AU TOUR DE LUCIEN (SUITE)

Annie regarde son père dormir. Elle ne la jamais vu ainsi, sans défense. Elle caresse la poitrine, joue avec les poils, les tétons. La respiration de Lucien saccélère. La verge se déplie sur la cuisse. Elle la taquine du doigt, samusant de la sentir raidir. Elle tire sur la peau fine qui recouvre le gland. Cela le réveille.

— Aah! Oh cest toi! Non continue.

Annie sourit et masturbe lentement la tige.

— Il y a longtemps que tu es là?

— Je te regardais dormir.

Il promène la paume sur la poitrine tendre.

— Tu sais mon chou, je suis content que tu sois là à coté de moi.

Ils se caressent sans hâte à lécoute de la montée du plaisir.

— Elle fait bien lamour Chloé?

— Ou oui.

— Mieux que moi?

— Cest différent.

— Ça veut dire mieux nest-ce pas?

— Non, je tassure, cest différent.

— Je ne suis pas jalouse, tu sais Aah!

Lucien introduit le doigt entre les cuisses. Annie accentue sa caresse.

— Ma chérie

— Oui, Papa.

— Tu es heureuse?

— Oh oui!

— Je veux dire dans cette famille.

— Oui, je les aime beaucoup.

— Même Lucas?

— Que veux tu dire? Ah! Oui! Il me fait lamour aussi.

— Tu nas donc plus besoin de moi.

— Oh si! La preuve! ajoute-t-elle en décalottant le gland ce qui lui arrache un gémissement.

— Ton Philippe laccepte?

— Cest lui qui ma emmené dans cette chambre.

— Il se rattrape avec sa mère?

— Et alors? Tu es jaloux?

— Non.

Il lembrasse. Il la domine. Tenant sa verge d’une main, il la guide entre les cuisses de sa fille, caresse du bout les lèvres du sexe, les sépare et sintroduit dans le vagin trempé de sécrétions et du sperme de Philippe.

— Aaaah!

— Aah! Jaime te baiser! Aah!

— Aaaah !

— Jaime Aah! ma queue dans ton Aah! ventre!

— Aaaah!

— Jaime te sentir Aah! jouir!

— Aaaah!

— Dis moi Aah! quil ny a que Aah! que moi qui Aah! te fasse jouir!

Il naurait pas du parler ainsi. Non, avec Philippe elle jouit encore mieux. Lexcitation dAnnie retombe. Malgré ses efforts elle narrive pas à rattraper la jouissance qui sest enfuie. Elle subit presque passive la fin de létreinte. Lucien, tout à sa joie ne remarque pas la brusque froideur de sa fille.

Il peine à reprendre son souffle.

— Merci ma chérie, merci.

Elle le cajole. Elle laime bien son père même sil est maladroit comme linstant précédent.

— Tu sais ce qui me ferait plaisir?

— Tes désirs sont des ordres ma chérie.

— Tu devrais toccuper un peu de Nicole.

— Oh !

— Oui, je le lui ai promis.

— Vous disposez de moi à votre guise nest-ce pas? Et quen dit Chloé?

— Elle est daccord Je tassure!

Elle a peut-être raison. Plus rien ne létonne venant de cette famille.

— Ce nest pas que je sois contre, mais je nai plus vingt ans. Il me faut un certain temps de récupération.

Annie lembrasse sur la joue.

— Je te laisse dormir. Tu nauras quà te montrer au balcon quand tu seras reposé.

Dans le couloir elle rencontre Philippe et sa mère.

— Alors? Heureuse ma chérie?

Elle saute à son cou.

— Je te préfère toi, tu sais, murmure-t-elle à son oreille. Dis Chloé, poursuit elle. Tu permets que Nicole aille dans ta chambre?

— Euh tu crois?

— Elle en a envie.

— Je sais bien mais Oui, cest de toi dont on parle, lance-t-elle à sa fille qui passe la tête par la porte. Annie me dit que tu veux coucher avec Lucien. Cela te ferait tellement plaisir?

— Tu acceptes? Oh merci maman!

La jeune fille se jette au cou de sa mère.

— Où est il? demande-t-elle.

— Dans la chambre de Chloé Non, pas maintenant linterrompt Annie. Laisse le se reposer, il en a besoin. Je te ferai signe quand tu pourras y aller.

— Que complotez vous? senquiert Lucas qui apparaît à son tour.

— Rien mon gros.

Philippe entraîne son frère dans lescalier.

— Allons nous baigner.

Les deux garçons dévalent les marches. Ils courent et plongent dans la piscine.

— Tu veux pas nous rejoindre Nicole? demande Lucas qui prévoit que son frère soccupera de sa copine.

— Non, merci, je préfère me reposer.

Elle ne veut pas dune étreinte avant de monter voir Lucien.

