Tu es dans ton bureau, on frappe à la porte. Ta cheffe entre avec moi. Je porte un petit chemisier blanc avec une petite jupe très courte (on est en plein été et il fait très chaud).

Guillaume, machine et bidule (tes collègues dont je ne connais pas le nom lol) sont en formation pendant une semaine. Je te présente Christine, elle sera avec toi pendant toute la semaine. Je la laisse sous ton aile pour l’aider si elle a besoin de toi.

OK, pas de souci.

Christine, vous pouvez vous installer sur ce bureau (celui le plus éloigné du tien).

Très bien, merci Madame.

Ta cheffe sort et on se retrouve tous les deux.

Bonjour Christine, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à me le demander.

Merci Guillaume.

Je m’installe au bureau et là, je me dis "punaise, il est beau ce mec ! Il va falloir que je garde mon sang-froid pendant une semaine. Rien qu’à le regarder dans les yeux, j’ai ma petite culotte toute mouillée".

La matinée commence plutôt bien dans l’ensemble, on bosse chacun de notre côté sauf que j’ai l’impression d’être transparente. Tu ne me calcules pas, aucun regard de mon côté. Mon Dieu, il faut que ça change ! J’attrape un stylo que je mâchouille et que je suce du bout des lèvres. Oh, je crois que j’ai réussi à attirer ton attention. Tu me regardes sucer ce stylo, mais là, c’est moi qui fais en sorte de ne pas te calculer…

Tu repars dans tes dossiers, je repars dans les miens. Ce silence est pesant. Mon stylo n’a pas eu d’effet sur toi et ça m’agace. Je prends une feuille de papier que je plie en deux, je déboutonne quelques boutons de mon chemisier, assez pour te faire découvrir la courbe de mes seins. Je me sers de cette feuille comme un éventail et je te dis :

Oulala, il fait chaud dans ce bureau, vous ne trouvez pas ?

Tu relèves la tête, me regardes et me dis :

C’est vrai qu’il fait très chaud aujourd’hui.

Mais à ton regard, à tes yeux posés sur mon décolleté, je me dis que je n’ai pas perdu la bataille et qu’il faut continuer dans ce sens.

Je me lève, prends le dossier sur lequel je travaille. Je viens à ton bureau, pose le dossier sur le tien en me penchant suffisamment pour que tes yeux ont une belle vue sur mes seins.

Guillaume, j’ai un petit souci avec ce dossier, pouvez-vous m’aider ?

Euh… oui, oui… Bien entendu…

Oulala, tu bafouilles, c’est un bon point pour moi, je commence à te faire de l’effet. Ne t’arrête surtout pas en si bon chemin Christine.

Ayant oublié mon stylo, je me penche encore plus pour en attraper un à l’autre bout de ton bureau. Je suis limite allongée dessus. Tu te penches sur le côté et tu as une vue sur mes fesses et mon string (ma jupe très courte est légèrement remontée).

J’entends un "oh putain". Je me retourne et te dis :

Quelque chose ne va pas Guillaume ?

Non non, tout va bien, mais c’est vrai qu’il fait chaud dans ce bureau…

Je reprends un peu mon sérieux. Tu m’expliques ce qu’il ne va pas sur mon dossier et je repars à mon bureau.

Pendant plus d’une demi-heure, je sens ton regard posé sur moi et j’adore ça !

Nos regards se croisent et j’ai une soudaine envie que tu me prennes sur ton bureau.

Il faut que je trouve un moyen de te le faire comprendre.

Je me lève et je me dirige devant l’armoire juste en face de toi pour récupérer un dossier. Ah zut, le dossier est tout en bas… Je me penche le plus possible en avant. Et là, tu as la vue sur une belle paire de fesses qui ne demandent qu’à être prises.

Bien évidemment, je prends bien mon temps pour prendre ce dossier.

Je me relève et je te sens derrière moi. Je me retourne.

Oh Guillaume, vous m’avez fait peur. Je ne vous avais pas entendu.

Ça t’amuse de m’exciter depuis ce matin ?

Ah, on se tutoie maintenant ?

Tu poses un doigt sur ma bouche pour me faire taire.

On va voir si tu fais toujours ta maline…

Tu caresses mes seins à travers mon chemisier, pendant que tes lèvres dévorent mon cou. Tu avances ta jambe entre mes cuisses qui entrent en contact avec mon string tout mouillé. Mama Mia !!!

Tu veux que je te baise dans mon bureau ? C’est ça que tu veux depuis ce matin ?

Oh oui !!!!

Tu retires les boutons de mon chemisier, déloges un de mes seins de mon soutien-gorge et le prends à pleine bouche pendant que ta jambe fait pression sur ma petite chatte. Le contact de ta langue sur mon téton tout dur me donne des frissons. Je gémis !

Tu veux que je continue ?

Oui, t’arrête pas s’il te plaît.

Tu pars fermer la porte à clé et tu reviens vers moi. Tu passes tes mains dans mes cheveux et m’embrasses fougueusement. Wahou, ça c’est un baiser qui met le feu entre les cuisses !

Tu te mets à genoux devant moi. Tu poses ton nez à la hauteur de mon string et le respires à plein poumon (mon Dieu que c’est érotique) et tu le retires délicatement (oulala). Tu passes un doigt entre mes cuisses et portes ce doigt à ta bouche pour le sucer.

Tu es toute humide, j’adore ça !

Et là, ta langue entre en contact avec ma p’tite chatte. Tu suces, lèches mon clito devenu dur par l’excitation et c’est un pur délice.

Un de tes doigts, aventurier, se glisse à l’intérieur puis un deuxième vient lui prêter main-forte. Ils glissent plus en profondeur et tombent sur mon point G. Je gémis fort sous cette caresse.

Chut !!!

Pardon…

Tu retires tes doigts, te relèves, les mets dans ma bouche pour me les faire sucer. Tu me prends par la main et m’emmènes à ton bureau.

Tu t’assois sur ta chaise et me dis :

Tu suçais ton stylo tout à l’heure. Et bien maintenant, tu vas sucer autre chose…

C’est à mon tour de me mettre à genoux. Je caresse ta queue à travers ton jean, une queue bien dure comme j’aime. Je te déboutonne et la libère de ton boxer devenu bien trop petit. Et là, je tombe nez à nez avec une queue bien dressée, bien large. Hummm, j’en ai l’eau à la bouche.

Je prends un malin plaisir à lécher ton gland, ta queue de bas en haut. Puis je me mets à te pomper. D’abord doucement et de plus en plus fort au rythme de tes gémissements.

Tu me relèves, me retournes et m’allonges sur le bureau à plat ventre. Tu écartes mes cuisses et me doigtes des deux côtés en même temps. Tu poses ta main sur ma bouche pour éviter que je crie. Ça étouffe mes gémissements, mais tu m’entends quand même prendre mon pied. Ne pouvant plus tenir, je te demande de me prendre.

Tu me pénètres d’un grand coup de reins. Tu me prends profondément et sentir ta queue bouger dans ma chatte est jouissif, puissant, intense. Jamais ça n’avait été aussi bon. Je jouis en silence (même si c’est très dur).

Sur le point de jouir, tu te retires, me retournes, me demandes d’ouvrir ma bouche et de te sucer jusqu’à sentir ta semence couler au fond de ma gorge.

Reprenant nos esprits, nous retournons travailler comme si de rien était…

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