Il nous reste un peu plus de deux semaines pour profiter des plaisirs. Le calme règne dans la maison. Après le déjeuner, James me propose d’aller nous promener à pied, il appelle Evans pour nous accompagner.

Nous marchons depuis un petit quart d’heure au moins quand James me dit avec un grand sourire :

   – Viens par-là, je connais un coin super !

  Je le suis. Effectivement, le coin est magnifique et complètement à l’abri des regards. James me demande de baisser mon slip, ce que je fais immédiatement. Evans vient aussitôt renifler mon pénis qui commence à mouiller.

  – Stop Evans ! Tu sais que tout se paye. Tu as profité maintenant, c’est à son tour !

  – A son tour ?

  – Mets-toi à quatre pattes !

   Je m’exécute. Evans vient aussitôt me lécher l’anus. Hum James attrape le labrador par le collier pour qu’il puisse me monter dessus. Je ne bouge plus. Je suis à la fois excité et affolé. D’une main, il corrige la trajectoire du sexe d’Evans. Enfin il entre en moi !

  Le chien se cambre et me sodomise. Je suis surpris par la taille de son sexe. J’encaisse les coups frénétiques pendant quelques minutes. Puis, je sens son sexe gonfler en moi, me dilater. Mon anus va exploser, incroyable ! Je sens qu’il me remplit. Nous sommes cul à cul. James me dit de me détendre et d’être patient. Ca prendra une dizaine de minutes avant qu’Evans te libère. Il me présente alors son pénis.

  – Suce-moi, Ca t’occuperas pendant ce temps !

  James jouit dans ma bouche rapidement. Quelques minutes plus tard, dans un bruit de succion, nous nous séparons et un flot de sperme s’échappe de mon trou béant. Evans se nettoie. Je reste en position. Je souffle, ça va mieux. Evans, ensuite, vient me faire ma toilette. C’est agréable. Il lèche tout; mon anus, ce qui en coule, mon pénis. James me met une claque sur les fesses, puis me félicite.

  – Tu as été une parfaite femelle. C’est le prix de toutes tes toilettes intimes.

  – Comment savais-tu que nous n’allions rester collés qu’une dizaine de minutes ?

  – Ah ! L’expérience…

  Nous reprenons le chemin de la maison, Evans tout content et moi les fesses en compote. Le reste de l’après-midi, nous faisons bronzette tous les deux. Nous sommes seuls comme souvent, les parents de James se promenant tout le temps. Pour ma part, je suis nu, sur le ventre, j’écarte les fesses pour calmer mon anus endolori. Le soleil me procure un bien fou.

   Comme tous les soirs, pour détendre James, J’ai droit soit à une sodomie, soit je lui prodigue une fellation.

 Le mardi après le déjeuner, la mère de James fait le ménage. Elle me demande si je peux donner un coup de main à James pour ranger un peu notre chambre. Je monte pour l’aider. James étant déjà au travail, c’est rapide. Je demande à James :

  – Je vais faire un tour avec Evans, ok ?

  – Tu veux que je t’accompagne ?

  – Non, cela va aller, dis-je avec un sourire.

  Je suis complètement fébrile à l’idée de recommencer mon aventure d’hier. Je pars dans le même petit coin discret. Arrivés sur place, nous sommes bien seuls. J’enlève mon short et mon slip. Evans vient tout de suite lécher mon sexe, je le repousse pour me mettre à quatre pattes. Puis je me claque une fesse pour indiquer à Evans qu’il peut y aller. Il lèche mon anus. Je me détends. D’un seul coup, je sens ses pattes sur mon dos et son sexe taper contre mes fesses. Je corrige le tir avec la main, il entre !

Son sexe me pénètre entièrement en une fois. J’aime, il a une taille qui ne laisse pas indifférent. Il commence ses va-et-vient puis il me besogne furieusement. Le sexe d’Evans se met à grossir et à prendre toute la place. Je suis verrouillé, je sens qu’il me remplit. Humm

   Je me détends et essaye de profiter du moment. Dès que nous sommes séparés, je me masturbe en repensant à la saillie d’Evans. J’éjacule dans l’herbe quelques secondes plus tard. Evans vient faire ma toilette, nous sommes tous les deux propres.

