L’histoire que je vais vous raconter remonte à une époque ou l’éducation sexuelle n’avait pas encore fait son apparition à l’école.
A cette date j’avais 16 ans et ma sur 15. Notre curiosité pour l’anatomie du sexe opposé était à son maximum et les occasions de satisfaire celle ci quasi inexistantes.
Nos parents avaient coutume une fois par semaine de sortir dîner chez des amis et à cette occasion ils nous proposaient souvent d’inviter à dormir à la maison un voisin ou un ami.
Ce soir là ma sur avait demandé qu’on invite une petite voisine, Claire, 15 ans, fille unique et qui s’ennuyait ferme chez la grand-mère qui l’élevait. Brune aux cheveux courts elle était très tonique, pleine d’initiative et elle n’avait pas sa langue dans sa poche.
Les parents partis, le repas vite expédié, toilette faite et pyjamas enfilés, nous nous installons dans la chambre de ma sur car c’est la plus spacieuse et nous décidons de jouer au Mistigri. Un jeu qui a l’avantage d’être facile avec des parties courtes. La règle est simple : Le perdant de chaque levée aura un gage choisi par les deux autres. Les premières parties se déroulent normalement et les perdants subissent des épreuves simples, voir gentilles.
Je viens de perdre à mon tour quand tout à coup je me rends compte qu’il se passe quelque chose d’anormal. Claire soumet une idée de gage à l’oreille de ma sur Sophie.
Celle ci proteste: " Non là c’est trop, tu exagères. "
Claire revient à la charge: "Demande lui on verra bien."
Sophie: "Et s’il le dit aux parents on va se faire engueuler!"
Alors moi: "Mais c’est quoi ce gage?"
Ma sur se jette à l’eau: "Eh ben Claire propose que tu nous montre ton zizi."
J’étais un peu interloqué mais je sentais inconsciemment que la soirée prenait un tour nouveau, pas déplaisant du tout. J’en avais d’ailleurs des chatouillis dans le creux des reins. Décidément ces filles avaient toutes les audaces. Jacquiesçai dun ton neutre, cachant mon empressement. Il s’agissait de ne pas louper le coche.
Moi:" Je suis d’accord, mais cela veut dire que tout les types de gages seront acceptés dorénavant."
-"Et tu ne diras rien aux parents?"
Là je repris l’initiative: " Non bien sur, personne ne dira rien. Nous allons le jurer tous les trois."
Ceci fait j’accédais à leur demande et entrepris de descendre lentement le pantalon de mon pyjama. Je n’étais pas en érection mais je sentais que mon sexe commençait doucement à gonfler. Les deux filles ne quittaient pas des yeux l’emplacement de ma braguette, visiblement impatientes, troublées et enchantées par ce qu’elles allaient voir.
Quand ma verge légèrement turgescente passa l’élastique du pyjama, elle eut un petit sursaut ce qui provoqua chez mes deux voyeuses un mouvement de recul vite compensé par leur curiosité. Je voyais de ma hauteur, s’approcher les deux visages. Elles finirent par être si prés que je sentais leurs respirations chaudes sur mon sexe. Celui ci entrepris donc de finir de grossir sous les exclamations de surprise des filles.
Mais la raison reprenant le dessus, Sophie conclu par un "Bon, c’est très bien. Allez, on fait une autre partie." D’une voix rauque et mouillée qui en disait long sur son émoi.
Le jeu suivant me paru bien plus rapide que les précédents. Nous étions tous visiblement pressés d’arriver au gage. Sophie ayant le valet de pique dans la main, Claire s’approcha de mon oreille pour y susurrer : "Et si elle nous embrassait le zizi ?"
Une considération anatomique me vint immédiatement à l’esprit et je répondis: "Comment veux-tu qu’elle embrasse deux choses de forme aussi différente?"
La réponse m’arriva de suite dans le creux de l’oreille: "Pour moi elle me passe la langue et pour toi elle te le suce."
Je signais des deux mains. Décidément cette fille avait des idées ou bien ce n’était pas sa première expérience de la sorte. A l’exposé de notre décision Sophie ne fit aucune remarque et se mit aussitôt à genou devant nous. Claire troussa sa chemise et ma sur appliqua son visage sur la toison de son amie si rapidement que je ne pus qu’apercevoir celle-ci. Le baiser fut rapide mais le soupir que laissa tomber Claire en dit long sur l’effet produit.
