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Duchesse et catin – Chapitre 3




La visite chez le pasteur et sa vieille bigote de femme fut pénible, d’autant que j’étais impatiente de reprendre la route pour trouver mon amant. On me proposa d’aller visiter des nécessiteux de la paroisse. Je promis de la faire, mais pas aujourd’hui. Le pasteur m’en reparlerait dimanche au service, où toute la population, désireuse de voir la jeune duchesse, serait présente.

Je repris la route et les chemins caillouteux traversant l’immense domaine de mon mari. Une pancarte m’indiqua le chemin, mais après, il y eut plusieurs bifurcations. Ne sachant laquelle prendre, je décidai de faire demi-tour, rentrer au château et mieux préparer mon affaire pour une opportunité ultérieure, mais j’étais frustrée. J’espérais que le duc ferait revenir Hornyman ce soir.

Les chemins n’étaient pas bons et je crevai un pneu. Bien que sachant théoriquement changer une roue, je n’avais pas la force d’employer le cric et de le faire seule. Je résolus de regagner le château à pied en coupant à travers la lande et je me perdis. Le soir tombait, il se mit à pleuvoir et je voulus revenir m’abriter dans la voiture, mais la pluie redoubla de violence. Je me rendis compte que je n’avais plus aucun repère dans ce morne paysage. Je commençai à paniquer un peu lorsque j’aperçus une lumière au loin. Je me dirigeai droit sur elle.

J’arrivai au bout d’une dizaine de minutes devant une longère aux murs blancs adossée à la colline. J’étais trempée. Je frappai et entrai.

A l’intérieur se tenait une jeune femme très brune et svelte, d’une grande beauté et au regard d’acier.

Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle esquissa une révérence un peu sèche, prouvant qu’elle savait qui j’étais.

Excusez-moi, dis-je. Je suis Clara d’Emlessex. Je me suis perdue. Ma voiture est tombée en panne, pouvez-vous m’aider ?

Je sais qui est votre Grâce. Entrez vite, et venez-vous sécher.

J’approchai.

La pièce était d’une grande propreté, les murs blancs, le sol en tomettes, un grand feu crépitait dans l’âtre et un fourneau collé à un mur répandait une douce chaleur et l’odeur alléchante d’un plat mijotant dans un caquelon. C’était confortable.

Déshabillez-vous !

Comment ?

Votre Grâce ne peut pas garder des vêtements humides sur elle. Elle va prendre le mal. Il faut que je les sèche.

Elle dit cela avec une telle autorité que je m’exécutai en hésitant tout même. Quand je fus à moitié nue, je risquai cependant, tout en croisant les bras sur mes seins :

Je ne peux cependant pas rester ainsi. N’auriez-vous pas quelques vêtements pour moi ?

Elle s’approcha de moi. Avec une douceur surprenante compte tenu de la sévérité de ses traits, elle prit mes poignets et décroisa mes mains.

Quelle tenue vous irait mieux que celle-ci ? dit-elle en me contemplant au point que je ressentis une sorte de malaise.

Puis, elle se baissa pour m’aider à retirer ma culotte.

Si Votre Grâce a froid malgré le feu ; qu’elle prenne ce plaid. De toute manière, elle séchera plus vite.

Je le passai autour de mes épaules.

Que fait votre grâce ici, je la croyais au château ?

Vous me croyiez au château ?

Oui… Monsieur le duc y a fait mander mon frère pour ce soir… Il ira directement là-bas et ne repassera pas par ici.

Votre frère ?

Je suis Megan Hornyman.

Avant de réaliser qu’elle savait pourquoi on avait appelé son frère, je ne pus cacher ma déception. J’étais venue dans l’espoir de l’apercevoir et il était parti au château.

Il faut que je rentre au château. On va s’inquiéter, dis-je, en pensant surtout à l’étalon fougueux qui m’y attendait et que j’avais envie de chevaucher.

C’est impossible… vous êtes trempée, fatiguée. La pluie a cessé, mais l’obscurité est de plus en plus profonde. Vous vous égareriez à nouveau. Je vais y aller. Séchez-vous, et mangez si le cur vous en dit. Je vais seller le cheval.

