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La femme du révérend – Chapitre 2




La femme du révérend 2

young black boy change’s white preacher’s wife forever 2

Coulybaca/ Stevecom

La femme du pasteur est contrainte de reprendre ses activités de pute.

Cela fait maintenant deux mois que suis rentré de ma tournée des églises, j’ai vraiment apprécié de rentrer à la maison retrouver mon mari et mes 3 filles chéries.

Je reprends quelques informations pour ceux d’entre vous qui n’auriez pas lu la première partie de mes mésaventures :

Je suis l’assistante de mon mari et je donne des sermons chaque dimanche en alternance avec mon mari.

Je m’appelle Caroline James, J’ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans.

Je suis assez célèbre en tant qu’écrivain, mon dernier livre, "Eglise et communication"est déjà un "best seller".

J’ai effectué, il y a deux mois une tournée de communication pour tenir de nombreuses conférences et promouvoir mon livre.

Au cours de ce périple, j’ai rencontré un jeune aide serveur noir de 18 ans, Tyrone qui est doté de la plus grosse bite que j’ai jamais vue.

Il m’a baisé à couilles rabattues puis m’a livré à ses copains contre monnaie sonnante et trébuchante.

Je me suis prostituée pour lui chaque nuit de mon séjour dans cette petite ville, soit pendant environ une semaine.

J’avais vraiment honte de moi, je n’avais fait l’amour qu’avec mon mari auparavant, alors que pendant ces quelques nuits j’ai appartenu à une quinzaine de jeunes noirs qui m’ont baisée, enculée et que j’ai sucé à leur gré.

Je suis le révérend Mike Marshall, mon épouse Caroline est non seulement une merveilleuse mère pour nos trois filles Carol, et Sue, nos jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans, lais aussi une ravissante femme.

Assez grande, 1,75 m de somptueuses jambes, de longs cheveux blonds, un adorable visage, des hanches bien marquées et une poitrine bien ferme et bien ronde malgré la naissance de nos trois filles.

Nos trois filles ressemblent comme des sours à leur mère.

Depuis son voyage promotionnel Caroline a bien changé, bien qu’elle soit un pilier de notre église et qu’elle nous aime profondément mes filles et moi, j’ai constaté avec surprise que ses tenues ont changé, alors qu’auparavant elle s’habillait de façon fort conservatrice et tout à fait conventionnelle, voilà qu’elle s’exhibe maintenant dans des tenus très sexy.

Elle porte des mini-robes, et des mini-jupes, ses corsages révèlent tout de sa poitrine, exposant aux yeux de tous ses seins, elle semble toujours très élégante mais porte des tenues extrêmement provocantes.

Nos filles adorent la nouvelle apparence de leur mère et s’habillent aussi de façon fort sexy maintenant.

Ma femme ignore que j’ai tout entendu alors que dans sa chambre elle se faisait baiser par cet aide-serveur noir qui l’a subjuguée. Intrigué par certains bruits, je n’avais pas raccroché le téléphone et j’ai ainsi profité de l’intégralité de leur séance de baise.

Je n’en ai rien dit parce que je l’aime profondément et je me figurai que Caroline s’était oubliée accidentellement, je supposais que Dieu lui avait pardonné, je faisais de même.

L’entendre baiser avec ce jeune noir m’avait follement excité j’en étais honteux et culpabilisé.

Depuis que je suis revenue, je m’habille beaucoup plus sexy, Tyrone avait raison, j’adore sentir les regards des hommes et des femmes se poser sur moi admirant mes charmes.

J’aimais spécialement sentir le regard des hommes noirs qui s’appesantissaient sur mes appas.

De toute façon je n’avais pas fait l’amour avec mon mari depuis mon retour, ce n’était si surprenant, après avoir été possédée par des noirs avec de gros chibres, faire l’amour avec mon mari et sa petite bite ne m’intéressait plus du tout.

J’appréciais autant les grosses mentules des noires, que leur façon des noirs de s’adresser aux femmes, plus c’était vulgaire, plus cela m’excitait.

Je pensais que Dieu m’avait pardonné mes écarts et mes sensations aussi avais-je repris de plus belle la promotion de mon livre et la prise en charge de ma merveilleuse petite famille.

Je me tenais au coté de mon mari à la porte d’entrée de l’église, saluant convivialement les paroissiens qui sortaient de l’église après notre service de 11 heures.

