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Jasmine : princesse et salope – Chapitre 22




Suite :

Le Génie se dirigea vers l’APJ. Alors qu’il entrait dans le couloir principal, désert à cette heure, Mme Rose sortit de son bureau et lui bloqua le passage.

— Où croyez-vous aller comme ça, monseigneur ?

— Baiser une de vos enseignantes, chère Rose. Peut-être même 2 Vous savez, elles me réclament continuellement.

— Ce n’est pas un bordel, ici !! Les enseignantes de cet établissement ne sont pas des putes que l’on vient voir pour se vider les couilles !

— Je le sais très bien, Rose. D’ailleurs, je ne les paie pas et ce sont elles qui me demandent ! C’est plutôt moi, la marchandise dans ce cas

— Je ne veux pas le savoir !!

— Écoutez, j’ai eu une longue journée dont vous aurez sans doute les échos demain J’ai regardé Jasmine se faire baiser comme une chienne pendant des heures sans la toucher et sans me toucher. Je suis dans un tel état que je pourrais baiser l’ensemble de vos élèves et professeurs sans me fatiguer.

Et pour appuyer sa requête, il baissa son pantalon et exposa son sexe à Rose qui ouvrit les yeux de stupeur. Le membre était immense, plus gros que dans ses souvenirs, gonflé à blocs, avec des veines énormes qui le parcouraient de bas en haut. Le gland était à moitié découvert et laissait déjà échapper une goutte de liquide séminale. Le tout tressautait d’excitation et il semblait à Rose que le sexe du Génie grossissait toujours, comme si l’érection n’était pas encore complète !

Rose reçut comme un coup de massue sur la tête et toute forme de résistance s’effondra en elle. Sa fierté et sa suffisance venait de disparaître et elle était enfin décidée à se donner corps et âme à ce mâle. Elle tomba à genoux devant le Génie et s’approcha de lui à quatre pattes. Elle se saisit de sa queue et dit :

— Monseigneur, je vous en supplie Oubliez les autres femmes de cette école Baisez-moi, ici et maintenant. Baisez-vous aussi fort que vous le pouvez. Je serai à vous.

— Soit, répondit simplement le Génie.

Il allait enfin réaliser ce fantasme et il allait le faire bien. Cela a duré toute la nuit. Il l’a ravagé !

Il l’a d’abord pris par les cheveux et à enfoncer sa grosse queue dans sa bouche. Il ne la laissait pas le sucer, non, il lui baisait la bouche. Puis, toujours à quatre pattes, il la tira par les cheveux dans son bureau, s’y assit et réclama à nouveau qu’elle suce. Il appuyait avec sa tête pour faire rentrer dans le gosier de Rose la quasi-totalité de sa queue. Il relevait également les jambes pour qu’elle gobe ses couilles et lui lèche le cul. L’odeur était très forte avec une journée à marcher en plein soleil et en étant en permanence excité. Mais Rose ne s’en souciait guère. Complètement possédée par le désir, dans un état second, elle enfonçait sa langue dans le cul du Génie avant de ré-avaler sa queue d’une seule traite.

Soudain, il la souleva comme un fétu de paille et, en la tenant par les hanches, la positionna au-dessus de sa queue tendue. Puis il l’empala d’un coup sur son pieu en lui arracha un hurlement de plaisir et de surprise. Il entrait et sortait la totalité de son sexe de la chatte de Rose qui pleurait presque de plaisir. Il la souleva à nouveau, l’allongea par terre, sur le ventre et s’assit au niveau de ses fesses. Il lui souleva la croupe et l’embrocha à nouveau.

Alors qu’il lui défonçait la chatte, le Génie enfonça deux doigts dans l’anus et accéléra la cadence. Cette double stimulation fit jouir une première fois Rose qui hurlait, la tête contre le sol de pierre de son bureau. Le génie lui cria :

— Je vais venir aussi, j’ai trop de pression accumulée depuis ce matin Mais ne croyez-pas que j’en ai fini avec vous !!

Il se retira d’elle d’un coup, la contourna et enfourna sa queue dans la bouche grande ouverte de Rose. Il déchargea rapidement une quantité inimaginable de foutre bouillant que Rose ne put avaler en totalité. Elle toussa, manqua de s’étouffer et en recracha par la bouche et par les narines. Le Génie récupéra ce sperme gâché sur le visage de Rose et sur le sol puis lui tendit sa main remplie pour qu’elle finisse tout.

Alors que Rose remuait et gémissait sur le sol, se remettant péniblement de ses émotions, le Génie alla boire un grand verre d’eau et réapparut dans le bureau pour reprendre les hostilités. Il ramassa Rose, la posa sur son bureau et les écarta les jambes.

Rose se prépara alors à se faire pilonner à nouveau. Mais c’est la langue du Génie qui entra en contact avec son sexe. Une langue douce, agile qui contrastait avec la queue bestiale qui lui avait élargi le vagin.

