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La Gestionnaire – Chapitre 20




Samedi

Lorsque j’ouvre les yeux, la lumière passe par les persiennes. Je ne sais pas l’heure qu’il est. Je sors du lit et me dirige vers la cuisine. Monsieur Armand est là. Sur la table deux bols et un petit-déjeuner complet est dressé.

— Bonjour, chienne…

— Bonjour Monsieur Armand…

— As-tu passé une bonne nuit ?

— Oui Monsieur Armand, j’ai dormi comme un bébé…

Je viens auprès de lui et j’attends. Il me flatte les fesses et m’embrasse sur le front.

— Que prends-tu ?

— Du thé si possible…

Monsieur Armand me prépare mon petit-déjeuner, comme le ferait un amant ou un mari attentionné.

— Mange bien, tu auras besoin de forces aujourd’hui…

Je déjeune de bon appétit. Une fois le petit-déjeuner avalé, Monsieur Armand me pose de nouveau mon harnachement : collier de cuir, poignets et chaussures. Il me réunit encore les poignets dans le dos et les lie à l’anneau de mon collier. Il fixe ma laisse.

— Allez viens, il faut y aller, sinon nous allons être en retard et Henry a horreur du retard… il ne vaut mieux pas l’agacer dès le départ…

Nous reprenons le corridor et sortons dans la grande cour du château. Nous longeons le bâtiment. Il fait frais ce matin. La rosée couvre la nature. Je frissonne. Nous entrons par la grande porte des écuries. Monsieur Armand frappe à une porte. Elle s’ouvre presque instantanément. Monsieur Henry est là.

— Bonjour Armand, ça va. Tu m’emmènes la chienne…

— Bonjour Henry… je te la livre… c’est à ton tour de la dresser… elle comprend vite…

— Nous verrons cela à l’usage…

Monsieur Armand me fait passer devant lui et au passage, il me flatte le cul. Il glisse rapidement un doigt entre mes fesses. J’écarte mes dômes pour faciliter le geste. Il trouve mon petit trou et insinue une phalange. Cette caresse furtive, mais pas méchante me ravit. Monsieur Armand n’est pas si désagréable que cela. Je pense qu’il pourra me guider plus loin dans mon éducation… Il quitte la pièce. Monsieur Henry m’interpelle :

— Chienne, sais-tu monter à cheval ?

— J’ai fait de l’équitation quand j’étais adolescente…

— Bien nous allons faire un petit tour dans le manège et si tout va bien nous irons faire un tour dehors…

Nous passons dans la pièce à côté.

— Tu chausses combien ?

— 37, 38…

Il me tend une paire de bottes et une bombe. Je ne peux pas les prendre, j’ai les bras liés. Il me pose la bombe sur la tête et me fait ouvrir la bouche.

— Ouvre la bouche…

Il me glisse entre les dents le haut des bottes. J’ai compris. Je serre les dents et le suis. Nous entrons dans le manège couvert. Il me détache les mains.

— Mets vite tes bottes…

Je me masse un peu les poignets. La position avec les bras attachés dans le dos est ankylosante. J’enfile le plus rapidement possible les bottes. La tige de cuir souple glisse mal sur ma peau.

— Tu n’as pas encore terminé ??

— Je suis prête, Monsieur Henry…

— Nous y allons !

De nouveau il réunit mes poignets dans mon dos. Il me guide par ma laisse. Le couloir des box est éclairé. Il s’arrête face à un box. A l’intérieur, un grand cheval piaffe. De robe presque noire, il est majestueux.

— Je te présente Rail… il a sept ans… c’est un étalon…

— Mais je ne sais pas si je saurais me faire obéir d’un étalon…

— Monsieur François m’a demandé de te dresser avec lui…

Il entre dans le box. Il attrape Rail au licol et le sort. Nous allons vers la sortie.

— Retourne dans le manège… je le selle et j’arrive…

J’attends patiemment au milieu du sable blanc de la piste. Le bruit des sabots de Rail retentit dans le couloir pavé. Ils entrent dans le manège et stoppent devant moi.