Quand elle l’eut fait, elle revint.

Il se peut qu’il faille deux heures. La nuit est vraiment très noire. Oui… dans deux heures, je serai de retour ou l’on viendra vous chercher.

Bien merci.

Au moment où elle allait partir, elle ajouta :

Ah ! il se peut que mon autre frère revienne avant moi. Dites-lui qui vous êtes tout de suite. Il n’aime pas les étrangers et se comporte parfois… bizarrement avec les femmes. S’il sait qui vous êtes, il ne vous arrivera rien que vous ne désiriez vraiment.

Je rougis devant l’allusion, un peu en colère, que ce qui se passait dans le lit de mon mari soit connu de cette femme. Je croyais Hornyman, un homme discret.

Je comprends le duc et mon frère. Madame est vraiment très belle… ajouta-t-elle, et elle sortit.

Je restai un long moment sans bouger auprès du feu revigorant à la faible lueur de la lampe à pétrole et de l’âtre. Puis, je me hasardai à fouiller du regard les abords. Je vis quelques livres. Il y en avait un récent, imprimé en italien, qui s’intitulait : "l’amant de Lady Chatterley". J’en lus quelques passages et, à ma confusion, je me rendis compte qu’il m’arrivait à peu près la même chose, sauf que mon mari n’était ni impuissant ni indifférent.

Absorbée par cette lecture à scandale, je fus surprise quand la porte s’ouvrit.

Un homme entra avec deux molosses, deux espèces de Rottweillers, mais en plus grand, me semblait-il… Je m’emmitouflai dans le plaid pour cacher ma nudité.

Je suis Lady Emlessex, dis-je aussitôt, me rappelant des conseils de Megan.

L’homme s’inclina.

Mon frère vous a amenée ici ? Quelle idée ! Où est-il ?

Je lui racontai.

Bon… Je ne sais si mon frère va rentrer, mais Monsieur gardera ma sur.

Il dit cela tout en se déshabillant.

Que faites-vous ?

Ben, comme vous. Je me sèche…

Mais, vous ne pouvez pas… pas devant moi…

Pourquoi ?

Mais, vous allez…être… nu…

Cela ne vous gêne pas quand il s’agit de mon frère… et de votre mari.

Mais, c’est… c’est… Je ne vous permets pas… Vous êtes un inconnu.

Mon frère aussi vous était inconnu… Il nous dit tout…, précisa-t-il.

Et il continua de se dévêtir. Je le regardais à la dérobée.

Que vouliez-vous dire par "Monsieur gardera ma sur"?

C’est une sacrée pipeuse. Quand Monsieur est seul, elle lui tient compagnie.

Pipeuse ?

Oui.

C’est quoi ?

Le sexe dans la bouche.

Oh ! dis-je en me sentant rougir.

Il paraît que vous êtes très douée.

Mais je… je ne vous permets pas.

Bah… avec mon frère on partage tout, je vous dis…

Il était maintenant complètement nu.

Plus petit que son frère, très râblé, tout en muscle, couvert aussi de cicatrices et aussi blond que l’autre était brun, il ne pouvait laisser une femme indifférente. Il était d’une grande beauté, mais avait un je ne sais quoi dans l’il qui rendait mal à l’aise.

Je m’étais recroquevillée et enfouie sous le plaid pour me cacher au mieux.

Les chiens ! dit-il.

Et aussitôt, les deux monstres approchèrent alors qu’ils étaient restés assis immobiles depuis qu’ils s’étaient ébroués à leur entrée dans la pièce.

Le jeune Hornyman donna un ordre en patois local, et les animaux se couchèrent sur le dos. C’étaient deux mâles fortement couillus.

Caressez-les comme ça, me dit-il en me montrant comment faire.

Pourquoi ?

Pour qu’ils vous reconnaissent. Ils peuvent être… incisifs avec des inconnus. Mais là, ils vous seront toujours soumis. Ils vous reconnaîtront comme quelqu’un de la maison. J’ai fait leur dressage en ce sens : doux comme des agneaux, quand ils connaissent ; terribles autrement, si je veux.