Nous avions environ 250 paroissiens, par moitié blanc et l’autre moitié noir et latinos.

Mon mari était aimé de tous, il serrait de nombreuses mains, je me tenais à coté de lui saluant les membres de notre congrégation et signant des exemplaires de mon bouquin.

Je portais une robe jaune translucide qui s’arrêtait à mi-cuisses, elle mettait en valeur mes formes attrayantes.

Je sentais les hommes jeter des coups d’oil salaces sur mes appas et les femmes des regards envieux.

Il ne restait plus que quelques paroissiens dans l’église lorsque je repérais Tyrone le jeune aide serveur noir de 18 ans qui m’avait subornée lors de mon périple promotionnel.

— Hey Caroline tu me sembles bien sexy… Regarde un peu qui j’ai amené… Clama Tyrone en s’approchant de nous.

— Bonjour Caroline… Linda la jolie serveuse blanche âgée de 18 ans en compagnie de qui je m’étais prostituée l’accompagnait.

— Bonjour… Répliquais-je paniquée.

Je les éloignais de mon mari et des derniers paroissiens qui quittaient l’église.

— Que faites-vous ici? … Que me voulez-vous? … oh, oh… Mon mari nous regarde… Il s’approche de nous…

— Chéri, je veux te présenter Tyrone et Linda que j’ai rencontrés lors de mon dernier voyage promotionnel… Bredouilla Caroline affolée.

— Enchanté de vous rencontrer Tyrone et Linda… Rétorqua mon mari serrant virilement la main de Tyrone.

Tyrone reprit en gloussant :

— Hey révérend ta femme est vraiment chaude, une bonne salope, regarde-moi ses tétons, ils ne demandent qu’à être dégustés! …

— Ohhhhhh Tyrone… Ne dis pas cela… Nous nous trouvons dans une église! …

De façon fort surprenante mon mari se taisait, il se détourna et s’en alla sans un mot.

— Qu’êtes-vous venu faire ici, pourquoi êtes vous ici! … Les interrogea Caroline en jetant un coup d’oil craintif autour d’elle.

Ils constatèrent tous trois que l’église était maintenant vide. Tyrone s’es-claffa :

— Je suis venue voir ma petite pute, ma salope… Dis-moi que t’es ma pute! … J’ai envie de me faire ta savoureuse petite chatte blonde… Par ailleurs j’ai besoin de me faire un peu de fric! … J’ai trouvé du travail pour toi et Linda ce soir, et maintenant dis-moi que t’as en-vie de ma grosse bite noire salope! …

Caroline soupira :

— Je suis ta pute… Oh oui chérie je suis ta pute! …

Tyrone poursuivit alors :

— Je t’ai présentée comme une pute expérimentée, ainsi que Linda d’ailleurs, c’est ce que j’ai constaté d’ailleurs, j’adore ça, je peux vous livrer aussi bien à des hommes qu’à des femmes… C’est excellent…

Caroline rougit, elle se remémorait sa dernière nuit passée en compa-gnie de Linda.

— Maman… Maman Lui criaient ses filles en courant vers elle

— Papa nous attend… Laura agrippa mon bras

— Allez viens maman…

Caroline jeta un oeil éperdu sur Tyrone et Linda

— Je dois y aller… Je suis désolée… Leur dit-elle angoissée.

Tyrone lui tendit une feuille de papier où était noté un numéro de télé-phone

— Appelle-moi avant 19 heures… Je te donnerai l’adresse où te ren-dre… Rétorqua Tyrone impavide.

— Je dois à parler à ta mère pendant une minute ma chérie, puis elle ira te rejoindre… Dit-il à Laura.

Il regarda alors Caroline droit dans les yeux.

— Ecoute-moi bien ma petite chérie… La nuit où je t’ai baisée à couil-les rabattues dans ta chambre, te rappelles-tu m’avoir entendu dis-cuter avec quelqu’un au téléphone pendant que tu prenais une douche? …

— Oui…

— Je discutais avec ton mari, il a entendu tout ce qui s’est passé dans la chambre… Il était à l’écoute… Lui révéla Tyrone moqueuse-ment.

— Oh mon Dieu… Doux Jésus… Il ne m’en a pas dit un mot… Rien… Haleta Caroline abasourdie.

