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Maryse, débauche en Guadeloupe – Chapitre 4




Pendant quelle dormait, je me mis à penser. Qui avait bien pu lui parler de cette petite plage où nous étions allés ? La Guadeloupe nayant quune plage naturiste connue, et ce nétait pas celle-ci. Il y avait dailleurs peu de monde, et elle était plutôt petite.

Je ne voyais que deux solutions : la première, ses deux amants, de la veille. Cela navait aucune conséquence. Ou alors, les employés de lhôtel. Je comprenais mieux leurs sourires goguenards et leurs commentaires grivois.

Pour passer le temps, je visionnai le film que javais fait ce matin, lorsque ma femme sétait fait baiser par les deux noirs. Comme je ne disposais pas du câble le reliant à la télé, je navais que le petit écran pour suivre les ébats de Maryse. Ce nétait guère pratique et jabandonnai bien vite, détournant mon regard vers ma femme. Elle dormait sur le ventre, jambes légèrement écartées, une remontée, genou plié, lautre tendue. Je voyais, dans la fourche de ses cuisses, sa toison brune et sa fente. En la voyant si serrée, javais du mal à croire quelle ait pu accueillir des engins comme ceux des noirs de ce matin. Ils étaient bien plus gros que ceux de ses amants dhier.

Je me mis à penser à notre couple. Certes, jy avais trouvé, moi aussi, mon compte, mais où tout cela allait-il nous mener ? Je trouvais que Maryse commençait à prendre un peu trop goût à ces grosses queues noires. Nallait-elle pas me délaisser, au profit de ces amants ? Jusquoù allait-on aller ? Ne trouvant pas la réponse, je quittai la chambre et allai à la piscine.

Lorsque je revins, vers seize heures trente, Maryse se réveillait. Elle sétirait comme une chatte, sur le lit, faisant saillir ses seins, cambrant ses reins, offrant son pubis. Nue, elle se leva et vint vers moi. Elle saperçut tout de suite de mon trouble.

 Que se passe-t-il, mon chéri ? demanda-t-elle, en minaudant.

 Je Je voudrais savoir où on va ?

 Où on va ? Comment cela ?

 Oui ! Toi et moi ! Comment tout cela va se terminer ?

Elle me fixa un moment, sassit en tailleur devant moi, dévoilant son minou, et répondit :

 Je ne sais pas ! Mais je nai pas envie que cela sarrête ! Jadore me faire baiser par ces grosses queues noires. Je jouis comme jamais !

 Mais

 Il ny a pas de mais. Cest toi qui nous as mis dans cette situation. Tu mas poussée dans les bras de ces noirs, alors assume ! Au fait, ma période de fécondité est passée. Je devrais avoir mes règles dici quelques jours. Je vais pouvoir me faire baiser sans capote, je te préviens.

Abasourdi, je ne trouvai rien à répondre. Je me pris la tête dans les mains, pendant quelle se dirigeait vers la salle de bains. Javais ouvert la boite de Pandore, jen récoltais les résultats. Je mapprochai de la porte de la salle de bains. Maryse était sous la douche, quelle quitta bientôt. Elle sessuya partout. Soudain, je la vis saisir un peigne, quelle passa dans sa toison à plusieurs reprises. Cela fait, elle sempara dune paire de ciseaux et commença à tailler sa toison, jusquà ne laisser quun fin duvet. Ensuite, elle prit un rasoir et ma mousse à raser, quelle étala sur les poils restants.

Il ne lui fallut que cinq minutes pour enlever tous les poils et raser son mont de vénus. Elle se rinça et se plaça devant moi.

 Quest-ce que tu en dis ? me demanda-t-elle, devant mon air ahuri. De toute façon, ce nest pas pour toi. Cest pour Chris.

 Qui qui est Chris ? demandai-je dune voix éteinte.

 Mon amant dhier. Je le revois ce soir.

 Ah !

 Ferme la bouche, mon pauvre Benoit, tu vas avaler une mouche. Au fait, tu es invité !

 In invité ? Pour quoi faire ?

 Pour te présenter à Chris. Comme cela, il connaîtra mon cocu.

 Je nai pas trop envie dy aller !

 Allez, ne fais pas ta mauvaise tête ! fit-elle, dun ton cajoleur.

Et une fois de plus, je cédai. Je la vis revêtir un string, puis une robe dos nu, dont les bretelles se liaient au cou.