Je le fis, me préoccupant d’abord des circonstances qui pourraient m’amener à revenir sans danger en ces lieux, pour voir Hornyman l’aîné. Pour ce faire, je fus obligée de me déplacer et mon plaid tomba. Je voulus le ramasser, l’homme le prit et le jeta au loin.

Vous l’avez mouillé en vous séchant. Il n’est pas bon que vous le gardiez.

Alors, je restai longtemps à caresser les bêtes, ce qui me permettait de ne montrer à l’homme resté debout que mon dos.

Mais il ordonna aux chiens de partir. Ils se redressèrent et quittèrent la pièce en poussant la porte qui donnait vers un cellier et une écurie.

Je me relevai. L’homme était devant moi, jambes écartées, sexe turgescent. Il me parut plus gros que celui de son frère et pour tout dire magnifique. Je rougis à l’idée qui me vint.

Il y eut un long moment de gêne. J’étais incapable de trouver quoi que ce soit à dire et puis je crus me sortir de ce mauvais pas en disant soudain :

Vous ne pouvez pas rester comme cela. Votre sur va revenir… que va-t-elle dire ?

Je vous l’ai dit, ma sur est actuellement avec votre mari et ranime son ardeur… Il aime particulièrement ses gâteries. Vous pourriez m’en faire une…

Mais pour qui me prenez-vous !

Et morte de honte, je me retournai, vers la cheminée pour tourner le dos au frère de mon amant, c’est-à-dire au désir.

Je le sentis s’approcher de moi. Il attrapa mes cheveux que je regrettai de n’avoir pas gardés à la garçonne et tira légèrement la nuque en arrière en se penchant vers mon oreille.

T’aimes la queue, cochonne… mon frère me le jure… tu aimes la bite, chienne, ma belle duchesse. Suce mon nud… il est plus gros que ce que t’as jamais vu.

Comme je ne bougeais pas, il tira un peu plus fort tout en me collant et me saisissant un sein, ses lèvres sur mon cou, son souffle chaud dansant sur ma peau quand il dit plus fort :

Suce, suce ma queue… tout de suite, maintenant. Suce !

Lâchez-moi.

Il hésita, me lâcha et recula.

Je me détournai et le giflai violemment. Je le désirai, il fallait l’admettre, mais ne voulais pas qu’il décide à ma place.

Il y eut un moment de silence. Il resta interdit, et moi, immobile.

Vous aimez mon frère ?

Vous dites n’importe quoi !

Vous savez, si mon frère n’avait pas été là, c’est moi que Monsieur le Duc aurait envoyé à sa place… D’ailleurs, Monsieur dit que quand vous serez plus habituée… on pourra venir tous les deux et puis je sais que je ne dois pas vous mettre enceinte.

Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous !

Jack dit que vous criez de plaisir et que vous y allez de plus en plus librement. Mais moi, j’vais vous faire découvrir de vrais trucs…

Mon mari et votre frère me suffisent…

Mais là, il n’y a que moi pour apaiser ton désir…

Mais je n’ai aucun désir.

Avec tes seins et ta moule gonflée comme ça… Allez, viens, prend ma queue !

Je n’étais évidemment pas habituée avec une telle familiarité, mais cette familiarité agissait sur moi comme un serpent qui hypnotise sa proie du regard. Cependant, comme je ne bougeais pas, il s’agenouilla, me saisit par les fesses et m’attira brusquement vers son visage. Je sentis son souffle chaud puis il se mit à agiter la tête en tous sens sur mon pubis, en criant.

Sucez-moi, sucez-moi, par pitié. Vous me rendez dingue, vous êtes trop belle, trop belle…

Et il posa sa bouche sur mon sexe !

J’étais déjà tellement excitée que mon bouton en était tout enflé, comme il l’avait remarqué, et tellement sensible que je cédai immédiatement. En quelques secondes, il me fit crier de joie. Alors que je caressai frénétiquement son cuir chevelu. Quand il comprit que j’étais vaincue, il se releva progressivement en me léchant le nombril, le ventre et les seins, puis il m’embrassa à pleine bouche. Je fis le chemin en sens inverse, en lui mordant la poitrine et en me jetant sur son sexe dès que je fus à la hauteur. Il avait vaincu mon irrésolution. Je ne m’appartenais plus, folle de désir désormais.

