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Les bachelières – Chapitre 4




Mardi

En me réveillant vers 7h30, je me remémore tout ce que j’ai découvert hier soir. Et il y en a des choses perturbantes !

D’abord, je réalise que mon amie, que je prenais jusquà il y a peu pour une gentille petite ado, est, en réalité, une superbe femelle, dotée d’un corps à damner tous les saints, qu’elle est une allumeuse de première, capable d’embraser aussi bien les filles que les garçons et qu’elle est apparemment accro au sexe au point de séduire son propre frère.

Ensuite, que celui-ci, en plus d’être un vrai Adonis équipé d’un sexe appétissant, n’a aucun complexe à se branler et n’hésite pas à baiser sa petite sur qui, visiblement, ne demande que ça !

Et moi, au milieu de cette fratrie particulière, j’ai le sentiment de ne pas encore avoir trouvé ma place.

Certes, je me suis laissée enflammer par Morgane, j’ai joui dans ses bras et sous sa langue et elle n’a d’ailleurs pas été en reste. Certes j’ai maté son frère qui se masturbait et j’en ai bavé d’envie en le voyant éjaculer. Certes je les ai regardés s’aimer et se faire jouir mutuellement sans retenue.

Mais moi, je me languis d’accueillir dans ma chatte cette splendide queue que j’ai vue à l’ouvrage.

Seulement, je me vois mal draguer Pascal sous les yeux de sa sur après ce qui s’est passé entre nous. En fait, l’idéal serait que ce soit lui qui fasse les premiers pas. Mais comme on ne se rencontre que quelques minutes par jour lorsqu’il prend son petit-déjeuner, ça risque de prendre du temps et je ne reste là que jusquà dimanche !

C’est un peu la quadrature du cercle et je m’en remets au hasard pour voir la tournure que prendront les événements. Et puis, j’ai quand même Morgane qui, à elle seule, a tout ce qu’il faut pour me rendre heureuse.

Je chasse donc toutes ces pensées érotiques de mon esprit en me rappelant que je suis ici d’abord pour étudier ! Et je descends pour entamer une nouvelle journée de labeur.

Nous passons donc toute la journée à travailler différents cours et, le soir venu, après le dîner, Morgane se tourne vers moi avec un grand sourire.

— Plutôt que de perdre notre temps devant la télé, allons dans ma chambre. J’ai envie de toi !

Impossible d’être plus directe. Je décide donc d’être aussi directe qu’elle.

— Moi aussi, Morgane, j’ai furieusement envie de toi. Allons-y tout de suite.

Arrivées dans sa chambre, nous nous débarrassons prestement de nos vêtements et nous nous couchons nues sur son lit. Me remémorant notre première nuit d’amour, je lui demande :

— Tu n’aurais pas un deuxième gode, car j’ai envie de ressentir à nouveau ce que tu m’as fait l’autre soir mais j’ai aussi envie de te faire la même chose en même temps ?

— Non, je n’en ai qu’un seul mais je sais que ma mère en a un. Avec un peu de chance, en cherchant dans la chambre de mes parents, je pourrai peut-être le trouver. Reste ici, je reviens. Et pendant ce temps, mets le mien à chauffer !

Je la regarde se relever. Mon Dieu, qu’elle est belle ! Je ne peux détacher mes yeux de ses seins fièrement dressés, gros, pleins et défiant les lois de la pesanteur. De même, ses fesses rondes et fermes me donnent envie de les empoigner et de les pétrir.

Mais je la laisse sortir et partir à la recherche du sex-toy de sa mère. C’est étonnant d’ailleurs qu’elle sache que sa mère possède un dildo. Ce n’est généralement pas le genre d’objet qu’on laisse traîner à la vue de ses enfants ! Peu importe, le principal c’est qu’elle le trouve et qu’on puisse en profiter.

