La Reine Noire

(Aurore, Fanny et Nicolas)

CHAPITRE I

(Nicolas)

Je suis chargé daffaire pour une grande entreprise de télécommunications. Il marrive donc souvent de quitter ma terre natale pour me rendre de un à plusieurs jours à létranger. Ce cadre de vie ne ma jamais permis de concevoir une famille. Toutes les femmes que jai rencontrées jusquà présent finissaient par me reprocher mon trop grand investissement dans mon travail ou mes absences à répétition. Pour certaines, elles devenaient jalouses de cette relation à mon travail voir, elles envisageaient ce qui est pour moi inconcevable que je la trompe pendant mes voyages. Je ne dis pas que les tentations ne furent pas au rendez-vous ou que mes collègues ne se lâchaient pas, mais pour ma part jai toujours été comblé par mes relations. Enfin cest lexplication que je me suis donné quand jai cherché à comprendre leur comportement. Nous ne partions pas plus de 5 jours pour des meetings ou autre, le manque ne pouvait à mon sens pas sinstaller si rapidement, ils recherchaient donc ce quils navaient pas chez eux. En parlant de manque cest bien cette sensation entremêlée dun acte de voyeurisme involontaire qui ma conduit à envisager de rechercher des partenaires sur internet.

Nous venions de rentrer mes collègues et moi dun voyage à Singapour. Nous étions partis à 5 pour conclure une affaire concernant linstallation de fibre optique dans des centres commerciaux dune grande chaine de distribution. La plupart de mes collègues furent rejoint par leurs épouses et époux à laéroport. Pour ma part jentamais le 6ème mois de célibataire sans aucune relation. Je nen nétais pas plus perturbé que cela à ce moment. A larrivée nous échangions donc nos sourires habituels, nous nous connaissions tous pour avoir un jour été invité chez lun ou lautre à manger ou à faire la fête. Après les salutations dusage, je prenais congé pour me rendre au bureau et finaliser le rapport que nous avions entamé sur le vol retour. Ma secrétaire, Aurore, me proposa de memmener plutôt que de prendre le bus en me demandant si cela ne me dérangeait pas que son copain attende au bureau, le temps pour elle de finir un travail. Elle devait en effet récupérer des affaires quelle avait laissées avant de partir et envoyer à limpression un autre rapport que le patron lui demandait pour Lundi à la première heure.

Nous chargions donc le coffre de sa DS3 quelle avait laissé à laéroport et partions pour le bureau. Je métais naturellement installé à larrière avec mon PC sur les genoux, pour gagner du temps et en passer le moins au bureau. Notre conversation fut très sporadique et légère, de longs silences ponctuaient nos phrases sur le temps ou nos occupations du week-end. Le trajet dura moins dune trentaine de minutes mais cela fut suffisant pour quil ne me reste que la conclusion à taper. A lentrée du parking, je refermai ainsi lordinateur et pour la première fois en levant la tête, posai mes yeux sur les cuisses découvertes dAurore. Son copain avait remonté son tailleur et lui caressait la cuisse comme beaucoup de maries certainement quand ils sont seuls en voiture avec leurs femmes. Je fus terriblement gêné de troubler ce moment intime. Je trouvais cela déplacé et en même temps je comprenais ce besoin tactile quils pouvaient éprouver. Elle dû apercevoir ma gêne à travers son rétroviseur car dans les secondes qui suivirent, elle déplaça la main de son copain et redescendit son tailleur. Dans lascenseur plus personne ne parlait, elle et moi regardions nos pieds pendant que son compagnon sexaminait dans le miroir. Quand la porte souvrit, je les invitais à sortir et me précipita sans un mot de plus dans mon bureau. Au bout dune heure, tout était fini, javais en plus répondu aux mails les plus urgents et trié les autres pour lundi. Ma voiture mattendait sagement au parking, jenvisageais de marrêter sur la route au camion à pizza et me faire une soirée tranquille devant un bon blockbuster. Poser le cerveau et ne penser à rien. Pour me rendre à lascenseur, je devais traverser le bloc du secrétariat. Je retrouvais Aurore tapant furieusement sur son clavier et son copain ronflant bruyamment dans le siège voisin du sien. Arrivé à sa hauteur nous échangions ces mots :

— « Bon, je voulais vous prévenir que je rentrais chez moi, vous en avez encore pour longtemps ? »

— « Je pensais effectivement finir rapidement mais jai plus de travail que prévu. »

— « Désolé pour vous, je vous souhaite un bon week-end et pensez à fermer les locaux et éteindre les lumières en partant. »

— « Daccord, bon week-end. »

En me disant cela, je remarquai que son copain commençait à émerger et comme elle sétait tournée vers moi nous échangions à ce moment un signe de tête en guise de salutation.

