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offerte en trio en airbnb – Chapitre 1




Nouvelle rencontre

Offerte en trio en Airbnb

Quelques semaines après notre dernier trio, nous décidons de louer un appartement pour cette nouvelle rencontre, l’occasion pour nous 3 de disposer de beaucoup plus de temps.

En attendant ton arrivée tardive, nous partageons un verre à 2.

Pour pimenter ce début de soirée, accédant à la demande de G, je me plante mon plug à bille dans mon petit orifice.

Mon comportement et mes attitudes se transforment tout à coup, je ne suis plus l’épouse de mon mari, mais sa chienne perverse qu’il va offrir à un complice.

J’ai choisi seule ma tenue, G m’a fait confiance, la seule directive était que je sois bien pute dans la tenue et le maquillage plus prononcé qu’à l’accoutumée.

J’ai donc opté pour une tenue sans équivoques :

Chemisier transparent imprimé léopard, une serre taille assortie, une jupe mettant en valeur ma croupe, bas et talons hauts, léopard eux aussi.

La tenue parfaite d’une milf en chaleur qui n’a qu’une envie, se faire démonter…

Un SMS nous prévient de ton arrivée imminente.

Avant de descendre, je vérifie ma tenue et demande à mon mari s’il pense que tu oseras me peloter lorsque je descendrai t’accueillir.

Nous pensons tous les 2 que oui, tu es aussi vicieux que nous.

C’est dans un couloir un peu miteux que je t’accueille, croupe moulée dans cette petite jupe, seins visibles par transparence, mamelons gonflés, tétons tendus dévoilant mes nouveaux anneaux, le fondement bien rempli par le plug et la chatte chaude et très humide.

J’aime le regard que tu poses sur moi, ma tenue semble te plaire, mais je préfère m’en assurer en te demandant naïvement si cela est à ton goût.

Tu me le confirmes en glissant tes mains sous ma jupe, je me laisse docilement peloter dans les marches.

Le rouge aux joues, nous pénétrons dans l’appartement.

Je m’empresse de dire à G que tu m’as bien malaxé mes grosses fesses, vous souriez tous les deux.

Nous échangeons quelques mots tout en partageant un verre, c’est le moment idéal pour les 1ers attouchements.

Mon mari dans un premier temps se positionne en tant que voyeur, appareil photo prêt à immortaliser la soirée. Il sait que tu maîtrises parfaitement le fonctionnement de sa salope de femme, votre complicité et vos vices respectifs l’ont déjà prouvé.

J’attrape fermement ta queue, je l’observe un instant avant d’en approcher ma bouche.

Je m’enfonce ton gland tout en te branlant.

Je sais que tu peux bander très fort si je m’applique bien, pas question non plus avec toi de te sucer du bout des lèvres.

Tu aimes la fermeté, tu aimes être pompé, sucé sans retenues.

Je m’empare de tes bourses, les malaxe pendant que ta queue s’enfonce toujours plus profondément à un rythme raisonnable.

Je crache sur ton manche pour qu’il glisse encore mieux.

J’aspire ton gland, le titille du bout de la langue, serre mes lèvres sur ta hampe avant de le pomper avec hardeur.

Ta queue me baise la bouche, ça m’excite, je pose sur toi mon regard de chienne lubrique puis regarde mon mari.

tu as vu, cette chienne est déjà en chaleur, va falloir lui en donner.

Je reprends mon souffle, ta main puissante me saisit les cheveux et me colle contre ton pubis. J’étouffe, un haut-le-cur m’envahit, entraînant une poussée de mon sphincter.

Je suis à 2 doigts d’éjecter le plug, mais je résiste, n’en ayant pas reçu l’ordre.

Tu me libères la bouche, ta queue recouverte de salive.

G me demande de retirer le plug afin de libérer tous mes orifices, je m’exécute.

A quatre pattes, mes 2 baiseurs assis dans le canapé, sans aucune pudeur, je pousse sur mon anneau avant de saisir à 2 doigts le plug.

Je ne retiens pas un petit cri de douleur lorsque ce dernier ressort, mais en bonne salope que je suis, j’accompagne cet acte d’une bonne giclée de cyprine.

Vous vous moquez de moi.

Je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée que bientôt, ce petit trou dilaté sera le terrain de jeux favori de mes 2 partenaires.

Vous savez que j’adore qu’une queue force le passage, la sentir durcir à l’extrême dans mon fondement.

Vous bandez si fort dans mon cul messieurs, que je serais presque capable de mesurer votre pression artérielle.

Je vous rejoins sur le canapé, assise entre mes 2 baiseurs, je me fais malaxer les seins, enfin le terme « mamelles » est plus approprié.

Vous me prenez les mamelles à pleine mains, les comprimez, les tordez, me pincez les tétons, les agacez, les aspirez, les mordillez, les étirez entre vos doigts vicieux.

Je suis partagée entre douleurs et excitation, je me dandine, me tortille, essayant d’échapper au supplice de vos traitements, en vain.

Vous n’êtes pas dupes, et savez qu’en face de vous se tient une salope docile.

C’est le moment que tu choisis pour me prendre.

En levrette, cuisses écartées, je t’offre ma chatte gluante.

Tu me plantes ta queue en une seule poussée, encouragé par G.

Mes mamelles ballottent si fort qu’elles en sont toutes déformées.

G immortalise la scène.

Tu me pilonnes, tes mains me claquent la croupe, elles se saisissent de mes hanches s’assurant une bonne prise pour une défonce de salope dans les règles.

Je geins, je grogne, je crie, une vraie chatte en chaleur.

Ma fente dégouline de cyprine.

C’est le moment que G choisit pour te dire :

Vas-y encule la, elle n’attend que ça.

