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Je suis devenue la rivale de ma salope de fille – Chapitre 1




Je m’appelle Blanche, j’ai 39 ans et je suis la maman de 2 enfants: Joanna, 21 ans que j’ai eu au tout début de ma vie d’adulte et Yannick, 4 ans né d’un autre père bien plus tard.

Dans les deux cas, je me suis séparée de l’homme dont j’avais porté l’enfant dans les deux ans qui ont suivi mes accouchements. Je n’ai pas été douée pour créer une famille. L’arrivée de mes enfants a, à chaque fois, clôturé une histoire d’amour au lieu d’en démarrer un nouveau chapitre.

Je vais avoir 40 ans et cela me met un vrai coup au moral: je ne serai plus jamais la jeune femme séduisante que j’avais été autrefois, ma fille me supporte de moins en moins et mes dernières rencontres ont été tout sauf satisfaisantes. Je me sens seule et je ne tiens le coup que grâce à mon adorable petit Yannick et à mon travail d’enseignante. Malgré la perte de mes illusions dans le rôle de l’éducation nationale, aller au lycée chaque jour a au moins la vertu de rythmer ma vie.

Je me rappelle de mes premières classes lorsque j’ai débuté ma carrière, j’étais fine, fraîche et pimpante. Les filles de terminale me voyaient comme une concurrente. Aujourd’hui ce temps est bien loin.

Je mesure 1m65, j’ai les yeux noisette et les cheveux raides mi- longs. J’ai toujours eu une belle poitrine mais les années passant, le volume a augmenté au même rythme que la fermeté s’amenuisait. Je n’ai jamais été mince facilement. Jusqu’à mes 25 ans, je pesais 54 kilos mais cela me demandait des efforts quotidiens. Et puis j’ai fini par me dire que 55, ce n’était pas beaucoup plus, puis 56, puis 58. Après mes 30 ans, je n’ai jamais plus pesé moins de 60 kilos, ni moins de 66 après mon deuxième enfant.

Maintenant, je m’habille sagement. Je porte des jupes qui descendent sous le genou, des corsages et des chaussures avec des talons de 5 cm: celles que l’on achète en souvenir de l’époque où on mettait des vraies chaussures de fille mais qui finalement font encore plus "mémère" que des chaussures plates.

Ma fille Joanna n’a pas ces problèmes. Elle est tout ce que ne je suis plus: elle fait quasiment la même taille que moi mais elle est plus mince que je ne l’ai jamais été. Tout son corps est lisse, doux et ferme. La dernière fois que nous sommes allées ensemble à la piscine, j’osais à peine me mettre à côté d’elle. Son ventre plat et ses fesses galbées dans un maillot de bain deux pièces minuscules me donnaient l’impression d’être une grand-mère dans mon maillot une pièce avec mon ventre que je n’arrivais pas suffisamment à rentrer et le surplus de graisse accroché à mes cuisses et mon postérieur.

Elle a toujours été jolie. Elle a gardé en grandissant son air mutin et son nez retroussé. Ajouté à sa silhouette et son allure gracieuse, elle fait tourner bien des têtes.

Elle a arrêté ses études en juin dernier. Elle prévoyait de commencer à travailler en Octobre. Je lui ai dit que c’était une erreur, qu’elle devait chercher du travail tout de suite. Mon raisonnement était simple: les places pour les jeunes diplômés sont rares. Les courageux qui se mettent à chercher dès le mois de juin ont plus de chance d’attraper les postes intéressants que les "touristes" qui se réveillent 4 mois plus tard.

Nous nous sommes une nouvelle fois disputées. Elle voulait profiter de son dernier été d’étudiante. Nous avons crié toutes les deux. Finalement, elle n’en a fait qu’à sa tête et est allé passer l’été chez son père à New York. Il s’y était installé depuis 15 ans.

Je l’avais connu post-adolescent, fauché, peu enclin à l’ambition et un peu geek même si on n’utilisait pas encore vraiment ce mot à l’époque. Aujourd’hui il vit aux Etats-Unis et gagne une fortune. Il est remarié avec une gamine à peine plus vieille que Joanna. Quand je dis à ma fille à quel point c’était un loser à 18 ans, elle ne me croit absolument pas et me traite de caricature de la femme seule destinée à finir ainsi: mère célibataire, castratrice, fonctionnaire aigrie et jalouse.

Mes relations ont toujours été difficiles avec Joanna, loin de ce que j’avais rêvé en la mettant au monde. Je l’adore mais nous avons presque toujours vécu sans hommes à la maison, à part son père lorsqu’elle était bébé et le papa de Yannick pendant deux ans. Cela n’a sans doute pas aidé à équilibrer nos sentiments. La concurrence, le reproche plus ou moins conscient de la priver de son père de son côté et de m’empêcher de refaire de ma vie du mien avaient empoisonné notre lien mère-fille.

