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Amour pour son anniversaire – Chapitre 1




C’était son anniversaire et elle était vraiment sublime aujourd’hui : une jolie robe courte, qui s’arrêtait au-dessus des genoux et dont le décolleté laissait entrevoir la naissance de ses seins. Cette image suffit à réveiller mes pulsions les plus basses. La soirée avait été très animée et les dernières danses assez chaudes : profitant de la pénombre, elle s’était déhanchée au son de la musique, frottant son cul parfait contre mon sexe bouillant, caressant lascivement ses hanches contre mon entrejambe et appuyant franchement sa poitrine arrogante contre mon torse lors des slows. Pourtant, nous n’avions jamais été particulièrement proche : elle était appréciée des mecs pour son physique et son esprit vif et comme tous, je ne pouvais que la regarder de loin, ou me masturber plusieurs fois par semaine en l’imaginant nue, dans mes bras en train de me…

La soirée tirait donc à sa fin, la plupart des invités étaient partis et je la cherchai pour la remercier et lui dire au revoir. Je croisais une de ses amies, une jolie rousse, qui me dit qu’elle était partie se changer mais qu’elle devait avoir fini depuis. Je me dirigeai donc vers sa chambre et toquai à sa porte. « Qui est là » demanda-t-elle. « Ah, c’est toi, vas-y, vas-y, entre ».

Je poussai la porte et la trouvai toujours en robe, assise sur son lit. « Tu pars ? Déjà ? » Avais-je vraiment imaginé cette lueur de dépit dans ses yeux ? Elle se leva et nous nous enlaçâmes tendrement. « Merci beaucoup » me dit-elle. Le parfum de ses cheveux, le contact de sa poitrine ferme et de ses petits tétons durcis par nos danses, la légèreté de sa tête sur mon épaule…tout cela me fit un tel effet que mon sexe devint plus dur et long qu’il ne l’avait jamais été. Je fermais les yeux de bonheur. La scène était d’une sensualité émouvante et mes mains ne purent s’empêcher de glisser sur ses hanches, puis innocemment sur le haut de ses fesses.

Je sentais sa peau douce sous le satin de la robe et rien ne venait briser la lisse courbe de son dos. Elle bougea lentement le bassin, massant tendrement nos sexes. Je restais un peu pétrifié par cette sensation, n’osant m’avouer la vérité ni reconnaître mon désir. Ses tétons étaient toujours dressés et mon sexe dur à m’en faire mal. « Marc ? » me demanda-t-elle. « Marc, as-tu déjà aimé une femme ? » Je ne sus que répondre. « Je veux dire, as-tu déjà fait l’amour passionnément, comme si tu donnais ta vie pour mieux faire jouir une femme ? As-tu passé une nuit rouge d’orgasmes entre les bras de celle que tu aimais ? » Le sang battait à mes tempes et mon cur cognait. Je n’osais plus bouger, le feu de mes joues et la taille de mon pénis suffisant à traduire toutes mes pensées. Je la sentis se libérer de mon étreinte. « Marc, veux-tu que ce soit cette nuit ? »

Je sentis ses lèvres se poser délicatement sur les miennes, hésitantes. Il se passa une seconde, qui me parut une éternité, pendant laquelle notre seul contact fut ces lèvres embrassées avec tendresse. Le monde tournait autour de cette sensation. Elle noua ses bras autour de mon cou et m’embrassa plus furieusement. Je lui rendais son baiser, mes mains caressantes posées sur ses hanches. Elle me poussa gentiment et je sentis le lit cogner derrière mes jambes. Je m’y laissai tomber, lentraînant avec moi et nous nous allongeâmes sur le lit, embrassés. Je la sentis défaire les boutons de ma chemise qu’elle ouvrit en grand avant de passer ses mains douces sur mon torse nu. Je frissonnais et l’embrassai avec plus de ferveur.

