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Isabelle, grosse et petite mais belle – Chapitre 14




— Ah !!! Vous avez fait connaissance à ce que je vois. Nous dit Jean en montrant l’érection de se « fille ».- Papa, un peu de pudeur…

— C’est toi qui dis cela ? Avec l’érection que tu te payes ?

Effectivement, le sexe de Vanessa mesure bien 25 centimètre par 5 ou 6 de diamètre. 

Jean m’invite à sa droite, sa femme à sa gauche, Vanessa en face, entre Isa et Lili. Éva nous sert avec joies des petits farcis. Le rosé coule à flot. Le dessert est à la hauteur des talents culinaires d’Éva, Une « tropézienne » maison. 

Jean nous explique plus en profondeur les raisons du choix de sa fille. C’était, au début, le choix de sa mère, qui désirant une fille, l’avait élevé comme telle. A l’époque, ils étaient à Tahiti et cela se pratique sans pudeur aucune. Cela était très bien accepté et que ces transgenres étaient monnaie courante en Polynésie. Ils étaient restés dix ans et à leur retour en France, Vanessa ressemblait plus à une petite fille qu’à un petit mec. Ils décidèrent alors de la considérer comme telle. Ensuite était venue sa décision de sa transformation physique définitive. Il ne lui connaissait pas d’ami ou d’amie régulier.

— Papa, je t’en prie, c’est de ma vie privée que tu parles là…

— Au moins ils sont au courant. 

— Arrête de l’embêter, Jean !!! S’exclame Éva.

— Bon, un petit bain, dit Vanessa, ça vous tente ?

Lili et Isa répondent par l’affirmative, moi je rechigne un peu. Vanessa me prend par la main et m’entraîne dans la piscine. Il s’en suit d’un long baiser langoureux. « Elle » m’embrasse comme une nana en me caressant les fesses.

— On s’occupe des filles ? Me dit-elle.

— Tu prends laquelle ?

— Ta femme. J’ai vu que toi et Isa vous vous dévorez des yeux depuis le début de la soirée.

On s’approche des filles, tels des prédateurs. Vanessa fait ressortir ma femme et l’installe sur transat recouvert d’un matelas de plage. Elle lui met la tête dans le vide et présente son sexe à sa bouche. Lili lui gobe jusqu’à la garde. Vanessa me regarde, étonnée, me faisant signe du pouce que tout va bien. Je prends Isa par les hanches et lui demande de s’asseoir sur les marches. Je plonge ma tête vers son sexe glabre. J’aspire ses lèvres, son clito. Elle s’abandonne à mes caresses en s’appuyant en arrière sur ses bras. Je jette un il par-dessus mon épaule, c’est pour voir Vanessa en train de baiser la bouche de mon épouse. Je suis vite rappelé à l’ordre par Isa. Je la pénètre le plus loin possible avec ma langue. Je n’entends que les cigales, le bruit des pompes de la piscine et des gémissements venants de la terrasse. C’est Jean et Éva. Il a allongé sa femme sur la table basse et lui bouffe également l’abricot. 

Je mets Isa dans une position scabreuse. A quatre pattes, les genoux reposants sur le haut des escaliers et ses mains sur la troisième marche de ceux-ci. De cette façon, elle m’offre son gros fessier et donc ses deux trous. J’ai une vue sur Vanessa et ma femme ainsi que sur Jean et Éva. Je plante mon dard, d’un coup sec, dans l’abricot d’Isa.

— HAN, SALOP…

Je n’ai que faire de ses supplications. Je la bourrine sauvagement en me régalant du spectacle offert par les deux autres couples. 

Vanessa prend ma femme en levrette avec violence. Jean s’est allongé sur la table et Éva le chevauche. Tout n’est plus que débauche et luxure. Je change de trou et encule Isa aussi gaillardement que précédemment. 

— PUTAIN… QUE C’EST BON… hurle Isa.

Jean et Vanessa, m’aillant vu changer de position, ils enculent leur partenaire respective.

Les trois femelles en chaleur hurlent leur plaisir. Heureusement que le voisin le plus proche est à plus de cinq cent mètres et que nous sommes couverts par les hauts murs. 

