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Un bon début d'année – Chapitre 1




Bonsoir à toutes et à tous.

L’histoire que je partage avec vous est vraie et s’est déroulée dans la nuit du Nouvel An.

Pour resituer dans les détails, je me nomme Thibault, 22 ans, habitant du Sud de la France. Sans être un top-modèle, je fais beaucoup de sport et possède donc un physique avantageux dirons-nous. Seulement, une grande timidité fais que je ne suis pas un mec des "coups d’un soir". Enfin, c’était vrai jusqu’à cette soirée de Nouvel An.

Replongeons nous ensemble dans le contexte. Pour fêter l’arrivée de 2015, nous avons décidés, ma bande d’amis et moi même de louer une petite maison à la périphérie d’un petit village. Le côté très isolé (pas de maisons à moins de 200 mètres) et le prix que le propriétaire en demande pour la soirée sont deux arguments qui ont directement fait mouche.

Le ballet des voitures, allant, venant, toujours pleines. Sono, platines, alcools (en grand nombre, étonnant?) et bien évidemment, sacs de couchage, essentiel à la petite nuit hypothétique d’après la fiesta.

Une fois le tout installé, le propriétaire de la maison vient nous signaler qu’il apprécierait que le nombre de convive ne dépasse pas la quinzaine, ce que nous lui promettons. De plus, il nous demande si sa fille de 19 ans pourrait se joindre à nous. La plupart de mes amis n’étaient pas très chaud à l’idée qu’une inconnue vienne s’incruster dans notre soirée. Au final, après quelques négociations, nous avons réussi à obtenir de lui que sa fille puisse venir si il fermait les yeux sur le nombre d’invités et si il diminuait la location de 50, ce qu’il accepta avant de repartir pour une soirée en amoureux avec sa femme.

19h. Les premiers arrivent alors que le premier groupe (composé de 4 potes et de moi, qui avions installé le matos) en était déjà à quelques verres de boisson anisé célèbre. La musique commence légèrement à se faire entendre. On rigole, on boit, on s’amuse. A 19h30, nous sommes déjà une petite vingtaine, des garçons, des filles, quelques couples. C’est dans ces eaux-là qu’arrive une jeune et (ravissante) demoiselle blonde, vêtue d’un débardeur noir avec un smiley en paillettes qui sourit, d’une jupe lui arrivant aux genoux et d’une paire de talons. Elle se présente, Amandine, la fille du proprio. Je vois que mes potes, si embêtés à l’idée qu’une inconnue vienne tout à l’heure, la reluquer pas très discrètement. Et j’avoue avoir fait pareil, il faut que qu’avec son mètre 70, sa taille fine, cette poitrine toute mignonne (que j’estimais à un 95B), et ses fesses que la jupe mettait en valeur, elle était charmante. Le reste des invités arriva vers 20h. Au total 37 personnes étaient présentes. Celle que nous avions invité bien sûr et comme toujours dans ce genre de fête, les amis des amis qui arrivent, sans trop que l’on sache pourquoi. Mon ex petite amie était de ceux là. Je ne savais pas qui l’avait invité, et sans s’être quitté avec perte et fracas, elle ne m’avait plus adressé la parole depuis notre séparation qui datait d’il y a 3 mois. J’essaye d’aller la saluer mais elle m’évite cordialement. Je n’y prête pas plus attention, on est là pour faire la fête.

L’apéro commence, l’alcool coule à flot, Seb, notre DJ attitré enchaîne les musiques, tous le monde danse, rit, bref la soirée est un succès. A 22h passé, et fort d’une bonne dose d’alcool avalée, je décide de sortir prendre l’air histoire de m’aérer et un peu et de profiter de l’extrême douceur de cette nuit. Le ciel est étoilé et j’ai la tête dans les nuages, je profite du frais pour me remettre un peu d’aplomb.

Je redescend sur terre avec le bruit de la porte qui s’ouvre. Je suis surpris de voir qui vient me rejoindre dehors : Anaïs, mon ex sort de la maison et vient à côté de moi. Un petit blanc s’installe. Je me lance dans une discussion banale mais qui brise la glace.

– Ça va? Tu te régales, tu profites bien de la soirée?

– Ouais, l’ambiance est sympa. Je t’ai vu sortir et je suis venu pour m’excuser de t’avoir éviter tout à l’heure.

– Oh, c’est rien, je l’ai pas mal pris. Si tu m’en veux encore à cause de notre rupture…

– Non, je ne suis plus en colère contre toi. Je l’étais parce que je pensais que si tu m"avais quitté, c’est parce que je ne te plaisais plus.

– C’est pas à cause de ça. Je te trouve toujours très jolie mais ça ne collait plus vraiment entre nous, même toi, tu t’en étais rendu compte.

– Oui, c’est vrai.

Et là, je la vois sourire. Je n’avais pas remarqué qu’elle était habillée de façon très sexy. Un haut très décolleté faisait ressortir son 95C que je connaissais par cur et un jean très moulant. La voir ainsi habillée m’avait fait remonter des souvenirs très torride et je commençais à me sentir à l’étroit dans mon boxer. Elle s’en est rendu compte et s’est mise à rire aussitôt. Elle s’est rapprochée, a posé sa main sur ma cuisse et m’a embrassé. Pendant que je lui rendais son baiser, je sentais sa main monter et devenir de plus en plus pressante sur la bosse qui déformait mon jean. Lorsque l’on eu finit de s’embrasser, elle me proposa

– Dis, ça te dirait de s’éclipser un petit moment?

– Tu n’as pas peur que cela fasse trop évident pour les autres?

– On s’en fout! Ça fait 3 mois que j’ai pas baisé et ta queue me manque. J’en ai envie là, de suite! J’ai le string trempe et j’ai bien senti que tu en avais envie toi aussi

Elle n’avait jamais parlé comme ça et j’avoue que ça m’excitait énormément. Ces paroles eurent raison du peu de scrupules qu’il me restait. J’en avais envie moi aussi.

On s’éloigne un peu et arrivé un peu plus loin.

– On doit être assez loin maintenant. Assied toi là, je reviens. Et ne sors pas ta queue avant que je sois revenue.

Je n’en pouvait plus. J’étais chaud et elle, elle me demandais de rester là, à l’attendre… Quelques instants plus tard, je reçois un truc sur le tee shirt. Les merveilles de la technologie aidant, je me sers de la lampe torche de mon portable pour voir ce que c’est. Et là, surprise, un string rose à dentelle, tout mouillé. On dirait celui que je lui avait offert à la St Valentin, avec l’ensemble assorti. Je bande de plus en plus fort. Je la vois revenir, entièrement nue, ses seins tout juste éclairés par la lune, son minou que je devine entièrement rasé. J’ai envie de me lever et de la prendre comme une bête mais je suis aussi curieux de voir ce qu’elle va faire alors j’attends.

– Ce sera ton cadeau de Noël après l’heure. Prépare toi, j’ai le minou en feu et 3 mois de baise à rattraper. Allez, viens, me dit elle. Je ne me fis pas prier …

Si ce début vous a plu, dites le moi, la suite arrivera bientôt

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