Elle est revenue à la maison début Septembre après 2 longs mois. J’avais préparé sa chambre, un gâteau et un cadeau. Mon cur de maman a battu plus fort lorsque la sonnerie a retenti. J’ai couru jusqu’à la porte. Elle était bronzée, reposée et resplendissante. Nous nous sommes serrées dans les bras l’une de l’autre. C’est à ce moment-là qu’elle m’a dit: "Je ne suis pas toute seule". J’ai vu la silhouette d’un homme à côté d’elle. J’avais cru qu’il attendait qu’on lui ouvre devant la porte de nos voisins.

Joanna m’a présenté Gustave. Je me suis dit "Quel drôle de prénom". Ils s’étaient rencontrés à New York. Il est français et était en train d’organiser son retour après cinq années passées là-bas. Il me semblait bien plus âgé que ma fille. Il l’a compris et m’a dit qu’il avait 37 ans. Tout juste 2 ans de moins que moi, j’ai encaissé le coup en essayant de ne rien montrer. Je ne voulais me disputer avec ma fille alors que cela faisait moins de 5 minutes que je l’avais retrouvée.

Elle a pris la main de Gustave et m’a regardée avec un air sérieux:

— Joanna "Maman, il faut qu’on te dise quelque chose"

— Moi: "Oui ma chérie"

— Joanna: "Essaie de ne pas tout gâcher. Sois heureuse pour moi"

Gustave a regardé ma fille avec un air réprobateur. Il semblait ne pas apprécier le sous-entendu désagréable à mon encontre.

— Moi: "Vous êtes amoureux, je le vois bien. Installez-vous ici le temps de vous organiser. Il n’y a pas de problème"

— Joanna: "Maman, on s’est marié à Las Vegas"

Je n’ai pas su quoi dire. J’étais submergée d’une vague d’émotions: la crainte que ce soit un mauvais choix, la colère de l’apprendre a posteriori et sans doute après son père, la tristesse qu’elle devienne une femme et ne sois plus vraiment ma fille.

— Moi: "Ca n’a pas de valeur de toute façon, à Las Vegas ?"

— Joanna: "On veut faire les démarches pour que ce soit reconnu en France"

J’étais hors de moi. Je savais bien que ce n’était pas le cas mais je me suis tout de même dit qu’elle l’avait fait uniquement pour me contrarier.

— Moi: "Et ton père, j’imagine qu’il est au courant ?"

Elle m’a lancé un regard plein de mépris.

— Joanna: "Le mot que tu cherches, c’est Félicitations".

Gustave a senti que nous étions sur le point de tenir des propos que nous aurions regrettés plus tard. Il a posé sa main sur celle de Joanna puis s’est adressé à nous très calmement avec une voix dont transpirait l’autorité autant que la bienveillance.

— Gustave: "Joanna, c’est normal que ta mère soit inquiète et déçue. Elle ne me connait pas et on lui annonce un truc comme ça. Elle s’inquiète parce quelle tient à toi"

— Gustave: "Blanche, je veux m’excuser, je suis le seul responsable. Nous venions de nous rencontrer avec Joanna. Nous avons passé trois jours à Las Vegas et nous nous sommes mariés dans une chapelle pour rigoler. Puis nous sommes rentrés à New York et je suis tombé éperdument amoureux de votre fille. Je ne l’ai plus quitté et c’est moi qui ait eu l’idée d’officialiser notre soit disant mariage".

Il s’est tu et m’a regardé en me souriant.

— Gustave: "Je ne voulais absolument pas vous faire de la peine. Je veux seulement prendre soin de Joanna".

En disant cela, il l’a serrée contre lui avec une tendresse infinie.

A cet instant, j’ai compris pourquoi ma fille était tombée amoureuse de lui. Je le détestais deux minutes plus tôt et en trois tirades il m’avait convaincue. Je commençais à le trouver charmant, il m’inspirait finalement confiance et je n’étais presque plus en colère.

Nous nous somme tous détendus. Je suis allé chercher une bouteille de champagne et j’ai laissé Joanna me raconter ses deux mois passés loin de moi.

J’en ai profité pour regarder son mari: une carrure rassurante, des cheveux noirs assez longs, des traits fins et un regard intense. Je l’ai trouvé vraiment beau. Joanna s’est blottie dans ses bras. Un instant je me suis imaginée à sa place, posant ma tête contre l’épaule de son mari. Après tout, il avait quasiment mon âge. J’ai croisé les yeux de Gustave, j’ai eu l’impression que son regard me transperçait et qu’il lisait en moi. Je me suis demandé s’il avait compris la coupable pensée qui m’avait traversé l’esprit. Il m’a fait un clin d’il. Je suis devenue écarlate et j’ai baissé les yeux vers mon assiette.

— Joanna: "Ca va Maman ?"

J’ai balbutié quelques mots et débarrassé la table. Il m’a fallu 5 minutes dans la cuisine pour retrouver mes esprits.

