Moi, Valeriane, je suis amoureuse depuis plusieurs années, d’une femme extraordinaire, mais je ne supporte pas que des regards autres que les miens ne se posent sur elle, il est vrai que je suis d’une jalousie maladive, quelquefois j’en paie le prix.
Elle a un métier que souvent le contact avec la clientèle est nécessaire. Après plusieurs scènes, infondées, elle décide de me donner une petite leçon. Elle invite un couple à dîner, ce sont des amis de longue date.
Le repas se passe très bien, nous en sommes au champagne, Isabelle met un CD pour mettre de l’ambiance. La femme invite Isabelle, le mari, piètre danseur, s’abstient. Donc lui est moi nous discutons de plein de choses souvent sans intérêt.
Mon cur ne fait qu’un bon lorsque les bassins des deux danseuses se collent l’un contre l’autre et ondulent au rythme de ma musique, je commence à bouillir. J’invite le gars à danser, il est réticent, mais accepte. Mes yeux foudroient mon amour, elle me sourit et se serre plus contre sa cavalière, de rage, je me plaque contre le mec et frotte mon bas-ventre contre le sien.
Isa fait mine de ne rien voir, j’accentue la pression de mon bassin. Cela a l’air de plaire au mec, car je devine une érection naissante, je me déhanche contre sa massue qui enfle de plus en plus.
Isa remarque mon manège, elle décolle sa joue de sa partenaire, et pose ses lèvres sur les siennes. Je remarque son regard coquin qui me nargue. J’imagine les langues se nouer, les salives se mêler. Je fais les gros yeux à Isa, elle se colle encore plus contre la femme, avec un sourire narquois en me fixant du regard.
Moi pour lui rendre la pareille, je saisis le membre du type à travers de son pantalon et le caresse tout en regardant mon amour. Elle m’ignore et reprend les lèvres de la salope avec qui elle danse. C’en est trop pour moi, j’extirpe du pantalon la bite tendue et la branle énergiquement. J’enserre le membre gorgé de sang, et m’évertue à le décalotter, à chaque mouvement de mon poignet, le mec grogne.
Isa dégrafe bouton après bouton le corsage de la pouffiasse, ce qui m’exaspère. Elle tire vers le bas le soutien à balconnets, les deux obus fusent d’un coup. Je dois avouer qu’elle a une sacrée paire de nénés la salope. Isa commence à sucer les bouts qui se dressent au centre des aréoles brunes, la femme ferme les yeux et bascule sa tête en arrière.
Le mec bande comme un cheval, j’accentue la masturbation, il se raidit, pose ses mains sur mes seins et les caresse à travers mon t-shirt. J’ai les bouts qui durcissent rapidement, je regarde Isa, je fronce les sourcils, relève mon t-shirt et offre à la bouche du type mes demi-sphères. Ma poitrine est généreuse, mais très ferme, je ne porte jamais de soutien-gorge. Le gars commence à téter mes mamelons, soudain des mains me repoussent, je me retrouve dans les bras de la femme, Isa dans ceux de l’homme. Elle s’agenouille face au mec, saisit sa bite d’une main et l’enfourne dans sa bouche, elle tète avidement le manche veineux tout en m’épiant du coin de l’il. Moi je suis sur le point d’exploser. Le mec fait glisser le zip de la jupe de mon amour, mon cur s’arrête presque, je veux réagir, mais la connasse me retient en me tétant un mamelon. Je me cabre, mais me laisse faire, sa bouche vorace me donne un plaisir que je ne peux refuser.
La jupe d’Isa et sur le sol, sa culotte ne tarde pas à suivre. Le mec la couche par terre, et plaque sa bouche sur sa vulve, j’entends la succion qu’il exerce sur le bouton, mon corps tremble de jalousie. Isa commence à râler de plaisir, je reconnais là ses gémissements de bonheur, le mec approche sa bite du temple de mon amour ; il frotte son engin contre la fente humide. Là, c’en est trop, je me dégage de l’étreinte de ma femme, saisis le gourdin monstrueux du mec qui voulait entrer pénétrer mon amour, je repousse avec force le type. Je m’allonge sur Isa, ma bouche cherche la sienne, jamais je ne l’ai embrassée comme ça. Elle soupire et elle me rend mon baiser.
Ma bouche s’affole sur ses seins, ses bouts sont durs comme du bois, je les suce à tour de rôle, je tète tellement fort ses bouts dressés, que je veux lui faire mal, elle se contracte en souriant, et commence à geindre. Je cesse d’importuner ses mamelons, et descends jusqu’à l’antre de ses cuisses, sa vulve suinte comme un fruit trop mûr, je me délecte de la cyprine qui s’en échappe, le gars l’a bien excitée, elle mouille terrible mon Isa.
Le mec revient à la charge, il me regarde avec ses yeux de cocker, sa bite lui fait mal, il prend ma main, et la pose sur son truc bandé à mort. Je fais quelques va-et-vient rapides, je me résigne, m’écarte des cuisses ouvertes d’Isa, c’est moi qui dirige la bite noueuse contre la chatte débordante de cyprine de mon amante.
Il donne un coup de reins, et s’enfonce au plus profond dans le corps de mon amour, les va-et-vient sont puissants, les râles bruyants, Isa se cabre et explose en hurlant de jouissance. Les assauts sont terribles, mon amour jouit à plusieurs reprises, j’ai les yeux écarquillés, j’ai l’impression que c’est moi qui jouis, je lui écrase les mamelons pour qu’elle gicle plus fort. Je comprends que tout cela n’était que vengeance pour me punir de ma jalousie