A mon tour! Je sors ma bébête par la braguette et ma sur, gourmande de nature, l’aspira dans sa bouche quatre ou cinq fois de suite comme un sucre d’orge. Je crus que j’étais rentré dans une prise de courant tant l’intensité de la papouille était violente. Après quelques instants de flottement, retour aux cartes dont la distribution me sembla bâclée.
Cette fois ci c’était Claire qui avait perdu. Fort du gage qu’elles m’avaient imposé, je lui demande de se mettre à genoux, tête contre le sol, et de relever sa chemise de nuit pour qu’on puisse voir ses fesses.
Elle n’eut aucune hésitation, preuve que cette soirée prenait un tournant sexuel évident. Et là, pour la première fois de ma vie, je voyais de près et aussi longtemps que je voulais, ce que des années de ruses et d’espionnage ne m’avaient jamais montré.
L’absence de culotte et la position laissaient apparaître deux magnifiques globes roses pales, et dont la fente centrale, ornée d’une rosette parfaite, se perdait dans une forêt de poils d’un noir intense. Je crus que mon gland allait exploser. Je restais interdit pendant quelques minutes. Pour assurer son équilibre, Claire en profite pour écarter légèrement les genoux. Ceci eut pour effet de faire apparaître au milieu de sa petite fourrure un coquillage nacré brillant d’humidité. Visiblement ma sur était aussi intéressée que moi, ses yeux ne quittaient pas de vue la fente de Claire. Elle n’avait certainement jamais vu la sienne d’aussi prés. Sa main se plaqua étroitement sur son propre pubis et elle serra les cuisses violemment.
Moi, j’avais glissé une main dans mon pyjama pour me caresser et, m’approchant imperceptiblement de cet excitant mystère je commençais à avancer mes doigts pour en atteindre la toison. La caresser enfin!
Mais Sophie, m’attrapant vivement le poignet, interrompit mon geste. Le gage était terminé.
-"Une autre partie" annonça-t-elle dans un souffle.
Je restais interdit, frustré, avec un désir presque douloureux.
Je n’avais pas trois cartes en main que Claire annonçait déjà qu’elle avait perdu. Personne ne chercha à la contrarier. Après consultation ma sur décida que Claire nous embrasserait, sur la bouche, pour de vrai, "avec la langue" ajouta-t-elle.
Sophie et moi, à genou cote à cote, attendions que Claire commence. Elle choisit ma sur en premier. Celle ci avait déjà les lèvres entrouvertes et je pus voir leurs langues se toucher d’abord avant de s’enrouler ensembles avec délicatesse. Sophie caressait les seins bien formés de Claire pointant à travers le tissu de sa chemise de nuit. Cette dernière semblait apprécier fort cette initiative et nhésita pas à recouvrir de sa main celle de ma sur, linvitant muettement à presser et à malaxer ceux-ci. Les gémissements de deux filles allaient croissant. Je pensais en moi-même que ce n’était pas la première fois qu’elles pratiquaient ces baisers lesbiens. De mon coté, je me masturbais ostensiblement et entrepris de glisser ma main libre sous la chemise de Claire pour enfin toucher simultanément son minou.
Le contact avec sa petite broussaille de poils me paru un cadeau des dieux. Ma main lissait son pelage du haut du pubis vers l’arrière comme pour en recoiffer l’ensemble. Les gémissements de Claire se faisaient de plus en plus fort et de plus en plus rythmés. Lentement, je glissai un doigt entre ses grandes lèvres que je sentis réagir, j’eus l’impression qu’il était littéralement aspiré vers l’intérieur. C’était si chaud, si soyeux, humide et le léger mouvement de mon doigt semblait déclencher chez Claire des contractions des muscles de ses fesses, surtout quand je remontais et que le bout de mon doigt butait sur la petite boule de chair bien cachée tout en haut, ce qui minterpella au point de my attarder.
Pour vérifier la chose ma main droite lâcha mon sexe et je tentais de trouver le même bouton chez ma sur. Bingo! Même caresse, même effets. Claire avait quitté la bouche de Sophie et enfonçait maintenant sa langue dans la mienne pour un baiser passionné. Pour ne pas être de reste ma sur entreprit de partager ce baiser avec nous.
J’étais donc à genoux devant deux filles qui se disputaient presque mes lèvres, en ayant chacune un doigt profondément enfoncé dans la chatte, sur lequel elles se trémoussaient pour se provoquer du plaisir. J’étais à cinq secondes de l’éjaculation spontanée, mes testicules en étaient douloureux.