Je suis retournée au salon. Nous avons convenu qu’ils dormiraient dans la chambre de Joanna. Ils sont partis retrouver les amis de ma fille, eux aussi impatients de la revoir. Ils m’ont dit qu’ils rentreraient tard.

L’appartement m’a semblé bien vide tout à coup. J’ai appelé chez ma mère pour qu’elle me passe mon fils au téléphone. Il passait la nuit chez elle mais j’avais besoin de l’entendre.

J’ai repensé à Gustave. Malgré moi, je l’ai comparé à mes derniers amants. Il n’y avait pas photo. Depuis quand n’avais-je pas embrassé un homme aussi beau ? Julien peut-être. Mon dieu, je n’avais même pas 30 ans ! On était tout juste passé à l’euro.

Arrivée à la trentaine, je n’avais plus connu que des hommes rassurants, qui n’avaient pas des physiques de coureurs de jupons et que toutes les allumeuses de la ville ne chercheraient pas à me voler.

Ma vie sexuelle s’en était ressentie. Depuis 10 ans, on me faisait l’amour avec tendresse et précaution mais sans passion. Un orgasme venait parfois miraculeusement couronner une étreinte un peu plus coquine que d’habitude mais c’était rare. Je n’avais pas réellement vibré depuis longtemps; mes partenaires étant à mille lieues de mes vraies envies.

J’avais mis du temps à le comprendre et à me l’avouer mais j’aimais qu’on me bouscule. Entre 25 et 28 ans, j’avais recommencé à sortir, confiant souvent Joanna à ses grands-parents. Ce fut la seule période de ma vie ou je me suis vraiment "amusée" comme on dit.

Je me rappelle de Loic, Marc ou Julien. Chacun à leur manière m’avaient poussée là où je n’étais jamais allée. J’avais adoré ça. Je me rappelle mon émoi en disant à Loic: "Tu ne le referas plus" avec une voix implorante et en pensant exactement le contraire.

Gustave était-il de ces hommes-là ? De ceux qui vous apprennent à adorer ce que vous détestiez ou trouviez dégoûtant avant de les rencontrer ?

J’ai essayé de chasser ces pensées en regardant la Télé. Cela a fonctionné. Vers une heure du marin, je me suis réveillée au milieu du salon. Je suis allé dans la chambre de Joanna et j’ai regardé sur une étagère quelques objets conservés depuis son enfance: un petit coffre, une poupée et une peluche. J’ai eu la larme à l’il.

J’ai entendu la clé dans la serrure puis des pas. J’allais sortir saluer ma fille et son mari quand j’ai entendu les bruits se rapprocher de la chambre et Gustave lancer: "J’ai envie de toi. J’ai eu envie de te baiser toute la soirée".

Cela m’a choqué. Joanna est majeur et après tout ils sont mariés mais quand même !

Je ne savais plus quoi faire. Je me voyais mal interrompre ce qui était en train de commencer. Heureusement pour moi, les chambres de Yannick et Joanna sont côte à côte et communiquent via une porte. On ne s’en sert jamais mais elle allait me sauver la mise. J’ai doucement fait tourner la poignée et je me suis glissée dans la chambre de mon fils dans le noir le plus complet. J’allais m’éclipser de la pièce mais une curiosité malsaine m’a saisie toute entière. Je savais à quel point c’était mal mais je suis retournée vers la porte entre les deux pièces et je l’ai suffisamment entrouverte pour regarder dans la chambre de ma fille.

Elle était toujours près de l’entrée. Elle regardait Gustave avec un regard que je n’avais plus porté sur un homme depuis longtemps. C’était la première fois que je voyais cette expression sur le visage de Joanna. Elle a pris la main droite de son mari puis a saisi son pouce et l’a fait glisser sur ses propres lèvres.

Elle a pris le bout du doigt dans sa bouche puis elle a retroussé ses lèvres et sans quitter Gustave des yeux elle s’est enfoncée en gémissant jusqu’à l’articulation.

J’ai avalé ma salive difficilement et dans une naïveté confondante, je me suis dit intérieurement: "Mon dieu, ma fille ! A ton avis, de quoi va-t-il avoir envie si tu lui fais un truc pareil ?!"

Gustave n’en est pas resté là, il a ordonné d’un ton ferme: "Baisse ton jean et ta culotte jusqu’à tes genoux". Ma fille n’a pas hésité une seconde. Elle s’est retrouvée les fesses à l’air à la merci de son époux. Il a lentement ressorti son pouce de la bouche de ma fille puis l’a renfoncé. Joanna a gémi comme si elle avait vraiment été en train de faire l’amour. Il a continué plusieurs fois à pénétrer ses lèvres ainsi. C’était incroyablement érotique. Je n’osais pas imaginer dans quel état d’excitation ma fille devait être. Les regards qu’elle lançait à son époux étaient de franches invitations.