A vingt et une heures, nous quittâmes lhôtel pour nous rendre dans une boite. Dès lentrée, je reconnus le fameux Chris. Il était accompagné par son compère, et nous fit un signe de la main. Déjà, je regrettai dêtre venu. Emile embrassa Chris, quelle me présenta, et son compère Thomas, dis Tom. Elle ne sinstalla pas à mes côtés, mais entre les deux noirs. Ceux-ci ne tardèrent pas à mignorer, comme ma femme dailleurs. Je la voyais minauder, rire aux éclats des paroles quils lui glissaient à loreille, caresser la peau luisante des deux hommes. Elle buvait beaucoup, même trop. Jaurais voulu me lever, larracher aux mains qui pelotaient ses seins, flattaient ses cuisses, remontant jusquà la lisière de la culotte, lentraîner avec moi jusquà lhôtel, pour la baiser sauvagement sur le lit. Jaurais voulu oui, mais jétais trop lâche. Alors, je restai là, moi le cocu magnifique, regardant ses deux hommes faire preuve de plus en plus de privautés envers ma femme.

Maintenant, ils lembrassaient, tour à tour. Maryse avait décroisé les jambes, les écartant au point que je voyais sa culotte. Les mains navaient pas encore atteint ce point crucial, mais ce nétait que partie remise. Elles sattardaient sur ses seins, ses hanches son dos.

Soudain, Chris se leva et entraina ma femme sur la piste de danse. Tout de suite, il se colla à elle et je pus la voir passer ses bras au cou de son amant. Elle se frottait lascivement contre son corps et je savais quil bandait. Lorsque leurs corps se détachaient quelque peu, je pouvais voir la bosse qui déformait le pantalon de lhomme.

Au bout dun moment, Tom, qui ne mavait pas adressé la parole, ni jeté un regard, se leva et les rejoignit sur la piste de danse. Maryse se retrouvait, non pas avec un homme, qui la collait, mais deux. Je la voyais, toucher tantôt lun, tantôt lautre, les embrasser tour à tour, laisser leurs mains courir sur ses seins, ses fesses. Ce spectacle me fascinait et me dégoûtait en même temps, et il me fallut un long moment, pour me rendre compte que je bandais.

Ils dansèrent ainsi pendant près dune heure, oubliant le pauvre cocu que jétais. Lorsquils revinrent à la table, ils burent leur verre et recommencèrent à sa mignoter, comme si je nétais pas là.

Il était près de vingt-trois heures, lorsque Chris, se leva, tendant la main à ma femme. Celle-ci se mit debout, se pencha vers moi et hurla pour se faire entendre :

 Nous allons chez Chris. Tu viens ?

 Non, répondis-je de même, jen ai marre. Je rentre !

Je saisis ma sacoche, et quittai le bar avec eux. Dehors, nous nous séparâmes, eux se dirigeant vers le véhicule de Chris, moi, seul, partant vers lhôtel. Jeus un pincement au cur en voyant ma femme me quitter sans un regard.

Lorsquils tournèrent au coin de la rue, je partis en courant, empruntant un raccourci, afin darriver avant eux chez Chris et me dissimuler au même endroit que la dernière fois. Je ny étais pas plutôt installé, quune lumière salluma dans la maison, suivie, quelques instants après, par lillumination de la terrasse. On y voyait comme en plein jour, plus que la première fois.

Je nattendis pas longtemps, avant dentendre la porte fenêtre glisser, dentendre le rire de ma femme, et la voir surgir, suivie des deux hommes.

 Alors, petite pute blanche, contente dêtre débarrassée de ton cocu ? Lui dit Chris.

 Oui, mon chéri ! Il semblait vous bloquer ! Tu sais, jaurais bien voulu que vous me baisiez devant lui !

 Ah bon ! En attendant, fous-toi à poil !

 Je ne peux pas !

 Tu ne peux pas ?

 Non ! fit-elle, en riant, jen ai plus !

 Tu tes épilée la chatte ?

 Eh oui !

 Montre !

 Doucement les gars ! On regarde mais on ne touche pas ! Pour linstant !

En se déhanchant langoureusement, Maryse commença à tourner sur elle-même, jouant à faire glisser le string, tantôt vers le haut, le rentrant dans ses fentes, tantôt vers le bas, dévoilant sa motte rasée. Bientôt, le sous-vêtement aboutit sur ses chevilles. Dun geste souple, elle glissa une jambe hors du string, puis dun mouvement de pied, envoya son vêtement en direction de Chris, qui le saisit au vol, le portant à ses narines.