  Aujourd’hui, c’est beaucoup moins tendu qu’hier, il faut dire que depuis mon arrivée en vacances, je me suis fais sodomiser au moins une fois par jour minimum, sans parler de dimanche soir et je me suis également aperçu que, plus je pratique et moins je ressens la douleur.

A notre retour, tout le monde prend le soleil dehors. La mère de James me demande si la balade s’est bien passée. Je lui dis que le coin est magnifique, James sourit. Après le dîner, il me dit :

  – On ne se couche pas tard ce soir ok, je tiens plus, égoïste.

  – Et tes parents ?

  – Viens, allons dans le grenier du bâtiment.

  L’avantage du grenier, c’est que nous avons une vue sur la maison. James met rapidement mes fesses à l’air et me demande de me pencher. Je surveille la cour, James me caresse la raie des fesses avec son pénis. Il présente son gland devant mon anus, pousse et ce dernier s’ouvre comme une fleur. Il s’engouffre dans mon petit cul et en me pénétrant, il me demande :

  – C’était comment cet après-midi ?

   Excité par la sodomie, je lui raconte toute la « promenade ».

  – Evans était génial, c’était très bon.

  – Tu as été une bonne chienne alors.

  – Oui, je pense.

  Excité par mes propos, il ne tient plus. Les petits à-coups ne me trompent pas. Il a éjaculé, nous nous remettons dans une tenue convenable et je demande s’il est moins énervé. Il me répond que ce n’est que le début.

Effectivement, après le film nul, nous partons nous coucher. Je fais un passage par la salle de bains. James, lui, va directement dans la chambre. Je le rejoins quelques minutes plus tard. A peine entré dans la chambre, James me baisse le pyjama et me pousse jusqu’au sommier.

Assis au bord, mes fesses bien en évidence, il me lève les jambes, James présente son gland juste devant mon intimité, me regarde et me pénètre directement. Waouh ! La dilatation est violente, j’en ai plein le cul.

  – Tes parents vont entendre !

  – Mais non !

  C’est top. James me masturbe en même temps. Je jouis rapidement. Puis il étale le sperme sur mon ventre juste avant de se vider en moi.

Le lendemain après le déjeuner, comme d’habitude depuis le début de la semaine, j’emmène Evans se promener. Dès l’arrivée dans notre petit coin, j’enlève mon slip et m’installe à quatre pattes. Après une petite claque sur la fesse, Evans me pénètre. C’est super, j’adore. Mais cette après-midi, je ne sais pas que James nous a suivis de loin. Il apparaît quand je suis soudé au chien. Il écarte mes fesses et me dit :

  – Ah ! Tu viens juste d’être collé, tu es bien dilaté là. As-tu joui ?

  – Non pas encore, son sexe grossi, il va me remplir !

  – Attends, je m’en occupe.

  Il me trait, en prenant soin de me décalotter au maximum à chaque va-et-vient. Je jouis, les fesses pleines. Il secoue mon pénis pour faire tomber le reste de sperme. Evans et moi nous nous décollons. Je récupère, mais aussitôt James prend le relais et me pénètre. Je sens à peine son gland passer. James peut prendre son pied et se vider, moi je n’en peux plus !

Après un brin de toilette, nous rentrons. Puis nous partons faire du vélo pour occuper le reste de l’après-midi, du repos en somme.

  Ce soir-là James me confie qu’il avait déjà joué avec Evans. Je comprends pourquoi il savait que nous resterions collés. Je lui avoue également que j’apprécie de me faire prendre par le chien. Je commence à le masturber, son sexe mouille. J’étale le lubrifiant sur sa queue raide. Après quelques minutes de ce traitement, il ne tient plus. Il me retourne et me prend brutalement en levrette, le coquin. J’adore quand je le sens en moi, je m’empale sur son sexe, j’ai beaucoup de mal me à contrôler dans cette position. Quelques secondes plus tard, mon sperme jaillit sur les draps. Zut ! Après que James se soit vidé en moi, nous changeons les draps et nous endormons pour une nuit de calme bien méritée.

