La suite … ??

L’étonnement qui se lit alors sur nos visages provoque un énorme fou rire de la part d’Aline, quand elle se calme un peu, elle explique :

Cela fait quelques jours que je m’en doutais, une visite chez ma gynéco hier me l’a confirmé, enceinte de 5 semaines et c’est toi mon chéri qui en est responsable …

Tu couches avec lui ?

Oui et j’y prends un plaisir énorme.

Mais, le bébé ?

Ne t’inquiète pas, j’ai expliqué à Marc que je m’étais fait inséminer, de toute façon, il en voulait aussi, un enfant, mais le pauvre, non seulement ne bande pas, mais en plus, il est stérile.

Je reste scotché par cette révélation, certes, nous ne prenons aucune précaution Aline et moi, mais de là à envisager concrètement … C’est vrai qu’elle y a fait allusion une fois. Je suis bouleversé de sentiments différents, mais maman commence à hausser le ton.

Tu te rends compte que tu as baisé avec mon fils, toi mon amie ? C’est bien que tu sois enceinte, mais tu aurais pu choisir quelqu’un d’autre !

Du calme, ton fils est jeune et beau et il fait l’amour comme personne, tu as pu d’ailleurs t’en rendre compte, et tu sembles oublier qu’il vient de te baiser aussi et que c’est toi qui le provoques sans cesse en te promenant à moitié nue sous son nez.

J’interviens :

Arrêtez, ne vous disputez pas à cause de moi, je vous aime toutes les deux, je vous trouve belles et sensuelles et excitantes, j’aimerais tant continuer avec vous deux. Et puis maman, tu pourras aider Aline, je sais que tu adores t’occuper des bébés …

Elles se calment et nous tombons dans les bras tous les trois … Un long câlin nous réunit, nous nous embrassons, nous caressons, une odeur de transpiration, de moiteur des corps à laquelle se mêle petit à petit celle de la cuisson de la confiture qui commence à brûler …

Maman se précipite, coupe le feu sous la casserole, nous l’aidons à la transporter dehors … Fort heureusement, la quasi-totalité est épargnée, nous nous sourions tous les trois. Je sens que maman aimerait profiter d’Aline plus intimement, cette grande nouvelle a fait naître entre elles un sentiment plus fort encore, je m’éclipse donc.

J’ai envie de me reposer un peu, je vais dans ma chambre, m’étend sur le lit tout en repensant à la situation. Les deux femmes que j’adore sont mes amantes, je ferme les yeux, savourant à l’avance nos futurs ébats, et je rêve …

Je descends rejoindre le duo, elles ont décidé de prendre une douche particulière, le flexible d’arrosage est placé à l’extérieur, elles ont fixé l’embout de telle manière qu’il serve de douche … complètement nues, elles tournent sous les jets, se savonnant mutuellement, je vois des mains sur des seins, sur un ventre, sur des fesses, un moment, elles se frottent l’une contre l’autre, s’enduisant de savonnée sans les mains … Spectacle bouleversant de sensualité, aucune des deux n’ayant quoi que ce soit à envier à l’autre, chair opulente, hanches larges, fesses rebondies, un véritable faux tableau de Rubens. Rapidement, je remonte chercher mon appareil photo, sans qu’elles ne s’en aperçoivent, je capte toutes les images, tous les détails, zoomant ici et là ou au contraire en portrait éloigné, un peu flou aussi, je joue avec les réglages, je m’excite et mon érection s’éveille dans mon short trop serré …

Je les abandonne à leurs ébats et l’idée me vient de revoir Marc, histoire de confirmer son envie de "piscine". Je rejoins leur maison à quelques rues, et je ne sais pourquoi, je décide d’entrer par la porte arrière qui n’est jamais verrouillée, c’est plus commode que de sonner …

J’ai la main sur la poignée, quand j’entends des paroles, un dialogue, mais c’est décousu, juste des mots … Je me dis que Marc n’est pas seul, je suis intrigué au point de ne pas entrer, mais je veux savoir tout de même. Je regarde par la fenêtre, il n’y a personne, j’ose entrer et je me rends compte que le bruit vient de la pièce attenante, qui sert de bureau à Marc et dans laquelle je ne suis jamais entré. La porte est close, je me penche pour regarder par le trou de la serrure, une lumière blafarde et vacillante, sans doute provoquée par un écran éclaire la moitié du corps de Marc, vautré sur un fauteuil, d’après ce que je vois, bien qu’il me tourne quasiment le dos, il est nu, au moins jusqu’à la ceinture, je ne vois que le haut de son corps.

