Je n’ai pas dormi de la nuit. Je ne pouvais m’enlever de l’esprit l’image d’Estelle en train d’offrir à ce vieux prétentieux ce qu’elle m’avait toujours refusé. Les heures furent longues, chaque souvenir heureux qui venait m’apaiser se faisait broyer par l’image de celle que j’avais tant aimée en train de jouir la queue d’un autre planté en elle. Le matin est finalement venu à mon secours, je me suis levé et j’ai rassemblé la raison qu’il me restait. Je n’étais pas capable de m’occuper de leur cas pour le moment, cela n’aurait fait que confronter mon désespoir à leur bonheur. J’ai décidé de les ignorer quelques temps. Je savais que mon heure viendrait et il fallait que je prenne du recul en me concentrant sur cela. J’ai dit adieu à la tendresse que j’avais eu pour Estelle depuis le premier jour où je l’avais croisé et j’ai décidé de me noyer dans le travail, les sorties et les conquêtes pendant quelques temps.
J’ai mis les affaires d’Estelle qui trainaient encore chez moi dans un sac et je suis passé chez Fanny, une de ses amies, pour les déposer. C’est une jolie fille, mince mais un peu moins qu’Estelle. Elle accompagne sa chevelure brune mi- longue et ses yeux marron de ses formes aguicheuses. Elle était très maquillée ce jour-là, comme toujours, et elle portait une jupe droite et une chemise cintrée. Ses chaussures complétaient la tenue de la parfaite secrétaire sexy. Fanny m’a fait un café m’a dit qu’elle ne comprenait pas ce que mon ex faisait avec un mec plus vieux que son père. J’ai répondu que je m’en foutais et j’ai tenté de l’embrasser. Je savais depuis longtemps que je lui plaisais et j’avais besoin de tendresse. Fanny m’a laissé faire quelques secondes puis elle m’a repoussé mollement de sa main droite tout en posant la gauche sur ma ceinture. Elle aurait difficilement pu m’envoyer des signaux plus contradictoires. Il suffisait que j’insiste un peu pour qu’elle me laisse me changer les idées dans ses bras. Elle m’a dit qu’on était amis, qu’Estelle était sa complice depuis toujours et que c’était déjà assez le bordel sans qu’elle en rajoute.
J’ai déboutonné le premier bouton de son chemisier et j’ai glissé mon index entre ses seins serrés par sa lingerie. Elle m’a regardé avec tendresse et compassion. J’aurais voulu que ce soit du désir, je n’ai jamais voulu être une petite chose fragile dont il faut prendre soin.
J’ai enlevé mes doigts de son soutien-gorge et mon autre main descendue sur ses fesses, je l’ai embrassée sur le front et je me suis barré en me disant "Quelle vie de merde !".
Le lendemain soir, Estelle a rejoint Grapi au bar d’un hôtel de luxe. Elle s’était faite belle: elle était plus maquillée que d’habitude, elle avait noué ses cheveux et portait une robe violette assez courte assortie à des chaussures à talons avec une plateforme à l’avant. Il lui a commandé un cocktail, et l’a complimentée. Ils ont fini leurs verres et le businessman a emmené Estelle à l’extérieur, au bord de la piscine. Il n’y avait plus de nageurs à cette heure. Ils ont enlevés leurs chaussures pour faire quelques pas dans l’eau puis sont allés s’allonger sur les transats pour profiter du soleil couchant en se tenant la main. Un peu plus tard, Grapi a dit Estelle qu’il tenait à elle et il lui a offert une très jolie montre de marque avec une émeraude au centre des aiguilles. Estelle a ouvert de grands yeux, elle ne savait pas le prix exact que cela pouvait valoir mais c’était à l’évidence le cadeau le plus onéreux qu’elle nait jamais reçu. Elle l’a essayé et a dit à son amant: "je l’adore, je ne sais pas comment te remercier". Il lui a répondu qu’il savait et il a emmené la jeune femme dans la suite qu’il avait réservée.