— Voilà ta monture…

Rail est harnaché. Mais la selle est curieuse. Elle est rigoureusement identique aux selles de monte hormis l’assise. Elle n’existe pas. Lorsque je vais m’asseoir, mes fesses seront en contact direct avec le pelage de Rail.

— Je ne peux pas monter les bras attachés…

Monsieur Henry vient près de moi.

— Pose ton genou dans ma main et je te pousse en haut…

Je donne mon genou dans la paume calleuse et je me sens propulsée vers le haut. Je lance ma jambe au-dessus de la croupe et je retombe sur le dos de Rail. Il bouge un peu. Heureusement que Monsieur Henry le tient. La sensation est étonnante. Le crin me pique les lèvres et les fesses. Monsieur Henry place mes pieds dans les étriers. Il libère mes poignets de mon collier pour les verrouiller aussitôt sur l’arrière de la selle. Ma laisse est attachée au pommeau de la selle.

Au sifflement doux, de Monsieur Henry, Rail se met à tourner dans le manège, au pas, puis au trot. J’essaie de garder mon équilibre. Au bout de quelques minutes, l’écuyer de Maître FX me félicite :

— Tu montes bien… nous pouvons aller plus loin…

Il ouvre la porte du manège et Rail sort vite. Nous sommes dehors. Le soleil est caché par des nuages. Aussitôt, Monsieur Henry arrive. Il monte lui aussi un cheval de grand gabarit. Il part vers le parc. Un coup de sifflet intime l’ordre à Rail de le suivre. Nous trottons sur les pelouses. Le crin irrite mon sexe. Le frottement n’est pas agréable, bien au contraire. C’est comme si l’on me passait une brosse sur le sexe et cela sans ménagement. L’air frais et humide du matin me glace. Mes seins sont tendus et mes tétons pointent. J’ai froid. Ma peau se granule. Monsieur Henry me surveille du coin de l’il. Il remarque mes grimaces et constate que je soulage mon sexe en me dressant sur les pieds avec les étriers. Il saisit les rennes et arrête les chevaux. Il saute de sa selle.

— Tu es une tricheuse… mais je t’ai l’il…

Il sort mes pieds des étriers et avec un lien attache mes chevilles aux lanières des étriers. Il ôte les pièces métalliques qui me servaient de support. C’est fini. Je ne vais plus pouvoir soulager le frottement sur mon sexe. A peine remonté sur son cheval, que de sa cravache, il cingle la croupe de Rail. Ce dernier part au galop. C’est horrible. Mon corps saute et retombe lourdement sur le dos de l’animal. Je ne peux pas me retenir ni amortir mes mouvements.

— Arrêtez, Monsieur Henry, s’il vous plaît, arrêtez…

— Et pourquoi faut-il arrêter notre promenade ?

— J’ai trop mal… et j’ai froid aussi…

— Très bien nous allons nous faire une halte à la maison des chasseurs…

— Merci Monsieur Henry…

Il nous guide vers un vallon. Le toit d’une petite maisonnette se découvre à travers la frondaison des arbres centenaires. Nous arrivons auprès du petit bâtiment. Une terrasse couverte est protégée par une balustrade comme au Far West. Monsieur Henry saute de sa monture et noue les rennes autour de la barre horizontale. Il réalise la même opération pour mon cheval. Il libère mes chevilles et mes poignets. Il me bascule sur son épaule puis me dépose au sol. Je grimace de douleur. Je me penche et en écartant les cuisses je constate que ma chatte est rouge et très irritée. Il m’entrave de nouveau les bras dans le dos.

— Allez avance chienne…

En marchant en canard, les cuisses écartées pour ne pas froisser encore plus mon petit abricot, j’avance vers la terrasse.

— Tu marches comme si tu avais un balai dans le cul…

— J’ai très mal…

— Rappelle-toi que tu dois être éduquée…

— Oui Monsieur Henry…

Il m’invite à entrer dans la maison. Je pousse la porte dont la partie vitrée est occultée par un rideau brodé blanc. Monsieur Henry est derrière moi et me pousse en avant. Autour de la table de ferme qui occupe une grande partie de la pièce unique, une dizaine de chasseurs sont assis, avec un verre en main. Comme un seul homme ils s’adressent à moi :

— Bonjour Mademoiselle !