Sans attendre et sans ménagements, tu présentes ton gland à l’entrée de mon petit trou et en une poussée, t’enfonces entièrement.

Je pousse un cri de surprise.

Tu me besognes face à la caméra, énervé par ce cul affamé qui t’aspire. Tu m’encules profondément, énergiquement.

Je sens ton corps chaud, ta moiteur, ton parfum de mâle.

Tu te retires, reprends ton souffle.

Je garde la position, espérant que mon mari viendra se planter en moi.

Et non, vous décidez tous les 2 de me laisser patienter enfin plus exactement de me frustrer, ça vous plaît de me savoir affamée.

Je me colle à toi, ton parfum de transpiration m’attire. Je te demande de lever ton bras afin que je respire tes aisselles, cela provoque en moi une excitation instantanée, je te lèche ces dernières. Un peu surpris, tu te laisses faire, je t’agace les tétons au passage.

Toi même te pince les bouts, c’est trop sexy, je me jette sur l’un des deux, l’aspire, le mordille, le lèche.

Une envie de plonger ma langue entre tes fesses musclées m’obsède. Je te dis :

j’ai trop envie de te lécher ton petit anneau.

Te voilà direct en position, m’offrant une vue imprenable sur tes 2 globes, ton petit orifice brun tout serré.

De petits coups de langue timides pour commencer, puis une langue plus plate pour continuer, couvrant toute la surface de ton anneau. Je laisse libre cours à mon excitation, ma langue se fait de plus en plus vicieuse, plus intrusive aussi, tu pousses de petits grognements, cela m’encourage à continuer encore un peu plus. Ma langue pénètre plus profondément ton intimité, je me délecte de son goût musqué.

Le retour de G marque la fin de cet annulingus.

Je te propose alors de t’allonger sur le carrelage de la cuisine afin que je te gicle dessus.

Accroupie au niveau de ton bassin, je m’enfonce 2 doigts dans la chatte entrouverte, immédiatement mon jus de femelle fuse sur ton bas-ventre.

J’ai envie de me vider la vessie, je te demande alors si tu as envie que je t’urine dessus.

Tu es un homme vicieux, tu me confirmes que je peux me vider sur toi.

Je me concentre un instant, libère un 1er jet, attentive à ta réaction.

Je plante mon regard de chienne dans le tien puis dans celui de mon mari et laisse couler le liquide ambré.

Plus aucune retenue, je te pisse dessus.

Dégoulinant de jus de femelle et de pisse, tu pars te doucher.

C’est le moment que choisit G pour m’offrir sa queue.

Cette petite séance de pissing bien vicieuse l’a bien excité.

Il me plante sa queue dans le cul jusqu’à la garde, me claquant la croupe tout en me gratifiant de douces insultes.

Ses coups de boutoir s’accompagnent de cris rauques, il me dit que je suis une putain de salope, une petite pute, une grosse chienne.

Sorti de ta douche, tu nous regardes, tu sembles apprécier ce corps en action, cette queue plantée dans mon cul qui me pilonne à un rythme effréné, mes cris de jouissance qui envahissent la pièce.

A bout de souffle, il se retire d’un seul coup, laissant un vide derrière lui, un trou béant qui ne demande qu’à être envahi.

Vous décidez alors de m’offrir une double douche dorée.

Pour l’occasion, je revêts une cagoule, m’obstrue la bouche avec du Chatterton, me privant ainsi de gorgée de pisse. Je tends mes mains à chacun d’entre vous afin que vous ajustiez mes bracelets en cuir.

Cagoulée, bâillonnée, entravée, je me présente agenouillée, mains attachées dans le dos pour recevoir votre doux nectar.

Docilement, j’attends les 1eres gouttes d’urine, me voilà une nouvelle fois baptisée à la pisse par mes 2 enculeurs.

Une vraie petite chienne souillée et souriante, vous me détachez et me laissez aller me doucher.

De retour parmi vous, propre et parfumée, je me présente vêtue de bas et d’une paire de chaussures aux talons vertigineux de couleur fuchsia.

On m’allonge sur le dos, cuisses largement écartées, fente déformée par l’excitation, prête à être fouillée.

G commence par y glisser 2 doigts, puis 3, puis 4.

Ma fente goulue lui aspire les doigts, réclamant le 5eme.

Me voilà avec 5 doigts m’ouvrant la chatte, poussant pour y pénétrer tous ensemble, un dernier effort et voilà que je me fais fister.

Tu te saisis alors fermement de ma cheville, le regard rivé sur mes escarpins roses.

Tu me lèches le pied à travers le nylon, c’est vicieusement bon.

Mon mari me fouille à coups de poing fermé, il me défonce littéralement, les orgasmes s’enchaînent à un rythme effréné.

Ma chatte se resserre sur son poignet, son bras en est douloureux, un dernier orgasme et il te laisse la place.

J’ai la chance d’avoir 2 mains très différentes, si G a les doigts très longs et fins, tu as, au contraire des doigts courts et la main épaisse.

2 sensations totalement différentes.

Tu m’éclates sans ménagements, faut dire que ma chatte est déjà bien accueillante. Je mouille, je gicle, je jouis. Je te maintiens le poignet pour t’indiquer le rythme à suivre.

Les orgasmes s’enchaînent, là encore, je suis dévastée.

C’est le moment que tu choisis pour m’offrir le spectacle de ta queue que tu branles sous mes yeux jusqu’à ce qu’elle décharge sa semence sur mes seins.

Je lèche la petite goutte qui perle sur ton gland.

Quelle délicieuse soirée, étonnante, innovante, mais toujours excellente !

Je vous remercie chers baiseurs pour ces moments de débauche.

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