Le Génie lui dévora la chatte durant de longs instants et la fît jouir plusieurs fois d’affilée ce qu’elle n’avait plus connût depuis des années, depuis qu’elle était devenue la professionnelle du sexe qu’elle est. Il la doigta également énergiquement. Il lui enfonça deux doigts bien profondément et les activa puissamment ce qui fit à nouveau jouir Rose et provoqua également une sorte d’éjaculation féminine qu’elle ne comprit pas. Jamais autre chose que de la mouille ou de l’urine n’était sorti de son sexe, sans compter évidemment la quantités astronomique de sperme qui l’avait inondé Là, c’était différent, c’était lié à l’orgasme et le Génie semblait provoquer cette sorte d’éjaculation dès qu’il la stimulait de l’intérieur.

Mais Rose ne pût réellement creuser d’avantage la question car les orgasmes se succédaient rapidement, son bas-ventre était inondé par ce liquide vaginal et sa tête commençait à tourner. Enfin, le Génie sortit ces doigts de sa chatte et la laissa souffler un instant. Alors qu’elle était dans un état second, le Génie se dirigea vers l’armoire dans laquelle elle rangeait ses « godes » en bois. Il revint ensuite vers elle, les bras chargés d’objet en bois pour les essayer sur Rose.

Il la pénétra avec toute sorte de godes, certains de taille normale, d’autre beaucoup plus gros. Il considéra la directrice de l’APJ comme un simple jouet et la tira par les cheveux pour la positionner à quatre pattes, le cul bien tendus. Il pût ensuite profiter à volonté des orifices ainsi offerts. Il lui goda le cul avec des membres de bois énormes puis en ajouta d’autres, tout aussi gros, dans sa chatte pour stimuler doublement Rose.

Puis, alors que sa queue, la vraie, reprenait de la vigueur, il retira les objets en bois et sodomisa d’un coup Rose qui hurla de surprise. Il lui ravagea le cul avec l’énergie fraîchement retrouvée sans oublier, évidemment, de faire goûter à la maîtresse sa grosse queue finement aromatisée.

Rose, ne prononçait plus un mot, de commentait plus. Elle gémissait continuellement, pleurait parfois, jouissait souvent et hurlait de plaisir mais sans comprendre lorsque le Génie faisait grossir son sexe volontairement alors qu’il lui élargissait le colon. 

Comme il lui semblait que cela ne lui suffisait pas, il se saisissait parfois d’un des godes pour l’enfoncer dans la chatte de Rose alors qu’il l’enculait. Il se permit aussi d’introduire le gode dans son fion alors qu’il la sodomisait déjà. Cette double pénétration anale ne semblait pas être une première pour Rose qui, loin d’être effrayée, se saisit du gode à la place du Génie et le fît elle-même aller et venir dans son cul.

Les deux amants expérimentèrent également la double pénétration vaginale et il semblait au Génie que les orifices de Rose pouvaient endurer n’importe quoi. D’ailleurs, après les orgasmes à répétition qui l’avaient secoué, celle-ci reprenait du poil de la bête et redevenait la maîtresse agressive et avide de baise qu’elle était. Elle ne cessait de réclamer au Génie d’y aller plus fort, plus vite, plus profondément.

Le cul déformé par deux énormes queues, la chatte en feu, la bouche grande ouverte et la langue pendante avec un fil de bave, elle dit alors au Génie une phrase qui allait sceller son destin :

— Je veux devenir votre esclave, mon maître je veux devenir votre chienne pour toujours.

Le Génie ne releva d’abord pas cette déclaration et continua de défoncer Rose. Il sentit alors que l’orgasme était proche et se retira du cul de la maîtresse. Ce n’est pas qu’il estimait qu’il était trop tôt pour jouir, Rose avait en effet déjà pris très cher, mais il voulait encore tester deux ou trois trucs sur elle avait de jouir.

Il commença par enfoncer son poing dans la chatte et dans le cul de Rose. La largeur phénoménale des orifices de la maîtresse impressionna le Génie mais pas autant que leur profondeur En effet, alors qu’il pensait avoir atteint une limite physique avec Iris en lui « fistant » le cul, il découvrit que le colon était quelque chose de finalement bien plus flexible qu’il n’y pensait. En effet, sans spécialement trop d’efforts, il s’enfonça dans le fion de Rose presque jusqu’au coude !

N’en revenant pas, il se retira, allongea Rose sur son bureau et lui enfonça à nouveau son poing. Il observa alors son avant-bras disparaître progressivement tandis que l’anus de Rose s’ouvrait de plus en plus pour faire passer le large bras du Génie. Et alors qu’il s’approchait du coude, il vit le ventre de Rose se déformer et une bosse y apparut. Son poing était en train de soulever sa zone abdominale. Rose, qui apparemment n’avait jamais été fistée à ce point, posa ses deux mains sur la bosse et montait et descendait dans son ventre et serra fort le poing du Génie. Lui-même posa sa main libre sur le ventre pour ressentir cette incroyable sensation. 