Là c’est moi qui annonça sans qu’aucune des filles n’ait touché une carte que Sophie avait perdu et qu’elle devait s’allonger par terre sur le dos.
D’un commun accord nous avons tous trois quitté nos vêtements. La phase découverte était suffisamment avancée pour que nous puissions passer à une phase plus active.
De son propre chef, Sophie tenait ses genoux avec ses mains et écartait ses cuisses autant qu’elle pouvait. C’était une invitation. Je plaquais ma bouche sur cette vulve dégoulinant de jus et entrepris une exploration de tous ses recoins avec la langue. Ce n’était plus des gémissements qui sortaient de la bouche de ma sur, mais de véritables cris de plaisirs. Ces cris eurent pour effets de pousser l’excitation de notre petite voisine à son apogée. Elle se reprocha de moi, plaqua son ventre contre mes fesses pour s’y frotter les lèvres entrouvertes de son sexe et s’allongeant sur mon dos je sentis qu’elle m’attrapait la verge avec les deux mains. Elle serrait fort. Intuitivement elle compris le bon mouvement à adopter et ses mains, formant un fourreau tiède, allaient et venaient le long de ma hampe. Pendant ce temps j’enfonçais ma langue de plus en plus profond dans l’intimité de ma sur et si elle semblait apprécier le frottement de mes papilles sur la paroi de son petit vagin ce qu’elle préférait était sans conteste que j’aspire son clitoris avec les lèvres pour y glisser le bout de la langue sous le capuchon.
Plus préoccupée par son propre plaisir, Claire venait de me lâcher pour se pincer le bout des seins. Du coin de l’il je la voyais qui les faisait rouler doucement entre le pouce et l’index en se mordant la lèvre inférieure de satisfaction. Elle continuait néanmoins à frotter son clito sur ma jambe d’un mouvement lent et appuyé qui lui apportait un plaisir croissant. La quantité de ses sécrétions vaginales était telle qu’on aurait put croire que ma cuisse était huilée.
Pendant ce temps ma bouche remontait patiemment sur le ventre de Sophie en direction de ses seins, j’en profitais au passage pour embrasser son nombril. Ma sur avait moins de seins que sa copine, je n’avais aucune difficulté a en entrer un tout entier dans la bouche. J’étais maintenant quasiment allongé sur elle, le gland devant l’ouverture de son vagin.
-"Je vais l’entrer." Lui dis-je tendrement.
"NON ! Pas dedans sinon je suis plus vierge, c’est Tatie Simone qui me l’a dis, restes juste à l’entrée."
Respectant sa volonté je me bornais à passer toute la longueur de ma verge sur son sexe en appuyant bien vers le clitoris. Au bout de quelques allers-retours je n’en pouvais plus, la tension était telle qu’il fallait que je la pénètre. Je reculai mon bassin avant de donner un coup de rein. Sophie dut sentir ce que j’allais faire et au dernier moment, d’une main rapide, elle dévia ma queue vers un autre objectif un peu plus serré mais tout aussi accueillant. Sa mouille, qui dégoulinait déjà depuis un bon moment, avait tellement bien lubrifié son anus que lancé dans mon mouvement je m’y suis enfoncé lentement mais totalement jusqu’à ce que mon bassin heurte ses fesses. Horreur! Je venais d’enculer ma propre sur! J’étais tétanisé. Mais l’envie était trop forte, la honte passa en moins de trois secondes et je repris le mouvement à la recherche de mon plaisir.
Sophie, la tête en arrière, laissait échapper une douce plainte. Claire, maintenant à plat ventre pour voir d’aussi prés que possible cette pénétration, ponctuait les entrées et sorties de mon membre de "oh!" de surprise. Et moi je conclus cette sérénade par un long gémissement lorsque l’orgasme arriva et que je me soulageais entre ses fesses.
M’attendant à de sévères réprimandes, je regardai enfin ma sur. Celle ci avait glissé sa main entre nos corps a la recherche de son pubis. Et avant que je ne prononce une parole, son index sur ma bouche, elle ordonna. -"Ne dis rien, et surtout ne bouge pas."
Je restais pétrifié. Sa main avait trouvé ce qu’elle cherchait. Index et majeur joint, elle se titillait le clitoris avec une frénésie que je ne lui connaissais pas. Son bassin ondulait avec mon sexe toujours planté dans son anus. Non seulement cette présence ne semblait pas la déranger mais elle semblait exacerber son désir. Les mouvements de son corps devenaient de plus en plus amples et sa respiration de plus en plus saccadée, la tête roulait de droite et de gauche, ses seins dardaient leurs pointes vers le plafond.