Une fois arrivé devant ma petite Twingo, je me rendais compte que javais laissé ma valise dans mon bureau. Je jetais mon attaché-case et mon veston sur la banquette arrière et remontais par lascenseur.

— « Vous allez rire, je suis tellement »

Il ny avait plus personne, du moins dans le bloc, les lumières étaient toujours allumées et la porte était restée ouverte. Je commençais à ménerver, trouvant cela abusé de partir sans rien fermer ou éteindre alors que je lui avais demandé. Je filais dans mon bureau récupérer ma valise et commençait à faire le tour pour tout éteindre quand arrivant vers la salle de repos jentendis des râles provenant de lintérieur. Imaginant ce qui se tramait, jhésitais entre entrer et les insulter ou les laisser finir. Joptais pour la deuxième solution, après tout ils ne font rien de mal, tant quils nettoient derrière eux. Mais en tournant les talons mon regard heurta lentrebâillement de la porte et se posa sur le tailleur noir de Aurore jeté à même le sol. Cela aiguisa ma curiosité et décidais de faire silencieusement le tour de la salle pour me retrouver sur le coté, là ou le mur avait été remplacé par des parois en verre sur lesquels des stores avaient été fixés. Fort heureusement pour moi, ils ne mavaient pas entendu ni vu éteindre les lumières. Jétais ainsi baigné dans le noir alors queux étaient en pleine lumière. Je minstallais derrière un bureau sur une chaise, et comme au cinéma contemplais ce spectacle qui venait de commencer. Bizarrement, la situation ne semblait pas me déranger contrairement à tout à lheure dans sa voiture. Ils étaient contre la table, lui était déjà complètement nu, elle en sous-vêtement. Cétait un gaillard d1m90 qui devait préférer un peu trop la bière à lentretient de son corps. Il nempêchait quil était presque imberbe ou quil devait se raser de la tête au pied, car sa verge qui devait mesurer entre 15 et 20 cm narborait aucun poil. Mais ce ne fut pas lui qui monopolisa le plus mon regard mais bien elle que je navais jamais apprécié dans cette tenue ni encore moins détaillé.

Ses jambes étaient fines au galbe superbe. Sentraine-t-elle ? Je crois quelle court tous les dimanches. Ils sembrassaient debout langoureusement lui avait les mains sur la table, il se laissait masturber.

Au bout dun moment, elle commença à lembrasser dans le cou puis au niveau de ses tétons, il semblait apprécier la tête pendante en arrière. Elle ne cessait de le masturber tout en passant dun téton à lautre tantôt les mordillant, tantôt les léchant, tantôt les embrassant. La vue était magnifique, cambrée, jappréciais la courbure de ses reins, la tonicité de ses fesses habillées dun shorty noir qui remontait assez haut sur ses reins.

Une minute ou deux étaient passées quand elle tendit son bras en arrière. Peut-être était elle fatiguée, cela faisait bien 5 minutes quelle le branlait, lui toujours profitait pleinement.

Elle descendit de plus en plus, embrassant son ventre rebondit, puis commença une fellation. Ma position mempêchait dapprécier plus de détail, elle était encore plus cambrée, juchée sur ses talons les jambes bien raide, ses fesses soffraient à mon regard. Ce changement de rythme réveilla son partenaire, maintenant il la regardait le sucer et semblait savourer pleinement.