— Il m’a dit qu’il avait joui à, trois reprises, il pleurait comme un petit bébé, il m’a même entendu t’ordonner de te prostituer pour moi! … Ajouta Tyrone hilare.

Tyrone et Linda se dirigèrent vers la sortie, soudain Tyrone se tourna vers elle :

— Hey, ta fille qui est venue t’appeler est ravissante, quel âge a-t-elle? …

— Elle a 19 ans… Répondit Caroline légèrement inquiète.

— Elle a de beaux nichons, tout comme sa mère… Je veux la bai-ser… Je veux baiser tes 3 filles… lorsque je les aurai bien baisées, elles t’imiteront et travailleront pour moi…

S’approchant alors de Caroline, il releva sa robe et tâta la petite culotte qui enserrait sa chagatte, elle bavait déjà d’excitation, sa fentine était trempée, il plongea un doigt dans sa foufoune.

— Dis-moi, cela t’excite tant de savoir que je veux me faire tes filles! … Réponds-moi! …

Caroline était envahie par la honte, effectivement cette idée la liquéfiait littéralement, mon Dieu qu’allait-il leur arriver? …

— Oh oui cela m’excite… Mon Dieu je ne parviens pas à croire pourquoi cela m’excite tant! … Répondit Caroline affolée.

Tyrone extirpa son doigt de sa cramouille et le lécha ironiquement.

— A ce soir… s’esclaffa-t-il railleusement.

Pendant le repas les filles discutèrent entre elles, en riant à gorge déployée. Mon mari mangeait calmement, évitant mon regard.

— J’ai rencontré Tyrone et Linda lors de mon voyage promotionnel… Avançais-je tentant d’initier une conversation avec mon mari.

Il finit enfin par me regarder.

— Je suis très heureux que tu fréquentes des jeunes gens, qu’ils te regardent avec envie, je suis fière de toi! …

— Allez vous changer les filles, allez-donc jouer à la vidéothèque…

— Oh merci maman… Sur ces mots, elles nous quittèrent toute joyeuse.

Je jetais un oeil sur mon mari, je vis que des larmes se formaient sous ses paupières. Il savait déjà ce que j’allais lui dire.

— Tu m’as entendu baiser avec Tyrone, n’est ce pas? … Pour quoi ne m’as-tu rien dit lorsque je suis rentrée? … Tu gardes cela pour toi depuis tout ce temps! … Cela aurait pu te tuer… Pourquoi? … Pourquoi? …

— Je t’aime ma chérie… Je ne voulais pas te traumatiser… Si tu avais su que j’étais au courant… Je suis désolé… Répliqua le révé-rend d’une voix sourde.

Caroline regardait fixement son époux.

— Il y a quelque chose d’autre… Quelque chose d’autre…

Son mari la regarda sombrement.

— Dis-moi quoi… Je t’en prie… Nous devons être honnêtes l’un en-vers l’autre… Je t’en prie dis-moi quoi… Le suppliait Caroline d’une voix douce.

Son mari la regardait toujours il se tint muet une paire de minutes.

— Caroline… Je t’aime Caroline… Je t’aime tant… Mais… Mais… Jamais je n’ai été aussi excité qu’en t’entendant baiser avec ce jeune noir… J’ai joui à 3 reprises sans même me toucher… Oh mon Dieu, que j’ai honte… Oublie ça je t’en prie! …

— C’est d’accord mon chéri… C’est d’accord… Je t’aime moi aussi… Nous avons une merveilleuse petite famille… une bonne paroisse… Tant de chose dont nous devons être reconnaissants à Dieu…

Soupira Caroline en posant sa main sur sa cuisse.

— Je dois te dire quelque chose mon chéri… Tyrone veut que je le rejoigne et que je baise avec lui ce soir… Je sais, il est très jeune… Mais sa bite est si grosse, si épaisse… Oh mon Dieu… Je ne peux pas m’en passer… Non je ne le peux pas… Laisse moi y aller… Je t’en prie…

Son mari lui répondit calmement :

— Il y a quelque chose d’autre encore…

Caroline bougea lentement sa main, elle haleta :

— Chéri, mon chéri… Tu bandes… Ton pénis est tout raide… Cela m’excite follement… C’est de savoir que je me fais baiser par une jeune bite noire? …

Elle empoigna la bite de son mari.

