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punition honteuse – Chapitre 1




C’était un matin comme tous les autres, je sortais de chez moi pour aller chercher le courrier.

Je ramassais toutes les lettres et revenais vers le palier, embrassant mon mari qui partait au travail.

Je posais le courrier sans y faire attention et quelques minutes plus tard mon amant arriva et nous fîmes l’amour.

Cela faisait plus d’un an que moi Michelle avait cette relation extra-conjugale.

pour me decrire, je mesure 1m72 pour 66kg, cheveux châtain clair très long,ainsi que de jolis yeux verts.

Une fois mon amant parti,j’ouvrais une à une les lettres quand je tombais sur des photos de mes ébats avec marc(mon amant), ainsi qu’une lettre qui indiquait un rendez vous,dans une maison plus loin dans le quartier à 16heures et que si je ne me présentais pas à ce rendez-vous,mon mari saurait toute l’histoire et je pourrais dire aurevoir à toutes sa fortune(il est avocat).

Il etait 16 heures et j’etais devant cette maison qui ne semblait pas être habitée, je m’avançais et frappais à la porte à plusieurs reprises. Personne ne repondait,je tournais donc la poignée de la porte qui s’ouvrit.

hésitante et regardant dans les pièces que je voyais depuis le palier,je n’apercevais pas grand chose et me décidais à rentrer.

Je faisais quelques pas à l’intérieur, m’arrêtant devant les escaliers quand j’entendis la porte se fermer derrière moi et une voix grave me dire de ne pas me retourner.

Je pouvais sentir sa présence, il me matait sans dire mot pendant quelques secondes qui me parurent une éternité.

Ses mains se posèrent sur mes épaules, mes muscles se contractant de peur. Détends toi ma ravissante me chuchotait-il dans le creux de l’oreille.

Tu sais pourquoi tu es là Michelle.

NON je ne sais pas lui répondis je texto.

Petite coquine, tu baises dans le dos de ton mari et çaaaa!!!!!

Que voulez vous de l’argent?

NON! tu vas me donner autre chose.

Dans le même temps, une de ses mains caressa ma cuisse qui eut pour réaction de le repousser mais son bras me ramena contre lui.

Là je pouvais sentir le souffle de sa bouche.Tu vas être très coopérative où je balance tout à ton mari.

Devenant toute mielleuse j’acquiesçais de la tête, m’abandonnant à lui comme une vulgaire salope.

On va monter à l’étage, avance.

pour l’instant je ne pouvais distinguer ni sa silhouette ni sa couleur de peau, c’est bien ça qui me faisait le plus peur.

L’idée de me faire prendre par un noir ou maghrebin m’était insupportable.

Nous étions arrivés dans une chambre assez sombre où l’on pouvait distinguer que le seul meuble qui emplissait cette pièce était un lit.

J’eus un mouvement de recul mais sa masse imposante me fit reprendre ma marche en avant jusqu’à toucher le bord du lit.

Tu peux t’asseoir maintenant, j’allais découvrir le visage de mon maitre chanteur.

je le distinguais à peine, je ne jugeais que sa silhouette qui était large (peut être un gros). il allait entrebâiller le volet de la chambre.

Et là!!!!!!!c’etait jacques,le gros noir du quartier!VOUS!

Eh oui ma belle.

t’es obligé de faire chanter des femmes pour baiser salopard, il y a des putes pour ça lui lançais je énervée.

Vous êtes plus excitante!!! t’es pas la première et surement pas la dernière, vous seriez sage au lieu de baiser avec d’autre, tu ne serais pas dans cette galère.

Il fermait la porte et enlevait son pull et t-shirt laissant tomber ses bourlets de gros cochon, quel dégout! puis ce fut au tour de son jean et caleçon. Il était nu comme un ver et j’apercevais son membre pendouiller.

Il avait l’air gigantesque. Il se rapprochait de moi,une fois à ma hauteur, il m’ordonnait de le sucer.

Je n’avais pas le choix et allais devoir jouer la salope et c’est avec dégout que je m’approchais de sa bite. Je commençais par le branler pour faire

durcir son pénis, sa taille n’arrêtait pas de grandir à chaque va et vient de ma main.