Je bredouille quelques mots…

— Dis bonjour correctement à nos amis…

— Bonjour Messieurs…

— Avance…

Vu ma tenue, les yeux des hommes sont prêts à sortir de leurs orbites. Ils me mangent du regard. Monsieur Henry me pousse pour que j’avance. Un des hommes en tenue verte me propose :

— Vous souhaitez prendre quelque chose avec nous ?

— Heu…

Monsieur Henry intervient sèchement :

— Tu n’es pas très sympathique, chienne, lorsqu’on t’offre quelque chose, on l’accepte, compris…

— Oui Monsieur…

— Que veux-tu ?

— Un verre d’eau, s’il vous plaît…

Un homme approche et me tend un verre. Un liquide ambré remplit à moitié le gros verre. Vu la couleur, c’est du whisky.

— Ici on ne boit pas d’eau…

Je porte mon verre à ma bouche. C’est un alcool dur et fort. Je trempe mes lèvres et avale une petite dose. Je tousse. Monsieur Henry intervient de nouveau :

— Petite gourde, tu ne sais même boire… avale tout d’un coup… cul sec… quoique ton cul ne doit pas être très sec…

Les chasseurs rient de bon cur. J’avale d’un coup la dose d’alcool. Je tousse, je hoquette… Monsieur Henry, après avoir ri de bon cur lance à la cantonade :

— Cette petite chienne va vous dire bonjour personnellement. Il serait bien que nous passions dans le salon…

Il me guide avec le groupe de personnes. Je ne sais pas ce que je vais devoir faire. Le salon est vaste. De grands canapés trônent et agrémentent le local. Dans la cheminée, un feu réchauffe l’atmosphère. Je reste debout, à côté de Monsieur Henry. Tous les hommes s’assoient confortablement. Monsieur Henry m’explique ce que l’on attend de moi !

— Chienne, tu vas sucer chaque chasseur, les uns après les autres, gentiment et tu vas tout avaler… compris…

— Oui… Monsieur Henry…

Déjà les mains s’activent sur les fermetures des braguettes. Les mains fouillent dans les pantalons à la recherche de sexes avides de caresses. Sur le premier canapé, trois hommes sont prêts à être honorés. Monsieur Henry me pousse vers le premier et la main sur la nuque m’oblige à m’agenouiller. Les cuisses ouvertes, le pantalon baissé sur les bottes, le caleçon à mi-mollets, la bitte molle entre ses doigts, il commence un va-et-vient. La main sur ma nuque me place face à cette saucisse. J’ouvre la bouche et absorbe la chose. Une désagréable odeur de transpiration me monte au nez. La saucisse prend vie. Je l’aspire, la cajole. En quelques secondes, le massage de ma langue fait effet. L’homme souffle, chuinte. Sa main se pose sur ma tête empêchant tout recul de ma part. La montée de la semence provoque des soubresauts de la queue. Il va se vider. Des giclées arrivent sur ma langue. C’est épais, gras et acide… dégueulasse… Je suis contrainte à nettoyer l’engin avant de pouvoir le recracher et de passer au suivant.

A genoux, le sol rugueux me griffe. Manipulation identique pour le second… mais il est plus rapide… le spectacle de son voisin se faisant sucer l’a excité… Ainsi de suite pour les autres. Les spermes changent de goût, de consistance, de parfum. Tous sentent le mâle transpirant. Enfin le dernier… c’est un jeune homme… vingt, vingt-cinq ans au maximum… il est gêné… il ne veut pas faire cela devant les autres… le chef du groupe lance :

— Va faire cela sur la terrasse, le temps que l’on termine notre apéro…

Il n’ose pas. Monsieur Henry me tire par ma laisse et me pousse dehors. Le jeune homme me suit, rouge bégayant…

— Mademoiselle, excusez-moi, vous n’êtes pas obligée de faire cela avec moi… si vous ne le voulez pas… on peut faire semblant…

— Si Monsieur Henry voit que je ne vous suce pas, il va me corriger, alors, je préfère vous sucer, à moins que vous ne me trouviez pas à votre goût, trop vieille, pas assez jolie…, je comprendrais…

— Oh non Mademoiselle, vous êtes très jolie et je suis sûr que vous faites cela très bien, mais je ne suis pas un habitué de la chose en public…

Je l’entraîne au bout de la terrasse, à l’abri des regards du salon. Je passe ma main sur son entrejambe.