— Oui il y a quelque chose d’autre mon chéri… Je devrai probable-ment baiser avec d’autres hommes, Tyrone a besoin de fric… C’est pourquoi il veut nous prostituer Linda et moi! …

Son époux, les yeux clos, le corps tétanisé grogna soudain :

— oh mon Dieu…

Caroline comprit qu’il venait d’éjaculer dans son caleçon.

— Oh chérie… Mon chéri… Tu as éjaculé dans ton pantalon… Oh chéri… C’est bon… Prend cette serviette et nettoie ton pantalon… Oh mon pauvre chéri… Lui dit-elle apitoyée.

Quelques minutes plus tard ils se regardaient yeux dans les yeux, visiblement calmés.

— Mon chéri… Ce soir quand nous serons au lit… Voudras-tu que je te raconte ce que j’ai fait? … Combien d’hommes m’auront possédée… Et comment ils m’auront prises… Aimeras-tu? … Lui susurra-t-elle à l’oreille.

Son mari la regarda fixement sans rien dire. Caroline sentit son pénis reprendre de l’ampleur…

— Eh bien mon chéri… Tu bandes à nouveau! … Mon pauvre chéri… Je sais bien… T’en fais pas pour ça…

Le soir même Caroline frappait à la porte de l’adresse indiquée.

— Entres… Répondit Tyrone de l’intérieur.

Caroline pénétra dans la pièce, il s’approcha d’elle et lui roula une pelle fiévreuse.

Elle entendit des grommellements, des grognements émanant d’une des chambres.

— Oh ma chérie… Ma douce salope… Laisse moi jeter un oeil sur toi… s’esclaffa Tyrone.

Elle portait une baby doll bleu pâle et une paire de sandales hauts-talons, un mini-string bleu, ses nibards nus pointaient au travers du fin tissu de son baby-doll, on distinguait clairement leur forme et leur ferme-té.

— Wow ma chérie… T’es habillée comme une vraie pute! … Siffla Ty-rone épata.

Il enlaça Caroline et l’emmena vers les chambres, dès la porte ouverte, caroline vit Linda nue entreprise par 3 athlétiques gaillards noirs…

— Baise-moi sale pute… Baise-moi avec plus d’énergie… mets-y plus de cour… Lui dit un des marauds lui claquant les fesses tout en coulissant âprement dans sa chatoune gonflée.

— Oh oui… Ouiiiiiiiiiiiiii… Hurlait un autre- Wow… Sa chatte est vraiment succulente, suce moi salope…

Le troisième titillait de la pointe langue ses mamelons… Quelle délicieuse petite pute blanche que cette Linda…

Une bite noire en bouche, une autre dans la chagatte grognait continuel-lement.

— Regardez-moi cette jeune chienne… Elle jouit de toutes ses fibres… Elle adore les mentules noires… Elle a vraiment de délicieux tétons… Une étroite petite chatte… Allez baise de tout ton cour chienne blanche… Quelle belle pute blanche! …

On frappa à la porte, Tyrone s’en approcha et l’ouvrit, 4 noirs entrèrent, le premier avait 18/20 ans, les 3 autres 50/60 ans. 2 des plus vieux étaient gros et laids, le troisième était grand, les bras tatoués, un vérita-ble athlète.

Caroline jeta un coup d’oil implorant vers Tyrone.

— Je pensais que nous devions passer un bout de temps ensemble, tous les deux…

Tyrone la coupa brusquement.

— Je te rappelle ma petite chérie que t’es ma pute… Le boulot passe d’abord… C’est d’accord ma chérie… J’ai besoin que tu prennes bien soin de tes clients… C’est d’accord ma chérie? …

Le grand gaillard s’approcha d’eux :

— Hey Tyrone, mon frère… T’as raison… C’est vraiment une ravis-sante salope… et posant le bras sur les épaules de Caroline il ajou-ta :

— Viens ici salope…

Caroline avait honte, déjà sa chagatte s’inondait de cyprine à l’idée de ce qui allait suivre.