J’entends plus précisément les sons maintenant, il y a des claquements et des cris et aussi des gémissements, il faut que je sache ! La main sur la poignée, je pousse la porte le plus discrètement possible, quelques centimètres suffisent à me dévoiler le fond de la pièce, je vois un écran sur pied, des images montrent un homme, bras tendus vers le haut, les poignets attachés au plafond par des chaînes, les pieds reliés ensembles par une barre qui les tient écartés, l’homme est nu, son corps est zébré de traces rouges, sur le torse et les cuisses et ce que je distingue des fesses, son pénis est tout petit, comme rabougri, il pousse des petits cris chaque fois que la lanière du fouet le cingle.

Il y a un homme derrière lui, vêtu de noir, grand, massif qui manie l’instrument, il est revêtu d’une combinaison de cuir largement décolletée sur un torse puissant, le pantalon est découpé pour laisser tout le pubis dénudé, la verge est tendue, épaisse et dure.

Je m’enhardis et découvre Marc en entier, il ne m’entend pas, concentré sur le spectacle, il est totalement nu, il se pince les tétons, il se caresse la verge, je vois qu’il bande, son sexe est tendu, courbé sur son ventre dans la position où il se trouve.

Une voix venue de l’écran :

Tu as compris maintenant, tu dois m’obéir sans poser de question.

Oui d’accord.

Oui qui ?

Oui Maître …

Marc s’est redressé, il ne s’est toujours pas aperçu de ma présence, je vois ses fesses bien en chair, dont je ne me souvenais pas de la rondeur, mais le plus surprenant, c’est cet objet que je distingue nettement au milieu d’elle…

Sur l’écran, l’homme a détaché son soumis, il le pousse contre une table, plié en deux, se place derrière lui et le pénètre violemment, la vue se précise, la caméra avance et l’on voit en gros plan la bite qui fait des va-et-vient dans les fesses parsemées de rayures violacées, malgré moi, mon pénis s’est dressé.

J’ai peur qu’il ne me découvre à l’espionner, je me retire sans faire de bruit. Un peu ahuri de ce que je viens de vivre, j’attends quelques minutes avant de venir sonner à la porte d’entrée, comme si je venais d’arriver. Il tarde à venir m’ouvrir puis le voilà, vêtu de sa robe de chambre, je sais qu’il est nu dessous.

Ah c’est toi, je te croyais avec Aline, entre !

Je les ai laissées toutes les deux à "papoter".

Assieds-toi, sers-toi un rafraîchissement, j’arrive.

Pendant que je passe à la cuisine, il est dans son bureau, sans doute occupé à tout ranger. Il reparaît toujours en robe de chambre, il s’assoit en face de moi, j’ai le temps d’apercevoir dans ses mouvements qu’il a remis un slip.

J’étais occupé à travailler, mais tu tombes bien, j’avais envie de me changer les idées, comme ça, tu es revenu me voir.

Heu oui, je me disais qu’on pouvait peut-être aller à la piscine cet après-midi, mais si tu as du travail, ce n’est rien, ce sera pour une autre fois.

Non, ça ira, j’ai presque terminé.

Il semble détendu et son corps se relâche aussi, il doit sans doute avoir eu peur que ce ne soit quelqu’un d’autre, il entame la conversation :

Alors que fais-tu de bon pendant ces vacances ?

Je me promène ici et là, je fais des promenades dans les bois, il m’arrive de faire des photos aussi.

Ah, des paysages, des animaux …

Parfois aussi des humains, la plupart du temps, ils ne savent pas que je les ai "pris", c’est parfois révélateur.

Ah bon, raconte-moi ça.

Par exemple dernièrement, un couple, ils s’embrassaient et l’homme caressait la femme, il a même troussé sa robe, j’ai pris la photo quand il caressait sa culotte …

Intéressant, en effet, tu es un petit voyeur alors avec ton appareil, autre chose ?

J’ai eu aussi le plaisir de surprendre la baignade d’un jeune homme qui, se croyant seul, s’est baigné totalement nu et a ensuite profité du soleil pour se sécher …

Tu y prends du plaisir à tout ça ?