— Hum……… qu’elle est grosse ta queue, j’en ai envie……. !

Je dézippe son pantalon. Saisissant la ceinture de mes deux mains, je tire vers le bas. Je baisse en même temps le pantalon et le caleçon. L’objet est là. Il commence à se relever malgré la température très fraîche. J’empoigne un sexe déjà raide… Mes mains se promènent sur son sexe, le caressent. Très vite je les remplace par ma bouche et ma langue.

— Tu aimes que je te suce.

Je promène son sexe sur mon visage. Je le reprends dans ma bouche, mes mains prennent appui sur ses cuisses. Il passe ses mains dans mes cheveux. Ses doigts se crochètent dans ma chevelure et me donnent le rythme. Je recrache sa bitte luisante.

— Je ne veux pas venir dans ta bouche, mais en toi, dans ton sexe…

— Je ne sais pas si j’ai le droit…

— S’il te plaît…

Je me redresse et prenant appui sur la balustrade, je lui présente mon cul.

— Prends-moi, vas-y…

Il avance derrière moi. Il passe sa main entre mes cuisses. Il flatte mon sexe. Il dégouline, il ruisselle de mouille. Son sexe s’approche du mien. Son gland se pose à l’entrée de ma grotte. Doucement, il appuie et entre comme dans du beurre. C’est doux, c’est bon… Ses mains posées sur mes hanches donnent le rythme. L’une de ses mains quitte ma hanche et remonte vers ma poitrine. Sa main empaume mon sein. Il me met de grands coups. Il a besoin de se vider, l’envie est trop grande. Il prend mes cheveux à pleines mains et me tire en arrière. Il bute au fond de mon ventre. J’ai mal.

— Tu es une petite salope…

— Oui si tu veux… je suis à toi… fais ce que tu veux de moi…

— Je veux ton cul…

— Si tu veux, prends-moi comme un garçon…

Je me penche encore plus. Mon cul se relève, se tend. Quand je sens son sexe contre mon anus, je résiste un peu. Je préfère freiner les ardeurs de mon jeune amant. Il pousse d’un coup sec. Je crie fort quand il me pénètre. J’essaie de ralentir des coups. Il me tient pas les cheveux et me tire en arrière pour que je sois plus docile.

— Arrête, fais doucement…

Puis d’un seul coup, le plaisir monte. Je le sens. Il vient comme une tornade.

— Continue…

Il me claque les fesses à grands coups de mains. Son plaisir arrive. Sa verge se gonfle, grossit. Puis les flots arrivent déferlent dans mon sexe. Il jouit. Je jouis moi aussi. Il se retire. Je me relève et lui pose un baiser sur les lèvres. Il me saisit par le cou.

— Nettoie-moi.

Il me force à m’agenouiller. Sa bitte est molle. Il y a des restes de mes entrailles. Je suis écurée. Sous la pression de ses mains, j’avale le sexe mou. Je le lave de ma langue. Une fois propre, je le recrache.

— Merci salope…

Je ne dis rien… il me tire par la laisse dans la maison. Notre arrivée est saluée par des "hourra" et des "félicitations". Il rejoint sa place autour de la table. Monsieur Henry m’appelle :

— A genoux à mes pieds…

J’obéis et m’installe au niveau de sa chaise.

— Non, tu n’as rien compris… c’est sous la table que tu vas…

Il s’écarte pour me laisser un passage. Il fait noir sous la table. La laisse se tend. Je me retourne. Les cuisses de Monsieur Henry sont ouvertes. Il ouvre sa braguette. Son sexe saute hors de son pantalon. Sa main me tire vers sa queue. Je la gobe.