Ils sont entrés dans la chambre la plus prestigieuse de l’hôtel. C’était grandiose, très bien décoré avec une jolie vue. Au milieu du salon, Grapi a saisi Estelle par les hanches et l’a embrassée. Elle s’est laissé faire en amenant la main de son amant sous sa robe à l’arrière de sa cuisse. Il a fait remonter sa main et a dessiné avec un doigt la courbe de la fesse de la jeune femme.
Il a caressé son visage puis il s’est légèrement écarté d’Estelle et a appuyé avec deux doigts sur chacune de ses épaules. Elle a compris ce qu’il voulait. Elle s’est laissée descendre à genoux et sans le quitter des yeux, elle a dégrafé le pantalon de son amant puis a sorti la queue déjà en érection. Elle a léché le sexe timidement puis a fait un baiser sur le gland avant de le prendre dans sa bouche. Elle s’est enfoncé deux ou trois centimètres plus loin et a commencé à piper le quinqua.
Il avait envie de plus. Il a mis sa main derrière la tête d’Estelle et lui a dit: "je vais t’aider un peu". Il a tiré le visage de mon ex pour sentir sa queue plus loin dans sa bouche et il a accéléré légèrement le rythme des vas et viens. La jeune femme était gênée: elle laissait faire son homme mais elle était toute raide. Sa nuque acceptait difficilement de se faire diriger et ses lèvres restaient pincées. Il lui a dit: "il va falloir que tu fasses mieux que ça". Elle a pensé à ce qu’il lui avait déjà fait découvrir et aux orgasmes d’une intensité inconnue jusque-là qu’elle avait eus en le laissant la baiser comme jamais elle n’aurait accepté un mois plus tôt. De nouveau, elle a choisi d’abandonner les barrières qu’elle s’était-elle même toujours imposées.
Elle a recraché la queue de son amant et lui a dit: "attends, attends. Il faut que je reprenne du début". Elle a rouvert ses lèvres et pris le gland en bouche en retroussant ses lèvres. Elle a abondamment salivé en roulant une pelle au bout de la bite dans sa bouche. Elle s’est enfoncée langoureusement jusqu’à la moitié de la queue de son amant. Elle l’a entendue gémir et elle l’a sucé avec tendresse et application 5 bonnes minutes en fermant les yeux et en sévertuant à être la plus "moelleuse" possible. Puis elle a rouvert les yeux toujours enfoncée sur le membre; Elle a fixé son amant puis a pris les 2 mains du businessman et les a placées derrière sa tête. Elle s’est totalement détendue, le laissant à sa guise faire coulisser ses fines lèvres retroussées sur son érection. Elle ne l’a pas quitté des yeux pendant tout le quart d’heure où elle lui a offert le délice de sa bouche à genoux à ses pieds.
Il a fini par la relever. Il l’a déshabillée bestialement. Estelle a rigolé. Il l’a mise à quatre pattes sur le grand canapé du salon et lui a largement écarté les genoux. Il a mis sa main sur de dos de la jeune femme pour lui faire creuser les reins. Elle était offerte comme il le voulait. Il a cramponné le haut des cuisses de sa maitresse et lui a caressé les grandes lèvres avec sa langue. Elle frissonné et poussé un gémissement. Il embrassé la hanche droite de mon ex puis Il s’est lâché, il y est allé franchement: il lui a bouffé la chatte tel un mort de faim, a sucé et léché le clitoris puis il a enfoncé sa langue dans le vagin accueillant. Estelle n’a pas résisté bien longtemps: elle a joui avec intensité en tendant son intimité à son amant. Il s’est un peu écarté, s’est essuyé le visage avec un coussin puis il a enfoncé son majeur et son index dans la chatte entre-ouverte. Elle a sursauté mais a soupiré lascivement tout de suite après. Grapi a fait glisser sa langue doucement dans la raie des fesses de la jeune femme toujours installée à 4 pattes le dos creusé. En continuant de la doigter, il est arrivé jusqu’à la corolle. Il l’a léchée doucement puis en a fait le tour. Il a répété cela longtemps et quand il a senti sa maîtresse prête, il a vrillé sa langue et lui a enfoncé dans le cul. Une petite voix a soufflé à l’oreille de la jeune-femme que c’était dégoutant mais tout son corps lui a hurlé que c’était divin et qu’elle en voulait encore. Elle a poussé de petits gémissements à chaque fois que Grapi enfonçait sa langue. Elle sentait sa rondelle de plus en plus ouverte et assouplie. Le quinqua a enfoncé sa langue aussi loin qu’il pouvait tout en faisant de même avec ses doigts à quelques centimètres de là. Estelle a crié mais ce n’était pas de douleur. Elle lui a dit: "Louis, tu me rends folle ! J’adore. Encore"
Il a continué plusieurs minutes cette double pénétration improvisée. Estelle était au bord de l’orgasme. Il s’est écarté et l’a contemplée, à 4 pattes, les fesses tendues et les orifices baillant légèrement. Ainsi prête à être prise comme il le souhaitait, elle était parfaite.