L’orgasme arriva tel une vague de plaisir, la submergeant avec une rare violence. Tous les muscles de son corps se contractèrent simultanément. Je crus même un instant qu’elle allait me sectionner la queue avec son sphincter.
Le calme revint. Sophie était en sueur, épuisée, le corps encore agité par de petits spasmes. Je m’étais allongé à coté d’elle, sa main me caressait doucement la poitrine.
Claire, visiblement impressionnée par ce qu’elle venait de voir, venait de blottir sa tête contre mon épaule et presque suppliante elle me dit:" J’aimerais avoir moi aussi du plaisir comme Sophie. Tu veux bien me faire la même chose, me la mettre dedans comme pour elle?" Sophie et moi comprenions enfin ce que Claire essayait de nous dire: Elle n’avait pas encore jouit.
Pendant que j’expliquais à Claire que mon érection ne pouvait pas revenir tout de suite, Sophie, émergeant des limbes du plaisir, se glissa entre les cuisses de celle-ci.
Elle avait entreprit de refaire pour Claire la même caresse linguale que celle que je lui avais prodiguée. La chose semblait efficace. Les yeux de Claire commençaient à se voiler, sa bouche cherchait la mienne pour un baiser extrêmement torride. Les cuisses totalement écartées et ses deux mains plaquées sur la tête de ma sur elle lui imposait le rythme tout en ondulant du bassin et accélérant son mouvement, tandis que je la voyais cambrer son dos. En tant que fille, Sophie connaissait mieux que moi les recoins sensibles de l’anatomie de Claire. Celle-ci avait quitté ma bouche pour pouvoir aspirer plus d’air. Les deux filles avaient maintenant roulé sur le coté, la bouche de Sophie toujours ventousée sur la chatte de Claire. Ma sur avait complètement enfouit son nez et sa bouche dans le sexe de Claire, et semblait vouloir aller toujours plus loin, les deux mains accrochées aux hanches de celle-ci. Son visage réapparu après quelques instant, à demi asphyxié, les lèvres gonflées et luisantes. Claire l’attira vers elle pour lécher son menton humecté.
Leurs sexes étaient maintenant l’un contre l’autre et, tout en s’embrassant, elles les faisaient glisser de haut en bas pour en écarter les grandes lèvres et facilité leur contact. Quand leurs clitoris se frôlèrent, elles accélérèrent le rythme en roulant sur la moquette toujours accrochées l’une à l’autre pour ne pas interrompre ce frottement si excitant.
Puis Claire prit l’initiative de lécher à son tour l’entre jambe de ma sur en s’installant cette fois ci tête bêche. Je ne sais pas si c’est la position adoptée par ces deux excitées ou le fait de revoir Claire les fesses en l’air mais un afflux de sang commençait à me regonfler le sexe suintant à nouveau de désir.
Je m’approchais du spectacle. D’un geste très souple Claire se frottait la fente sur le visage de Sophie qui n’avait qu’a sortir la langue au passage du clitoris. Ce spectacle était absolument génial, je pouvais en voir tous les détails : Les nymphes de Claire, rouges et boursouflées à la limite de l’dème, le jus qui s’écoulait de son vagin, son petit trou qui s’ouvrait légèrement quand elle reculait et qui se contractait quand elle avançait. J’entendais chaque gémissement de plaisir et le clapotis de sa mouille à chaque passage. N’y tenant plus j’ai joint ma bouche à celle de ma sur pour profiter de la sensation et du goût si agréable. La jouissance envahissait doucement mais sûrement ma sur Sophie, elle laissa retomber sa tête au sol abandonnant la vulve de sa copine. J’en profitais pour y glisser mon majeur. Claire me signifia de continuer ces privautés par gestes et par gloussements. Elle ne voulait pas interrompre la montée de l’orgasme de Sophie. J’introduisis donc un deuxième doigt dans son vagin qui, à présent, me semblait beaucoup plus large que je ne l’aurais cru. Au troisième doigt je compris que j’avais un peu exagéré, les "houmff, houmff" de Claire et les mouvements de son postérieur de droite et de gauche confirmèrent la chose. Malgré cela ,sa bouche ne lâchait pas le bouton de Sophie qui râlait de plus en plus fort. Je décidais donc que ce troisième doigt aurait une autre destination et l’enfonçais lentement mais bien profondément dans l’autre trou. Une fois bien installé, j’imprimais à ma main un mouvement de déplacement latéral en même temps que je faisais entrer et sortir mes doigts de son bas-ventre. Le résultat fut immédiat : Claire coulait de plus en plus et son corps était agité de petites trémulations musculaires et bougeait de façon désordonnée. Elle perdait visiblement tout contrôle.