Son organe, effectivement, me parut plus gros que celui de son frère, mais le gland, du coup ne se détachait pas de la hampe et était moins ourlé.

Ouais, elle est bonne ta bouche… Hmmm, tu suces mieux que les filles du village. Tu seras bientôt aussi bonne que Megan…

Je fus choquée par ce propos qui semblait vouloir dire qu’il y avait une relation charnelle entre la sur et le frère… et pourquoi pas les deux ? Mais j’étais trop occupée à le pomper pour me poser plus de questions.

Il dégageait une forte odeur, presque animale. Bien sûr ! Il rentrait et ne s’était pas encore lavé comme avaient dû le faire Jack et le duc avant de coucher avec moi. Ce parfum m’amena à lui manger les couilles. Il s’allongea sur le dos, écarta les jambes pour me permettre de lécher toute sa zone génitale, qui était humide. Il avait transpiré. C’était nouveau et délicieux. Décidément, les hommes étaient pleins de surprises et de nouveaux attraits. Je regrettais de moins en moins mon mariage.

Je me délectai un long moment, respirant fortement, nettoyant tout son paquet avec ma langue, mais, soudain, il se releva, me prit dans ses bras et me poussa sur le lit.

Il écarta mes cuisses, me mangea furieusement la vulve, aspira lécha, mordit le clitoris, plongea sa langue dans mon sexe aussi loin qu’il le put et m’arracha en quelques secondes un bref, mais colossal orgasme.

Puis, il se leva, m’attrapa par les cuisses pour m’amener au bord du lit, et il me pénétra d’un coup sec et rapide… enfin sec, si l’on peut dire. J’étais déjà toute trempée de cyprine et de salive. Il était d’une vigueur peu commune et il me saboula comme si j’avais été un voilier dans la tempête. Cela n’avait rien à voir avec ce que m’avaient fait son frère et mon mari, qui, à côté, étaient des enfants de chur. C’était beaucoup plus violent, plus brutal, plus bestial. Il poussait des râles gutturaux, prononçait des paroles incompréhensibles en écossais, m’enfonçait ses doigts dans la chair, ses ongles dans mes seins, sa bite au fond de mon vagin.

Les chairs claquaient, la sueur coulait et les cris emplissaient la pièce. Tout mon corps vibrait, tremblait, tressaillait sous l’ouragan sexuel qui me dévastait. Je jouis une première fois, et puis très vite une deuxième, et encore après une troisième. Je ne pensais pas qu’on pouvait avoir autant d’orgasmes à répétition. On devait m’entendre sur toute la lande… déserte, fort heureusement.

Enfin, il s’arrêta, s’écroula sur moi, en ruisselant de transpiration. Nos curs palpitaient à tout rompre. Il m’embrassa puis posa sa bouche sur mon corps, suça les seins et descendit vers le con qu’il lécha encore une fois. Puis il se redressa.

Quant à moi, j’étais inerte, abattue par le cyclone, les bras étalés, les jambes flasques, je récupérais.

Je sentis qu’il attachait quelque chose à ma cheville droite. `

Que faites-vous ?

On n’a pas fini. Je vous prépare pour la suite. Vous n’avez encore rien vu.

J’étais trop lasse et trop en désordre dans ma tête pour réfléchir et faire autre chose que de m’abandonner à sa volonté.

Quand les deux chevilles furent enroulées, il suspendit les cordelettes à des anneaux placés sur la poutre du plafond, de sorte que j’avais les jambes attachées, écartées, tendues en l’air.

Puis, il s’allongea tête-bêche. J’en conclus que les cordes étaient faites pour libérer ses mouvements. Il glissa son visage entre mes cuisses, et se tendit sur ses jambes pour aller et venir dans ma bouche. De temps en temps, il fléchissait, en profitait pour me manger à nouveau la chatte où son menton mal rasé produisait des merveilles, puis se cambrait à nouveau et me défonçait la gorge derechef. Mes mâchoires me faisaient mal à force de rester ouvertes sur l’énorme engin.