Il a posé son gland contre la corolle qui soffrait à lui puis il a attendu quelques secondes. Estelle ne s’est pas dérobée, au contraire, elle a soufflé: "j’en ai envie". Il a appuyé pour s’enfoncer. La rondelle n’a pas cédé tout de suite. Il a dû pousser plus fort pour sentir son gland pénétrer l’anus de sa maitresse. Elle a poussé un gémissement de douleur mais a continué à tendre ses fesses en arrière. Il a commencé à aller et venir avec douceur en ne progressant que très lentement dans l’inexpérimenté rectum. Par le côté, il a vu que sa compagne faisait la grimace et serrait les dents. Il lui a caressé les hanches et le dos et lui a dit: "Tu es belle. Tu me rends heureux". Estelle lui a soufflé: "je t’aime" en continuant à sentir le membre coulisser douloureusement dans son cul. Elle a soufflé plus fort puis a calé ses expirations sur les pénétrations de son amant. Elle est finalement parvenue petit à petit à se détendre malgré la désagréable brûlure qui martyrisait son cul. Grapi a senti l’anus de la jeune femme se dilater légèrement après quelques minutes. Il en a profité pour la sodomiser un peu plus profondément. Elle a de nouveau poussé une plainte sourde et serré les dents. Il a continué à doucement enculer la jeune femme grisé par les sensations qu’il percevait chez sa partenaire. Elle poussait des petits gémissements et gardait un rictus de douleur ; Pourtant son corps trahissait les prémices d’un goût inavouable pour cette pratique "indigne et contre nature" comme Estelle le disait encore quelques jours plus tôt. Elle se dilatait au fil des minutes en même temps que l’inconfort s’amenuisait. Malgré la douleur évidente, son trouble coupable aidant, ses fesses venaient à la rencontre de la queue de son amant dans un discret mais régulier balancier. Grapi était aux anges, il déflorait ce fondement délicieux depuis une dizaine de minutes déjà.