Gustave a souri puis il a plaqué sa main libre sur le mont de vénus de Joanna. Il a fait glisser un doigt, sans doute jusqu’au clitoris. Joanna a ouvert de grands yeux et s’est enfoncée encore plus loin sur l’articulation du pouce de Gustave. Je ne sais pas si elle a joui instantanément mais tout au plus, cela a pris quelques secondes.

Je me suis dit que je ne savais pas ce que j’aurais donné pour être à sa place.

Je me suis rendue compte à quel point mes pensées étaient indignes: je fantasmais sur le mari de ma fille en les observant sournoisement commencer à faire l’amour. Pouvait-on imaginer être une mère pire que moi ?

J’ai fait un pas en arrière décidée à ne plus regarder ce spectacle comme une voyeuse perverse. Mais juste avant que je tourne la tête, Gustave a ressorti son pouce de la bouche de Joanna. Il l’a écarté lentement et pendant quelques secondes un fin filet de salive a relié la lèvre inférieure de ma fille au doigt de son mari avant de céder et de s’écraser sur le menton juvénile.

Il a souri et ordonné: "A genoux". Un voile m’est passé devant les yeux. J’avais tellement envie que ce soit à moi qu’on parle ainsi que je me suis sentie commencer à plier les jambes. Je devenais folle. Je me suis dit que je partirai une minute plus tard, que je voulais juste savoir comment ils allaient poursuivre. Juste une minute, je partirai ensuite.

Joanna s’est retrouvée aux pieds de son mari. Il a scruté la pièce pour finalement repérer une chaise à l’opposé d’où ils étaient, de mon côté. Il est allé sasseoir puis comme si c’était naturel, il a ouvert les boutons de son pantalon et sorti son sexe. Il était en érection complète et je pouvais constater que la nature avait été généreuse avec lui. J’ai fixé sa verge plusieurs secondes avec l’envie d’ouvrir la porte et de venir lui prodiguer moi-même ce dont il avait envie. J’ai eu encore plus honte mais j’ai levé ma jupe et plongé ma main dans ma culotte déjà inondée.

J’ai tourné la tête de l’autre côté de la pièce. Ma fille fixait la même chose que moi. Elle avait un regard de nymphomane. Je me suis entendue dire dans un souffle: "Ma fille, essaie de te tenir !".

Gustave s’est doucement masturbé en fixant Joanna. Mes doigts tournaient sur mon clitoris quand il a dit à ma fille: " viens jusqu’à moi. Viens comme j’aime te voir te déplacer".

Ma fille a posé ses mains sur le sol. Son pantalon et sa culotte toujours descendus jusquaux genoux, elle a progressé lentement à 4 pattes les fesses à l’air jusqu’à son homme. Les yeux de Joanna criaient qu’elle accepterait n’importe quelle demande.

J’ai failli ouvrir la porte et insulter ce macho: comment pouvait-il oser faire faire à ma fille une chose aussi dégradante. La faire marcher à quatre pattes le cul à l’air comme une chienne en rut ! Mais pour qui se prenait-il ?

C’en était trop. J’avais été punie de ma curiosité et de ma perversité. Me prendre en plein visage l’image de ma fille en pareille posture était mon châtiment.

Je voulais aller interrompre cette horreur mais Joanna était majeure, plus que consentante et c’était son mari. Elle m’aurait haï jusqu’à sa mort si j’avais débarquée hystérique au milieu de leurs ébats. Je ne pouvais faire qu’une chose, partir et aller dans ma chambre. J’ai enlevé ma main de ma culotte et je me suis éloignée. J’allais sortir quand j’ai entendu la voix de ma fille: "J’aime être ta pute"

Mon dieu! Joanna! On peut le penser mais il ne faut pas le dire ! J’aurais du lui expliquer certaines choses plus en détail.

Je voudrais dire que c’est un instinct de protection qui m’a poussé à retourner à mon poste d’observation pour surveiller ma fille mais ce serait faux. Je suis retourné les regarder parce qu’à ce moment j’ai compris que Gustave allait sans doute la traiter et la baiser comme j’aurais rêvé qu’il le fasse avec moi.

J’ai retrouvé ma place contre le montant de la porte. Joanna s’est placée à genoux entre les jambes de son mari. Elle a ouvert la bouche et tiré sa langue avant de la passer sur tout le sexe de Gustave. Puis il a posé sa main au-dessus de la tête de ma fille et l’a enfoncé sur sa queue.

C’est horrible à dire mais cela ne m’a pas choqué tant que cela. Je m’attendais à ce qu’ils en arrivent là compte tenu de ce que j’avais déjà vu et je commençais à m’habituer à l’image de ma fille en train de coucher avec son homme.