Puis se fut à mon tour dadmirer. Il la fit se tourner pour accéder à ses fesses et son entre-jambe sans avoir à se plier en quatre. Pour ma part, je la voyais tenir de sa main gauche la base de ses bourses nues tout en effectuant de petit mouvement de bras de haut en bas. Sa bouche travaillait ardemment. Elle effectuait des aller-retour sur toute la longueur presque jusquà la base, du moins jusquà sa main, faisant varier les rythmes tantôt elle prenait tout son temps pour remonter et descendre, tantôt elle sactivait plus rapidement. Pendant ce temps, il avait passé sa main sous son shorty et semblait la masturber. Je compris quelle devait apprécier quand soudain je la vis se relever en extase prête à jouir. A ce moment il glissa sa deuxième main par devant, elle fut aussitôt prise de tressautement et lâchât un petit râle de soulagement avant de tomber sur son épaule et de lembrasser. Il sembrassait sauvagement puis il décida de prendre les choses en main. Il lui agrippa de sa main gauche les cheveux et la força à ce mettre à genoux devant sa verge toujours aussi raide, quil avait saisi de sa main droite. Elle avait la tête fermement maintenue, complètement soumise. Il lui présentait sa verge pour quelle la lèche puis sans crier gare lui enfournait sauvagement dans la bouche plusieurs fois de suite, puis la ressortait lui faisait comprendre de lécher son gland puis ses bourses puis de nouveau sa verge et de nouveau il lui enfonçait au fond de la gorge sans ménagement. Cela ne semblait pas lui poser de problème, jaurai presque pus dire quelle aimait cela. Puis il lui saisit sa tête à deux mains et lui défonça la gorge par de violent mouvement de bassin. Ce fut elle qui stoppa laction en le repoussant fortement. Il lagrippait toujours par les cheveux et lui colla la tête contre la table. Il détacha son soutient gorge et lui fit tomber son shorty. Comme elle moffrait de nouveau ses reins et ses jambes écartées, je ne pouvais observer aves satisfaction ses formes. Je ne vis quun court instant son entre-jambe parfaitement épilé ou raser, trop loin pour le voir. Pendant ce court lapse de temps, son partenaire avait saisit un torchon qui trainait sur lévier et sétait positionner derrière elle. Il lui releva les bras dans le dos et je compris quil lui attachait. Une fois saisit, il la pénétra avec un rythme soutenu au bout de cinq minutes alors que mon excitation redescendait et quils navaient pas changé de position, je décidai de men aller sans bruit. Javais à peine fait deux pas en direction de la sortie et donc deux aussi, quil lui défit ses liens et la retourna pour lagenouiller devant lui. Il se masturbait maintenant à quelques centimètres de son visage, elle ouvrait grand la bouche. Il ne mit pas longtemps à venir et cette fois étant suffisamment près, je voyais les jets de spermes lui recouvrir entièrement le visage. Il devait être sacrément en manque. Puis une troisième voie à la sonorité féminine se fit entendre lançant dans lair :

— « Maintenant suces le, nettoies le bien et ensuite ramasse le sperme quil y a sur ton visage et avale le quand je te le dirai »

Jétais interloquer, je ne voyais pas dou cela pouvait venir mais mes interrogations furent remplacer par cette obéissance que je ne connaissais pas chez Aurore. Elle se mit à le sucer avec application puis à le lécher pour que rien ne subsiste. Puis jentendis :

— « Cest bon la suite ! »

Jétais abasourdit, je voyais Aurore utiliser ses mains comme des raclettes pour récolter tout le spermes recouvrant son visage, elle noubliait pas une goutte. Arrivée à son menton, elle forma une coupelle avec ses mains et présenta le contenu à un ordinateur poser sur une chaise que je navais pas remarquer jusque là. Une silhouette noire se dessinait et prononça ces mots :

— « Mets tout dans ta bouche et montres moi ! »

Aurore sexécuta.

— « Cest bien mais tu aurais pu mieux faire. Avales doucement et par petite gorgée »

Aurore sexécutait de nouveau. Je nen revenais pas. Même dans mes fantasmes de lépoque les plus fous.