Entre deux cris, les épaules contractées, elle lui a dit en devenant rouge pivoine qu’elle aimait le sentir en elle "comme ça". Elle n’avait jamais rien connu d’aussi intense et elle était heureuse que ce soit avec lui. Il a résisté de justesse à l’envie d’enculer Estelle à fonds en entendant cela. Il s’est contenté d’accentuer ses vas et viens entre les fesses de sa consentante victime. Mon ex a gémit plus fort, montrant dans sa voix son abandon total dès de cette première sodomie. Estelle a tendu sa main en arrière pour caresser le sexe partiellement enfoncé dans son cul. Elle était curieuse et intriguée par ses propres sensations. Elle a fait glisser son majeur autour de sa corolle déformée par le membre planté en elle. Ensuite, elle a entouré ses doigts autour de la base du sexe de Grapi et l’a branlé doucement alors que le gland était encore serré dans son rectum. Il s’est laissé masturber ainsi quelques minutes puis a écarté le poignet de mon ex et a recommencé à aller et venir entre ses fesses. Elle a repris ses gémissements discrets en subissant consentante les mouvements de la bite de Grapi dans son anus. Il a continué sur la même cadence en fixant la rondelle qu’il forçait à chaque poussée. A un moment, elle a finalement crispé de nouveau ses mâchoires, ses épaules puis tout le reste de son corps. Ses plaintes sont devenues presque larmoyantes. Grapi a compris qu’il enculait mon ex depuis plus de 15 minutes et que malgré toute sa bonne volonté, elle n’en pouvait plus. Il a ralenti mais n’a pu s’empêcher de faire coulisser sa queue sur toute sa longueur encore une longue minute. Les gémissements affolés de mon ex renforçaient son érection et son plaisir. Enfin, il a sorti lentement sa queue et a éjaculé sur les fesses et la corolle dilatée d’Estelle.
Elle est restée immobile, à 4 pattes, l’anus encore entre-ouvert et les fesses recouvertes de sperme. Elle était choquée mais d’une certaine manière, fière d’elle en même temps. Grapi a essuyé le cul souillé et aidé sa maitresse à se relever puis à enfiler un peignoir. Il s’est assis sur un des fauteuils et il a installé Estelle à califourchon sur lui. Il l’a embrassée tendrement, l’a serrée dans ses bras et lui a dit: "J’ai vraiment adoré. Tu es parfaite". Elle l’a embrassé à son tour et en lui soufflant dans le cou, elle a glissé à son oreille: "Ca m’a fait un peu mal mais c’était vraiment excitant. Est-ce que c’est ce que tu préfères ?". Il l’a serrée plus fort en lui répondant "oui".
Grapi a commandé les plats les plus chers de la carte au service d’étage. Les tourtereaux ont diné sur la terrasse en peignoirs avec une vue parfaite sur les lumières de la ville. Elle a évoqué sa passion pour l’Asie. Grapi lui a raconté ses voyages. Mon ex était sur un petit nuage. Après le repas, son amant lui a fait couler un bain dans la baignoire-jacuzzi. Il a tamisé les lumières de la salle de bain et mis le cd préféré de la jeune femme. Il l’a amenée jusqu’à la baignoire et lui a dit de se détendre puis il lui a apporté une coupe de champagne. Lui est allé prendre une douche fraîche rapide et sest dirigé vers la chambre regarder les news sur LCI.
Estelle s’est presque assoupie dans le jacuzzi. Le champagne lui était un peu monté à la tête. Elle repassait le film de la soirée dans son esprit: l’hôtel de luxe, la montre hors de prix, la suite et le repas sur la terrasse. Son amant faisait tout ce qui était possible pour qu’elle vive avec lui des moments rares. Aucun garçon de son âge n’aurait pu la traiter comme une princesse comme le quinqua était en train de le faire. Elle a repensé à leurs étreintes et eu envie de se toucher dans le bain mais elle changea d’avis finalement. Elle préférait soffrir de nouveau à son amant.
Estelle est sortie du bain, s’est séché les cheveux, recoiffée et remaquillée avec application. Elle est allée chercher ses chaussures à talons violettes restées dans le salon. Elle les a mises pour seuls vêtements puis s’est rendue discrètement vers la chambre. Elle s’est calée dans l’embrasure de la porte et a fixé son amant qui ne l’avait pas encore vu.