En la voyant retrousser ses jolis lèvres sur la queue de Gustave, j’ai pensé qu’ils ne s’étaient pas douché avant de sortir ni en rentrant. Ils étaient arrivés directement en sortant de leur train depuis la gare. Au mieux, Gustave s’était douché ce matin. Les hommes étant les hommes, mêmes les plus beaux, Joanna devait être en train de pratiquer une fellation particulièrement parfumée. Je me suis imaginée à sa place, les narines et les papilles gustatives saturées des effluves des Gustave. J’ai senti les pointes de mes seins darder et mon clitoris appeler mes doigts. J’ai de nouveau soulevé ma jupe et glissé mon index entre mes lèvres pour caresser mon bouton.

Ma fille s’est mise à gémir en s’enfonçant plus loin. Elle creusait ses lèvres et y mettait tout son cur. Elle avait vraiment l’air de prendre son pied. J’avais envie de la pousser et d’y gouter moi aussi. Pourquoi ne pourrais-je pas moi aussi vibrer en suçant la queue de Gustave ?

Ma fille a levé les yeux vers son mari puis en le fixant, elle a coulissé jusqu’à la base de sa verge. Elle a fermé les yeux puis a ouvert la bouche en grand écrasant ses lèvres contre le ventre et les couilles de son homme. Je n’en revenais pas. Je me suis imaginée ce qu’elle devait ressentir: la présence imposante de la bite dans sa bouche, la gorge pénétrée et les vibrations du gland au plus profond.

Gustave a mis ses mains à l’arrière du crâne de ma fille, j’ai vu des larmes couler de ses yeux. Elle a dégluti et toussé plusieurs fois mais cela n’a fait que la faire reculer de quelques centimètres et se renfoncer à fonds.

Gustave avait basculé sa tête en arrière. Il semblait tressaillir sous des vagues de plaisir successives. J’imaginais la fierté que devait ressentir ma fille en offrant un tel accomplissement sexuel à l’homme qu’elle aime.

J’ai regardé Gustave qui semblait en plein rêve éveillé les doigts cramponnés dans les cheveux de Joanna. Je me suis caressée un peu plus intensément en me disant que moi aussi si il m’en laissait l’occasion, je lui offrirais ma gorge sans aucune retenue.

Ils ont continué ainsi plusieurs minutes. Gustave imposait à ma fille de courts et profonds vas et viens. Elle devait déglutir et baver régulièrement pour supporter ce traitement. Pourtant je la voyais continuer à caresser les cuisses de son homme en signe de consentement et d’absolue soumission.

Joanna s’est finalement écartée. Jusque-là je n’avais pas vraiment vu dans quel état il avait mis ma fille: c’était pire que ce que je pensais. Le visage défait, des larmes de chaque côté, son maquillage qui avait coulé et de la salive plein la bouche, sur les lèvres et le menton; il ne l’avait pas ratée.

Ma pauvre chérie !

Elle a embrassé les cuisses de son homme et lui a dit comme à regrets: "Tu ne veux pas jouir dans ma bouche ?".

J’ai compris quelle concurrente elle pourrait être pour celles qui voudraient lui prendre son homme.

J’ai eu honte de voir les choses comme cela.

— Gustave: "J’ai d’autres idées pour toi pour ce soir. Passes à la salle de bain"

— Joanna: "Oui mon cur"

Elle a pris des affaires dans son sac, une paire de chaussures et elle est sortie. J’ai trouvé que Gustave était un goujat: il envoyait ma fille se doucher avant de s’occuper d’elle alors que lui s’était fait sucer "au naturel".

Il est resté assis plusieurs minutes perdu dans ses pensées puis il a tourné la tête vers ma cachette et a serré ses doigts à la base de sa queue passablement débandée. Il n’a pas quitté la porte des yeux.

Se pouvait-il qu’il me sache à quelques mètres de lui, avec une seule envie, le combler encore plus que ma fille ne venait de le faire?

Puis une question encore plus troublante m’a grisée: Et s’il avait envoyé ma fille à la salle de bain uniquement pour partager ce moment avec moi ?

J’étais à la fois pétrifié et folle d’excitation. J’ai recommencé à me caresser en le fixant en train de se branler. Je ne savais pas s’il me savait derrière cette porte. C’était terriblement excitant.

Sa queue était redevenue aussi raide que possible et j’entendais la douche couler. Ma fille en avait encore pour plusieurs minutes; l’idée folle de rejoindre Gustave et de lui offrir mes lèvres comme ma fille venait de le faire me vrillait le cerveau.

Je ne l’ai pas fait malgré l’envie qui me faisait me liquéfier sur mes doigts.

Ma fille est finalement revenue avec des chaussures à talons bleus, un porte-jarretelles mais pas de bas ni culotte et un soutien-gorge assorti. Elle s’était remaquillée. Elle était vraiment belle. Je m’en suis à nouveau voulu en m’entendant penser qu’il serait difficile de lutter.

Elle s’est allongée sensuellement sur le dos sur le lit. Elle s’est cambrée, a tendu ses bras en arrière et replié une de ses jambes.

— Joanna: "Viens me faire jouir, fais-moi réveiller ma mère"

Si elle avait su !

