Chapitre 1

Le temps printanier m’avait incité à sortir ma bicyclette. Je pris les chemins à travers champ. J’en profitais pour regarder la nature se réveiller après des mois de sommeil. Il y avait déjà pas mal de plante et d’arbre en fleur.

En face, il y avait la grande route. C’est là que ma vie prend un nouveau tournant. Mais je manque à tous mes devoirs, Chris Rémi, 195cm, 89kg et déjà 21 ans. C’est court, je sais, la suite suivra. Bref, je suis arrivé près de la route, il n’y avait pas de bruit de moteur, je me suis lancé. J’ai même jeté un il de chaque côté sauf…ben sauf où je devais regarder, en face et BOUM. Mon vélo s’est arrêté net contre une limousine de luxe anglaise. Pour mon compte, j’ai passé par-dessus le capot moteur pour rouler dans l’herbe de l’autre côté de la voiture. Je me suis arrêté assis, comme un con, face à deux femmes et quelles femmes. L’une était accroupie, urinant le plus naturellement du monde et l’autre, la plus jeune, la soutenait de ses bras. Elles n’eurent qu’un léger sursaut de me voir débouler comme une balle. J’étais là, hébété, cherchant à comprendre ce qui venait de m’arriver.

« Vous allez bien, jeune homme »

« Oui, je crois, désolé, d’arriver comme ça. »

Un peu perdu, je tentais de me lever, j’avais un peu mal au cul et j’étais un peu sonné. Debout, je m’excusais encore et remontais vers la route. Là, j’ai vu les dégâts. Mon vélo n’avait pas aimé embrasser cette Rolls et la Rolls avait une aile enfoncée. C’est là que j’ai pris conscience qu’il allait me falloir sortir toute mes maigres économie pour payer les dégâts. Les deux femmes sont arrivées. J’avais jeté mon vélo sur le bord de la route et inspectais l’aile de la Rolls.

« J’ose espérer que vous êtes bien assuré, mon jeune ami ! »

« Je crains que non et j’en suis navré. »

« Êtes-vous certain de ne pas être blessé ? »

« Seul mon amour propre est blessée »

J’étais en colère contre moi et ma bêtise. Cette voiture stationnée, pourtant très imposante, je ne l’avais pas vue. Je crois que cette femme, la trentaine, très distinguée, me vit désuvré. Je ne savais comme rembourser les dégâts.

« Sybile, chargez ce tas de ferraille dans le coffre. Mon ami, nous allons aller en discuter chez moi, si cela ne vous dérange pas ? »

« Je n’ai pas le choix de toute manière, je vous suis. »

Sybile devait avoir tout juste vingt ans, jolie, fine, peu élancée, elle m’ouvrit la porte avant passagère. Madame était à l’arrière. Visiblement, cette femme était de la haute. Sybile au volant, elle conduisait tout en douceur. C’était très agréable ce confort très britannique. Le voyage se fit dans un silence mortel. Et moi, je n’osais pas l’ouvrir.

On est arrivé devant une vaste propriété. Les grilles se sont ouvertes, j’étais impressionné. Le bruit des gravillons sous les roues me rappelait un film, lequel, je ne sais plus. Devant le perron, Sybile stoppe doucement la voiture et une autre jeune femme sort de cette imposante maison. Elle ouvre la porte arrière du côté de cette femme, je sors en me débrouillant. Sybile extirpe mon vélo du coffre et le jette près du mur comme un fétu de paille. Madame me fait signe de la suivre. À l’intérieur, tout n’est que luxe et beauté. D’apparence, tout semble d’époque, je dirais que cela date du 19ième. Mais je ne suis pas historien, je ne fais même rien, vu que cela fait deux semaines que je suis chômeur.

Nous arrivons dans un petit salon. Là, une nouvelle servante, tenue d’époque, comme les deux autres, elle ne doit pas avoir plus de vingt ans. Madame s’installe, claque des doigts, la servante disparait pour revenir avec un plateau. Vu l’heure qu’indique cette puissante pendule, il va être 17 heures. Et 17 coups sonnent à la pendule.

« Mon jeune ami, (elle a un joli petit accent anglais) Il nous faut penser à réparer ma limousine. Comment comptez-vous vous y prendre ? »

« Madame, je n’ai pas de moyen, de plus, depuis quelques jours, je suis sans emploi. À moins de faire comme dans un restaurant, la vaisselle, je n’ai pas d’idée »

« Clélia, faites venir Gisèle, je vous prie. » Ordonne cette femme

« Bien Maîtresse » Lui répond poliment et humblement cette dénommée Clélia.