— Fais durer… pendant tout le repas…

Son sexe est drôle. Un champignon pointu en guise de gland, sa verge est recourbée vers le haut. Naturellement, dans ma bouche, le gland vient frotter contre mon palais. Curieuse sensation… je m’efforce de satisfaire Monsieur Henry. J’ai envie de le faire venir plus vite qu’il le souhaite. Je m’acharne sur le gland et alterne des caresses de mes lèvres et des légers mordillements. Je ressens l’effet de mes agaceries immédiatement. La verge s’anime de mouvements incontrôlés. J’ai des difficultés à conserver le gland dans ma bouche. Les cuisses masculines s’ouvrent et s’écartent en fonction de l’excitation montante. Soudain une main saisit mes cheveux et me presse le visage contre le pubis. Les poils me chatouillent le nez. La verge gonfle dans ma bouche. J’ai la sensation d’étouffer. Les jets de semence envahissent ma bouche. J’ai réussi. Monsieur Henry n’a pas pu se retenir. Je suis fière de moi, et cela grâce à toi, Mon maître Adoré. C’est toi qui m’as appris à sucer un homme. Monsieur Henry ne peut se retenir :

— La salope… c’est une sacrée suceuse cette chienne… elle m’a eu…

Tous les convives rient de bon cur… J’espère que je vais pouvoir sortir de dessous la table. Mais je n’en ai pas l’autorisation. Alors, le sexe mou dans la bouche, je recommence ma succion. Monsieur Henry apprécie. J’entends les bruits de service. Des cris de jeune femme me parviennent étouffés. Apparemment, deux jeunes femmes font le service. Mais les hommes ne doivent pas se gêner de profiter de leurs charmes. Je patiente sous la table. Une bonne odeur de café se répand dans la pièce. J’ai faim.

Monsieur Henry recule sa chaise. Il tire sur ma laisse. La lumière me fait cligner des yeux. Il me tire hors de la table. Je me lève et il me positionne derrière lui.

— Tu as envie de quelque chose, chienne ?

— J’ai un peu faim… Monsieur…

— Messieurs, notre chienne favorite a faim… il faut de nouveau la servir…

— Mets-toi à genoux, les cuisses écartées…

Je m’installe. Aussitôt les hommes se lèvent et viennent devant moi. J’ai compris. Les braguettes s’ouvrent de nouveau. Les sexes mous pendent. Je prends le premier en bouche et lui administre une fellation. Quelques minutes plus tard, il se vide dans cette bouche si accueillante. Ils se suivent tous à la queue leu leu. Je suis obligé d’avaler leur semence, car ils me tiennent la tête par les cheveux. Je ne sais pas quelle quantité de sperme j’ai avalée depuis mon arrivée dans ce refuge de chasse, mais certainement plus d’un grand verre. Après que le dernier chasseur se soit vidé et sorte de la pièce, Monsieur Henry appelle les deux serveuses :

— Mes demoiselles, venez ! Je vous propose une partie de plaisir…

— Monsieur Henry, je n’ai jamais fait cela avec une femme…

— Il faut bien apprendre…

Les deux filles arrivent. Elles ont une vingtaine d’années tout au plus.

— Installez-vous sur la table… Les fesses au bord… Relevez vos jupes

Les femmes obtempèrent sans rechigner. Il me dispose face à la première.

— A genoux chienne et régale cette gamine.

Je distingue sa petite chatte toute rose, toute lisse et imberbe. Les lèvres sont superbement bien dessinées et charnues. Je ne peux plus quitter des yeux ce charmant tableau. Monsieur Henry intervient :

— Vous avez des lèvres superbes Mademoiselle, j’en ai rarement vu d’aussi belles.

La donzelle minaude. Elle espère ainsi s’attirer les bonnes grâces de l’écuyer. Elle répond :

— Vous trouvez ? Vous parlez de quelles lèvres, Monsieur, celles de ma bouche ou celles que je découvre face à votre esclave ?