Le mec sétait déjà rhabillé et sapprêtait à sortir. Pris de panique, je cherchais un endroit où me cacher, je sautais sous le premier bureau venu. Mauvaise pioche sétait le bureau de Aurore. Je nentendis plus que quelques mouvements jusquà ce quils sortent de la salle et quAurore dise :

— « Qui a éteint les lumières ? Merde jespère que personne ne nous a vu. »

— « Si quelquun ta vue, il pourra raconter que tu es une belle petite salope. »

— « Oui il pourra raconter aussi que tes un mauvais coup vu que tas pas réussi à me faire broncher une seule fois. »

— « Vas y répète que je ten colle une. »

— « Allé ! Cest bon rentre chez toi, je ne veux plus te voir. »

— « Tinquiète je ferai de nouveau appel à la reine noire et là je te baiserai avec mes potes comme une vulgaire pute que tu es ! »

Sur ces phrases je nentendis plus rien. Juste lui qui claquait la porte et elle qui se dirigeait vers son bureau pour récupérer son sac à coté de moi. Je lexpulsais vite fait sur son siège espérant quelle ne me voit pas. La chance fut avec moi, car je naperçut que ces talons et son tailleur venir récupérer ses affaires puis sortir en fermant la porte à clef.

(Aurore)

Nous allons nous poser dans quelques minutes, nous étions partis pour Bangkok pour finaliser un projet dinstallation de fibre optique. Un truc barbant ! Je suis secrétaire dans cette boîte et parfois je dois les accompagner, ces ingénieurs qui aiment sécouter parler. Ils ont toujours un avis sur tout, même quand ils ne savent pas de quoi ils parlent. Cela mexaspère, mais bon cest eux qui font tourner la boîte, ils soccupent de la forme et nous, les secrétaires du bureau, du fond.

Fort heureusement, ils ne sont pas tous comme cela. Le chef de cellule, Nicolas, est un gars bien, toujours un mot gentil, toujours à nous demander comment nous allons et toujours prêt à nous aider. Je ne comprends pas comment il fait pour navoir personne dans sa vie, il est vrai quil est parfois difficile de trouver quelquun qui accepte un amant qui ne vit que pour son travail. Car effectivement cest un bosseur et pas que la forme, il connaît le fond et sous tous les angles. Ces collègues ne cherchent jamais à lui vendre des cravates, auxquels cas ils sexpliquent calmement avec le type dans un bureau à part.

Cest arrivé une fois avec un jeune ingénieur fraichement sortie de lécole, il pétait sérieusement plus haut que son cul et un jour en réunion avec le big boss, il a voulu faire son malin. Nicolas a laissé la réunion se terminer et la emmener gentiment en salle de repos car cest la mieux insonorisée. Enfin, avant que lune des parois ne soit remplacée par des vitres. Ce jour là, le gars a essayé de se défendre mais le pauvre, il avait perdu davance. A la réunion suivante, le petit à remit le couvert mais cette fois, il sest fait descendre en trombe par mon chef et dans la foulée le Big Boss a préciser au petit trou du cul que nous nétions pas une entreprise pour les grandes gueules et quil pouvait sortir et commencer à rechercher du travail dans un autre secteur. Comme quoi, Nicolas, nest pas le gars sur qui lon marche facilement. Il a, à mon avis, un immense respect pour les gens mais quand cest trop, cest trop.

A rêvasser sur mon chef assis à coté de moi, je navais pas fait attention que lavion avait touché le sol. Peu après, les hôtesses nous firent signes que nous pouvions sortir. Je me levais et alors que je me tendais pour attraper mon bagage à main, je perdis léquilibre. Une main vînt immédiatement me soutenir, cétait Nicolas, il me portait presque dun bras, de lautre il avait déjà attrapé mon bagage et bien-sûr il me demandait :

— « Vous allez bien ? Vous ne vous êtes pas fait mal ? »

Ces yeux verts émeraude mhypnotisaient et ce mouvement de nos corps avait crée un flux dair qui membaumait de son parfum, Hugo Boss, mon préféré. Je balbutiais :

— « Euh non, je vais bien. Merci ! »

A ces mots il me sourit et me remit sur pied alors que jallais de nouveau meffondrer.

Dans le terminal, je ne voulais croiser son regard, cette force physique et de caractère que javais ressenti à son contact mavait émoustillée et mes pensées vagabondaient, rêvassant dun contact plus charnel. Je ne voulais pas de relation professionnelle et voilà pourquoi je méloignais de lui.