Il était nu lui aussi, avachi dans le lit king size avec 7 ou 8 coussins dans son dos: un vrai pacha. Il a fini par remarquer Estelle: il a souri en voyant sa compagne. Elle s’est approchée de lui avec sensualité, elle a marché à 4 pates sur le lit pour venir en travers sur lui. Sans dire un mot, elle a baissé son visage vers l’entrejambe du quinqua. Elle a léché son sexe et ses bourses en soupirant. Il a rapidement bandé. Estelle a pris le gland en bouche et lui a roulé une pelle langoureuse. Elle avait définitivement compris comment donner du plaisir avec ses lèvres et elle avait jeté ses appréhensions aux orties. Elle a retroussé ses lèvres et commencé à descendre sur le mât. Elle a pris la main de Grapi et l’a posé sur sa tête pour le laisser la guider. Elle eut l’impression que l’érection du quinqua s’était amplifiée instantanément. Elle était satisfaite de le faire vibrer ainsi. Elle a voulu aller plus loin en prenant également à pleine main les couilles de son homme pendant qu’il lui faisait gober sa queue plus loin encore.
Il faisait aller et venir assez lentement les lèvres retroussées d’Estelle sur sa queue. Il a posé sa main libre sur les fesses de la jeune femme et a glissé un doigt contre ses lèvres. Estelle a recraché la queue délicatement et elle a guidé la main de son amant vers sa corolle en lui disant: "Tu m’as dit que c’est ce que tu préfères. Il faut que tu entraines mon petit cul". Il n’en revenait pas de tant d’initiative. Il a craché sur ses doigts et a commencé à masser le tour de l’anus de la jeune femme tout en ré-appuyant fermement sur sa tête pour l’enfoncer sur son érection.
Estelle a senti simultanément le sexe de son amant aller plus loin entre ses lèvres et un majeur s’enfoncer dans son anus. Sa tête s’est mise à tourner, elle avait du mal à croire que c’était vraiment elle qui était dans cette position. Grapi a passé sa main libre dans les cheveux d’Estelle pour dégager son visage et profiter du spectacle. En lui enfonçant son majeur jusqu’à la garde, il lui a dit: "Tu es vraiment belle". Elle a ouvert sa bouche en grand à cause de la surprise et la douleur. Grapi en a profité pour pousser sa queue presque entièrement dans la bouche d’Estelle. Elle était prise à fonds ou quasiment à ses deux extrémités.
Elle a fait tout son possible pour se détendre au maximum. En y parvenant, elle a même fini par percevoir une douce chaleur irradier son ventre. Elle sest abandonnée à cet instant perdue dans le voile de son plaisir coupable et elle a ensuite eu besoin de quelques minutes pour se rendre compte qu’elle gémissait malgré la queue dans sa bouche et basculait ses fesses à la rencontre du doigt inquisiteur.
Elle s’est laissé caresser encore plusieurs minutes en permettant à son amant piloter ses lèvres sur sa queue. Le quinqua a fini par se dégager. Estelle s’est mise à 4 pattes en soufflant: "je suis à toi". Grapi a appuyé sur les fesses et le dos de la jeune femme pour la faire s’allonger sur le ventre. Il lui a glissé un coussin sous le bassin pour maintenir son le cul cambré. Il a dit à Estelle de resserrer ses jambes puis il s’est installé sur elle, un genou de chaque côté des cuisses de la jeune femme. Il lui a fait mettre ses bras dans le dos, les avant-bras parallèles et serrés. Il a saisi fermement les poignets avec sa main droite et il a présenté son gland contre la rondelle de la jeune femme. Bien sûr, elle n’avait pas les bras attachés et il la tenait d’une seule main: elle pouvait se libérer relativement facilement mais l’illusion de la domination était bien là, troublante pour elle comme pour lui. Il a poussé progressivement pour pénétrer le rectum de mon ex. Elle a miaulé et poussé une plainte en même temps. Il l’a sodomisée doucement en la gardant dans la même position de soumission. Les gémissements d’Estelle mêlaient douleur et excitation; ce n’en était que meilleur pour son amant.
Le visage dans les draps, les bras maintenues derrière le dos, Estelle se laissait enculer toujours plus profondément en poussant des petits cris qui ressemblaient de plus en plus à des invitations. Elle était obligée de se rendre compte qu’elle prenait un véritable plaisir à en donner à son homme de cette manière. Cela n’a pas échappé à l’expérience de son amant qui a saisi l’opportunité de se lâcher un peu plus dans le rectum de mon ex. Il a baisé le cul d’Estelle en variant le rythme et l’intensité de ses coups de rein.