Notre cavalcade dure plus de dix minutes quand nous jouissons tous les trois presque simultanément. Je me retire du fion d’Isa. Ma semence lui coule entre son sillon, passe par sa vulve et tombe dans l’eau de la piscine. Elle se relève. Elle me prend par les hanches et m’entraîne vers Éva et jean, celui-ci à peine à reprendre son souffle.

— Ouf, putain, ce n’est plus de mon âge. Dit-il.

— On vient à peine de commencer, renchérit Vanessa.

On s’installe au salon d’été. Lili, qui a oublié toute forme de retenue, se met à genoux entre les jambes de Vanessa et lui gobe la queue.

— Qu’elle grosse truie cette Lili. Une affamée de la queue… Dit Vanessa en rigolant.

Jean nous sert un petit rosé que nous buvons avec délice. La chaleur du mois d’août est agréable. Vanessa repousse gentiment ma femme en lui disant qu’il ne faut pas abuser des bonnes choses. Elle se lève et s’en va dans la piscine. Elle est suivie de mes deux femelles en chaleur. 

Je reste en compagnie d’Éva et de Jean. On entend le trio chuchoter et rigoler. Jean nous ressert. On discute de choses banales. Jean m’annonce que ce weekend ils s’absentent pour le mariage du fils d’un ami de la famille, que Vanessa n’y va pas.

— J’espère que vous serez sage… Dit-il en rigolant. 

— RHOOO, ils sont majeurs et vaccinés, rétorque Éva. Ne fais pas ta tête de cochon !

Jean s’en va, titubant et annonce qu’il va se coucher. 

Éva boude.

— Voilà, encore bourré. Il ne tient plus l’alcool, dit-elle en nous servant un verre.

Elle se lève et vient s’asseoir sur la petite table, face à moi. Elle me fixe du regard. Ses yeux brillent d’envie. Ses mains se posent sur mes cuisses et remontent lentement vers mon sexe tendu (merci le bois bandé). Elle s’en empare à deux mains et commence une savante masturbation. Je m’avachis dans mon fauteuil, renverse ma tête en arrière et ferme les yeux. 

— Elle est belle, me susurre-t-elle. J’ai envie d’elle, la sentir en moi, sentir ton sperme m’inonder ma chatte.

— Je t’en prie, elle est à toi. Fais en bon usage, Lui dis-je en rouvrant les yeux.

Elle se penche sur moi, commence par y déposer un baiser très tendre. 

Puis elle continue par lécher ma hampe du haut vers le bas. Elle me regarde fixement, les yeux remplis de bonheur. Elle bave sur mon dard. Elle se délecte de l’odeur d’Isa. Elle hume l’odeur des sécrétions vaginales et anales. Je soupir, elle me sourit. Ayant posé ses mains sur mes cuisses, elle me prodigue une lent et et magnifique fellation, descendant jusqu’à mon pubis. Elle joue de sa langue sur mon gland. 

— Arrête, je vais jouir. 

— Humm… Humm…Elle relâche son emprise et se retourne, debout et bras tendus sur la table. Je me lève et plante mon rostre dans son sexe chaud, gluant de cyprine et du sperme de son mari. Je n’ai aucune difficulté à venir en butée sur ses fesses. Je vais lentement, ressortant à chaque fois, rentrant à fond dans sa matrice. 

On entend des bruits venant de la piscine. C’est Vanessa qui pistonne, tour à tour, Isa et Lili. Positionnées en levrette et tournées vers nous, elles ont tout le loisir de profiter du spectacle que l’on offre. J’accélère mes mouvements. Éva crie, hurle son plaisir. Je saisie ses deux fesses et lui écarte sa petite rondelle à l’aide de mes deux pouces.

— OUI, DANS MON CUL…

J’introduis ma bite dans ce conduit étroit mais ça rentre tout seul (merci Jean). Elle bouge son cul, venant à la rencontre de mon ventre. Je ne bouge plus, elle s’encule toute seule. D’une main, elle vient me prendre les couilles, les pressant et les malaxant avec rage. Je sens mon jus monter et n’oubliant pas la demande d’Éva, je me retire de son cul et enfourne ma queue dans sa chatte. Trois allers-retours suffisent pour l’inonder. Éva, épuisées et à bout de souffle, se laisse tomber sur la table. Je me retire. Le trop plein de sperme coule lentement de sa fente vers le carrelage.

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