6 – En public à la villa…Helene Paul et Elodie
Je me fis tout de même sexy comme papa aimait, jupe courte et haut moulant, je passais quand même un soutien. Peu après ses amis arrivèrent. Paul ressemblait beaucoup à mon père, Hélène était une belle femme blonde aux grands yeux bleu mais l’air sévère, Elodie était le portrait craché de sa mère avec un visage d’ange, Elodie semblait être une vraie peste faisant déjà la mauvaise tête. Heureusement la villa était assez grande pour que chacun y ait sa chambre. Ils rangèrent leurs affaires et on prit le repas ensemble, parlant de chose et d’autres, Paul jetait des coups d’il vers ma poitrine, et Hélène me regardait parfois bizarrement, Elodie alla vite se coucher, on se retrouva à 4 à prendre le café.
J’étais assise à côté de papa et Hélène et Paul chacun dans un fauteuil face à nous. D’un coup papa annonça :
— il faut que je vous dise que j’éduque Véro, elle fait encore tellement de maladresses que je la fesse comme une gamine tous les soirs…
Je ne savais plus où me mettre, je baissais les yeux attendant leur réaction.
— tu as bien raison dit Paul
— il ne faut pas te gêner pour nous ! D’ailleurs Elodie mériterait le même traitement, elle est intenable depuis un moment… ajouta Hélène
— bon alors Véro va recevoir sa première correction en public…allez Véro debout !
Je me levais et attendais.
— tu retires ta jupe où je le fais-moi même ?
— oui papa pardon…
Je fis glisser ma jupe et sans plus attendre mon shorty. Paul et Hélène étaient silencieux.
— ah cul nu en plus…très bien çà dit Paul
Papa me fit basculer sur lui comme d’habitude, il me claqua assez fort.
— alors Véro dis donc pourquoi tu mérites ta fessée !
— parce que je suis une conne papa…
— ah oui elle mérite vraiment çà alors dit Hélène
Sans gêne il commença à me peloter également, je ne savais pas si ses amis le voyait, je m’en moquais attendant que la chaleur monte dans mes reins. Papa claqua plus fort et me pelota plus vigoureusement aussi, le plaisir arrivait.
— mais elle aime çà la petite conne, on dirait que ça lui fait du bien ! s’exclama Hélène
— oui surtout quand on lui tire les tétons en même temps…
Mon père avouait donc ce qu’il me faisait, j’ouvrais les jambes espérant que papa me claquerait là aussi.
— même sur la chatte elle aime les petites tapes. Regardez…
Paul et sa femme se levèrent et vinrent voir de plus près.
— cambre-toi Véro !
J’obéis et la main se plaqua sur ma fente. Et j’entendis mon père dire:
— tu veux la claquer aussi Paul ?
— pourquoi pas…mais tu sais Hélène voudrait peut être en recevoir une aussi…
— oh chéri voyons ! Tu exagères je n’ai pas son âge…
— justement il n’y a pas d’âge, je l’ai déjà expliqué à Véro…
— oui c’est vrai papa pourra toujours me fesser et me peloter même quand je serais mariée ! Je suis à lui pour toujours…
D’un coup je sentis une autre main s’abattre sur mes fesses, je sursautais la claque était forte.
— alors Paul tu penses qu’elle a un cul à fessée non ?
— oui il est superbe et bien ferme…
C’était donc lui qui m’avait frappée.
— si Hélène le mérites je peux lui donner la première…tu fesseras Véro demain soir et pourquoi pas Elodie, ce serait intéressant…la voir résister et se débattre…
— oui je te laisse fesser Hélène…finis-en avec Véro…
— et moi alors on ne me demande pas mon avis ? À une condition…que moi aussi je puisse fesser Véro…
Tout le monde était vraiment intéressé pour me claquer les fesses ! Je ne savais pas si ce serait aussi bon qu’avec papa.