Bon alors suce! je l’engloutissais donc dans ma bouche qui se déformait à chaque passage, son pénis était légèrement imbibé de son urine qui me soulevait

des hauts le coeurs mais au bout de quelques minutes cela finit par passer.

je n’en pouvais plus de le sucer mais ses mains agrippant mes cheveux me soutenait la cadence.

Je commençais à étouffer avec cette grosse bite dans ma bouche quand je sentis son liquide chaud emplir ma bouche et gorge à la fois, ses jets avaient

l’air interminable tant ils se succédaient à la chaine, je pus m’extirper de son emprise et tombais au sol en toussant et essayant de cracher le maximum

de sperme de ma bouche.

Ce que j’avais avalé était monstrueusement dégoutant, j’avais envie de vomir. Heureusement que le repas du midi était digéré, sinon j’aurais tout dégosillé

sur le tapis.

En relevant la tête, je le vis tenant un collant beige à la main et regardant son pénis, il était hésitant.

Allez me dit-il,viens me nettoyer le gland sale chienne!

Non ça vous suffit pas! j’ai assez donné tout de même!

j’aurais mieux fait de me taire. Il s’avançait vers moi, m’empoignant par ma tignasse et me forçait à lui nettoyer son gland.

Ma langue faisait le tour de son pénis, léchant toute le reste de sa semence, sa bite tressautait de plaisir à chaque passage.

Hummm tu fais ça bien ma petite pute aussi bien que Sabrina.

Surprise je m’extirpais de lui en tombant sur mes fesses, comment ça Sabrina, ma voisine ?

Oh oui!!! avec elle j’en ai pris du plaisir! tu vois c’est son collant. il me le balançait à la figure en terminant sa phrase.

je le prenais et le regardais déplié, il était déchiré et filé mais ce qui attira plus particulièrement mon attention était cette énorme tache de sperme séchée au niveau du gousset ou du moins ce qu’il en restait, elle avait du en prendre pour son grade me disais-je intérieurement.

Oh mon dieu, vous êtes ignoble!!!

Pas plus que vous bande de chiennes en chaleur qui baisaient dans le dos de vos maris, une fois qu’ils sont partis ; eh oui je profite de cette situation

pour me vider les couilles.

Il me relevait par le bras et passait derrière moi et commençait à m’embrasser dans le cou. mon corps se crispait à chaque baiser qu’il me déposait.

Arrêtez s’il vous plait, ses mains empoignaient mes seins à travers mon chemisier, il les caressait, puis une main vint se glisser dans mon chemisier,

arrachant quelques boutons au passage, son autre main était descendu jusqu’au bas de ma jupe, me caressant toute les parties de mon corps.

Sa main rugueuse remontait le long de ma cuisse faisant crisser mon collant puis d’un mouvement rapide, elle se positionna sur ma chatte.

Il frottait sa main sur mon gousset, l’enfonçant légèrement dans ma fente. Mon corps me trahissait, je sentais mes jambes se dérobaient sous ses caresses.

NON arrêtez, tout en me dégageant de son emprise, on se faisait face.

Comment ça non!!!! je vais te défoncer, alors allonge toi sur ce lit et enlève ta robe et ta chemise!

S’il vous plait lui implorais-je, les larmes aux yeux.

Fallait réfléchir avant, alors vite avant que je perde patience!!! t’auras qu’a demandé à sabrina ce que cela donne quand on me résiste.

Par la force des choses je m’exécutais toute tremblante et me retrouvais quasiment nue n’ayant plus que sur moi mon collant dim noir cachant légèrement mon intimité bien rasée, j’étais honteuse, humiliée, blessée dans mon amour propre. Je m’allongeais sur le lit, regardant son visage s’illuminait de plaisir.

Son membre s’était revigoré et son pénis était en train de s’étirer de manière monstrueuse.

Putain t’es bien branlée, de bons seins fermes comme je les aime et pas de string sous ton collant qu’il s’empressait de déchirer au niveau du gousset.