— A ta guise, réplique-t-il déçu. Toi aussi, tu me laisses tomber Annie?

— Que veux tu, déclare son frère, jai la priorité.

— Tu ne peux pas patienter un tout petit peu, Philippe? insiste sa mère. Lucas mérite que lon fasse un peu attention à lui.

Philippe va rouspéter quand une idée traverse son esprit.

— Daccord, jaccepte.

— Merci, tu ne le regretteras pas frangin.

Annie se glisse à leau étonnée par la volte face de Philippe. Elle sourit en voyant son amant suivre son frère qui nage vers elle. Une étreinte à trois avec Lucas en milieu de sandwich! Elle attire le garçon et lembrasse.

— Alors comme ça on souhaite me baiser?

— Euh Tu tu veux bien.

— Mais oui mon gros.

Elle prend la verge pointée et en caresse son sexe.

— Cest comme ça que tu me veux?

— Oui Aah! Que fais tu Philippe?

— Tu le vois, prendre ma part de plaisir. Taime pas? ajoute-t-il en enfonçant lindex dans lanus.

— Aah!

— Je vais tenculer pendant que tu baiseras Annie.

— Aah!

— Ouvre ton cul!

— Aah! Aaaah!

Philippe empoigne la verge.

— Avance ma chérie, il est prêt!

Elle place le gland en face de lorifice du vagin.

— Oui, vas-y!

Philippe pousse. Sa verge pénètre dans le sphincter entraîne le garçon qui empale Annie.

— Aaah!

— Nest-ce pas bon?

— Oh! si! Aah! Je jouis Aaah! Aaaaah!

Il s’effondre vaincu par les sensations qui lont assailli. Philippe se dégage et plante sa queue dans Annie un peu perdue.

— Tu as une sacré imagination mon fils! samuse Chloé. Je me demande où tu vas chercher ça!

Les garçons se reposent. Lucas est un peu vexé de navoir pas pu satisfaire Annie. Celle-ci se penche et lui murmure:

— Une autre fois, nous serons seuls, je te promets.

Il ne sait pas si cest ce quil désire. La double sensation était merveilleuse. Plutôt la reproduire mais en faisant attention de ne pas éjaculer prématurément.

Annie lève les yeux et sourit. Son père les regarde du balcon. Elle lui fait signe. Est il en forme? Oui répond il par une mimique appropriée. Chloé la regarde étonné, puis Lucien, de nouveau Annie.

— Nicole? murmure-t-elle.

— Vous voulez bien?

La jeune femme sourit. Elle ne peut rien refuser à ces gamines.

— Nicole ma chérie, tu devrais aller demander à Lucien sil na besoin de rien. Il est dans ma chambre.

Elle a parlé assez fort pour quil lentende du balcon. Il sourit pour lui même et passe la porte-fenêtre attendre la jeune fille.

— Vous navez besoin de rien? Cest maman qui m’envoie.

Nicole se tient sur le seuil de la porte. Elle est inquiète. Qui dit que cet homme voudra delle après sa mère et Annie?

— Entre, je ten prie.

Elle reste debout au centre de la pièce. Elle est mignonne cette petite, pense-t-il, un vrai morceau de roi. Le désir monte dans la queue. Puisquelle soffre avec lapprobation de sa mère et dAnnie, il ny a pas de raison de sen priver.

— Approche oui plus près.

Il la coince entre ses genoux.

— Tu es très jolie.

— Cest vrai? Vous dites ça pour me faire plaisir.

— Je suis sincère. Jolie et très bien faite. Tu as tout pour plaire Là (il caresse la joue) Là (il empaume un sein).

— Je nai pas assez de poitrine.

— Mais non, regarde comme tes seins emplissent ma main.

— Jaimerai avoir ceux dAnnie.

— Ils nétaient pas plus volumineux que les tiens à ton âge.

Il titille les tétons qui durcissent sous ses doigts. Ses mains glissent sur les hanches caressent les fesses.

— Tu as un très joli cul!

Les mains descendent sur larrière des cuisses pour remonter devant et se rejoindre, les doigts emmêlés dans les poils du pubis.

— Ne me dis pas que jolie comme tu es, tu nas pas damoureux.

Les doigts sinsinuent dans la fente.

— Non Aah!

— Je ne te crois pas.

Il fait rouler le clitoris entre le pouce et lindex.

— Aaaah! Je Aah! je vous assure.

— Personne pour te faire l’amour?

— Euh Aah!

Lucien introduit lindex dans le vagin. Elle nest pas vierge, constate-t-il rassuré.

— A part tes frères? devine-t-il.

— Oui.

— Demande à Annie de te présenter le frère de son amie Martine.

— François? Il est venu ici.

— Ah! Tu vois que tu as un amoureux.

— Non répond elle en soupirant, il ne veut pas de moi.

— Cest un imbécile!

Il lui prend la main et la pose sur sa queue.