Tyrone les avisa :

— Ce sera 150 $ pour tous 4… Pour ce prix, vous pouvez la baiser, l’enculer, elle adore sucer les grosses bites noires… C’est une femme mariée… Cependant elle adore se faire baiser par de grosses mentules noires! …

Jake l’athlète noir qui tenait Caroline intervint :

— Tiens voilà 200 $ mon frère… Mes potes et moi venons de sortir de prison… Cela fait 5 ans que je n’ai pas baisé, Junior et Bobby n’ont pas sauté de femmes depuis 10 ans, ils étaient en prison pour avoir violenté des femmes, quant à Lee il s’est tapé 3 ans de geôle pour viol, nous allons baiser ta pute pendant un sacre moment, reviens donc dans 3 heures Tyrone! …

Jake saisit le bras de Caroline, et suivi de ses comparses il l’entraîna dans la chambre libre. Il se pencha sur Caroline et lui roula une pelle ba-veuse, il était affamé de chair blanche, Caroline noua ses bras autour de son cou alors qu’il glissait sa langue épaisse entre ses lèvres.

Il lui enleva tout de go sa robe, elle enjamba son string, que Jake des-cendait en bas de ses chevilles.

— Regardez-moi cette chienne, toute ma vie je me suis branlé en pensant à ces salopes blanches, bordel ce que j’ai envie de me faire son cul! … Que le corps de cette chienne est soyeux! …

Caroline sentait des mains palper ses nichons, pincer ses tétons, tripoter ses fesses, on lui écarta soudain les globes fessiers, un doigt inquisiteur força son trou du cul, un autre plongea dans sa chatoune, elle était trempée de cyprine.

— Sa chatte bave comme un escargot… Elle est trempée… Tu n’es qu’une salope… Tu n’es qu’une pute bonne à baiser…

Caroline les entendait se déshabiller, alors que Jake cessait ses baisers. Une autre bouche remplaça la sienne une autre langue pénétra sa bou-che.

— Laissez-moi goûter à son trou du cul! … Je veux tester le cul de cette femme blanche mariée! …

Une langue épaisse testait maintenant son oeillet resserré, elle savait déjà que son trou du cul allait être profondément sondé.

— Je sens que je vais adorer l’enculer, tu aimeras ça toi aussi ma pe-tite pute! … Sur ces mots un de ses clients lui claqua gentiment les fesses.

— Ooooooohhhh… Aaaaaaaaaahhhhhhh…, Carole détourna son vi-sage.

— Aahhhhhh… Ooooohhhhh mon Dieuuuuuu… Cette pute va jouir… Salope… Tu es une vraie salope! …

Une heure s’était écoulée, Tyrone se dirigea vers la chambre où officiait Linda, 2 noirs assez âgés éjaculaient sur son visage, tandis qu’un autre la baisait en chatte.

Les jambes de Linda étaient bouclées autour du torse de son troisième client alors qu’il la baisait en profondeur, elle grognait :

— Aaaaaaaahhhhhhh… Ooooooooohhhhh, bordel… Tyrone…

— Les gars, quand vous en aurez fini, vous vous barrerez! … En sor-tant de la chambre il entendait encore les grognements de plaisir de Linda qui jouissait.

Dans l’autre chambre, Caroline suçait à pleine bouche la bite du plus jeune tout en branlant deux des plus âgés, ils manipulaient tous les deux ses nichons bien ronds, bien fermes, Jake lui broutait le gazon.

— Allez salope… Suce ma bite… suce-moi de tout ton cour…

— Cette pute à de succulents nibards! … On va te baiser à couilles rabattues… Tu vas adorer ça chienne! …

Tyrone entendit un son familier : Caroline grognait et gémissait submer-gée par un nouvel orgasme.

Tyrone partit pour dîner, il était reconnaissant aux filles de lui avoir ra-mené une bonne somme.

De retour il ouvrit la porte, la pièce était enfumée. Il se dirigea vers la chambre ou se tenait Linda, elle somnolait, nue, allongée sur le lit des filets de foutre s’écoulaient de son con et de son trou du cul.

Cependant il n’était pas préparé à l’apparence de Caroline.

Jake était assis vêtu d’un smoking, il fumait un joint, les deux violeurs de femme se rhabillaient, le plus jeune se faisait sucer par Caroline, extir-pant sa bite de son gosier il finit de se vider les couilles en giclant sur son visage déjà couvert de foutre.

Ses cheveux, son, visage étaient couverts d’une épaisse couche de fou-tre, de son trou du cul et sa fentine suintaient des rigoles de foutre qui s’étalaient sur les draps.

— C’est alors que le jeune noir ordonna à Caroline d’ouvrir la bouche en grand et lui souffla une forte dose de dope qu’il venait d’inhaler.

