prenais toutefois beaucoup de plaisir. Je reçus la semence de l’un d’eux sur le visage, l’autre dans les cheveux.

Lorsque je me relevai, tout le monde me regardait, y compris le prof, qui nous exclut tous trois de cours.

Je déambulai alors dans les couloirs, le visage toujours plein de sperme. Je savais que je faisais une énorme erreur, mais j’avais perdu tout amour propre. J’étais une pute, et j’assumais.

Je reçus une convocation dans le bureau du directeur de la fac, le soir-même après les cours. Je ne me faisais pas vraiment d’illusions. J’allais être définitivement exclue. À moins que

Je décidai d’aller à cet entretien en femme. Ou plutôt en pute. Exactement dans la même tenue qu’à mon retour à la fac, la veille. De toute façon, tous mes autres vêtements étaient chez Monsieur.

J’entrai donc dans le bureau du directeur.

« Écoutez Monsieur, lui dis-je. Vous allez m’exclure, je le sais. Mais j’ai trop besoin de ce diplôme. Sans lui, je n’ai rien. Je suis prête à tout pour l’avoir. »

Et sans ajouter le moindre mot, je m’agenouillai pour lui faire comprendre que j’étais toute à lui.

L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, au physique pas franchement avantageux avec son crâne dégarni et son énorme ventre, ne se fit pas prier et, tout en retournant un cadre faisant apparaître une photo de sa femme et ses enfants, défit sa ceinture et baissa son pantalon.

Je lui fis une fellation comme il n’en avait probablement jamais reçue de sa femme. J’exagérai les bruits d’étranglement. J’étais la pute qui lui faisait croire avec brio qu’il était un bon coup. J’étais surtout la pute qui sauvait sa place à la fac.

Il finit vite, dans ma bouche, me demandant d’avaler devant lui. Ce que je fis sans hésiter, mon diplôme était à ce prix.

« Merci petite pute. De loin la meilleure pipe que j’aie jamais eue. Tu peux sortir maintenant. Tu es virée !

— Pardon ?

— Dégage, salope ! »

J’étais virée. Sans diplôme, je n’avais plus qu’à retourner chez mes parents. Je les appelai alors pour les prévenir de mon arrivée. Je trouverais bien une justification sur la route.

« On ne veut plus te voir ! me hurla mon père au téléphone. Tu fais honte à toute la famille !

— Quoi ? Vous êtes déjà au courant du fait que je sois virée de la fac ?

— Parce qu’en plus tu es viré ? Non ! Nous on a surtout vu une photo de toi, envoyée par ton ami. Tout le voisinage est déjà au courant ! Ne remets plus les pieds ici ! »

Il ne me restait donc plus qu’un seul endroit où aller

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