Sophie profitât de ce moment pour jouir une deuxième fois en poussant un long cri rauque et en attrapant avec ses mains tout ce qui passait à sa portée, les cuisses de Claire, mon bras, ma queue, mes testicules etc.. A bout de souffle, Claire lâcha enfin la chatte de ma sur pour me crier : "Vas-y, à moi maintenant, enfonces -la -moi tout au fond, dans le trou, dans le trou, vite vite …"
-"Mais, et ta virginité? "Lui- dis-je.
-"Je m’en fous, enfonce, enfonce…"commanda-t-elle impatiente.
Alors je m’exécutais, introduisant le plus lentement que je pus mon sexe dans le sien pour décupler son plaisir. Probablement trop lentement car Claire, ny tenant plus, lança ses fesses à la rencontre de mon membre avec violence. Je compris que l’heure n’était plus aux préliminaires et j’adoptais un rythme et une amplitude digne d’une séance de musculation. Je glissais tellement à l’intérieur de son vagin que je n’arrivais pas à faire repartir mon excitation. Je ne sentais pas assez le frottement. Néanmoins la situation et le corps de Claire quelle ne maîtrisait plus et que je pouvais palper, caresser et embrasser finirent par déclencher de nouveau chez moi la douce sensation de chaleur au niveau des reins qui annonçait la venue de l’orgasme. De son coté, elle mit à profit ma lenteur à obtenir le plaisir pour jouir une première fois, très violemment, le tout ponctué de « Encore, encore »encourageants. Puis une seconde fois, un moment après, moins puissamment mais plus en profondeur. Le va-et-vient continu de ma verge prolongeait son plaisir puis elle s’allongeât lentement sur le ventre alors que je déchargeais enfin en elle, complètement étendu sur son corps abandonné rendu inerte par l’épuisement, haletants tous deux dans un même souffle…
Nous étions totalement éreintés tous les trois. Serrés les uns contre les autres, nous redescendions de notre petit nuage en nous caressant gentiment.
Un léger sourire aux lèvres je dis à Claire: "Je crois que ce soir tu n’es plus vierge."
Elle me répondis, elle aussi avec le sourire : " D’après ce qu’a expliqué Sophie je pense que je ne l’était déjà plus."
-"Explique-toi" lui dis-je.
-"Et bien vois-tu, depuis quelques temps, quand le désir apparaissait, je m’étais aperçu que la simple caresse de mon petit bouton ne me suffisait plus. J’ai donc commencé , tout en me frictionnant le kiki, à m’introduire dans la fente d’abord un doigt puis deux. Mais ceci devint vite insatisfaisant. Aussi j’ai fais de nombreux essais avec divers objets trouvés chez ma grand-mère, crayons, bougies, carotte. Un jour, alors que je faisais l’expérience avec une petite bouteille de Coca-cola, je me suis rendu compte qu’en imprimant une rotation à la bouteille les cannelures provoquaient une stimulation absolument irrésistible. Là, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais au comble de l’excitation, je me suis enfilé la canette plus profondément encore. Je sentis alors avec surprise comme une sorte de légère déchirure et quand je l’ai ressortie, il y avait un peu de sang. J’ai eu peur , je n’en ai parlé à personne et je n’ai jamais recommencé jusqu’a ce soir…"
-"En tous les cas ce soir il n’y a pas de sang " lui dis je pour la rassurer.
-"Et c’était super bon " ajouta Sophie. "Il faudra qu’on recommence un de ces jours. Je vais réfléchir à cette idée d’objets à introduire" conclut-elle pensive.
-"Je reviens quand vous voulez. Je ne connais rien de meilleurs que ce qu’on vient de faire tous les trois " dit Claire en se serrant encore un peu plus entre ma sur et moi.
-" Pour recommencer, on va recommencer. Et le plus tôt possible." Pensais-je en contemplant le corps nu et fragile de ces deux ados qui venaient de franchir un pas décisif de leur évolution.
Quant à moi, de nouvelles idées avaient germées dans mon esprit..