Une fois mon téléphone connecté, je reçu un message, il était de ma Maîtresse. Et oui dans mes moments libres, je suis quelquun qui aime bien la soumission.Je lui avais précisée que jen avais envie se week-end. Eh bien elle ne perdait pas de temps. Elle menvoyait une photo de mon partenaire de ce soir et le message suivant :

Reine Noire : « Alejandro Besson, à ton bureau, comme la dernière fois. Vous serez mes esclaves. »

Dès que les portes du terminal furent ouvertes je neu aucun mal à le reconnaître. Mais quallais-je dire à mes collègues ? Je décidais dimproviser en lembrassant fougueusement et en lui susurrant à loreille :

— « Tu es mon petit ami. »

Cette mascarade passa sans problème auprès de mes collègues qui étaient bien trop occupés avec leur famille. Après quelques minutes, Nicolas pris la parole :

— « Je vous souhaite à tous un bon week-end, profitez pleinement de vos familles et à Lundi »

— « Quest-ce que tu as de prévu pour ce soir ? » lui demandait Marc

— – « Rien de spéciale, là je pars au bureau finaliser nos travaux et ensuite, pizza, télé ! »

— « Tu ne vas pas aller bosser maintenant cela peut attendre Lundi, sinon je viens avec toi. »

— « Non Marc ! Cest très gentil mais profite de ta famille. Cest ce qui est le plus important. »

— « Comme tu veux ! Faudra quon se fasse un barbecue quand les beaux jours reviendront. »

— « Oui, ce sera avec plaisir ! »

Mon téléphone vibre.

Reine Noire : « Insiste pour emmener ton patron à votre bureau. »

Comment pouvait-elle savoir ? Je navais pas le temps de regarder autour de moi, il fallait que je saute sur loccasion.

— « Si vous le souhaitez, je peux vous emmener, cest mieux que le bus, non ? »

— « Pourquoi retournez-vous travailler ? Profitez de votre compagnon. »

— « Jai des papiers à finir pour Lundi, ordre du grand patron et mes affaires à récupérer. Alejandro maccompagne. Si cela ne vous dérange pas ? »

— « Non, pas le moins du monde. Cela me permettra davancer un peu à larrière de votre voiture. »

Ouf, jai réussi. En nous rendant au parking jessayais dentrevoir une silhouette que je pourrais reconnaître mais rien. Nous prîmes place dans ma DS3, Nicolas à larrière, son PC sur les genoux, Alejandro coté passager et moi au volant de ma titine.

Nous étions à peine sortie du parking que mon partenaire désigné mavait déjà remonté mon tailleur et passé sa main sous mon shorty. Il trouva immédiatement mon clitoris et sappliquait à me masturber. Dans mon rétro, Nicolas ne décollait pas, les yeux de son ordi. Jétais à la fois stressée dêtre surprise et en même temps excitée quon me touche devant lui. Ses doigts était relativement habille, il alternait de petit pression par des caresses et parfois même glissait un doigt en moi ce qui me fit perdre plusieurs fois ma concentration au volant. Au bout dune demi heure, nous étions presque arrivés et je vis mon patron levé les yeux. Je repoussais immédiatement la main dAlejandro et redescendais mon tailleur. Mais le mal était fait, je voyais Nicolas complètement gêné par ce quil venait de voir. Pour ma part, jaurai souhaiter me cacher dans un trou de souris et continuer à tremper le sol tellement je mouillais dexcitation. Si ma maitresse mavait ordonnée de marrêter de suite et de sucer le premier venu, je crois que jaurais pu le faire.

Dans lascenseur nous nosions pas nous regarder tellement gênés par la situation. Alejandro, lui, sobservait dans le miroir, tel narcisses devant son étang. Arrivés à létage les portes souvrirent et Nicolas nous laissa sortir les premiers. Une fois le bureau ouvert il prit immédiatement le chemin du sien et alors que je minstallais dans mon fauteuil, mon téléphone vibra.

Reine Noire : « Fais en sorte que ton patron oubli quelque chose à son bureau de préférence sa valise. Tiens moi informée. »

Je tenais informé Alejandro qui simpatientait de ce que je devais faire ; Et que, pour linstant, je navais aucun autre ordre. Me dirigeant vers mon patron, japerçu sa valise juste à lentrée de son bureau. Je la subtilisais et la planquais dans loffice servant aux femmes de ménage.