Gustave s’est levé et il a approché son visage de l’intimité de sa femme. Elle a glissé les mains dans les cheveux de son homme puis il a commencé à faire jouer sa langue.

Je ne voyais pas ce qu’il faisait, juste les réactions de ma fille. Il l’a rapidement fait gigoter dans tous les sens. En projetant mes propres sensations, je me suis imaginée qu’il avait d’abord écarté les lèvres intimes de Joanna avec sa langue puis qu’il avait entouré son clitoris d’attentions. En le voyant se cambrer, j’ai pensé qu’il l’avait aspiré. Quand elle a rigolé, j’ai supposé qu’il avait mordillé.

J’ai vu Gustave glisser une main près de son visage. Il était probable qu’il commençait à introduire ses doigts dans le vagin de ma fille tout en continuant de faire danser sa langue et ses lèvres sur son clitoris.

Joanna a gémi et gigoté plus fort. Il n’y avait pas de doute, elle adorait ce que son mari lui faisait.

Mon corps a crié "et moi". J’ai enfoncé mon majeur et mon index en moi pour calmer ma frustration. J’ai failli crier. J’étais tellement lubrifiée que mes doigts ont été comme aspirés. Je les ai fait aller et venir sans me ménager en continuant de regarder ma fille baiser.

Mon dieu, que j’avais honte de moi !

Elle a fini par jouir, sans discrétion. Son mari a repris des mouvements beaucoup plus lent sur le clitoris de Joanna puis je l’ai vu déplacer et activer sa main qu’il utilisait pour doigter ma fille. Ce moment semblait encore plus intense. Joanna a poussé plusieurs plaintes rauques puis je l’ai entendu dire: "Encore, c’est ce que je préfère". Cela a duré plusieurs minutes. Joanna était en plein extase. J’étais curieuse et jalouse: Moi aussi je voulais qu’il me fasse ce qui la mettait dans tel état.

Elle a cramponné les épaules de son mari en écartant et relevant ses jambes et elle a joui une seconde fois. C’était vraiment troublant de voir ma fille avoir un orgasme. Je n’aurais jamais du assister à cela et je le savais.

Mon gendre s’est écarté de Joanna et lui a dit de se mettre sur le ventre. Lorsqu’elle s’est mise à 4 pattes pour se retourner, j’ai vu l’intérieur des cuisses et le pourtour de la vulve de Joanna maculés de salive, mais aussi ses fesses et son petit trou pareillement tartinés de sécrétions. Gustave n’avait pas visité que le vagin de ma fille avec ses doigts.

Mon dieu ! J’ai eu peur de comprendre ce qui avait tant plus à Joanna durant les dernières minutes auxquelles je venais d’assister. Je me suis souvenu de son ton coquin quand elle lui avait dit: "C’est ce que je préfère". J’ai essayé de ne pas penser et je me suis dit que je me trompais.

Elle s’est mise sur le ventre, les jambes écartées. Mon gendre est venu à genoux derrière elle. Il lui a envoyé une claque sonore sur le cul. Elle s’est cambrée en gloussant, comprenant ce que son mari attendait d’elle.

Il a repris son cunnilingus, le visage entre les fesses de ma fille. Elle s’est cambrée encore plus offrant tout ce qu’elle pouvait à son époux. Elle a continué à couiner et gémir. Cela m’a presque énervée.

J’avais compris qu’elle s’éclatait. Pourquoi en rajouter ?! Moi aussi j’aurais voulu y avoir droit.

Cela faisait des années qu’on ne m’avait pas fait un cunnilingus de cette façon. Pourtant j’adorais cela: Sentir le souffle de son partenaire partout, suivre sa langue glisser dans chaque recoin et surtout savoir qu’il ne lâche pas l’entrée de votre cul des yeux. Savoir qu’il n’a qu’une idée en tête: vous proposer de vous prendre "par derrière" pour parler poliment. Qu’on soit prête à dire oui ou qu’on ne le soit pas, être dans l’attente: osera-t-il ou non vous le demander ?

Il me semblait que Gustave, par ses baisers, s’aventurait déjà parfois largement entre les fesses de ma fille. Quelques instants plus tard, il n’y avait plus de doute. Il a tiré la langue puis il a fait glisser la pointe depuis le clitoris de Joanna jusqu’au bas de son dos en parcourant toute le raie de ses fesses. Elle a miaulé de plaisir puis il est redescendu, s’arrêtant celle fois sur la corolle de sa femme. Il lui a saisi les fesses à pleines mains et les a écartées puis il a poussé sa langue en elle. Joanna s’est creusé les reins autant qu’elle pouvait. Elle a tendu son cul en soupirant et j’ai vu mon gendre lui fourrer sa langue vrillée aussi loin qu’il pouvait. Il a baisé le cul de ma fille comme cela. Elle s’est mise à gémir, crier et miaulé en faisant crisser ses ongles sur les draps.