Sa langue vint s’enfouir dans ma fente peu ouverte. J’eus pour reflexe de serrer mes cuisses mais ses mains surpuissantes me les plaquèrent contre le matelas.

Il léchait mon clitoris, sa langue me le titillait, mordillait, je lâchais des cris de plaisir par inadvertance malgré ma résistance face à ce malotru profiteur.

Ma fente commençait à s’entrouvrir et à mouiller, je tordais les draps du lit et me mordais les lèvres pour ne pas m’abandonner au désir de cet enfoiré.

Un de ses doigts s’enfonça profondément dans mon orifice vaginal, me faisant lâcher un petit cri.

Son doigté rapide accélérait la lubrification, je sentais ma chatte mouillait de plus en plus, je me tortillais comme un ver de terre essayant d’échapper à son prédateur.

Hummmmmm ta cyprine est bonne ma petite pute me disait il tout en se branlant de son autre main.

Son pénis était bien plus gros que quelques bonnes dizaine de minutes auparavant, son gland tendu à son maximum se rapprochait de mon vagin, j’essayais de reculer tout en rampant de dos sur le lit mais ses bras surpuissants eurent vite fait de me ramener vers lui, je pouvais maintenant sentir sa bite qui se frottait sur ma fente, il jouait avec mes nerfs.

OHHHHH ça y était, il me pénétrait, son énorme barreau s’enfonçait dans mes entrailles, j’essayais de me contracter le con pour le repousser mais elle était bien trop grosse et il eut vite raison de moi. Il glissait en moi très lentement mais à chaque coup de rein de sa part, j’avais l’impression qu’il me déchirait le col.

Malgré les mots "arrêtez" et"non" entre chaque coup de queue, mes mains essayaient de repousser ce gros porc, l’une d’entre elle parvint à se glisser sous son énorme ventre et tentait d’éjecter sa queue.

Tu veux la toucher salope, t’aimes ça me balançait-il.

Non vous me faites mal elle est trop grosse!!!!

Il me prenait mes deux jambes qu’il rabattait sur ses épaules, ses bras se posant à coté de mes hanches, j’étais pliée en deux, mes collants se déchiraient à tout va pendant la manoeuvre.

Sa bite me défonçait plus rapidement dès à présent, me labourant. Ses boules venait claquer mes fesses à chaque passage, je n’avais jamais prise une aussi monstrueuse queue en moi de toute ma vie. Mes cris de détresse se mélangeaient avec ceux de la jouissance malgré moi.

Oh putain tu es super bonne disait il d’une voix saccadée par son souffle.

il se retirait brutalement et me positionnait à quatre pattes et lui se glissait derrière moi, me reprenant dans la foulée.

Sa pénétration était furieuse, je subissais un pilonnage en règle qui me déclenchait des orgasmes non contrôlés.

Je me retrouvais la tête dans les draps quand il se retirait de ma chatte, je croyais bien qu’il voulait jouir sur mon cul mais il en était rien.

Mais quand je sentis son pénis sur l’entrée de mon anus, il était trop tard, son gland était déjà entré, m’arrachant un cri strident.

La douleur était grande,( je me suis fais prendre le cul qu’une seule fois) je criais de toute mes forces dans cette chambre qu’il fut obliger de me bâillonner la bouche avec sa main pendant que son pénis s’enfonçait totalement dans mon orifice.

Il coulissait gaiement à présent, mon cul était en feu du à l’échauffement, j’étais au bord de l’évanouissement tellement la douleur été vive.

Mon calvaire pris fin au bout de deux longues minutes, il se retirait et me retournait face à lui me déversant tout son foutre.

Plusieurs jets fusèrent, un arrosant ma fente, un autre mon collant et le reste sur mon ventre.

Mes nerfs lâchaient et je me mettais à pleurer toutes les larmes de mon corps.

Il me retirait violemment mon collant et me dit que l’addition n’était pas réglée en totalité.

Comment?..vous m’avez humilié, profitez de moi salopard.

A demain même heure et obéis et mets une tenue comme aujourd’hui ma salope.

Sur ces mots il partit me laissant seule dans cette chambre en détresse totale.

a suivre

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