Elle s’assit sur mon sexe et rompit notre baiser, se redressant. Elle souleva sa robe et la fit passer au-dessus de sa tête, révélant sa poitrine arrogante, enfermée dans un soutien gorge de dentelle blanche. Elle portait aussi une mince culotte de la même dentelle et je suivais avec délice l’échancrure de sa hanche. Elle se rallongea sur mon torse et m’embrassa à nouveau. Ses lèvres chaudes et passionnées ravivèrent ma flamme et mon sexe bandait encore. Ses mains descendirent sur mon torse et passèrent et repassèrent sur la bosse qui déformait mon pantalon. Je la sentis défaire ma ceinture et ouvrir le bouton de mon jean. Mon pénis brûlant jaillit, bloqué dans mon caleçon. Elle enleva mon pantalon et revint s’asseoir sur mon sexe tendu. Je la sentis dansé langoureusement : son sexe malaxait mon sexe, ses seins exacerbaient ma poitrine et ses lèvres subjuguaient les miennes. Je n’étais plus un homme mais un désir tendu à lextrême, dans l’attente extatique du moindre de ses mouvements. Je ne me contrôlais plus, mon pénis se tendait de plus belle à la rencontre de son mont de Vénus caché par le tissu, j’avais envie de lui crier de me déshabiller pour nous unir. Je saisissais ses seins à pleines mains, les doigts amoureusement posés sur la dentelle. Je trouvais son téton, déjà si gros et dur, que je fis rouler entre mes doigts, son corps vibrant à chacun de mes gestes. Ses mains tournaient autour de mon sexe, elles frôlaient mes testicules, passaient au-dessus du gland, repassaient sur mon pubis. Je torturais de plus belle ses tétons. Elle attrapa alors mon sexe qu’elle emprisonna complètement. Je lâchai un soupir de plaisir auxquels répondirent ses doux halètements que mes caresses causaient. Elle fit lentement tomber mon slip et décalotta tendrement mon gland. Je gémis de plaisir en sentant son autre main saisir mes testicules et les masser lentement. Tout en m’embrassant de plus belle, elle entama de très lents va-et-vient avec mon sexe. Je passais mes mains derrière son dos et défaisais son soutien gorge que je laissai glisser au sol. Je libérai sa poitrine qui revint se frotter contre mon torse. Mon pénis dur entre ses doigts subissait mille plaisirs et je râlais de plaisir à chacun de ses gestes. N’y tenant plus, je la repoussai légèrement et l’allongeai à ma place sur le lit. Je l’embrassais à mon tour tout en laissant mes mains errer autour de son sexe. Mes caresses avaient trempé son entrejambe et mes doigts erraient sur ses cuisses. Je délaissai sa bouche pour monter embrasser la peau de ses seins tandis que mes doigts se faisaient plus précis sur son sexe. Je donnai quelques coups de langue à son téton ce qui lui arracha de petits sursauts de plaisir tandis que mes doigts passaient sous le tissu pour la dénuder complètement, dévoilant sa chatte ruisselante déjà d’envie. Je relevai les yeux et croisai son regard : le désir était si fort entre nous que je l’embrassai, la serrant contre moi et me rallongeant sur le dos. Elle passa sa main entre nous et reprit mon sexe entre ses doigts ce qui lui rendit toute sa dureté. Elle le fit effleurer son sexe et gémit de plaisir. Je posai mes doigts sur ses tétons que je tirai avec douceur.

Mon sexe dressé caressa à nouveau sa vulve et elle gémit de plus belle. Elle se redressa, se souleva lentement, les jambes bien écartées. Je voyais sa chatte ouverte, ruisselante de cyprine, qui luisait, impatiente d’accueillir la tige chaude et dure que je lui tendais, prête à tout pour être remplie de cette chair brûlante que ma passion lui offrait. Elle s’empala lentement sur mon sexe tendu jusqu’à ce que je remplisse complètement son petit minou. Je me sentis devenu énorme, intrus de cette antre si douce. Mais son visage, les yeux fermés, la bouche entrouverte qui laissait échapper des râles de plaisir, me fit bander encore plus. Ses seins magnifiques étaient tendus vers moi, les tétons roses offerts, sa peau toute entière m’appelait comme autant de mots de tendresse échangés. Elle commença à monter et descendre sur mon sexe qui coulissait dans son vagin en réveillant des ouragans de jouissance. Elle remontait jusqu’à ce que mon gland frotte sa vulve, puis redescendait en gémissant de plus belle. Je sentais le plaisir grandir, mon sexe se faire assoiffé de son corps, mon bassin accompagnant ses mouvements et mes mains posés sur ses hanches enfonçaient au plus profond de son vagin mon pénis bandé. Je criais et elle aussi râlait de plaisir, l’union était totale, nous n’étions plus que deux bêtes attirées par la jouissance, accélérant jusqu’à atteindre le point de non retour, nos deux sexes s’entrechoquant, se pénétrant, s’unissant avec ardeur. Nous hurlâmes ensemble notre orgasme et je déversai à grand flot mon sperme dans son vagin brûlant. J’eus l’impression de me vider de toute ma semence et que notre apothéose n’en finirait plus. Enfin, elle se laissa retomber sur mon torse, la poitrine luisante de sueur, le cur battant, m’enlaçant tendrement de ses bras nus, nos deux sexes réunis.

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