Aurore : « Valise planquée dans loffice, Maitresse »

Reine Noire : « Très bien ! Attendez son départ pour plus dinstructions ! »

En ce moment je ne comprenais pas trop ce quelle me demandait, souvent je devais faire des choses comme cela qui nont pas de sens. Bref ! Jinformais Alejandro qui décida de faire une petite sieste dans le fauteuil dune de mes collègues. Je minstallais à mon bureau et quant à être au boulot, autant travailler. Au bout dune heure, Nicolas réapparu. Son parfum embaumait de nouveau lair et mon esprit allait divaguer quand il entama la conversation.

— « Bon, je voulais vous prévenir que je rentrais chez moi, vous en avez encore pour longtemps ? »

— « Je pensais effectivement finir rapidement mais jai plus de travail que prévu. »

— « Désolé pour vous, je vous souhaite un bon week-end et pensez à fermer les locaux et éteindre les lumières en partant. »

— « Daccord, bon week-end. »

A peine la porte du bureau sétait-elle refermée que mon téléphone vibrait mordonnant de remettre la valise où je lavais prise et détablir une connexion Skype avec lordinateur portable et la clef 3G que la Reine Noire mavait fournie. Bizarrement Alejandro sétait réveillé au même moment. Je lui fis signe que nous allions passer aux choses sérieuses dans la salle de repos.

Je disposait lordinateur sur une chaise et me connectais. La Reine noire apparu comme a son habitude sous la forme dune silhouette noire dont on ne pouvait distinguer les traits. Elle commença immédiatement par nous dicter ses ordres.

— « Alejandro déshabilles-toi ! Mets-toi contre la table debout. Jaurai un bon angle de vue. Aurore mets-toi en sous-vêtements ! »

Nous nous exécutions tous les deux sans broncher. Pour la première fois je découvrais Alejandro, il devait mesurer 1,90 m, le type banale, les cheveux châtains, les yeux marrons, un ventre limite bedonnant. Comme à son habitude, ma Maitresse avait exigé que le type soit épilé tout comme moi dailleurs. Rasée, cest tellement désagréable quand ça repousse et ce nest jamais net. Bref, je préfère ! Et ma Maîtresse aussi. Au fur et à mesure que jenlevais mes vêtements, sa verge se durcissait, elle finit par atteindre une taille raisonnable, environ 17 centimètres et 4 ou 5 de diamètre. Cela promettait dêtre intéressant. Je me sentais déjà devenir plus chaude, plus humide.

— « Alejandro, adosse toi contre la table, laisse-toi faire !

Embrassez vous, pour vous exciter un peu.

Aurore, branle-le de ta main gauche pendant ce temps. »

Jadorais lui obéir, cela faisait encore plus monter lexcitation en moi. Je posais ma main droite sur son torse et commençait à lembrasser du bout des lèvres. Je saisissais dans le même temps sa bite à pleine main commençant immédiatement à le masturber.

— « Cest bien ! Je veux voir vos langues se mêler »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Jinsérais ma langue dans sa bouche, tournais la mienne. Je mimaginais suçant Nicolas tout en suçant la langue dAlejandro. Mon désir était en pleine explosion, javais envie de sucer une verge mais je devais obéir.

Au bout de quelques minutes, on mordonna de lui embrasser les tétons, de les mordiller, de les lécher tout en étant dressée sur mes jambes, cambrée en arrière, touchant parfois de mes fesses les vitres derrière moi. Alejandro semblait apprécier car sa tête pendait en arrière et il laissait échapper de petits râles.

— « Très bien maintenant descends toujours cambrée et suce-le ! »

Enfin, jen avais tellement envie quà peine avais-je son gland au bout de mes lèvres que je ne pus mempêcher davaler sa verge en entier. Je remontais en laissais couler un petit filet de salive. Mais immédiatement, jéprouvais le besoin de lavaler encore en entier. Au fond de ma gorge, je sentais son gland se gonfler. Jeffectuais de petit mouvement avec ma langue pour lui lécher les couilles. Je navais pas envie de lui, javais envie de sucer cette bite qui soffrait à moi. Je fis plusieurs allers et retours quand, notre Maîtresse nous demanda de changer de position, pour changer de point de vue.