Maîtresse ??? Je ne savais que penser. Je me ravisais, on est dans une maison et cette femme doit être de noblesse anglaise qui plus est. Est arrivé cette femme un poil plus âgé que moi, elle ne portait pas de tenue de soubrette, mais jupe droite serrée, un chemisier blanc à jabot et un tailleur strict. Très belle femme au demeurant, du genre à tourner toutes les têtes sur son passage, comme cette Madame.

« Gisèle, ce jeune homme a enfoncé l’avant de la Rolls, sa bicyclette est détruite, il est au chômage et n’a visiblement aucun moyen de nous payer les réparations. Que pouvons-nous faire ? » Demande la Comtesse, la vache, une Comtesse !

« Madame la Comtesse, je ne vois qu’un moyen, le faire travailler pour vous. Ce n’est pas les travaux de rénovation qui manquent. Monsieur, que faisiez-vous comme travail ? » Cette Gisèle sait de quoi elle parle

« J’étais dans le sanitaire avant que mon patron ne fasse faillite. » Ben oui, je suis plombier et alors

« Madame la Comtesse, ce jeune homme pourrait entretenir la plomberie, il y a de quoi faire et largement plus que les réparations de votre limousine. Et si cela était, nous pourrions le rémunérer dès les dégâts réparés.» Cette Gisèle calcule plus vite que ma machine à calculer.

« Qu’il en soit ainsi. Jeune homme où vivez-vous ? » Me demande la Comtesse.

« Là, en ce moment, je suis chez mes parents, c’est à une bonne trentaine de kilomètre de votre demeure, Madame la Comtesse » Aie, cela ne lui plait pas

« Je vois. Faire les trajets serait bien long, surtout sans un véhicule. Gisèle, veuillez prendre des dispositions pour que ce jeune homme puisse vivre chez nous durant le payement de sa dette. Je crois savoir qu’il y a cette chambre au second, la mauve. » Madame a réponse à tout

« Effectivement, Madame la Comtesse, elle a aussi une salle de bain attenante. » Répond cette Gisèle

« Jeune homme, je vous donne jusqu’à lundi pour vous présenter chez moi. Si vous ne deviez pas venir, c’est la maréchaussée qui viendrait vous soustraire à vos parents. Cela étant, vous m’obligeriez en payer votre dette. » Madame me ferait-elle du chantage. Je l’en crois capable.

« Madame la Comtesse peut compter sur moi. Cependant, si vous aviez la bonté de me faire conduire à mon domicile, je pourrais être chez vous ce soir même. Si cela vous arrange, bien entendu. » Et hop, je profit de l’occasion.

« Mon jeune ami…à propos, quel est votre prénom ? »

« Chris, Madame la Comtesse. Chris Rémi »

« Mon cher Chris, j’accepte votre proposition, Gisèle, dites à Sybile de sortir l’autre voiture et qu’elle conduise ce jeune homme chez lui et nous le ramène. »

« Je donne les ordres tout de suite, Madame. » Gisèle doit être celle qui dirige les employées de maison, la gouvernante. Enfin, ce que j’en dis, je découvre, moi.

Quelques minutes après, c’est dans une puissante voiture allemande à l’étoile que je me fais conduire chez moi. Sybile se laisse guider par mes instructions. On en vient même à bavarder de tout et de rien. Je parviens même à lui faire dire comment elle fut engagée par cette Comtesse. En fait, ce sont des jeunes femmes qui viennent apprendre ou perfectionner notre langue et l’anglais par la même occasion, Madame est le professeur. Quand à Gisèle, c’est bien ce que j’avais deviné. Elle est arrivée comme fille au pair et n’est plus jamais repartie. Sybile, à demi-mot me dit que Madame et Gisèle vive un amour tendre. Cela étant, je devinais aussi que cette Comtesse n’était pas insensible à ses jeunes employées. Prétendant cela à voix haute, je vis joliment rougir Sybile.

Il ne fallut qu’une dizaine de minute pour rassembler mes affaires et ma trousse à outil. Sybile m’attendait en bas, tournant autour de la limousine, un chiffon à la main. Je laissais un mot à mes parents absents.

Pendant le voyage de retour, Sybile se montra plus bavarde. Elle me mit en garde sur le fait que Madame avait été éduquée selon des méthodes de la vieille école et une fervente adepte des châtiments corporels. Je me taisais, j’imaginais la Comtesse punissant Sybile dans une sorte d’ancienne salle de torture digne de l’inquisition. Je voyais la Comtesse en Maîtresse sadique et pervers, infligeant les sévices les plus cruels à ses employées pendant que Gisèle léchait sa Maîtresse. Un méchant coup de frein me sortit de mon rêve éveillé. Sybile venait d’éviter un chevreuil et à la voir l’éviter, elle n’était pas un manche avec un volant dans les mains. Elle me fit une petite démonstration de ses talents de conductrice. Juste là, sur la petite route étroite qui monte en direction de la demeure de la Comtesse. J’ai vite révisé mon jugement sur les femmes au volent, Sybile sait conduire vite et bien.