— Celles du bas, gourgandine… chienne, assure-moi qu’elles sont bien chaudes et mouillées…

Monsieur Henry me pousse la tête sur le sexe béant. Entre les lèvres, la mouille coule. Mais les coulées ne sont pas dues à la seule excitation. Du sperme sort de la grotte. Elles ont dû aussi satisfaire les chasseurs avec leurs charmes juvéniles. Alors, n’écoutant que mon courage, j’approche mon visage du sexe offert. Une odeur de mer règne entre les deux cuisses. La jeune femme me facilite les choses. Elle porte sa main entre ses jambes, écarte de deux doigts son sexe et fait sortir son petit bouton d’amour. Elle se caresse, doucement au départ puis de plus en plus vigoureusement à mesure que montait son plaisir. J’ai sous les yeux, toutes cuisses écartées, la vulve ouverte et juteuse de cette femme. Elle attend mes caresses pour se laisser à son plaisir. Je me rapproche lentement, en embrassant l’intérieur de chacune de ses cuisses. Elle sent ma tête poursuivre sa route vers sa vulve brûlante de désir. Plus j’avance, plus elle ouvre les cuisses. Elle pose ses talons sur le bord de la table et passe ses coudes à l’intérieur de ses genoux.

Elle semble complètement désarticulée. Elle m’offre son corps sans retenue. Lorsque ma langue entre en contact avec les lèvres humides, elle frémit et me colle les lèvres contre ce sexe avide. Son clitoris me frotte le nez. Il est tendu, dur et prêt aux caresses et aux plaisirs. Je lèche donc ce sexe. Je goûte la liqueur féminine pour la première fois. Mi acide, mi sucrée, je ne trouve pas cette saveur désagréable. Je continue ma découverte, passant de haut en bas ma langue sur son clitoris tendu. Elle se mit instantanément à pousser de petits cris. Je fais comme lorsque je m’offre du plaisir solitaire. Sans cesser mon léchage, je la caresse, j’insinue un puis deux doigts à l’intérieur de sa grotte.

Il n’en faut pas plus pour lui provoquer des spasmes au bas du ventre. Elle me saisit par les cheveux et me colle le nez dans son sexe. J’étouffe. Je suis obligé d’avaler une bonne giclée de foutre féminin. Elle explose. Un cri, un râle venu du plus profond de son corps emplit la salle. Elle est secouée dans tous ces membres. Elle jouit et perd toute conscience tant elle vit son plaisir. Je ne la connaissais pas avant et je viens de la faire jouir. Mon sexe aussi a pris un plaisir certain. Il est humide et poisseux. Mes lèvres sont collées entre elles. A peine ai-je fini de profiter de la jouissance de jeune femme que Monsieur Henry, me tirant par ma laisse me place face à un autre sexe féminin, béant lui aussi. Mais la jeune femme a commencé à se faire du bien. Elle s’offre nue à mon regard. Mes yeux dévorent et fixent sur l’abricot lisse, rose et juteux niché en haut de ses cuisses. Sous une bande de poils bien taillés, ses deux lèvres se montrent. Elles sont rouges de sang. Elle a dû frotter dur pendant ma séance avec sa copine.

Elle s’installe plus confortablement sur la table, en écartant un peu plus les cuisses offrant à ma vue ses lèvres déjà brillantes de mouille. Son sexe blond dévoile des nymphes humides. Lentement sa main glisse vers son minou, un doigt dessine ses lèvres, les écarte un peu. Elle attend, les yeux clos, bouche ouverte, les deux seins tendus. De la langue, j’écarte un peu ses lèvres. J’explore son sexe. Il ressemble à un coquillage. Elle a un goût différent, un mélange léger, salé. A peine effleuré, son clitoris se gonfle. Je lèche, lape les lèvres et le clitoris tendu. Je fouille de la langue ce sexe offert. Son sexe se liquéfie. Son suc me coule dans ma bouche. Elle mouille comme une fontaine. Ma langue fouille, aspire ses lèvres, les mordille. Je mordille son clitoris et le pince entre ses lèvres. Il se gonfle. Je le suce comme je le ferais d’une bitte. Sans prévenir, j’enfonce trois doigts entre ses lèvres. Elle crie de surprise. Je commence un lent va-et-vient dans sa chatte. Mon pouce se pose sur son clitoris et l’agace.

Elle crie. Une vague de plaisir la submerge. Ses cuisses se referment, emprisonnant ma tête contre son sexe. Elle feule. Je sais qu’elle ne simule pas son plaisir. Monsieur Henry me tire en arrière :

— Allez c’est terminé… on rentre chienne…

Il me tire hors de la chaleur du ventre féminin. Nous sortons. L’humidité me fait frissonner. Il m’aide à monter sur le dos de Rail. Nous repartons vers le château.

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