— « Aurore décale toi sur la droite. Alejandro passe ta main sous son shorty et excite là ! »

Si seulement elle pouvait savoir à quel point jétais déjà excitée. Je continuais donc à sucer Alejandro. Jen profitais pour malaxer ses bourses qui me semblaient bien remplies, rien que cette idée me donnait envie davaler son sperme et espérait que ma Maîtresse me le demande. Parfois jeffectuais de petit mouvement pour le branler me permettant de reprendre ma respiration entre deux. Pendant ce temps il avait passé lune de ses mains sous mon shorty et caressait ma chatte complètement trempée. Il me titillait mon clitoris et rentrait sauvagement plusieurs doigts en moi. Bizarrement cela ne me procurait pas plus de plaisir que cela. Mon plaisir à ce moment était globalement orienté vers du sexe oral. Au bout dun certain temps, je sentis ces doigts venir humidifié mon anus, une fois puis deux et à la troisième il me rentra au moins trois doigts dun coup. Mon anus souvrit presque immédiatement sans opposer une grande résistance. Faut dire aussi que jadore le sexe et tous ce qui gravitent autour, tant que jy consens. Eh oui, jai un code pour faire savoir à ma maîtresse quand je refuse, quand cela me fait trop mal, etc.

Je voulu me redresser pour changer déposition mais, il me serra contre lui et me pénétra par devant et derrière. Je tressaillis presque immédiatement en lembrassa à pleine bouche.

— « Très bien maintenant attrape lui les cheveux, agenouille-la devant toi et défoule toi dans sa gorge. »

Il ne se fit pas prier. Je me retrouvais complètement soumise à cet inconnu face à sa verge gonflée. Il me lenfonça au fond de la gorge sans ménagement, javais à peine eu le temps de me préparer puis il recommença une fois, deux fois, dix fois. Tellement de fois, que jen perdais le compte. Au bout dun moment il me cala la tête et me défonça la gorge comme sil pénétrait mon vagin, de toute la force de ses reins. Pendant ce temps je me concentrai pour ouvrir ma bouche le plus possible et ne pas vomir.

Je me caressais le clitoris dune main et parfois immisçait deux doigts à lintérieur de mon vagin pour garder mon excitation.

Au bout dun moment voyant quil ne me faisait pas grand-chose, il retira sa verge, la prit dans sa main et me la mit plusieurs fois dans la bouche. Cétait beaucoup plus agréable, je pouvais aussi en profiter et immédiatement, je me sentais mouiller de plus belle. Je posais alors une main sur son ventre, lautre sur ces fesses pour lui donner le bon rythme, mais ce ne fut pas du goût de nôtre maitresse.

— « Pose la tête dAurore sur la table. Ecarte lui les jambes et retire lui ses sous-vêtements. Tu vois le torchon à coté de toi, attrape-le et attache lui les mains dans le dos, quelle arrête de prendre des initiatives. Maintenant baise là dans cette position. Quand tu nen pourras plus, tu las remettra à genou devant toi. »

Jenvisageais la fin, peut-être serai-je satisfaite, cela me fit mouiller encore plus. Il me saisit alors les mains et me les lia si fort que je du faire un signe que cela me faisait mal.

— « Desserre lui un peu les liens »

Il ne le fit pas tout de suite. En premier lieu, il présenta sa verge à lentrée de mon vagin me caressant de son gland mes lèvres trempées. Puis dun coup, il me pénétra de tout son long. Une petite douleur se fit ressentir mais javais vu pire. Il commença à me ramoner et me desserra les liens. Je disais ramoner car effectivement cest ce à quoi cela ressemblait, il ne me faisait pas plus deffet, toujours le même rythme, toujours la même sensation. Je sentais mon désir samenuiser alors que lui semblait apprécier. Je ne sais combien de temps cela dura mais suffisamment pour que je ne sois plus excitée du tout et que cela commence à me faire mal. Je navais même plus envie de le sucer, ni davaler tout son sperme comme cela avait pu être le cas un peu plus tôt.