   Le lendemain, il pleut. Cela me contrarie parce qu’il n’y aura pas de promenade avec Evans. J’ai pris l’habitude de ces balades coquines. Après le déjeuner, le temps ne s’arrange hélas pas. Les parents décident d’aller à une brocante. James, occupé à regarder une émission, me dit :

  – Si tu as une petite envie dépêche-toi !

 Je n’allais pas gâcher l’après-midi. Je regarde dehors. Le chien est couché sous l’appentis de l’autre côté de la cour. Je l’appelle. Evans se lève, traverse la cour et entre. Le pauvre est tout mouillé. Je le sèche avec une serviette. James regarde la télévision. Moi, j’ai trop envie de sexe.

J’ôte mon short et mon slip. Le labrador commence à me lécher le sexe. Je m’installe à quatre pattes dans la salle. Il comprend et se place derrière moi. Il me monte, donnant deux ou trois coups de reins pour m’ajuster. Oui ! Il trouve l’entrée, d’un coup de rein, il m’introduit son sexe intégralement, génial !

James entend mes gémissements et se lève du canapé, me découvre à quatre pattes, Evans me chevauchant !

  – Tu ne te fais pas prier !

  James, pris par le spectacle, me rejoint. Il s’assoit sur une chaise et me présente son pénis. Je suis obligé de le prendre en bouche. Je tète sa queue tout en me faisant prendre. J’ai beaucoup de mal à me concentrer, mais c’est trop bon.

James se retire avant d’éjaculer, préférant attendre que mon petit cul soit disponible. Dès que le chien se libère, James me fourre pour mon plus grand plaisir. Il est insatiable. De mon côté, je suis vraiment demandeur. J’adore me faire défoncer l’anus. Et dire que quelques jours auparavant je ne connaissais rien à la sodomie !

  Le lendemain matin, dernier debout, je descends pour prendre mon petit déjeuner. Je trouve un mot sur la table, tout le monde est parti faire des courses.

J’ouvre la porte ; un super soleil règne dehors. Il fait chaud. Dans la cour, Evans, couché en plein soleil, profite du moment. Je commence à prendre mon petit déjeuner. Comme d’habitude, Evans entre dans la maison, se glisse sous la table et instinctivement me donne un coup de museau dans l’entrejambe. Je dégage immédiatement mon sexe de mon pyjama. Evans renifle et me prodigue une toilette intime. Quelle surprise de voir Kimi entrer lui aussi dans la maison ! Il est vrai que l’on ne le voit pas souvent dans la journée.

J’ai une idée. Je repousse le banc et je me lève de table. J’enlève complètement le bas de mon pyjama et m’assieds dos à la table. Je prends soin de bien écarter mes cuisses. Evans fait le tour de la table et continue de me lécher, Kimi regarde intrigué. Après quelques instants d’hésitation, il s’approche et renifle, remuant la queue.

Les jambes bien écartées, j’apprécie ces divines langues chaudes et râpeuses qui me lèchent. Je me demande si Kimi est monté comme Evans.

   L’envie est trop forte de goûter une nouvelle queue. Je m’installe tout de suite en position. Je prends soin de caresser le fourreau d’Evans pour l’occuper et surtout éviter qu’il ne me contourne. Kimi est excité maintenant. Il me contourne et s’empresse de me monter dessus. Il me bave sur le dos. Il est maladroit, bute encore et encore. J’essaie de l’ajuster. Oui ! Il rentre sa queue et m’empale directement. Sa queue est bien différente de celle d’Evans. Dès le départ, je repousse mes fesses en arrière pour assurer la pénétration, il a un sacré engin, je le sens bien. Je me détends, j’appréhende le moment du verrouillage, mais tout le monde doit avoir son plaisir.

Sa queue grossit beaucoup plus que celle d’Evans, c’est clair ! Nous sommes collés, je prends beaucoup de plaisir. La dilatation est géniale. Je suis tellement excité que je me touche et jouis rapidement sur le carrelage.