 Hum ! fit-il, ça sent la femelle en chaleur !

Ma femme éclata de rire, en continuant de se déhancher. Plusieurs reprises, je la vis se tourner vers moi, sachant où je me cachais, prenant plaisir à mexhiber ce que je ne pourrais avoir, sa chatte et son cul. Enfin, Chris demanda, excité :

 Allez, petite pute blanche, viens sucer deux grosses bites black.

Sans hésiter, elle sagenouilla et rampa, à quatre pattes, vers les deux mâles. Elle déboutonna les braguettes et sortit, avec un peu de mal, les deux queues, les tenant chacune dans une main. Javais beau les avoir déjà vues, je restai subjugué par leur taille. Maryse avait raison, rien à voir avec la mienne.

Lentement, elle les branla, avant de les avaler, lune après lautre. Les deux hommes avaient pris leurs verres et sirotaient tranquillement leur boisson, pendant que ma femme les suçait. Comme elle me tournait le dos, je voyais, ses fesses et son trou du cul, chaque fois quelle descendait et que ses globes sécrasaient sur ses jambes.

Je nen pouvais plus. Je me tenais là, voyeur de ma femme, pantalon et slip sur les chevilles, queue raide, prête à exploser. Je nosais me toucher, de peur déjaculer tout de suite.

Là-bas, dans la lumière crue, les deux hommes sétaient levés et se déshabillaient. Je voyais leurs queues, luisantes de salive, balancer au rythme de leur déshabillage. A leurs pieds, ma femme ne quittait pas des yeux les engins qui allaient la défoncer, la faire hurler. Elle semblait en extase. Lorsquils furent nus, ils se rapprochèrent de Maryse, lincitant à les reprendre en bouche, ce quelle fit avec gourmandise et célérité.

 Oh, la vache, fit Tom, elle aime cela, la salope !

 Tas raison, mec. Une vraie pouffe pour bite noire ! Nest-ce pas, que tu es une pouffe pour bite noire ? Renchérit Chris, en retirant sa bite de la bouche de ma femme.

 Oui !

 Dis-le !

 Oui ! Oui ! Je suis une pouffe pour bite noire !

Les deux hommes éclatèrent de rire, pendant que ma femme embouchait à nouveau la queue de Chris. La séance dura une dizaine de minutes, puis Chris se dégagea et sétendit sur le sol. Il ordonna ensuite à ma femme :

 Allez, empale-toi sur ma queue !

Maryse ne se le fit pas dire deux fois. Elle saisit le mandrin, et pliant les genoux, descendit pour faire entrer la bite dans sa chatte. Le gland en contact avec ses lèvres, elle le fit coulisser doucement tout au long de sa chatte, avant de lengloutir, dun mouvement uniforme.

Dans ma cache, je voyais ce sexe noir disparaître entre les lèvres blanches. Enfin, elle fut à genoux, le sexe entièrement fiché en elle. Déjà, je la voyais haleter sous la grosseur de la pénétration. Lentement, elle commença à monter et descendre le long de la bite de Chris. Cest alors que Tom se plaça derrière elle. Je le vis sucer ses doigts et caresser la raie de ma femme. Que voulait-il faire ? Jeus rapidement la réponse, en entendant ma femme gémir doucement :

 Oooooooh ! Chris, il mencule avec ses doigts !

 Tu naimes pas ?

 Oooooooh ! Si ! Quest-ce que vous vous me faites ? Cest si bon ! Encoooooore !

 Attend ! Tout à lheure, quand tu seras bien ouverte, cest sa queue, quil te mettra !

 Oooooooh ! Non ! Ça ne rentrera pas ! Vous allez me déchirer !

 Mais si, tu verras ! Ça rentrera ! Tu vas prendre un pied phénoménal !

 Oh ! Nooooon ! Ouiiiiiii ! Encore ! Tes doigts ! Encule-moiiiiii !

 Vas-y salope ! Couine tant que tu le peux, lança Tom, en riant. Je vais tenculer jusquaux amygdales et tu ne pourras plus parler !