Alors que Rose commençait à avoir les viscères en feu, le Génie se retira et alla chercher l’objet le plus improbable qu’il est vu jusqu’ici : un sexe de cheval en bois, reproduit à la perfection. Il ignorait si Rose possédait ce gode par collection ou si elle s’en servait réellement mais peu importait Dans 10 secondes, Rose allait se faire baiser par la bite d’un cheval !

— Rose ? Vous avez déjà été baisée par un cheval ??

— Non, maître Mais j’ai lu de nombreux parchemins qui parlaient de centaures Des hommes chevaux à la sexualité débridée Cela m’a toujours excité !

— D’où l’objet en bois ?

— Oui l’ébéniste qui me l’a fabriqué a fait une drôle de tête lorsque je lui ai commandé !

— Et l’avez-vous déjà essayé ?

— Évidemment !

— Alors montrez-moi !

Rose posa alors le gode au sol et se plaça au-dessus. Elle enfonça le gland équin dans sa chatte et commença à faire de légers allers-retours en levant et descendant ses fesses. Évidemment, seule une petite partie de la queue en bois rentrait dans le sexe de Rose en repoussant pourtant loin les parois vaginales internes. Le génie, qui se masturbait en observant la scène en voulait plus, et vite, car il se sentait au bord de l’éjaculation.

— Rose, si je puis me permettre Des centaures affamés qui vous sauteraient dessus ne se contenteraient pas de quelques allers et retours poussifs dans votre sexe. Si ces bêtes existent et que vous les rencontrez un jour, mieux vaut préparer votre cul !

— A vos ordres, maître

Rose se soulève alors et s’enfonce dans la foulée me pieux en bois dans le cul. L’objet y rentre sans la moindre difficulté et Rose fait immédiatement des allers-retours plus ample. Il faut dire aussi que, contrairement à un vagin, il n’y a pas de « fond » dans un colon. Les 20 premiers centimètres rentrent dans l’anus de Rose comme si de rien n’était, cela étant bien sûr facilité par le bras que le Génie venait d’y introduire !

Voyant que Rose commençait à fatiguer au niveau de ses cuisses à force de rester ainsi en suspension, le Génie la saisit par les hanches et l’aide dans ses va et viens. Se faisant, il augmente l’amplitude et introduit un peu plus profond le gode à chaque fois.

Suspendue et épuisée, Rose ne peut rien faire d’autre dans cette position que de subir les exigences du Génie. D’ailleurs, celui-ci continue d’enfoncer le gode bien plus loin que Rose elle-même ne soit jamais allé. Puis, ce qui devait arriver arriva : d’un coup sec sur ses hanches, le Génie empalât Rose sur la bite de cheval, ses fesses reposant sur la partie « testiculaire » de l’objet. En touchant le sol, elle poussant un cri de surprise et de douleur mêlé puis regardant son ventre avec stupeur : comme avec le poing du Génie, le gland chevalin déformait son ventre, juste sous ses côtes.

Le Génie se positionna face à elle pour observer son uvre en se masturbant. Mais alors qu’elle commençait à se relever, sans doute indisposée par ce corps étranger dans ses intestins, le Génie lui appuya vivement sur les épaules, la ré-empalât et lui enfonça dans le même temps sa queue dans la bouche. Il lui baisa la gorge en la maintenant embrochée puis se retira et recouvrit son visage de son sperme bouillant.

Enfin, soulagé et content de lui, il souleva Rose pour qu’elle se libère du gode. Le mouvement lui sembla interminable et le bois n’en finissait pas de sortir du cul de la pauvre directrice. Puis il la laissa choir au sol et commençât à se rhabiller.

— Merci pour cette séance Rose, ça valait le coup d’attendre A bientôt.

— Maître ! l’interrompit Rose en levant la main péniblement. Je ne plaisantais pas, tout à l’heure

— Que voulez-vous dire ?

— Que je veux devenir votre esclave à tout jamais. Si vous consentez à me faire jouir de la sorte aussi souvent que vous le voulez, je veux bien être votre chienne le reste de ma vie. Jamais plu je ne pourrais atteindre ce niveau d’intensité Voulez-vous de moi ?

— Et bien je n’ai jamais envisagé d’entretenir 2 esclaves en même temps

— Je vous en prie je vous en supplie, laissez-moi devenir votre chose

— Voilà ce qu’on va faire : l’entraînement de Jasmine est presque terminé et elle va bientôt retourner avec Jafar. Lorsque cela arrivera, je te prendrai comme nouvelle esclave. OK ?

— Oh merci, merci maître ! Vous ne serez pas déçu !

— En attendant, termine la formation scolaire de Jasmine et reste à mon entière disposition C’est clair ?

— Très clair ! Je ferai ce que vous voudrez. A bientôt, mon maître.

 

En sortant de l’APJ, le Génie pensa pour la première fois à l’après-Jasmine. Il allait avoir une autre esclave et allait pouvoir continuer sa vie de débauche. Mais avait-il vraiment envie de se séparer pour toujours de Jasmine ? Cette perspective lui retourna le ventre mais il n’avait guère le choix.

A suivre…

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