Cest justement à ce moment quil décida de se retirer et quil magenouilla face à lui. Il se branlait devant moi, machinalement jouvrais la bouche. Je lentendis gémir et puis je ressentis de multiple vagues chaudes de spermes venir sécraser sur mon visage. Cela sembla durer une éternité si bien que javais mon visage entièrement recouvert et très peu dans ma bouche que javalais aussitôt. Son sperme était amer et un peu dégoutant. La Reine Noire mordonna alors :

— « Maintenant suce-le, nettoie-le bien et ensuite ramasse le sperme quil y a sur ton visage et avale-le quand je te le dirai »

Et moi qui justement nen avais plus trop envie. Nous rapprochions donc un peu de lordinateur et je mexécutais. Javalais dans un premier temps sa verge plusieurs fois jusquà son pubis. Puis je me mis à le lécher, de ses bourses à la base de son gland. Je décidais ensuite de mattaquer à son gland, je commençais par le bout puis le contournais en mappliquant bien sur la base. Je faisais ces gestes machinalement sachant le plaisir que cela pouvait provoquer. Ensuite, jentourais son gland de mes lèvres aspirais par de grandes succions les gouttes qui restaient dans le conduit de sa verge. Du sperme de la taille dune noix en ressortit que je gardais dans ma bouche.

— « Cest bon la suite ! »

Sa façon de me commander à cet instant mexcita de nouveau, je voulais lui faire plaisir. Alors je pris soin de bien me positionner face à la caméra et récolta minutieusement de mes mains le sperme qui recouvrait mon visage. Je lui présentais dans mes mains, telle une offrande, ce liquide blanc, jaune.

— « Mets tout dans ta bouche et montre-moi ! »

Jobéissais. Ma bouche était pleine, jen avais au moins cinq grosses gorgées, si bien que javais du mal à tout garder dans ma bouche béante pour que ma maîtresse puisse apprécier le spectacle.

— « Cest bien mais tu aurais pu mieux faire. Avale doucement et par petite gorgée »

De nouveau, jacceptais sans rien dire, je comptais neuf petites gorgées au totales.

Pendant ce temps Alejandro sétait déjà rhabillé. La reine noire congédiait Alejandro et me donnait rendez-vous dans le week-end. Ne retrouvant pas mes sous-vêtements, je commençais à fouiller un peu partout quand je les vis sur le bout des doigts dAlejandro. Je voulu les saisir mais celui-ci me fit comprendre quil les gardait comme trophée au cas où ses copains ne le croiraient pas. Je fulminais mais il était bien plus costaud que moi et je navais maintenant plus quune envie, celle de rentrer chez moi. Jenfilais donc mon tailleur, mon chemisier et ma veste sans rien en dessous. De toute façon, je ne prévoyais de marrêter quau Mc Drive et puis rentrer. En me retournant vers mon bureau, jeue la frayeur de ma vie.

— « Qui a éteint les lumières ? Merde jespère que personne ne nous a vu. »

— « Si quelquun ta vue, il pourra raconter que tu es une belle petite salope. »

— « Oui il pourra raconter aussi que tes un mauvais coup vu que tas pas réussi à me faire broncher une seule fois. »

— « Vas y répète que je ten colle une. »

— « Allé ! Cest bon rentre chez toi, je ne veux plus te voir. »

— « Tinquiète je ferai de nouveau appel à la reine noire et là je te baiserai avec mes potes comme une vulgaire pute que tu es ! »

Je lui fis un petit signe de la main et il prit aussitôt la porte. Je ne voyais pas grand-chose. Jallumais rapidement pour aller récupérer mon sac que bizarrement javais laissé sur mon siège. En profitait pour éteindre mon ordinateur, les lumières puis fermait la porte du bureau derrière moi. En descendant dans lascenseur, je tentais de chercher un indice pour savoir si quelquun nous avait vu ou pas. Cela mapparu comme une évidence. Nicolas ! Il avait du revenir chercher sa valise, je ne savais pas si je devais faire demi-tour pour men assurer au risque de le croiser ou partir. Je préférais la deuxième solution cela méviterai une gêne supplémentaire.

Un quart dheure plus tard, je marrêtais au drive et alors que je sortais mon buste pour payer, je vis le visage de la serveuse devenir rouge et regarder ses pieds. Immédiatement je pensais à mon chemisier et mon manque de sous-vêtements. Mais non, il était bien fermé. Je payais donc précipitamment et récupérais mon sac tout aussi vite. Arrivée chez moi, je me rendis compte en posant mes clefs face au miroir de lentrée de ce qui lavait choquée. Le dessus de mon crâne conservait les stigmates des jets de spermes dAlejandro. Je passais mes doigts dans mes cheveux et goutais une dernière fois à cette semence. Décidément, il ne me plaisait toujours pas. Je jetais mes vêtements dans la machine à laver et entrais sous la douche pour me délasser.

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