Je ne voyais pas combien de doigts fouillaient le fondement de Maryse, mais, au vu des crispations de son corps, ils devaient y en avoir au moins trois. Jeus bientôt la confirmation par Tom, qui dit à Chris :

 Oh, la vache ! Je lai bien ouverte. Elle est béante ! Au tour de ma queue, maintenant !

 Oh non, sil te plait, Tom, pas ça ! Parlementa Maryse. Tu es trop gros ! Tu vas me défoncer !

 Ah, ça, cest sûr ! Mais avec le trou ouvert comme ça, ça va passer ! Prépare-toi !

 Chris ? tenta encore une fois ma femme.

Je sentais, dans le ton de sa voix, combien elle en avait envie, et en même temps, combien elle craignait cette pénétration. Je vis Tom enduire sa queue dun lubrifiant, puis passer le reste sur lanus de ma femme. Ensuite, il sagenouilla derrière elle et présenta son gland contre son anus. Il commença à forcer pour sintroduire en elle. Tout de suite, elle commença à haleter et gémir.

 Ooooooh ! Que tu es gros ! Arrrrête ! Tu es trop gros ! ooooooooh ! ooooooui ! ça y est ! Oh Tom ! Tu mencules ! Oh, cest énorme ! Doucement ! Tu es Aaaah ! Ouiiiiiii ! Vas-y ! Défonce-moi le cul ! Baisez-moi, tous les deux ! Bourrez votre salope blanche !

Les deux hommes ne se firent pas prier. Tout dabord, ils eurent du mal à coordonner leurs mouvements et se gênaient. Puis, ayant trouvé la bonne cadence, lun deux la pénétrait au moment où lautre sortait. Les râles dMaryse étaient suffisamment explicites pour montrer combien elle aimait cela.

 Arghhhhhh ! Oh mon dieu, que cest bon ! Ooooooooh ! Encore ! Je suis une enculée, une pouffe pour bite noire ! Encore ! Plus foooooort !

Les deux hommes ne se firent pas prier. La cadence augmenta et je voyais ma femme rebondir sur les membres qui la baisaient. Elle était semblable à une tranche de jambon, entre deux tranches de pain. Entre leurs mains, prise par leurs queues, elle ressemblait à une poupée désarticulée, rebondissant, coup de rein après coup de rein, sur les bites qui la baisaient en cadence. Elle délirait. Jamais encore je ne lavais vue ainsi. Cest alors que je commençai à comprendre lerreur que javais commise. Mais il était déjà trop tard. Le mal était fait.

Là-bas, sur le sol, Maryse se lâchait :

 Arghhhhhh ! Oh ouiiiiiii ! Encore ! Plus fort ! Je viens ! Je vais jouir, baisée et enculée ! Je viennnnnnnns ! Aaaaaaaaah !

Sa jouissance éclata, violente, intense. Elle se tétanisait, se désarticulait, sautait, dorgasme ne orgasme, sans arrêt. Si elle navait pas été empalée sur des queues longues et grosses, nul doute quelle aurait été désarçonnée.

Au même moment, je sentis la sève monter dans mes couilles et je me libérai, sans même me toucher. Pour moi aussi, la jouissance fut douloureuse.

Dans la lumière, Tom était en train de se libérer dans le cul de Maryse, avec un grand râle. Il resta un moment immobile, toujours planté en elle, puis il se retira doucement. Au moment du passage du gland, je crus entendre un plop sonore. Aussitôt, je vis un filet de sperme sécouler du cul de ma femme. Elle eut beau serrer ses fesses, son trou était trop ouvert pour retenir ce qui était en elle.

Tom se releva et dit :

 Il faut que jy aille ! Salut Chris ! Amuse-toi bien avec ta salope !

 Salut mec ! Bonsoir à ta femme !

Pas un mot gentil pour ma femme. Je me doutais, que pour eux, elle nétait quun vide-couilles, un morceau de viande. Puis, lorsque Tom, rhabillé, les eut quitté, Chris libéra Maryse et, la prenant par les cheveux, la força à le suivre, à quatre pattes, vers la maison.

 Allez, viens, salope ! Jen ai pas encore fini avec toi ! Dailleurs, je te garde toute la nuit. Tu vas déguster, dit-il, en la faisant avancer.

Je les vis disparaître dans la maison, fermer la baie vitrée, et éteindre toutes les lumières du rez de chaussée. Peu de temps après, nayant plus rien à voir, je me rhabillai et quittai le lieu, peu rassuré sur ce quallait subir ma femme.

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