Et de fait, au bout d’un moment, Morgane revient en tenant à la main un gode qui me semble énorme. Il doit bien faire 25 centimètres de long et six centimètres de diamètre. Pour une femme de 45 ans, c’est peut-être normal mais j’ai du mal à imaginer cet engin dans ma chatte ! Bah ! On verra bien.

— Et voilà ! Avec ça, on ne va pas s’ennuyer. Mais je te préviens, celui-ci est plus gros mais plus basique que le mien. Il n’est ni chauffant ni vibrant. Ça te va ou tu préfères le mien ?

— Pour le savoir, il faut essayer !

Et nous nous mettons têtes bêches pour nous faire mutuellement du bien. J’écarte les petites lèvres de sa chatte et, à peine ai-je donné deux ou trois coups de langue sur son clitoris, qu’elle mouille déjà abondamment. Elle en avait effectivement vraiment envie !

Lorsque je commence à introduire le gode bien chaud dans son vagin, celui-ci glisse tout seul vers les profondeurs de son corps tellement le passage est lubrifié. J’enclenche alors les vibrations et je sens Morgane se tendre de bien-être au contact combiné de ma langue et du dildo qui l’envahit. Je vois sa vulve palpiter de plaisir et aspirer le sex-toy à chaque mouvement de mon poignet.

Pendant ce temps, elle n’est pas restée inactive. Elle a aussi déclenché un flot de cyprine dans mon vagin en le titillant avec ses doigts et sa langue.

S’emparant alors du gros gode qu’elle a préparé en le mouillant de lubrifiant vaginal, elle commence à me pénétrer avec cette imposante copie d’un sexe masculin. Et, à part l’absence de chaleur, l’imitation est parfaite. Le toucher est doux comme de la peau, la raideur est idéale, entre rigidité et souplesse, et le volume est tel que Morgane doit y aller doucement pour que mes muqueuses s’habituent à une telle invasion.

Et lorsque mon corps a accepté celle-ci, elle entame un lent mouvement de va-et-vient qui me fait trembler de plaisir. Je sens ce membre frotter partout à l’intérieur de mon vagin, elle le pousse tout au fond jusqu’à ce qu’il vienne buter contre mon utérus. Puis elle accélère le rythme.

Elle pose alors sa langue sur mon clitoris et commence à le lécher puis à le sucer en le pinçant entre ses lèvres.

Et, chacune pompant le sexe et le clito de l’autre, nous nous envolons pour le paradis que nous atteignons ensemble dans un concert de gémissements et de halètements.

Je vois des étoiles partout pendant un bon moment après cet éblouissant orgasme. Et, moi qui, vu mon jeune âge, n’ai pas encore accueilli beaucoup de pénis dans ma chatte, je comprends tout à coup tout le plaisir que peut me procurer mon corps. Je n’ai qu’à me laisser guider par mes envies et accepter de tout essayer.

Morgane, quant à elle, a également joui sous mes caresses et c’est, lovées l’une contre l’autre, que nous nous assoupissons.

Une heure plus tard, je me réveille et me dégage des bras de mon amie. Ou devrais-je dire maintenant de mon amante ? Elle marmonne deux ou trois mots incompréhensibles puis se rendort.

Je quitte alors sa chambre et retourne dans la mienne en emportant mes vêtements. Je ne suis pas encore couchée que j’entends la moto de Pascal vrombir à l’entrée du garage.

Je l’avais oublié celui-là, toute à savourer mon plaisir dans les bras de sa sur. Mais, maintenant qu’il se manifeste à nouveau, mes pensées de ce matin me reviennent en mémoire. Et mon envie de baiser avec lui se rallume in petto ! Cependant, le problème pour le séduire reste entier.

Qu’à cela ne tienne, je vais au moins me faire plaisir en allant le mater, en espérant qu’il se branle, ce qui semble probable vu qu’il semble très porté sur la chose.

Je laisse passer un moment pour lui donner le temps de s’y mettre puis je descends et m’installe à mon poste d’observation. Et là, bingo, Pascal est lancé dans une nouvelle séance de masturbation.