A la fin, sans prévenir, il éjacula. Je faillis m’étouffer et vomir, à la fois à cause de la surprise et de la quantité de sperme.

J’étais choquée. Je n’avais pas intégré à ce qu’on puisse faire cela. Je fus bien obligée de tout avaler ou presque. C’était visqueux, amer et salé… et pourtant, passé le premier moment de dégoût, je trouvais cela agréable.

L’homme se retira, essuya sa bite sur le bout de mes seins et descendit du lit.

J’attendais qu’il me détache, mais, au lieu de cela, il se mit accroupi, mangea à nouveau mon minou, le doigta lentement et à fond, alors que j’étais encore secouée de spasmes du plaisir, comme les répliques d’un tremblement de terre. Puis il se mit debout et s’éloigna vers le fond de la pièce.

C’est alors que la porte d’entrée s’ouvrit.

Jack entra. Son jeune frère s’arrêta net.

Où allez-vous, Job Hornyman ? Qu’avez-vous fait ?

Rien… rien encore.

Et vous ne le ferez pas ! Pas avec elle !

Pourquoi ? Elles aiment toutes, cela.

Que vous dites !

Voyez notre sur !

Elle, c’est différent… je vous défends, vous entendez, je vous défends ! Pas Madame… D’ailleurs, vous finirez par nous attirer des ennuis avec ces pratiques. Si Monsieur le Duc savait… et savait quels étaient vos projets… craignez sa colère.

Soit !

Tout en tenant ses propos incompréhensibles destinés à son frère sur un ton d’autorité, Jack s’était approché et me déliait.

Tout va bien, Madame ? Il ne vous a pas fait de mal.

J’étais confuse. Mon sexe dégoulinant, mes seins et mon visage recouverts de foutre… je balbutiai un "non" confus.

Habillez-vous ! Sa grâce nous attend !

Je fis du plus vite que je pus. Il m’avait apporté quelques vêtements de rechange.

Au moment de partir, Job me salua :

Au plaisir Madame, revenez quand vous voulez.

Elle ne reviendra pas ! répondit Jack.

Je lui fis un sourire, ne sachant que faire d’autre, puis sortis. Il ne pleuvait plus, mais le vent était fort, et les nuages, encore lourds.

Pourquoi ne devrais-je pas revenir ? Que vouliez-vous dire pendant votre conversation ? dis-je, une fois calée dans le siège de la voiture avec laquelle Jack était venu me rechercher.

Vous ne devez pas revenir, c’est tout.

Ne suis-je pas chez moi ?

Mon frère est… bizarre. La guerre l’a abîmé. Elle nous a tous abîmés. Mais lui… c’est particulier…

Qu’entendez-vous par "vous ne le ferez pas avec elle" ? De quoi parliez-vous ?

Il vaut mieux que vous ne le sachiez pas.

Qu’allait-il me faire ?

Rien qu’une femme puisse désirer.

Dites-moi !

Sûrement pas. Vous trouveriez cela abject.

Plus il refusait, plus j’étais curieuse.

Depuis mon mariage, il semble que le duc et vous décidiez pour moi de ce que je dois faire en tant qu’épouse… et j’hésitais à le dire maîtresse. Je crois que je suis seule à savoir ce qui me plaira ou pas.

Il hésita.

Non.

Très bien, alors je vais faire la grève du sexe et quand mon mari me demandera pourquoi, il faudra bien que vous lui disiez ce qu’il n’est pas censé savoir ni apprécier.

Il réfléchit.

Vous ne le ferez pas !

Oh, je suis sûre que si, vous pouvez m’en croire !

C’est bon, c’est bon, vous l’aurez voulu… mais avant, promettez-moi de n’en parler à personne. Jamais. Personne !

Vous avez ma parole.

Mon frère… ses chiens… il partage tout avec eux…

Quoi, que voulez-vous dire ?

Même ses maîtresses !

Je ne comprends pas.

Vous n’avez jamais entendu parler de bestialité ? Pasiphaé et le taureau blanc ? De Léda et de Zeus ?

Sans prendre le temps de m’interroger sur les origines de sa culture, je réalisai soudain ce qu’il voulait dire et pour quoi son frère m’avait attachée.

A suivre.

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