Je savais très bien à quel point cela pouvait être bon. J’ai pensé à Loic, celui qui m’avait fait ce genre de choses mieux qu’aucun autre.

J’ai abandonné toute dignité. J’ai enfoncé plus loin les deux doigts de ma main droite dans mon vagin puis j’ai soulevé ma jupe dans mon dos avec mon autre main. J’ai fait glisser mes doigts entre mes fesses jusqu’à pouvoir accéder à ma chatte. J’ai joint mon majeur aux doigts déjà en moi pour le lubrifier. Vu mon état, il est entré sans difficulté puis je l’ai ressorti pour l’amener contre mon petit trou. Je l’ai enfoncé d’un coup. Je n’avais pas utilisé cet orifice pour le plaisir depuis longtemps. Cela m’a un peu brûlé mais j’ai quand même adoré ça. J’ai fait aller mes doigts en moi devant comme derrière en regardant le spectacle de ma fille se faisant sodomiser par la langue de son mari.

Puis j’ai fermé les yeux, j’étais elle. Gustave me baisait de cette façon tellement vulgaire, j’adorais cela au-delà des mots et je perdais les pédales autant que ma fille était en train de le faire.

J’imaginais mon cul parcouru de spasmes à chaque intrusion de la langue de mon gendre et je jouissais entre ses mains expertes.

J’ai quitté ma rêverie en entendant la voix de ma fille.

— Joanna: "Gustave, J’aime tellement ça. Mon cul sera toujours à toi"

Ma fille ! Je ne t’ai pas élevé comme ça !

Gustave a fini par arrêter. Je ne sais pas si Joanna avait vraiment pu jouir de cette manière mais ça y ressemblait. Il s’est allongé sur elle et a pénétré sa chatte dégoulinante d’envie. Elle a continué à se cambrer et il lui a fait l’amour en s’enfonçant aussi loin qu’il pouvait mais toujours lentement. Ma fille gémissait semblant perpétuellement au bord de l’orgasme. J’ai compris qu’il la prenait comme cela, sans aller plus vite parce que c’était ce qu’elle préférait et non ce dont lui avait envie.

J’ai regardé ses muscles s’activer: son dos, ses cuisses, ses fesses. Il était beau; à cet instant, il me semblait l’amant parfait. J’étais folle de jalousie. Je le voulais pour moi. Je voulais crier: "Lâche cette gamine, viens me baiser, moi !".

Comment pouvais-je penser un truc pareil ? Ma fille; pardonne moi.

J’ai continué à me masturber en m’imaginant que c’était moi qui accueillais sa verge avec délice.

Joanna a joui une fois de plus. J’étais folle de rage d’être misérable derrière ma porte alors qu’elle enchaînait les orgasmes dans les bras de celui qui aurait dû être à moi.

Je devenais folle, au sens médical du terme !

Il a extrait sa queue et a fait remonter le gland jusqu’à la corolle de ma fille, elle se tortillait pour aller à la rencontre de la verge de Gustave. Je lentendais souffler, Elle poussait ses fesses pour se faire sodomiser en murmurant en boucle "S’il te plaît". C’était très perturbant de voir ma fille aussi chaude en train d’implorer son amant pour qu’il l’encule.

Il a appuyé sa queue mais étonnamment l’entrée n’a pas été si facile. Mon gendre a appuyé plus fort mais son coude droit sur lequel il était en appui a glissé et il s’est brutalement enfoncé dans le rectum de Joanna sur presque la totalité son membre.

Elle a hurlé de douleur. Je me suis entendu murmurer "bien fait!". J’ai rougi à l’idée que j’étais définitivement la pire mère de France.

Gustave s’est lentement reculé dans le conduit rectal jusqu’à ressortir complètement; il a embrassé Joanna dans le cou puis l’a pénétré de nouveau, cette fois tendrement et sans encombre. Il a commencé à doucement la sodomiser. Elle n’était pas perturbée par leur petit incident et gardait ses fesses bien tendues. Elle serait tout de même les dents, les ongles cramponnés sur les draps.

J’ai honteusement passé deux bonnes minutes à contempler les fesses de mon gendre s’activer alors qu’il progressait dans l’étroit fondement de Joanna. Je devenais dingue de lui.

Puis j’ai observé le visage de ma fille: j’ai vu son expression changer. Elle était en train de vivre l’instant le plus excitant que j’ai connu dans toute ma vie sexuelle: celui qui se peut se produire lorsqu’un homme s’enfonce entre nos fesses: le moment où la gêne et la douleur s’effacent au profit du plaisir. Le moment toujours troublant où l’on doit reconnaître qu’on est en train de se faire enculer et qu’on aime vraiment ça.

Entre ses pensées et la vue du corps de Gustave, j’avais glissé un second doigt entre mes fesses. J’étais incroyablement excitée. J’aurais été prête à tout subir si on m’en avait laissé l’occasion.

