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Incapable de la satisfaire – Chapitre 3




Notre étrange relation à trois (ou plutôt à deux et demi, car je ne me sentais plus un homme à part entière) se prolongeait tant bien que mal. Bénédicte se souciait désormais très peu de moi en tant que personne. Je savais que mon argent la retenait encore auprès de moi, mais je pense sincèrement quelle prenait également un certain plaisir à mhumilier, et son amant lui apportait le sexe, mais pas de reconnaissance sociale, ni de toit, ni même un minimum de conversation, quand on mettait de côté le sexe.

Quand elle allait travailler, ou quand nous recevions nos anciens amis, elle shabillait et se conduisait normalement, mais à dautres moments, elle disjonctait complètement, et devenait plus vicieuse que la pire des putes.

Elle me téléphonait parfois quand elle était avec lui. Elle se plaisait à haleter pendant quelle me détaillait la manière dont il la prenait. Jétais heureux de sa sollicitude. Je me masturbais en les écoutant.

Et puis, un jour, il arriva.

Je ne my attendait pas. Bien sûr, javais à nouveau aidé Bénédicte à shabiller pour le sexe, mais je croyais quelle allait sortir en discothèque, et puis passer une partie de la nuit chez lui. Mais javais été ouvrir la porte, et il était devant moi. Plus jeune et plus grand que moi, il me toisait avec mépris. Son seul salut fut « salut, le cocu », et il me poussa de côté.

Elle sauta à son cou et il lui passa les mains sous la jupe, la relevant pour lui palper ses petites fesses bien fermes. Comme je lai dit, Bénédicte nétait pas un canon selon les normes habituelles, mais elle était fraîche, décomplexée, sexy. Elle lui palpait sans vergogne le sexe à travers son jeans. Je ne savais que faire. Il avait la carrure très large, et javais limpression quil la couvrait entièrement de son autorité et de sa virilité. Il me dit « va nous chercher à boire, le gros cocu ». Je ne protestais pas. Javais voulu cela, finalement. Je revins avec deux coupes et la bouteille de champagne que je gardais au frigo, et je les servis. Il avait déjà enlevé la mini robe de Bénédicte et sétait installé dans le sofa, en la calant contre lui. Il lui pelotait le corsage en me regardant de temps en temps droit dans les yeux. Je baissais les miens.

Il ne fallut pas longtemps avant quelle extraie le sexe de son amant de son jeans. Je compris pourquoi elle ne soccupait plus du mien depuis longtemps, il était de bonne taille, mais surtout érigé comme un pylône, alors quelle lavait à peine touché. Dans ma fièvre, Je vis ma bien-aimée se pencher sur ce sexe turgide et le prendre en bouche. Elle le suçait lentement. Lui me fixait. Je nosais pas soutenir son regard. Je gardais les yeux baissés, juste pour voir la bouche de Bénédicte glisser sur la bite rigide de Laurent.

Au bout dun moment, il se leva et la fit se mettre à quatre pattes sur la table. Il neut aucun mal à la pénétrer profondément dès la première poussée, arrachant à mon amour un râle de plaisir. Il commença à la pilonner, tandis quelle alternait cris de jouissance et mots orduriers. Elle que j’avais vu communier pieusement à lenterrement dun collègue, proférait maintenant des « vas-y mon mâle, baise-moi, baise-moi, baise-moi » ou encore « défonce-moi devant mon cocu, montre-lui comme tu me fais jouir, mets-moi ta grosse bite à fond, jaime ton dard » ,etc

Je me demandais quand tout ça allait finir. Jétais partagé entre le désir que cela continue indéfiniment, et celui de me masturber.

Laurent semblait avoir lu dans mes pensées. Il mordonna de baisser mon froc et de montrer ma quéquette, comme il disait. Le diminutif convenait très bien à celle-ci. Jen avais honte. Bénédicte et son mec se marraient comme des baleines. Laurent mordonna de me branler. Je mexécutai servilement. Bénédicte minterrompit : « jai une meilleure idée » me dit-elle. Elle me fit agenouiller devant le sofa et sy installa avec son mâle. Elle le branlait pendant que lui, lui carressait les seins. Elle avait pris mon petit appendice entre ses deux escarpins, et les faisait coulisser. Cela mélectrisait. Je bandais mou, mais je sentais que mon orgasme de semi-impuissant montait, en regardant les gros doigts de manuel de lamant peloter les nichons de ma femme, et les fins doigts de Bénédicte aller et venir le long de la hampe de ce mâle puissant.

Finalement, mon plaisir vint, et quelques gouttes tombèrent sur le carrelage. Laurent pris un air faussement courroucé « mais cest dégueulasse, il salope ton carrelage ». Bénédicte nen pouvait plus de rire. « allons cocu, nettoies, vas-y, lèches». Je dus donc me mettre à quatre pattes et lécher mes traces.

Peu de temps après, Laurent était lui-même près à jouir entre les doigts de Bénédicte. Celle-ci me dit dun ton dur « voyons, mon gros cocu, tu ne veux pas que mon mâle perde sa semence partout, approche ta bouche ». Je nen croyais pas mes oreilles, et ne savais comment réagir. Mais Laurent mempoigna le cou et engouffra son sexe dans ma bouche. Je sentais les doigts de Bénédicte sactiver près de mes lèvres, mais bientôt elle dut retirer sa main, car Laurent avait enfoncé toute la longueur de son sexe dans ma bouche. Bénédicte mencourageait « vas-y ma lopette, suces le, suces-bien mon amant, tu sens comme cest bon une bite bien dure? Tu nen auras jamais une pareille entre les jambes, alors profites de celle quil te met dans la bouche! Tu comprends comme je jouis quand il me la met dans la chatte. Tu ne pourras jamais me faire cela ». Je dois dire quelle avait raison. Ce sexe était dune dureté de diamant et je sentais le bout cogner contre ma glotte. Jétais à deux doigts de vomir, mais le sexe de ce magnifique mâle continuait à aller et venir dans ma bouche. A un moment, je sentis la giclée partir et le sperme inonder ma gorge. Bénédicte semblait ravie. Laurent me repoussa du pied et menvoya métaler au milieu de la pièce. Ils me firent ensuite descendre dans la cave, avec défense de remonter avant le lendemain. Je ne protestais pas.

Mon calvaire n’allait pas s’arrêter là, je m’en rendais compte

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