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TANYA – Chapitre 9




Chapitre 9 : Tanya et Stella sinstallent chez moi.

Après nos petites péripéties avec les voisins, le week-end se passa calmement pour nous trois. Les filles reprirent leurs petites habitudes en me vouvoyant, et en étant aux petits soins pour moi.

Comme cétait devenu une habitude à présent, Tanya vint me voir le jeudi. Suivant le rituel établi, elle se présenta nue à ma porte, mais je remarquai sur son visage que quelque chose nallait pas bien. Je la questionnai immédiatement :

— Quest-ce qui ne va pas ? Tu as lair toute bizarre.

Elle prit un peu de temps avant de me répondre :

— Depuis que jai fait votre connaissance, je me suis aperçue que jai très peu pensé à mon chéri. Je crois que je nétais pas si amoureuse de lui que je ne le pensais.

Elle reprit son souffle pour enchaîner :

— Et puis, comme vous me lavez dit tout au début, je suis sûre que ma sexualité avec lui va me paraître bien fade à présent. Jaime trop ce que je vis avec vous, et je ne veux pas revenir en arrière.

Elle sarrêta quelques secondes avant de poursuivre :

— Jai écrit une dernière lettre à mon chéri, pour lui annoncer que je rompais avec lui. Il doit rentrer bientôt, et je ne peux plus vivre avec lui. Je dois rechercher un autre appartement pour lui laisser le sien libre.

Comme javais trouvé une perle rare, et que ces deux dernières semaines sétaient très bien passées, je lui proposai :

— Si tu veux, tu peux tinstaller ici chez moi.

Elle me sauta au cou, en me remerciant de nombreuses fois, et en me faisant plein de bisous partout sur le visage. Elle ne sattendait pas à une telle proposition de ma part, je lui avais toujours dit que jaimais bien ma solitude.

Après ce court moment fort en intensité, je constatai quil y avait encore autre chose qui la chagrinait :

— Il y a encore autre chose qui te tracasse.

Cétait plus une affirmation, quune question.

Gênée, elle mannonça alors :

— Stella a du mal avec son petit salaire pour payer son loyer, nous devions prendre un appartement ensemble, je ne peux pas la laisser tomber.

Une perle rare cétait magnifique, mais deux ensembles cétait presque inespéré. Javais plusieurs chambres de libres dans ma maison, mais je voulais quelles couchent ensemble, au propre comme au figuré. La plus grande chambre inoccupée les ravirait.

Je voulais la taquiner un peu, je pris un air sérieux pour lui annoncer:

— Une fille chez moi, cest déjà beaucoup, alors deux !!!

Je vis quelle était un peu déçue, je ne la fis pas attendre plus longtemps

— Ca serait mieux. Elle pourrait peut-être sinstaller ici aussi.

Cette fois, Tanya se permit une privauté, quelle ne sétait jamais permis jusquà présent. Elle me sauta une nouvelle fois au cou, mais cette fois elle membrassa torridement sur les lèvres, en se plaquant tout contre moi.

Elle me remerciait de nouveau mille fois, en me disant que je ne le regretterais pas.

Je repris vite mes sens pour lui annoncer :

— Cest daccord pour toutes les deux, mais ce que tu viens de faire est intolérable. Tu mérites une fessée.

Je minstallai sur une chaise, en lui demandant de venir chercher sa punition.

Ce fut loccasion dun nouveau petit jeu sexuel.

Elle se coucha immédiatement en travers de mes genoux, les pieds dun côté, et le haut du corps de lautre.

Si mes premières frappes laissèrent quelques traces légèrement rosées sur ses fesses, les suivantes ressemblaient plus à des caresses. Je glissai un doigt entre ses cuisses ouvertes à la recherche de son petit bouton, pendant que lautre continuait la supposée « punition ».

Je pus constater, quelle était déjà toute humide dexcitation, décidément elle avait la soumission dans le sang. Je continuai quelques secondes, avant de la prendre alors dans mes bras et de la porter jusquà ma chambre. Cétait la première fois quelle y pénétrait. Après lavoir déposé doucement sur le lit, je me déshabillai lentement en la regardant. Elle comprit immédiatement que cette séance serait bien différente des autres.

Après mêtre allongé sur elle tendrement sur elle, je lembrassai aussi passionnément quelle lavait fait linstant davant. Puis, je fis courir ma langue sur tout son corps, passant beaucoup de temps sur sa poitrine. Une fois celle-ci bien dure, je continuai mon exploration jusquà son minou. Celui-ci ne mavait jamais paru aussi humide. Ma langue experte savait comment sy prendre pour torturer avec finesse son clitoris. Aussi, je ne fus pas surpris quelle ne résiste guère longtemps, et bruyamment à son assaut. Et là ce nétait pas le cinéma sonore quelle avait fait pour Denis, elle navait joui comme jamais.