De son côté, ma fille soupirait plus fort. Elle se laissait totalement aller. Gustave lui a dit qu’elle était belle. Joanna a poussé un petit gémissement puis elle a mis ses mains sur ses fesses pour les maintenir écartées et offrir encore plus son cul à Gustave.

Elle était maintenant totalement décontractée et elle s’était accommodée à la présence envahissante dans son rectum.

Gustave se faisait plaisir. Il s’enfonçait de plus en plus loin, sans aller trop vite sans doute pour ressentir sur sa queue le doux frottement des entrailles de Joanna.

Cela a pris quelques minutes mais il a fini par la pénétrer totalement. Ma fille semblait adorer sentir le ventre de son Mari claquer contre ses fesses. Elle laissait échapper un "Haan" de plaisir à chaque fois que son mari s’enfonçait en totalité dans son joli petit cul.

Elle savait y faire. Ce ne serait pas facile de donner envie à mon gendre d’autre chose après une prestation pareille.

Puis, sentant que ma fille avait fait tomber toutes ses barrières, Gustave s’est déchaîné. Durant de longues minutes, il a sodomisé ma fille à fonds en augmentant l’ardeur de son étreinte. Elle en prenait vraiment pour son grade. Il fallait qu’elle ait une sacré expérience dans cette pratique pour supporter un traitement pareil. Je me suis dit que je connaissais ma fille beaucoup moins bien que je ne le pensais.

Joanna miaulait tellement qu’on pouvait croire que d’eux deux c’était elle qui y prenait le plus de plaisir. J’ai pensée avec délice au jour où je serai à sa place. Je me suis sentie horrible de regarder cela et encore plus de m’en exciter.

Je me suis vue avec ma tenue qu’une femme de 60 ans n’aurait pas reniée, les deux mains dans ma culotte à me doigter des deux côtés en regardant ma fille se faire sodomiser brutalement par son mari. Comment avais-je pu tomber aussi bas ?

Si un jour quelqu’un apprenait ça, je ne pourrais plus jamais supporter son regard.

Gustave a enfin ralenti ses pénétrations. Il s’est extrait du fondement de Joanna. Elle est restée cambrée, les mains sur ses fesses sans avoir honte d’exhiber son orifice dilaté.

Mon gendre a fait glisser ses doigts sur sa queue poisseuse. Il semblait avoir envie de jouir sur ma fille. Elle a poussé un soupir. J’ai compris qu’elle allait dire une bêtise pour exciter son mari.

— Joanna: "Ca me manque déjà de ne plus sentir ta bite entre mes fesses".

Il a souri puis il a effleuré de nouveau l’entrée de l’anus de Joanna avec son gland.

Ma fille s’est creusé le dos encore plus jusqu’à se renfoncer elle-même le gland de son mari entre les fesses.

— Gustave: "Qu’est-ce que dirais ta mère si elle te voyait !?"

J’ai soufflé "elle crierait: à mon tour !". Joanna a poussé une plainte pleine d’excitation. Gustave a craqué et j’ai vu à son visage et aux palpitations de son sexe qu’il éjaculait dans le rectum de ma fille.

Elle a froncé les sourcils et souri en même temps. Cela m’a semblé durer une éternité. Joanna a jeté un regard vers son mari, amusée et surprise. Elle avait la même impression que moi, les sensations en plus.

Gustave s’est retiré et s’est allongé sur le dos un oreiller derrière lui. J’ai regardé son visage. Il me semblait encore plus beau.

Sans qu’il ait à demander, Joanna est venu prendre sa queue partiellement débandée entre ses lèvres. Elle s’est enfoncée jusqu’au ventre de son mari. C’était plus facile maintenant. Aux déformations de ses joues, j’ai compris qu’elle faisait jouer sa langue sur le sexe de son homme.

Je voyais l’abondante semence de mon gendre s’écouler de l’anus de ma fille. Je me suis de nouveau imaginée à sa place. J’ai sorti mon index et mon majeur restés dans mon rectum et je les ai portés à ma bouche. A mon grand désespoir, ils n’étaient pas maculés du sperme du grand brun. J’ai fermé les yeux pour m’imaginer le contraire mais ça n’a pas vraiment fonctionné. J’étais malheureusement seule avec ma propre odeur.

Au bout de quelques minutes, Joanna a commencé à se dégager. Gustave a mis délicatement sa main derrière la tête de ma fille et a appuyé jusqu’à sentir de nouveau les lèvres contre son ventre. Elle a gloussé en acceptant docilement de continuer.

Gustave a regardé vers la porte qui m’abritait avec insistance. Il a fait un clin d’il et il a envoyé un baiser dans ma direction. Le doute n’était plus permis: il savait que je les avais observés et il le savait depuis le début.

Jamais de ma vie, je n’avais eu aussi honte mais jamais je n’avais autant eu envie d’un homme. Je voulais qu’il me fasse tout ce que je venais de le voir faire à ma fille et plus encore.

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