Ils sortirent de la chambre, arrivant à la porte, Jake se tourna vers Ty-rone

— C’est vraiment une chaude salope mon frère… Elle a gagné cha-que penny qu’on a payé… Merci… Lorsque tu partiras, pour quoi ne m’en donnerais-tu pas la gestion? … Je la mettrais sur le trottoir, elle nous rapporterait un max de fric! … Penses-y! …

Les autres approuvèrent en hachant la tête.

— Eh oui mon gars c’est une véritable pute… Cette salope a joui une bonne vingtaine de fois… Quelle bonne pute blanche… Un sacré coup… Une bonne pute pour une femme blanche mariée! …

— Hey Jake, elle a 3 filles splendides… De véritables beautés… Elles lui ressemblent comme deux gouttes d’eau… Des jeunes vierges… Cela t’interesse-t-il? … Qu’en penses-tu? … Evidemment ce sera cher! …

Les deux molesteurs ouvrirent un oeil intéressé.

— Hey Jake… Il suffira d’un vol de plus… Nous aurons le fric qu’il faudra… Surtout pour se faire de mignons petits chatons de jeunes blanches encore vierges! … Allez mon frère…

Et tendant un bout de papier où était noté un numéro de téléphone Jake reprit : Téléphone-moi dans quelques jours… Nous en reparlerons…

— C’est d’accord… Répliqua Tyrone ravi de la tournure que prenait ce projet.

Dans la voiture, Caroline se regardait dans le miroir, mon Dieu, elle était couverte de sperme, elle en avait dans les cheveux et sur le visage.

Elle essuya tant bien que mal le foutre qu’elle avait dans les yeux afin de pouvoir conduire correctement son véhicule, elle se lécha les doigts savourant le foutre qui les barbouillait, elle adorait le goût salé de la se-mence virile.

Elle sentait le foutre suintant de son trou du cul et de sa chatte s’écouler le long de ses cuisses, elle avait des pensées perverses, elle ne pouvait nier qu’elle était une excellente pute maintenant, pas moyen de l’ignorer.

Tyrone lui parlait maintenant de ses filles, sans aucune honte elle en était toute émoustillée.

— Chéri, réveille-toi… Réveille-toi… Susurrait Caroline à l’oreille de son mari, elle ne voulait surtout pas réveiller ses filles, son mari se tourna vers elle, Caroline vit sa petite bite dressée.

— Je vais me laver le visage, puis je reviens te raconter… Lui dit Caroline en se dirigeant vers la salle de bain.

En revenant au lit, elle se coucha sur le dos et écarta ses longues cuis-ses.

— Enfouis ta tête entre mes cuisses mon chéri, et viens nettoyer ma chatte, je veux que tu goûtes au foutre de ces noirs qui ont joui dans tous mes trous, allez grouille-toi! …

Caroline ne lui demandait pas de la lécher, elle le lui ordonnait.

Il enfouit docilement sa tête entre ses cuisses et recueillit à pleine bouche le foutre qui s’échappait de son trou du cul et de sa fentine engor-gés, il lui nettoyait minutieusement ses deux trous.

Caroline commença alors à lui raconter sa nuit, Caroline entendit son mari grogner, il roula sur le flanc sa bite envoyant quelques maigres jets de foutre sur ses cuisses.

Les larmes aux yeux, son époux rampa vers le haut se postant à son coté, elle l’embrassa tendrement

— Je suis heureuse que tu aimes mon histoire… Je t’aime mon chéri…

Son mari la regardait fixement.

— Veux-tu venir me voir travailler de temps à autre? …Aimerais-tu me voir en train de me faire baiser par des clients? … Tu pourrais te cacher dans les toilettes et tu me verrais me faire baiser par tous ces noirs! … Je suis sûr que tu aimerais ça! …

— Le révérend ne lui répondit pas, il sanglotait sourdement, Caroline tendit la main, sa petite bite qui avait repris de l’ampleur fournissait la réponse à ses interrogations.

Elle décida de ne pas lui parler de ce que l’avenir réservait à leurs 3 fil-les, elle ferma ses yeux, sa chatoune s’humidifiait à nouveau en pensant à ce qui allait arriver à ses filles, elle voulait le voir, cela l’excitait tant! … Enfin elle s’endormit le corps tout endolori après ses multiples passes.

Le 28 mars 2009

Texte de Stevecom collecté sur Sex Stories Post

Traduit par Coulybaca

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