Je l’observe longuement, hypnotisée par le spectacle, les yeux écarquillés par l’excitation et l’eau à la bouche tant j’ai envie de sucer cette bite resplendissante. Je ne remarque pas immédiatement qu’il change de position sur son lit et, tout à coup,… il m’aperçoit.

— Oh, tu es là Mélanie…

— Euh, je… pardon…, je ne sais pas… je n’aurais pas dû… excuse-moi… oublie-moi, je m’en vais…

Je ne sais pas où me mettre ni quoi dire tellement je suis gênée. Je ne réalise même pas que je suis moi-même nue comme un ver sous ses yeux.

— Non, non, Mel, ne t’excuse pas, au contraire, reviens, je suis bien content de te voir là. Entre et couche-toi près de moi. Depuis que tu es arrivée samedi j’ai envie de toi et je ne savais pas comment te le faire comprendre. C’est à toi que je pensais en me branlant ! Et bien maintenant, le problème est résolu. Car, vu ta tenue, je suppose que tu n’es pas venue pour me demander l’heure… !

Mince alors, je ne m’attendais pas à celle-là. Mais j’en suis comblée et je n’hésite pas à entrer complètement à poil en pleine lumière dans sa chambre.

— Mon Dieu, tu es encore plus belle que je ne l’avais rêvé. Viens contre moi que je caresse ton splendide corps.

Non seulement je viens contre lui mais, sans préambule, je réalise immédiatement mon fantasme : je prends son phallus tendu entre mes mains et j’avale son gland.

— Aouh, que c’est bon… vas-y, continue… vas-y encore… plus fort…

Puisque ça lui plaît, je sors le grand jeu. Entre ma langue qui court partout sur sa bite, mes mains qui le pompent et lui malaxent les couilles et ma gorge qui l’engloutit, il ne tarde pas à monter comme le lait sur le feu.

Mais je ne veux pas qu’il jouisse trop vite, pas sans moi,… et j’attends beaucoup de lui ! Je ralentis donc mes caresses et il comprend tout de suite le message.

Nous inversons nos positions et, maintenant, c’est lui qui me lèche et me suce. Et il est très doué ! En quelques secondes, je mouille comme une fontaine et mon sexe appelle désespérément le sien.

Et, ça aussi, il le comprend très vite. Avec beaucoup de douceur, il m’installe sur le dos, écarte mes cuisses et présente son sexe à l’entrée du mien. Je prends sa queue en main et la guide pour qu’il s’enfonce en moi sans hésitation.

Et, enfin, je le sens tout au fond de mon ventre, puissant et délicat à la fois, impatient et pourtant attendant que je donne le signal de départ.

Ce que je fais illico. Soulevant mon bassin à la rencontre du sien, j’imprime un rythme soutenu mais pas diabolique non plus. Car je tiens à profiter le plus longtemps possible de cette queue qui me donne tant de sensations merveilleuses.

J’ignore combien de filles il a déjà baisées en dehors de Morgane et moi, mais il doit y en avoir d’autres car il fait ça comme un dieu. Tout en douceur et pourtant avec force, il me remplit de bonheur et de plaisir.

Et, comme hier avec sa sur, il me fait la démonstration de toute sa science du coït. Je n’ai pas compté mais il m’a déjà prise dans au moins cinq ou six positions différentes lorsque je sens les prémices de l’orgasme tressaillir dans mon ventre.

— Oh oui chéri, ne t’arrête pas… continue comme ça… je vais venir…

Il me pénètre profondément en levrette en pétrissant mes seins de ses deux mains quand, à ses coups redoublés, je sens que lui aussi arrive.

— Vas-y, maintenant… laisse-toi aller… donne-moi ton sperme… jouis très fort…

Il rugit de plaisir lorsque je sens son jus gicler par saccades au plus profond de moi, ce qui provoque instantanément mon propre orgasme. Tout mon corps est secoué de tremblements irrépressibles, je continue à m’agiter pendant de longues secondes pour prolonger ma jouissance puis je me laisse aller entre ses bras qui se referment sur moi. Je sens sa queue sortir de mon vagin et son sperme couler sur l’intérieur de mes cuisses. Je suis comblée.

