Pour ce faire, Nathalie se lève et je découvre alors une élégante robe cache-cur grise à manches courtes, fermée par une ceinture de tissu nouée. Celle-ci marque la taille de Nathalie, entre un buste assez étroit et des hanches plus prononcées. La robe se fait ainsi fluide sur le haut et plus moulante sur le bas, dessinant avantageusement à mon avis, son postérieur charnu et rebondi.
Nathalie plie son manteau sur le banc avant de s’y rasseoir. La robe de Nathalie fermant de mon côté, je me rends compte que j’ai une vue plongeante sur son décolleté. Alors qu’elle fait un geste du bras droit, la fente s’ouvre alors.
Je ne l’écoute plus. Plus du tout. Ce n’est pas la taille de son sein, qui me parait tout à fait respectable, mais ce qui l’entoure. Cette étoffe noire, je la connais. Sacrément bien même. Un soutien-gorge au design très particulier, transparent car en fine résille, avec un petit nud entre les seins. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, c’est bien le même modèle si sexy que j’ai offert le mois passé à Camille, la jeune stagiaire qui m’avait réconcilié avec le sexe après plusieurs années de disette auprès de mon ex-femme. A 18 ans, les tenues de Camille reflétaient l’ambivalence de son caractère : des robes sages, des tailleurs discrets, une apparence soignée, et des dessous torrides, sexy, parfois vulgaires, comme il lui arrivait d’être quand nous baisions. Je lui avais offert l’ensemble complet : soutien-gorge, string, porte-jarretelles et guêpière.
— Florent ! Florent ! Vous êtes encore là ?
Gêné, je souris et m’excuse. Je reprends mes esprits tandis que Nathalie éclate de rire. Je dois avoir une tête bizarre. Ma voisine se redresse alors sur le banc, décroise sa jambe gauche et passe sa jambe droite sur l’autre. Soudain, le pan droit glisse sur la cuisse de Nathalie et dévoile une large jarretière en dentelle. Ce que j’aime les robes cache-cur La dame porte des Dim’Up. Mon cur repart de plus belle, tandis que Nathalie devient écarlate :
— Oh ! Je je suis vraiment désolée !
Elle rabat vivement le pan de sa robe par dessus sa cuisse. Nathalie ne feint pas : elle est vraiment confuse d’avoir dévoilé le haut de ses bas à mon regard et je suis désormais certain qu’elle ne m’a pas montré son sein droit volontairement. Enhardi, je me lance :
— Vous n’avez pas à vous excuser, Nathalie. L’élégance de votre tenue n’a d’égale que votre beauté. Vous êtes ravissante et cela, jusque le choix judicieux de vos bas.
Je touche. Et pas qu’un peu. Nathalie semble complètement déstabilisée par mes compliments que je trouve pourtant fort naïfs. Elle ne répond pas tout de suite, sourit, se mord la lèvre inférieure puis dit :
— Vos mots me touchent sincèrement, Florent. Si vous saviez Je
Sa phrase reste en suspens quelques instants avant qu’elle n’ajoute simplement :
— Merci
— Nathalie, j’aimerais vous inviter à souper ce soir
— Je je ne peux malheureusement pas rester.
— Quand revenez-vous ?
— Ce n’est pas prévu.
Je me rapproche de la brune. Nathalie est bouleversée. Elle a des rougeurs sur le visage, dans le cou. Je pose la main sur sa cuisse. Elle la retire doucement mais fermement :
— Il ne faut pas, Florent
— Le voulez-vous ?
— Non.
Respectueux, je reviens à ma place initiale mais ne lâche pas des yeux le regard de Nathalie :
— Si je ne peux pas toucher, vous me montrez ?
Le défi. Ça passe ou ça casse. J’attends, compte lentement jusqu’à cinq, puis ajoute :
— Soutien-gorge noir transparent, modèle Luigia, celui avec un petit nud et une découpe sur le dessus du sein
Nathalie m’observe. Impossible de dire ce qu’elle va faire. Les secondes semblent durer des siècles. Soudain, elle écarte le pan supérieur droit de sa robe. Le sein réapparait, plus nettement. Sublime. Elle sourit timidement. Je lui dis :
— C’est très sexy, est-ce bien raisonnable ?
— C’est compliqué.
Elle interrompt sa phrase. Son regard est intense, comme si elle cherchait à me juger, puis elle baisse les yeux.
— Il y a sept ans, mon mari a décidé de devenir abstinent. Du jour au lendemain, il a cessé tout contact avec moi. Ça a été très dur. Il m’avait dit qu’il comprendrait que je prenne un amant et n’y voyait pas d’inconvénient. Mais j’ai refusé.
Temps d’arrêt, les yeux toujours baissés :
— Pendant deux ans, il n’y avait plus rien, rien du tout. Puis, un matin, il est entré dans la chambre alors que je m’habillais, j’étais en dessous. Il m’a regardée avec envie, c’était la première fois depuis deux ans que je revoyais ces yeux-là. Il m’a dit qu’il allait m’offrir de la lingerie. Depuis ce jour-là, il m’en offre fréquemment et me regarde me vêtir tous les matins. Notre seule relation intime.
Elle relève les yeux, plonge dans les miens, souffle doucement :
— Ce qu’il m’offre est toujours sexy, extrêmement sexy. Beaucoup de transparences, des perles, des dessous ouverts. Je n’ai plus que ça dans ma commode d’ailleurs.
— Ce soutien-gorge est sublime.
Elle sourit :
— Il est presque soft dans ma collection.
— J’aimerais le voir en entier
Le jeu est lancé. Nathalie regarde alentours. Nous nous trouvons à l’écart des autres personnes présentes dans le parc et derrière moi, il n’y a que des champs. Elle tourne un peu plus le buste face à moi, détache le petit bouton, situé à sa taille, qui maintient sa robe fermée en plus de la ceinture. Elle écarte lentement son décolleté, offrant à mon regard une poitrine plus volumineuse que je ne l’imaginais. A travers le soutien-gorge, deux mamelons pointus dardent au milieu de larges aréoles et excitent mon désir.
— Montrez-moi vos seins
Nathalie brûle d’envie. Électrisée, elle sort lentement sa poitrine de son carcan de tissu. Les mamelles de la brune tombent devant moi. Elle devait avoir une poitrine fabuleuse à vingt ans. Aujourd’hui, ses seins sont toujours lourds et gardent une rondeur appétissante.
— Vous me donnez envie, Nathalie, envie de peloter, caresser et goûter à cette offrande
Nathalie ne répond pas, mais son souffle court et rapide m’indique qu’elle n’est absolument pas indifférente.