Evans, attiré par l’odeur, vient et lèche le sperme par terre et celui qui goutte de mon sexe. Kimi jouit à son tour, je sens les à-coups de son sexe, il doit me remplir. Je me rends compte que si quelqu’un arrive, je ne peux rien faire. Dans l’excitation, j’ai oublié de fermer la porte et surtout de m’isoler. Quelques minutes plus tard, nous nous décollons, personne ne m’a surpris avec mon nouveau partenaire.

  Une bonne douche s’impose. J’avoue que mon petit cul est légèrement sensible après cette nouvelle saillie. Du coup, Kimi maintenant reste constamment ici avec Evans. Je me demande comment je vais faire cet après-midi. Je ne me vois pas aller me promener avec les deux chiens, James va comprendre, sinon. La fin de matinée arrive. James et ses parents reviennent. Je donne un coup de main pour ranger. Après avoir déjeuné, je reste dehors prendre le soleil, James me demande si je vais me promener, les deux chiens étant toujours là. Je lui réponds, non, pas cet après-midi. Je pense qu’il n’a pas fait le rapprochement, car il n’insiste pas. Assis dans la chaise longue, je lis, légèrement agacé par ce contretemps. J’essaie de penser à autre chose.

Avec la chaleur, je me suis endormi, quelque chose me tire de ma sieste. J’ouvre les yeux, c’est James qui caresse mon sexe par-dessus le maillot. Je sursaute et regarde de droite à gauche.

   – Ne t’inquiète pas, nous sommes seuls ! On va dans le bâtiment, j’ai très envie de te prendre !

  – Oui, pourquoi pas dis-je avec un large sourire.

  Je suis James. Nous entrons dans le bâtiment par-derrière. Deux planches mal fixées masquent l’accès, le rendant très discret. A peine ai-je monté quelques marches, que James baisse mon maillot.

Il commence à me caresser les fesses. Avec le maillot aux genoux, je ne peux plus monter les marches et évidemment j’exhibe mon cul et mon sexe. Il passe sa main entre les jambes et commence à me masturber. Cela m’excite beaucoup, il finit par m’enlever totalement le maillot. Nous montons à l’étage. Appuyé sur une poutre, je me cambre pour indiquer que je suis prêt, mais James m’attrape par les hanches et m’oblige à me mettre à quatre pattes. Rapidement, je sens un filet de salive me couler dans la raie des fesses, son doigt le récupère pour me masser l’anus.

  D’un coup, ses deux mains m’empoignent. Je guide son gland jusqu’à l’entrée. Il pousse et, pop, il rentre juste son gland, j’attends la suite. Il réajuste ses mains et là, je sens sa queue pénétrer. C’est vraiment top. Maintenant qu’il est au fond de moi, il recule et commence à me pilonner frénétiquement. Je devine que cela ne va pas durer. Effectivement, je sens les à-coups. Il vient de me remplir, je suis sur le carreau au bout de deux minutes. Sa queue à peine sortie a déjà moins fière allure. James essaie de me masturber, mais sans grande conviction, je lui dis d’arrêter, j’enfile mon maillot, rapidement mouillé avec le sperme qui me coule des fesses. L’après-midi est définitivement gâché.

  Cette nuit-là, après que James, comme d’habitude, se soit occupé de mon intimité, en milieu de nuit, j’ai envie d’aller aux toilettes. J’entends des bruits à l’extérieur. Je jette un il par la fenêtre, c’est Kimi qui fait, je ne sais pas trop quoi.

  Une idée irrésistible m’envahit. J’avais adoré l’aventure derrière le bâtiment avec James et Philippe, mais là c’est l’envie de me faire prendre par Kimi. Après l’après-midi raté, je pense que je mérite bien une compensation.

  Je sors de la chambre et descends en silence. Dans la cour, c’est la pénombre. Je la traverse pour m’éloigner de la maison. Je suis de plus en plus excité, mon sexe mouille. J’enlève mon pyjama pour ne pas le tacher.