— Salaud, me trahir avec ma meilleure amie, tu devrais avoir honte !

Nous sursautons tous les deux et tournons la tête vers la porte où Morgane, debout dans toute sa splendide nudité, nous regarde furibarde.

— Oh, Mo, ma chérie, qu’est-ce que tu fais là ? Ne te sens pas trahie. Tu sais combien je t’aime, ma petite sur adorée, mais je n’ai fait que croquer le magnifique fruit des îles que tu m’as toi-même amené et ça ne change rien entre nous. D’ailleurs, tu as fait la même chose et je ne te l’ai pas reproché !

— Que… quoi… euh… comment sais-tu ça ?

— Eh bien, l’autre soir en rentrant du boulot, j’ai eu terriblement envie de toi et je suis monté pour venir te faire l’amour. Mais en arrivant dans le couloir, j’ai vu de la lumière passer sous ta porte. J’ai collé l’oreille pour écouter et, comme je n’entendais rien, j’ai ouvert doucement et je vous ai vues toutes les deux couchées nues sur ton lit. J’ai tout de suite remarqué ton pubis rasé et ton gode encore planté dans le sexe de Mélanie. Je n’ai pas eu besoin d’autre explication pour comprendre ce qui s’était passé ! Et comme vous dormiez toutes les deux, je ne vous ai pas réveillées… mais je me suis branlé en vous regardant car c’était irrésistible. Donc, tu vois que je n’ai fait que suivre ton exemple. Mélanie est tellement désirable que personne ne pourrait résister.

Et là-dessus, il me roule une pelle jusqu’au fond de ma gorge.

— D’accord, tu as raison. Je te pardonne… à condition que tu me fasses jouir comme tu viens de le faire avec Mélanie.

— Viens près de nous, on va s’occuper de toi !

Et Morgane se couche entre son frère et moi.

Immédiatement, il met les mains sur ses seins et les caresse en titillant les pointes qui se dressent. Il l’embrasse tendrement puis se glisse entre ses jambes et lui prodigue un cunnilingus qui la fait frémir d’excitation.

Pendant ce temps, pragmatique, je me dis que s’il veut enfiler sa sur il faut le faire bander, ce qui n’est pas gagné vu qu’il vient d’éjaculer dans mon ventre. Je me porte à mon tour vers son pubis et j’empoigne son membre tout ramolli.

Je le mets en bouche et je goûte pour la première fois la saveur particulière du mélange de son sperme et de ma propre cyprine. Je ne peux pas dire que ce soit le nectar des dieux, mais, curieusement, ça me plaît au plus haut point ! Je lèche donc consciencieusement tout son sexe, en insistant avec gourmandise sur son gland, jusqu’à ce que plus une goutte ne subsiste, ce qui a pour effet de démarrer rapidement une nouvelle érection.

En quelques minutes, Pascal est de nouveau au garde-à-vous, prêt à honorer sa frangine.

Il la met à genoux par-dessus moi, passe derrière elle et l’embroche en levrette. Ses gros seins, qui pendent à dix centimètres de mon visage, balancent au rythme des coups de reins de Pascal. Je l’attire contre moi pour mettre ses tétons dans ma bouche et je les suce comme le ferait un bébé. En même temps, je caresse son clitoris et je sens la queue de son frère entrer et sortir de son vagin.

Entre mes doigts, ma bouche et la bite de son frère, Morgane ne peut pas tenir longtemps et explose en giclant dans tous les sens.

Cette nuit-là, nous la passons tout entière à faire l’amour tous les trois ensemble. Je ne sais pas combien de fois nous avons joui mais au petit matin, nous nous endormons, épuisés mais repus, gavés de plaisir.

Heureusement pour lui, Pascal est en congé aujourd’hui et demain !

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