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Oublie Samantha… – Chapitre 1




— Chérie, va te doucher, épile-toi et rejoins-moi dans la chambre ! J’ai une surprise pour toi. 

J’étais en train de finir de pendre le linge quand il me sort ça. Ça m’a fait drôle ce qu’il me dit car en même temps ça fait si longtemps qu’il ne m’a pas fait une telle sortie.

Curieuse et amusée, je consentis simplement d’un hochement de la tête, je finis ma tâche et m’empressai de me rendre sous la douche.

Je ne pus m’empêcher d’imaginer tout un tas de trucs coquins, et la manière dont il m’a demandé d’exécuter cet ordre. C’était doux, mais assez ferme pour me mettre dans tous mes états.

Nous avons tout le week-end pour nous et j’avais hâte de pouvoir sortir de ma routine quotidienne, passer des moments seul à seul, et dans une atmosphère qui me plaît déjà.

En regardant mes jambes et mon sexe poilus, j’essaie de me souvenir la dernière fois où j’ai pris le temps de me dorloter et de me préparer pour un moment intime, ce qui remonte à très loin. Je ne me rendais pas compte à quel point j’ai pu me négliger.

Mon homme aime mon sexe poilu, et ayant de la chance de ne pas avoir une pousse à l’image du bambou, je pouvais me permettre de me laisser aller sans que ce soit de manière exagérée et repoussante. Et puis, je sais aussi que l’acceptation de mes poils me donne un air plus femme, plus sauvage et plus authentique dans ma nature. J’ai bientôt 30 ans, et j’ai besoin de me sentir à l’aise dans mon corps, de quelque manière qui soit.

Ainsi, je pris plaisir à marquer juste un mince ticket de métro sur mon pubis, tout en rasant pleinement le reste de mes parties. Je me sentais si bien et si désirable que je ne pus m’empêcher de caresser mes lèvres intimes, tout en insérant mon doigt dans mon vagin.

Depuis ma grossesse, mon vagin était bien dilaté, et il était facile d’enfiler 2 doigts sans préliminaires. Cette pensée que mon vagin était bien ouvert en tout temps, prêt à recevoir, me donna une sensation électrique dans tout le corps, laissant échapper un peu de liquide de mon entrejambe.

Ayant fini ma besogne à la salle de bains, je trottinai avec discrétion jusqu’à la chambre, où Marc m’attendait assis sur le lit. À sa droite, il y avait des vêtements, ainsi quelques accessoires que je ne discernai pas très bien au départ.

Il s’agissait en fait d’un gode énorme, ou plutôt un plug anal, de menottes en cuir et d’un fouet…

En guise de vêtements, il y avait des bas résilles, un string transparent rouge ouvert à la chatte avec un diamant qui surplomberait le clitoris, un bustier rouge avec les lacets noirs ainsi que des talons noirs si haut que je me demandais intérieurement si j’allais être capable de tenir dessus. Je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire large, tellement cette situation m’intriguait et m’excitait à la fois.

Je regardai Marc dans les yeux comme pour l’interroger de cette situation peu banale. Sans dire un mot, il me scruta d’un regard sévère et dominateur. Un frisson me parcouru tout le long de la colonne vertébrale.

— Samantha, viens te mettre debout devant moi, je veux contrôler si tu as correctement accompli ma demande.

Mon dieu, je ne savais pas comment réagir face à son attitude. J’avais l’impression de ne pas reconnaître mon mari, et en même temps, j’étais si intriguée de ce personnage devant moi. Il avait une manière si sèche de me parler, que je sentis le besoin de m’exécuter sans broncher.

Il examina mon corps de haut en bas et de bas en haut, chaque centimètre ne pouvant échapper à son regard qui me semblait être un vrai radar. Il me regarda droit dans les yeux, toujours son air grave et ses yeux qui me transpercent. Je me sentais toute chose, je ne savais pas ce qui se passait dans sa tête, quand après 1 bonne minute, il finit par me dire :

— Samantha, tu es une belle femme, tu vas bientôt avoir 30 ans et je m’aperçois que tu n’as pas encore eu de vraie jouissance dans ta vie. J’ai besoin de te voir dans toute ta splendeur et ta nature authentique. Il est important que tu t’abandonnes, totalement. Que tu oublies pendant un instant qui tu es, quels rôles te sont attribués dans ta vie au quotidien, oublie la mère, oublie la femme conventionnelle. Je veux que tu oublies tout ça, tu m’entends ?

— Euh… mais où veux-tu en venir Marc ? Je ne comprends pas.

— Samantha, cesse cet air inquiet, tu m’agaces. Et réponds-moi maintenant, es-tu prête à me faire confiance et à oublier tout ce que tu es jusqu’à présent ?

Son air m’inquiétait, oui c’est vrai,  mais à la fois il m’envoûtait. Je ne savais pas quoi faire, il semblait si sérieux. J’étais bien perplexe, et tandis qu’un tas de pensées tournaient dans ma tête, je l’entendis hurler mon nom.

— SAMANTHA ! Réponds !

— Euh.. oui. Oui… ok, je suis prête à te faire confiance et à oublier tous mes rôles de ma vie.

— Oui, Maître ! Renchérit Marc.

— Oui, Maître.