  Je ne vois plus Kimi. Je fais un petit bruit espérant attirer son attention. Ca marche, je vois qu’il me rejoint. Il me fait la fête, mais rapidement, il détecte sur mes cuisses une odeur qui ne le laisse pas indifférent et s’empresse de me les lécher. Je lui caresse la tête, je le laisse faire, il me contourne, me renifle les fesses. Je les écarte, il doit détecter sans doute les restes de sperme de James.        

Maintenant, sa grande langue chaude fouille la raie de mes fesses, mon cur accélère d’excitation. Je ne perds pas de temps et file derrière le bâtiment et m’installe rapidement à quatre pattes dans l’herbe, Kimi continue de me lécher mon intimité pendant quelques instants, je ferme les yeux et j’apprécie le moment. Maintenant, je vois qu’il a envie de passer à autre chose.

Le berger belge essaie de me monter. Je suis complètement excité. Je sens son sexe chercher l’entrée. Je le guide, oui ! Il me pénètre sans ménagement ! Il me laboure littéralement le cul. Il n’y a pas de demi-mesure, c’est à moi de me détendre. C’est géant !

  J’attends qu’il se fige pour me caresser. Excité par cette belle saillie, je jouis rapidement. Mon partenaire me remplit de semence. Quelques minutes plus tard, Kimi se retire et se nettoie, je reste en position. Je me dis qu’il a peut-être encore envie. J’en profite pour expulser son sperme de moi. Quelques minutes plus tard, j’aperçois dans la pénombre Evans qui nous rejoint ; il ne devait pas être très loin.

 Il me fait la fête et tout de suite me renifle les fesses, me donne un coup de langue. Je ne vais pas le laisser sur le carreau. Il ne se fait pas prier. J’ajuste la hauteur et il me pénètre sans aucune difficulté, le passage de Kimi étant encore ouvert. Evans, comme son compère, me comble de ses assauts. Après notre séparation, Kimi couché à côté haletait en nous regardant. Je reste en position, complètement émoustillé par ce grand moment. Mon anus est grand-ouvert et Kimi vient me renifler le sexe. Je n’ai même pas la peine de décalotter, sa langue s’occupe de tout. Evans, qui avait fini de se toiletter, nous rejoint et entreprend la toilette de mon anus ouvert qui dégouline de sperme.

Kimi pousse le labrador et tente une nouvelle saillie. Je laisse faire. Malheureusement, je n’ai droit qu’à quelques va-et-vient, puis il abandonne et redescend. Il finit par me lécher les fesses et tout ce qui se trouve à la porter sa super langue. J’ai adoré ce moment. La toilette terminée, j’enfile mon pyjama pour regagner la maison après mon escapade nocturne, avec l’idée de recommencer demain.

  Comme tous les jours après le déjeuner, je pars faire un tour avec Evans, les vacances, c’est fait pour en profiter. Arrivé dans notre dans petit coin tranquille, nous nous amusons, j’apprécie la dilatation que me prodigue mon partenaire.

Nous étions toujours collés, quand soudain une femme apparaît, je ne sais d’où. Pourtant nous sommes assez loin du chemin pour éviter justement les regards indiscrets. Je suis pris sur le fait. Je ne peux rien faire, juste regarder le sol sans dire un mot. Elle s’approche, me demande si cela fait mal. Je ne m’attendais pas à cette question, mais je ne réponds pas, elle enchaîne aussitôt.

  – Je t’ai vu mercredi et vendredi avec le chien. J’ai vu comment cela se passe, tu as l’air d’aimer cela, non ?

  Je ne sais plus quoi faire et surtout quoi dire. Quelques instants plus tard, le bruit typique de la séparation arrive enfin. Evans se nettoie, moi je me hâte de remettre mes vêtements. Elle me regarde. Je suis plus que gêné, je sens rapidement que mon slip est inondé de la semence d’Evans.

J’appelle Evans et je pars de notre prétendu coin tranquille, elle me dit :

  – A demain !

 Je me dis dans tes rêves. Pour rentrer, j’ai dix bonnes minutes à pied. Je trouve un endroit qui n’est pas à la vue, j’enlève mon slip qui est trempé, vu qu’Evans n’a pas pu faire ma toilette, j’enfile mon short, je rentre.

A suivre

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