Oui, surtout quand je développe, c’est à ce moment que je contemple le mieux … mais je dois faire attention parce que j’utilise les locaux de l’école.

Il reste tout songeur et pendant quelques instants, nous restons sans parler, puis :

Et toi, qui te prend en photo ?

Personne, je ne sais pas me prendre moi-même, j’ai essayé devant un miroir, mais c’est décevant.

Si tu veux, je pourrai en faire de toi, qu’en dis-tu ?

Je ne sais pas, je n’y avais pas pensé, je n’ai pas mon appareil.

Je n’ai pas dit tout de suite. Bon, je vais aller me préparer, tu restes là, et on part ensemble, d’accord.

Non, je dois aller rechercher mon slip de bain, en même temps, je préviendrai maman et tante Aline.

D’accord, à tantôt !

Je retrouve les deux femmes sagement assises au salon l’une contre l’autre, parcourant un album photo, celui de la famille … Elles me regardent entrer en souriant.

Comme il fait très chaud, Marc et moi allons à la piscine, je suis venu rechercher mon slip de bain.

D’accord mon chéri, sois prudent.

Je les embrasse toutes les deux.

Ne t’inquiète pas maman, je suis avec Marc.

Je pars illico, quand j’arrive, il est prêt, à la piscine, il demande une cabine commune, et nous y entrons tous les deux. Nous préparer ne prend pas plus d’une minute, nous nous précipitons en riant vers le bassin, non sans être passés sous la douche. Nous nageons quelques longueurs, puis il s’approche de moi.

J’aimais bien t’apprendre à nager, je tenais ton dos et tes fesses.

Oui, ça me plaisait aussi.

Je glisse pour faire la "planche", il place aussitôt ses mains comme autrefois, il serre cependant un peu plus sur mes fesses, les pétrissant tendrement.

Tes fesses sont plus rondes maintenant, tu as un très joli cul !

Merci.

Nous continuons nos ébats encore un moment, puis l’horloge nous indiquant 17 heures, nous sortons pour gagner d’abord la douche, puis la cabine. Comme il faisait avant, il me frictionne le dos, la poitrine et le ventre. Par jeu, je monte debout sur le banc, alors retrouvant les gestes, il tire sur l’élastique et fait glisser mon slip sur mes fesses, libérant en même temps mon pénis tout flétri par l’eau froide, il passe alors la serviette sur mes jambes, remontant, une main de chaque côté, essuyant mes fesses et ma verge qui se réchauffe et reprend vigueur.

Subrepticement, il a glissé un doigt dans ma raie et, instinctivement, je lui ai livré le passage, il titille mon anus, ce qui a un effet immédiat sur mon érection qu’il encourage et entretient de l’autre main. Je revois les images et ressens les sensations d’avant, sauf que je ne bandais pas … c’est alors que simultanément, sa bouche se referme sur ma verge et son doigt s’introduit profondément dans mon anus. Est-ce dû aux images du film, aux souvenirs d’antan ou aux sensations présentes, je ne sais pas, mais mon plaisir arrive très vite et je remplis sa bouche. Il avale tout, je m’accroche à ses épaules pour ne pas tomber, je descends et m’assois sur le banc, vidé de ce plaisir si intense et si nouveau pour moi.

Sans faire attention à moi, il se dévêt à son tour, je vois qu’il bande, mais il a tôt fait de s’éponger et de se rhabiller, avant que moi-même je ne réalise être nu, pantelant, affalé.

C’est lui qui se penche, commence à enfiler mon slip, me fait lever et je continue moi-même à revêtir le reste de mes effets.

Je suis désolé, Marc.

De quoi donc, ne le sois pas, j’ai envie de faire ça depuis qu’on venait avant tous les deux.

Mais et toi …?

J’ai pris un grand plaisir si c’est ça que tu veux savoir, allez, on rentre, sinon Aline va encore me faire la tête au carré.

Depuis ce jour, je ne vois plus la vie de la même façon, chacun essaie de trouver son plaisir, et pourquoi pas, son bonheur comme il l’entend, sans tenir compte de quelque préjugé que ce soit, du moment que toutes les personnes concernées y trouvent ce qu’elles cherchent.

La suite réserve encore bien des surprises

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