Au bout de plusieurs minutes, il a sorti sa queue puis a joué à pénétrer et quitter l’anus de la jeune femme. Elle couinait à chaque pénétration; il semblait adorer ça. Il a lâché les bras d’Estelle et s’est allongé sur elle l’écrasant de son poids. Il a agrippé les épaules de la jeune femme par en dessous et la visité encore un peu plus loin.
Puis, il s’est reculé, ressortant presque son gland de l’étroit conduit. Il a embrassé sa maîtresse dans le cou. Elle allait lui dire "je t’aime" mais il s’est enfoncé profondément dans le cul de mon ex qui n’a pu que pousser un gémissement incompréhensible. Il l’a sodomisée par de courts et profonds vas et viens sans lui laisser de répit. La douleur était revenue dans les entrailles d’Estelle mais le peau-à-peau avec son amant et le plaisir qu’elle le voyait ressentir lui donnaient envie de tout accepter. Elle a serré les dents et elle a continué à gémir.
En ouvrant les yeux, Grapi a vu Estelle crisper ses doigts sur les draps et mordre le tissu en grimaçant. Il lui a enfoncé sa main gauche dans la chevelure et après avoir saisi ses cheveux à la base, il les a brutalement tirés en arrière. Elle a redressée la tête paniquée et elle s’est cambrée dangereusement pour soulager la traction sur larrière de son crâne. Il en a profité pour cette fois vraiment s’enfoncer à fonds dans l’anus de la jeune femme. Il l’a maintenu ainsi par la crinière et l’a baisée de plus belle. Estelle a poussé une longue plainte en gardant la bouche grande ouverte et les sourcils froncés dans un rictus qui témoignait de façon on ne peut plus claire de son inconfort. Il a sodomisée ainsi plusieurs minutes sa maitresse en s’enivrant de la voir grimacer. Estelle ne contrôlait plus rien. Elle a fait glisser son bras sur le côté et avec sa paume, elle a caressé la hanche de son homme. Il a pris cela pour un signe d’encouragement. Il a tiré plus fort les cheveux d’Estelle pour la cambrer encore un peu plus avant de lui infliger une vingtaine de coups reins brutaux. Elle a crié de douleur et il a éjaculé au plus profonds d’elle.
Estelle avait le souffle coupé. La sensation des jets de sperme dans son fondement et la chaleur qui s’en est suivie ont emporté tout le reste. Elle est restée cambrée, sans dire un mot malgré la bite de Grapi toujours enfoncée en elle jusqu’à la garde. Il a attendu une minute avant de bouger puis la jeune femme n’a cessé de gémir langoureusement lorsque le quinqua a lentement extrait son sexe.
Il s’est retiré en totalité puis s’est placé entre les jambes de sa compagne. Il a saisi les lobes fessiers à pleines mains et les a écartés. La tête dans un oreiller, Estelle était pétrifiée de honte de laisser Grapi scruter son cul tout juste dépucelé. Il a approché son visage de l’anus encore ouvert de mon ex. Sans qu’elle s’y attende, il a introduit la pointe de sa langue et parcouru à deux reprises le tour des parois internes du rectum de la jeune femme. Elle a eu l’impression qu’une délicieuse décharge électrique parcourait son ventre puis que son cul se dilatait encore. Elle n’avait jamais connu de sensation comparable. Grapi s’est écarté et Estelle dut se mordre les lèvres pour ne pas le supplier de continuer.
Il s’est allongé à côté d’elle. Elle est venue dans ses bras. Il lui a dit qu’elle était le diamant qu’il avait longtemps attendu. Elle est restée contre lui.
En sentant le sperme de son amant couler de son cul sur ses fesses; elle s’est dit que la plupart de ses certitudes sur elle-même avaient volé en éclat et que la seule chose évidente dans sa vie était son nouvel amant.