C’est cette Clélia qui me conduit au second, dans la chambre mauve qui n’a de mauve que le nom. Je posais mes affaires. Clélia me montra la salle de bain attenante, superbe et vaste. La baignoire était même deux fois celle de mes parents. Mais le plombier reprit vite le dessus. Le réservoir d’eau du WC fuyait. En quelque seconde, c’était terminé.

Clélia me conduit alors auprès de Madame, n’oubliant pas de lui préciser que j’avais déjà effectué une réparation. Cela fit sourire la Comtesse qui buvait un verre avec Gisèle. Toutes deux portaient une tenue plus légère, plus pour le soir devant un bon feu.

Nous sommes passés à table, j’étais à la droite de Madame. D’après elle, c’est la place de l’invité d’honneur. Je ne savais pas si je devais en être content ou pas. Cela étant, Madame est entourée, j’avais vu Sybile, la mignonne conductrice de Madame. Clélia, une femme de chambre, je présume et l’autre qui me fit entrer, je ne sais plus son prénom…si Justine. Mais là, six jeunes femmes arrivèrent poussant trois chariots. Par paire, elles se placèrent près de chacun d’entre nous. Madame sait choisir ses employées, elles sont toutes aussi belles, les unes que les autres. Et pas une ne doit avoir plus de vingt ans, peut-être vingt-et-un au grand maximum. Pur certaines, je dirais que 18 est un max. le souper est des plus délectables et on ne rechigne pas à vous remplir l’assiette dès qu’elle se vide, comme pour mon verre. Je dois vite stopper la main qui me remplit mon verre.

Après quoi, on se retrouve dans un autre salon. La maison est réellement immense. Là, Madame se montre plus détendue, très décontractée même. Quand une servante nous sert un café arrosé, la dernière servie est Madame. Cette dernière n’hésite pas à passer sa main sous la jupe, pourtant longue de sa servante. Celle-ci ne bouge plus, je vois même ses pieds se séparer légèrement. Je fais celui qui ne voit rien. Mais un signe me met à nu, je bande en voyant cette jeune demoiselle fermer ses yeux et se cramponner au dossier du fauteuil de Madame. Madame m’explique l’histoire de sa famille tout en caressant cette jeune servante. Une histoire que vient de loin. En fait, cette maison, ce manoir pour être plus précis est dans sa famille depuis le 18ième, décidément, je ne suis pas bon en architecture. Madame a aussi d’illustres ancêtres.

Cela étant, la demoiselle se crispe soudainement et lâche un délicieux soupir de bonheur. Madame retire sa main et la pose sur les lèvres de la belle servante. Cette dernière prend cette main dans les siennes et lèche, suce ces doigts avec délectation et dévotion. Je bande à hurler à la mort.

Ce café arrosé m’a achevé. Poliment, je viens baiser la main de Madame, celle de Gisèle. Ben oui, j’ai un peu d’éducation et prends congé. Je monte péniblement ces deux étages et tombe comme une pierre sur le lit.

Dimanche, un doux gazouillis me sort de mon sommeil, par la fenêtre, j’ai une vue sur presque toute la vallée. Pour un peu, avec un bon télescope, je pourrais voir chez moi. On frappe à ma porte, Clélia arrive avec un chariot remplit de bonne chose. Je remarque que je ne me suis que déchaussé pour dormir. Je remercie Clélia pour ce déjeuner. Je me permets une question, combien de fille au pair travaille pour la Comtesse.

« Nous sommes douze Monsieur Chris. Onze filles dévouées à son service et Mademoiselle Gisèle qui est la gouvernante. »

« Dévouée, je veux bien te croire, Clélia, très dévouée même. Merci encore. »

« De rien monsieur Chris, c’est un ordre de Mademoiselle Gisèle. »

« Remercie-la pour ce somptueux déjeuner alors »