Je me sentais vraiment drôle de prononcer ces mots, et de tourner mes yeux vers tous ces objets qui étaient sur le lit. Je sentais au fond de moi que je m’apprêtais à vivre quelque chose d’exceptionnel, quelque chose qui me fait peur, inconnu, mais à la fois qui ne put m’empêcher d’attiser ma curiosité et mon attirance.

Oublier, il a prononcé des mots qui ont tellement raisonné fort en moi. Car oui, si j’analyse ma vie, j’ai toujours dû jouer des rôles, et pour satisfaire mon statut de mère, de bonne épouse, et de bonne femme sociale. Et je n’avais que cette envie parfois, oublier. Oublier tout ça, pour me permettre de vivre autre chose. Je ne sais pas quoi, mais autre chose.

— Tourne-toi Samantha, je vais te huiler le dos, et tout le corps.

Je me tournai sans riposter et il commença à m’enduire d’huile tout doucement le long de ma colonne vertébrale. Mmh ça sentait bon le bois de santal et l’ylang-ylang. Ces odeurs exotiques associées à ses caresses douces m’ont permis de relâcher de la tension et de profiter ce qui se passait sur le moment. Sans trop penser, juste apprécier l’instant.

Marc me caressait avec une telle douceur que ça éveillai tant de choses en moi. À quand la dernière fois qu’il a pris le temps comme cela pour moi ? Pour me dorloter et m’apporter toute sa tendresse ? Avec notre routine quotidienne et nos 10 ans de mariage, ces instants se faisaient toujours très rare. Et c’était un délice quand il ressurgissait.

Mais cette fois, c’était différent. Très différent même. Marc était différent, il avait un air que je ne connaissais pas, et tout ce scénario était si imprévisible et nouveau. Mais j’aimais vraiment ça. Sans savoir où cela allait finir par me mener, je sentis la confiance que Marc réclamait me gagner au fur et à mesure de ses caresses.

Lorsqu’il arriva dans la zone de mes fesses, ses caresses se transformèrent en pétrissage. J’avais l’impression que mon cul était malaxé comme une pâte à pain. Puis il s’amusait à écarter mes fesses largement pour les relâcher ensuite. Apparemment, ce petit jeu l’amusait, et ce n’était pas pour me déplaire.

— Tu as vraiment un beau cul ma femme ! Bien rebondi comme j’aime. Tu verras, il sera l’attraction de la soirée, et tu vas aimer. Oh oui tu vas aimer…

Ces derniers mots, c’est comme si il se les murmurait à lui-même tout en fermant les yeux. Il commença alors à lécher mon cul, de manière goulue, sa bouche bien ouverte et sa langue bien pendante. Il m’écarta les fesses et commença à tourner sa langue autour de mon illet.

Je ne pus m’empêcher d’avoir un petit sursaut de plaisir. Je sentais Marc tellement investi avec sa bouche et ses mains que le désir commençait fortement à monter en moi. Lorsqu’il écarta mes lèvres avec sa langue, je ne pus résister à échapper un cri.

— Oh…. ! Marc….

— Tu aimes ça ma petite salope n’est-ce pas ?

— Mmmh… oui

— Oui, Maître…. ! N’oublie pas cette règle si tu ne veux pas être punie… !

— Oui Maître.

Voilà qu’il me traite de salope et me parle de punition. Ces mots et sa langue fouillant mon intimité, je sentais la mouille couler de ma chatte. En voyant cela, le visage de Marc se détendit et un large sourire se dessinait sur ses lèvres. Il s’exclama alors :

— Oh oui je le savais ! Je le savais que tu prendrais plaisir à ce petit jeu. Samantha, je sais que tu es une bonne salope, et il est maintenant temps que tu assumes ce rôle. Le seul qui te soit ordonné pour toute la soirée. As-tu bien compris ?

— Oui Marc…, ces mots sortirent dans un râle de plaisir.

— Oooooooooooohhhhhh… !! Voilà qu’il m’assène d’une bonne claque sur ma fesse droite !. Celle-là, je ne l’avais pas vu venir…. !

— Oui, MAÎTRE ! Samantha, obéis ! Je veux que ton cul soit entièrement disponible ce soir, ne me déçois pas. Tu as tout intérêt à prendre au sérieux ce petit jeu.

— Oui, maître.

Des larmes coulèrent de mes joues. C’était si intense et si imprévisible. Pendant une demi seconde, je me demandais dans quoi je m’embarquai. Mais Marc a vite fait de me faire oublier ces pensées lorsqu’il lécha ma fesse, comme un baume pour la punition qu’il venait de me donner Ce contraste de violence et de douceur me permit de m’abandonner.

Il m’a dit d’oublier….. je suis une salope. Oui, je suis prête désormais à l’obéir. Quand cette décision fut prise intérieurement, je sentis un spasme et une dilatation de mon vagin. Lui savait ce qu’il l’attendait, et il était prêt à tout recevoir.

Oui, j’ai envie d’être une salope. Ce mot tournait dans ma tête, comme une ivresse qui me gagnait. Et mon corps ondulait, ce mot…. puissant, et révélateur. Il éveillait une force en moi, je me sentais fondre à travers lui, mon corps se détendre peu à peu. Mon cul se tendait comme pour répondre à cet appel, ma chatte bien ouverte, offerte à Marc, entièrement. C’était si bon…..

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