— Caresse moi! Oui! Tu as déjà caressé un homme avec la bouche?

— Vous voulez que je vous suce? dit elle en sagenouillant.

Elle prend la queue à deux mains et lapproche de ses lèvres.

— Oui Aah!

Lengin est plus gros que celui de ses frères. Elle tire sur la mâchoire pour ne pas blesser le gland avec les dents.

— Ouiii!

Elle suce avec application.

Lucien un instant pense se laisser aller. Non, ce ne serait pas correct pour la demoiselle qui attend autre chose. Il attire la figure et lembrasse. Il la fait basculer sur le lit. Ses lèvres parcourent le corps, le cou, les seins où elles sattardent, le ventre puis le sexe.

— Aaah!

Sa langue sépare les lèvres purpurines. Elle est prête! Il remonte lentement. Sa queue guidée par une main sûre remplace sa bouche.

— Aaah!

Les muscles du vagin juvénile enserrent le gland dune douce étreinte. Il modère ses mouvements. Un jeune con, cest fragile. Il nest pas question de le blesser. Chloé ne le pardonnerait pas. Nicole est aux anges. Enfin une autre queue que celle de ses frères. Elle est grosse celle-là! Son ventre tire, que cest bon.

— Aah! Ouii! Aaah! Ouiii! Aaaah! Ouiiii! Aaaaahhh!

Lucien nen a pas fini. Il la fait retourner, la positionne à quatre pattes et senfonce dans la chatte humide. De nouveau le plaisir envahit le ventre de la jeune fille.

— Aah! Ouii!

La main de lhomme empaume un sein.

— Aah! Ouii!

Les doigts quittent le mamelon, sintroduisent dans la fente.

— Aaah! Ouiii!

Lucien accélère.

— Aaaah! Ouiiii! Aaaaahhh!

La sève grimpe dans la tige, monte, monte. Le plaisir éclate enfin.

— Arrggh!

Il se jette sur le dos hors dhaleine. Nicole reste prostrée à quatre pattes. Quel pied! Au bout de quelques secondes, elle le contemple. Ses traits sont tirés, le visage émacié. Il respire bruyamment.

— Ça va? sinquiète-t-elle.

— Merci, merci, murmure-t-il en souriant.

— Vous voulez que je vous laisse dormir?

Les yeux fermés, il hoche la tête affirmativement. Il na pas la force de parler. La jeune fille descend du lit. Arrivée à la porte elle se retourne. Il na pas bougé. Sa poitrine se soulève régulièrement.

— Alors? linterroge Annie.

— Merci, merci beaucoup.

— Que fait il? demande Chloé.

— Il dort! répond sa fille triomphalement.

Lucien némerge quen fin daprès-midi. Il sexcuse confus auprès de Chloé.

— Ce doit être la fatigue, je travaille beaucoup en ce moment.

— Je comprends, affirme-t-elle ces petites jeunes sont redoutables!

Il la regarde un peu inquiet. Le sourire le rassure.

— Moquez vous de moi, je le mérite.

Le soir au moment daller au lit, il la retient dans le couloir.

— Euh Puis je émettre une suggestion?

— Je vous en prie.

— Je nai pas utilisé ma chambre de la journée. Est il nécessaire que je salisse les draps ? Cela vous fera du travail en moins.

— Je vous remercie de votre sollicitude. Où comptez vous dormir? Sur un fauteuil?

— Euh

— Dans mon lit?

— Si c’était un effet de votre bonté.

— Voyez vous ça! Ça déclare forfait après deux ou trois petits coups et ça réclame une nuit complète! Je vous fais marcher. Si vous ne laviez fait, je vous laurais proposé moi-même!

Il la suit dans sa chambre.

Pendant ses vacances, Lucien devient un hôte assidu de la grande villa. Il ne cache pas son admiration pour la maîtresse de maison. Lattirance est dailleurs réciproque. Quand il reste la nuit, il partage la chambre de Chloé. Cela lui donne moins de travail se justifie-t-elle quand ses enfants se moquent delle. Instruit par lexpérience il apprend à ménager ses ressources. Voulant réserver à Chloé le maximum de ses possibilités, il fait comprendre à sa fille et à Nicole que vu son âge, il vaut mieux espacer les rencontres. La fille de la maison est déçue, encore un mâle qui lui échappe! Annie pas mécontente que son père lâche la pression, tente de la réconforter par des caresses. Cela ne satisfait pas la jeune fille qui se désole de ne pas encore avoir un homme à elle.

— Ne sois pas si pressée ma fille, la console Chloé. Garde confiance! Lamour te tombera dessus au moment où tu ty attends le moins. Je te le promets.

Nicole soupire. Des paroles! Ce nest pas cela qui comblera son déficit de sexe. Elle tarabuste ses frères pour obtenir compensation.

(A suivre)

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