— allez Véro, debout ! Et file dans le coin…
J’allais me placer comme la veille sans me cacher, je sentis les regards sur moi, ça m’était égal.
— allez Hélène cul nu aussi !
J’avais envie de voir ça, je me retournais un peu, Paul était debout à côté de sa femme, elle hésita puis fit tomber sa jupe, elle aussi portait de la lingerie fine, elle baissa sa culotte et se coucha sur les genoux de mon père.
— la même que Véro alors ?
— oui ne te gêne pas ! dit Paul
Les premières claques tombèrent, Hélène cria doucement, mon père continuait, soudain elle dit:
— mais il cherche mon sein !
— et alors c’est que Véro reçoit exactement espèce d’idiote !
— alors tais-toi Hélène et laisse le faire ! dit son mari
Je la vis se tortiller.
— au ça chauffe ! Tu tires fort !
— ça te fait mouiller alors Hélène ? demanda mon père
— oh oui ! C’est bon en fait ! Véro est qu’une vicieuse ! Elle te laisse l’exciter !
— je vais te claquer la chatte aussi Hélène, écarte les cuisses !
Elle le fit sans protester, Paul appréciait. Papa la claqua doucement sur le sexe.
— Humm ! Je me sens si salope ! me donner si facilement ! Oh chéri si tu savais comme il me pelote bien fort !
Ainsi Hélène avait le même traitement que moi et aimait aussi.
— espèce de garce ! Tu n’es qu’une salope laisser mon ami te tripoter sans résister !
— oui elle devait être comme Véro au même âge ! Et maintenant une bonne connasse docile !
— oui ! C’est ce que je suis ! Une connasse ! Claque-moi la chatte !
Les mots crus plaisaient à tous, ça rendait la situation encore plus perverse. Mon père lui balança 3 claques bien fortes entre les jambes, Hélène cria et se cambra encore plus.
— va rejoindre Véro maintenant !
Elle se leva et vint à côté de moi, des larmes perlaient au coin de ses yeux, elle se colla à moi.
— oh Véro quelle chance tu as !
— oui j’aime que papa me corrige…
— alors demain j’essaierais de faire aussi bien que lui…
Les 2 hommes nous laissèrent 5 minutes là, ils parlaient de nous. "Elles sont superbes le cul à l’air" ; "oui, les vacances s’annoncent bien…tu penses qu’Elodie sera aussi docile?" ; "espérons le même si elle n’a pas les même seins à peloter" ;"c’est vai qu’elle n’a pas les nichons de Véro mais elle a de jolis petits boutons, je lui tirerais bien, Hélène à tellement aimé çà…".
Ils nous rappelèrent, Hélène se blottis contre son mari et l’embrassa. Papa me prit dans ses bras, je n’osais pas l’embrasser mais je pensais que ses amis connaitraient bientôt notre secret. On gagna nos chambres, ce soir papa ne m’avait pas fait jouir, je n’arrivais pas à dormir, je décidais de
le rejoindre dans sa chambre, il dormait, je me glissais dans son lit et le prit dans ma bouche.
Une main se posa sur ma tête et appuya, je me laissais faire, il continua, je m’étouffais et il relacha, il murmura.
— petite salope chérie…tu veux du sperme ?
— oui papa. Dans ma bouche même…donne-le-moi…
Il se branla juste devant ma bouche que je tenais ouverte, il gicla, je le laissais se déverser et avalais. Il me serra contre lui.
— rejoins vite ton lit petite conne et caresse-toi en pensant à demain. Tu les laisseras te fesser non ?
— oui papa je ferais tout ce que tu voudras…
— c’est bien ma fille chérie…offre toi facilement comme Hélène…
Je me demandais s’il s’était passé quelque chose entre eux et posais la question. Il m’expliqua que c’était un couple libre
— oui ils sont libertins et ça m’est arrivé de coucher avec elle devant son mari…
Les jours à venir promettaient donc d’être très chauds ; une fois dans mon lit je me fis jouir.
a bientot