Autant dire que je dévorais le contenu de ce chariot. Je ne laissais que des miettes. Puis, un bain. Là encore, le débit de l’eau me sembla trop violent. Il fallait le réduire sous peine qu’un jour, la baignoire se brise sous la pression de l’eau. Je découvre les effets du calcaire, de l’ancienneté de l’installation sanitaire. Dans mon bain, je me laissais gagner par l’eau chaude, une sorte de léthargie. Du bruit provenant de la chambre me fit en sortir et je me lavais prestement. Une serviette à la taille, j’allais prendre des vêtements propres. Deux jeunes femmes faisaient mon lit. Elles se présentèrent en faisant une génuflexion très rapide. L’une se prénommait Agate et l’autre Alaine. Alaine est une rousse flamboyante, sublime même. Quant à Agate, plus gironde qu’Alaine, elle n’en avait pas moins un charme certain. Toutes deux étaient encore bien jeune, 18 ans à tout cassé. Elles faisaient mon lit, le chariot avait disparu, ne restait que le pot de café, le pot de lait et ma tasse sur un bureau. Je pris mes vêtements et allais, pour m’habiller, en direction de la salle de bain.

« Monsieur Chris, dans cette maison, quand on invité à dormir dans les chambre d’hôte, ce n’est pas à vous de vous vêtir, c’est à nous de la faire. » Me dit Alaine, tout sourire.

Je restais perplexe un court instant. Cela suffit pour qu’on me retire mes fringues des mains, qu’on me guide vers une coiffeuse et qu’on m’y assoit, pas de force, mais presque. Agate prit une serviette, me sécha mes cheveux. Alaine me mettait mes chaussettes et moi, comme un grand con, je bande. Alaine enfile mon slip, le remonte, retire ma serviette et découvre mon érection. Sans plus attendre, sa bouche et ses mains s’en empare et elle me fait ma toute première fellation de ma vie. Très vite, mon dos se retrouve contre la poitrine d’Agate qui, sans rester sans ne rien faire, me masse ma poitrine, ses seins appuyant sur mes épaules.

« Monsieur Chris est bien fait de sa personne. Mademoiselle Gisèle veut que nous soyons au petit soin pour vous. » Me dit Agate.

Alors, prit dans ce tourbillon de folie matinale, mes mains se perdent sur la croupe charnue d’Agate. Très vite, elles sont mêmes sous sa jupe, malaxant deux belles grosses fesses. Devant moi, Alaine se calme. Si elle continue à me branler d’une main, elle remonte sa jupe, me chevauche et guide mon pénis tendu dans son minou que je devine expert en la matière. Je ne vois pas arriver Gisèle derrière nous. Ce n’est que quand je la vois dans le miroir, me souriant, assise sur mon lit que je me dis que ces femmes, c’est là le macho qui parle, sont en manque d’une belle queue.

« Madame la Comtesse a donné des ordres, hier soir après votre départ. Elle veut que vous soyez traité comme un hôte d’honneur. Remarquez, je suis entièrement d’accord avec Madame la Comtesse. À vous voir, vous semblez apprécier les femmes. Sybile m’a conté que vous étiez très curieux sur notre mode de vie. Aussi, Madame a exigé que nos servantes répondent à toutes vos questions, même les plus saugrenues. » M’annonce Gisèle.

« Je ne sais que dire, tout ça est si nouveau pou…oh, punaise, plus lentement Alaine, je vais jouir et toi pas…là, comme ça. »

Derrière moi, Gisèle s’approchait. De ses mains, elle retira la robe d’Agate, le soutien-gorge suivit la robe. Je vis une plantureuse poitrine opulente aux larges auréoles. Gisèle masse les seins d’Agate, me les pose sur mes épaules. D’une main, j’en caresse un, la peau est douce, laiteuse. Le mamelon est sensible, il se tend, se durcit sous mes caresses. Gisèle disparait soudainement. Je finis par jouir en Alaine, je ne sais si elle a jouit. Son visage reste imperturbable. Je suis terriblement déçu de ma piètre prestation. Alaine se penche à nouveau sur mon sexe, me le lèche, le nettoie. J’ai un bon sperme qu’elle me dit. Derrière-moi, Agate masse encore. J’arrête ses mains, je veux la voir face à moi. C’est vrai, qu’elle est un peu ronde, mais pas tant que ça. Je regarde Alaine, trouve comment faire glisser sa robe sur le sol. Corps sublime, magnifiquement imparfait que cela le rend parfait. Son minou porte une fine bande de poils tout doux. Je le baise, m’excusant de ne l’avoir faite jouir. Sa main caresse ma joue.

« Que monsieur se rassure, ce n’est que partie remise. »

Parole encourageante s’il en est. Elles terminent de m’habiller et mettent leur vêtement avant qu’Alaine ne me conduise près de Madame. Je la découvre en peignoir, sans rien d’autre que cette étoffe qui habille son corps que je devine superbe.

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