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mon amant et sa surprise… – Chapitre 1




Jai passé mon collège et mon lycée dans un pensionnat militaire.

Dans ce lieu, tout flirt était puni, je vous laisse donc imaginer à quel point le sexe nétait pas envisageable Cest ainsi que lexpression « Vivons heureux, vivons cachés » prit tout son sens

Pour ma part, javais un petit copain et plusieurs amants. Et pour voir lun dentre eux jétais obligée de ruser deux fois plus

Un soir, alors que je navais pas le moral, Hugo, un amant, mécrivit un SMS me demandant de le rejoindre au centre du stade du lycée, à minuit tapante.

Je lui répondis que je ne savais pas si javais le moral pour ça.

Sa réponse fut immédiate : « Anaïs, si tu ne viens pas, je rendrai notre relation publique. »

Je me devais donc dy aller, le cas contraire maurait créé bien des problèmes et une jolie réputation en prime.

A 22h précises, la surveillante passa dans linternat pour nous dire déteindre et de dormir.

Je mexécutai sans attendre et ma camarade de chambre aussi car je lavais prévenue de mon escapade nocturne prévue.

A 23h, je me levai pour me préparer dans le silence le plus total avec, pour seule lumière, mon téléphone portable. Jenfilai ainsi un ensemble de sous-vêtements rouges en dentelle, puis je mis mon jogging du lycée dessus.

Je descendis donc les marches en bois des étages qui me séparaient de la place darmes, jai traversé cette place le plus discrètement possible, et je le vis sur le stade.

Il était au milieu de ce stade, nu comme un ver, sur une couette. Il était éclairé par les étoiles.

Du doigt il me fit signe de venir. Je mavançai avec un immense sourire.

Comme toujours il sut mamuser.

Une fois à côté de lui, il membrassa tendrement, puis plus goulûment tout en descendant la fermeture Éclair de ma veste de survêtement. Ces immenses mains de rugbyman commençaient à me pétrir, carrosser et pincer ma poitrine. Ça y est, je mouillais.

Il me posa sur la couette et descendit mon pantalon et mon boxer dun coup.

Sans que je puisse le toucher, il mit sa tête entre mes jambes. Il commença à me lécher férocement et goulûment. Etant « une femme fontaine », je mouillais plus encore à chaque coup de langue. Une boule se formait peu à peu dans le bas de mon ventre et mon amant tentait de continuer son activité tout en en avalant le plus possible de mouille.

Je gémissais et me tortillais pendant que mon corps se remplissait de plaisir Puis je jouis dans un immense bruit et un énorme jet de mouille qui éclaboussa le visage de mon amant.

Il en rit comme toujours.

On entendit brutalement un bruit de rangers de lofficier de permanence : « Qui est là ? cria-t-il. »

Pris dun moment de panique, Hugo ramassa tous nos vêtements et nous prîmes la fuite en riant.

Heureusement pour moi, on avait chacun un trousseau de clés de la salle de musculation qui était à 500 m, comme tous ceux qui faisaient partie de léquipe de rugby masculine ou féminine.

Une fois à lintérieur on alla dans les vestiaires se cacher ; on pouvait déceler la lumière que faisait la lampe torche de lofficier de permanence.

Lofficier tourna plusieurs fois dans le coin pendant quelques minutes puis partit.

Ouf, on était sauvés ; pour ma part je ne voulais quune chose : retrouver mon lit. Mais Hugo en avait décidé autrement. Il me poussa dans la salle de musculation quasi-nue. Je navais que mon soutien-gorge sur moi.

-Allez ma belle, déclara-t-il, on va faire un peu de sport. Et cest moi lentraîneur.

Il prit une corde à sauter et me la donna : « tu délires, je crois, lui répondis-je ».

Il me mit un coup de corde sur le cul qui me fit hurler de douleur. Ne prenant toujours pas la corde à sauter il me frappa 3 fois avec celle-ci.

La douleur prit le dessus et je me mis à sauter, nue avec mon amant, qui devint mon tortionnaire.

Le temps passait et je commençais à sérieusement suer, mais il ne se lassait pas.

Cest bien, tu vois que lorsque ton corps est mis à lépreuve tu peux être docile. Pour une fois tu nas aucun moyen de te rebeller. Tu es à moi pour toute la nuit.

Suite à cette épreuve, suivirent dautres exercices, dont des dizaines dabdos, des séries de développé/couché, etc. Le tout avec Hugo qui hurlait et claquait mon corps dès que je faiblissais ou ralentissais la cadence.

Une fois tous mes muscles engourdis, il me prit par la taille et memmena sous la douche.

Evidemment, on navait pas de savon avec nous mais leau tiède me fit le plus grand bien, Hugo redevint comme dhabitude.

Il me cajolait, membrassait et caressait mon corps nu. Il nous excita tous les deux.

-Tu as bien travaillé, ma puce. Je ne tai jamais vu aussi acharnée. Veux-tu être récompensée, me proposa-t-il.

-Oui je le souhaite, mais je suis vraiment claquée.

-Ne te fais pas de soucis, je te promets dêtre deux fois plus attentionné quhabituellement. Je ferai montre de la plus grande patience et délicatesse possible.

-Merci, bredouillai-je, émue.

-Mais avant je dois tavouer quelque chose. Si je tai fait mal ce soir cest parce que je tai vue avec ton homme tout à lheure et il ta embrassée et pelotée en publique mavoua-t-il, honteux.

Pour ne pas me laisser le temps de répondre il membrassa avidement à nouveau. Il poursuivit par une rafale de tendres baisers sur mon cou, mes oreilles, ma poitrine, mon petit ventre, puis mon sexe

Il entreprit un nouveau cunni, mais je ne pouvais tenir debout tellement le plaisir se faisait ressentir.

Il remonta, mamena sur un des bancs de musculation, my allongea puis reprit sa petite affaire. Il me fit jouir à nouveau.

Je me levai pour moccuper un peu de lui mais il me repoussa délicatement sous prétexte que seul mon plaisir comptait pour cette fin de nuit. Je pus tout de même observer que son pénis avait doublé de volume ; il le remarqua et me fit glisser sur le banc pour que mes fesses soit au bord.

Il me prit dun coup sec et commença des allers-retours doux, lents, rapides, violents. Je jouis en moins de cinq minutes.

Il en profita pour me retourner et me prendre en levrette. Cette fois son énorme sexe eut beaucoup plus de mal à entrer en moi. Jai un vagin de taille ridicule. Je commençai de lents allers-retours pour que son sexe entre en moi. Je lentendais gémir et grogner, ce qui me motivait énormément.

Je lai sorti de moi, le fis sallonger sur le banc et me mis sur lui.

Je commençai à bondir sur lui, en laissant son sexe glisser en moi. Notre plaisir grandissait, la mouille coulait le long de ses abdominaux et de son bas-ventre. Pour aller plus vite et plus fort je me tins à la barre de musculation. Mon corps se déchaînait, je me déambulais comme la pire des salopes pour notre plus grand plaisir.

En un seul grognement, il jouit et je mallongeai sur lui.

On alla, main dans la main, sur les tapis de musculation, sembrasser et se câliner.

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