Je la pris ensuite de nouveau dans mes bras, et la fis tourner pour quelle se retrouve à son tour allongée sur moi. Comprenant ce que je désirais, elle commença de petits mouvements de bas en haut, en frottant son intimité sur la mienne. Elle se releva ensuite, écarta ses cuisses, et senficha sur ma virilité. Ses mouvements la firent à présent osciller de haut en bas, et de bas en haut. Elle contracta au maximum ses lèvres, maintenant mon sexe dans un fourreau étroit et doux. Cette fois, ce fut moi qui nopposai guère longtemps de résistance à ses compétences.

Pour cette première pénétration « normale » entre nous, moi seul eus du plaisir. Elle se releva, et pour faire bonne mesure, me prit dans sa bouche pour me nettoyer au mieux.

Je pris quelques secondes pour ladmirer pendant quelle terminait, avant de lui dire :

— Si on allait annoncer la bonne nouvelle à Stella.

Elle descendit rapidement du lit, pour courir mettre ses vêtements, restés devant la porte.

Lorsque nous ne fûmes quà quelques mètres du magasin, en y apercevant Stella seule, elle se mit à cavaler vers elle pour se jeter dans ses bras.

— Nous nous installons chez Joshua. Lui annonça-t-elle comme une grande nouvelle qui allait révolutionner le monde.

Cette dernière eut un grand sourire, puis les deux filles sembrassèrent passionnément sur la bouche. Leur baiser de joie nétait pas simulé, et dura un certain temps. Heureusement que personne ne passait dans les environs.

Je les mis tout de même en garde :

— Je vous prends à lessai un mois, vous dormirez ensemble dans la grande chambre, cela ne changera en rien nos relations, et je ne veux pas que cela perturbe mes habitudes.

Elles furent daccord pour tout, et promirent dêtre très discrètes pour ne pas me déranger. Il fut décidé quelles sinstalleraient chez moi, dés le week-end à venir.

Je raccompagnai Tanya chez elle, pour quelle commence à faire le nécessaire.

Le lendemain soir, jeus la surprise de voir Sonia me rendre visite.

Etonné par sa visite, je la fis entrer.

— Je suis venu te remercier, pour ce que toi, Tanya et Stella avez fait pour moi. Je ne vous remercierez jamais assez pour cela. Je nai jamais été aussi heureuse avec « toutou Denis ».

Cette appellation de Denis venant de sa part me fit sourire. Elle continua.

— Je men veux terriblement pour ce que javais dit à Tanya à la boite aux lettres, et je ne sais pas comment me faire pardonner.

Je lui annonçai alors, que ce que les filles lui avaient dit tenait toujours : « Quelle avait une dette envers nous, et que pour la payer, elle devrait revenir nous voir chaque fois quon la solliciterait. »

Puis, je lui expliquai les changements à venir :

— Tanya et Stella vont venir sinstaller chez moi. Chaque fois que nous te réclamerons, tu devras venir sans délais. Quand tu viendras nous voir, tu devras toujours te présenter nue, et nous vouvoyer. Pour moi, ce sera Monsieur, et pour elles Maîtresse Tanya, et Maîtresse Stella. Et tu devras toujours faire ce que nous te demanderons. Cest bien compris ?

— Oui Monsieur. Répondit-elle en se déshabillant.

Je lui fis comprendre que je voulais une petite amabilité buccale, et quelle pourrait rentrer chez elle ensuite.

Elle répondit favorablement à ma sollicitation, en sappliquant à me donner beaucoup de plaisir. Puis elle reprit ses habits, et se dirigea toujours nue vers son pavillon.

Encore une qui avait bien compris sa place.

Linstallation des deux filles se fit rapidement. Tanya débarqua chez moi avec seulement deux grosses valises. Pour Stella ce fut un peu différent. Comme elle avait déjà un appartement, en fait un petit studio, elle avait quelques meubles à déménager. Elle mavait téléphoné la veille pour me demander mon avis. Je lui avais répondu quelle pourrait les amener ici, et quon les rangerait dans le hangar qui me servait de fourre tout.

Un ami était passé avec sa camionnette, et avait tout embarqué en un seul voyage. Comme mon ami médecin, il serait remercié à sa juste valeur.

Les règles de vie changèrent quelques peu mes habitudes. Mes deux nouvelles compagnes promirent soccuper de tout à la maison : rangement, nettoyage, lessive, etc Je serais comme un coq en pâte.

Pour le reste, leur attitude envers moi serait la même. Elles vivraient nues à la maison, sauf lors de leurs petites périodes spécifiques aux filles, ou quand je recevrais des amis qui nétaient pas au courant de mes tendances sexuelles.

Si le besoin sen faisait sentir, je ferais une petite mise aux points avec elles.

Par lintermédiaire dun ami qui connaissait la patronne de Stella, je lui demandai quil intervienne auprès delle, pour que Stella puisse avoir ses jeudis. Il me promit de faire le nécessaire, et de me tenir au courant. Si cela se faisait, cétait un de plus, que les filles devraient remercier bientôt.

Lavenir ne sannonçait pas si mal pour moi.

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