Il faut un début à tout, aujourd’hui, avec mes 60 ans, je peux dire que j’y suis tombé dedans dès ma naissance. En effet, j’ai toujours vécu dans un village et donc dans le quartier nous passions nos temps de libre entre copains et copines, en fait 2 ou 3 familles. Et déjà, à l’adolescence, ma passion se dessinait en cherchant à mater cette petite culotte, généralement blanche des filles qui faisaient partie de notre équipe. Puis, en grandissant, je prenais du temps à voire ce que l’on étendait chez les voisines lorsque du linge séchait sur les files ( je reconnais, encore aujourd’hui, j’adore donner un coup d’il sur les étendages, voire peut être une culotte, un string, une ficelle. Le plaisir du voyeur, à sa base, tout ceci, sans attirer l’attention).
Un voyeur est capable de deviner ce qui s’y cache sous un jean moulant, comme attendre un mouvement de jambes qui s’ouvre pour dévoiler une entre jambe de culotte à croquer des yeux. Ceci, je l’ai connu et je l’apprécie encore maintenant.
Bien, les années ont passé, il y a eut plusieurs situations qui m’ont confortés dans mon état de voyeur. Celle qui m’a marqué à ce jour,
Nous étions jeunes mariés, ma belle-mère, une piquante brune, cheveux mi-longs, avait la quarantaine, nous avions une attirance l’un pour l’autre, mais jusque-là, il n’y avait rien de plus. Pour ma part, 25 ans, je travaillais en équipe. Un point important à savoir, leur logement de fonction à mes beaux-parents était mitoyen à mon service ; un standard ;
pourquoi je vous dis ça ? Eh bien, lorsque j’assurais mes nuits et qu’il n’y avait personne chez eux, lorsqu’ils étaient en vacances, j’allais faire un tour dans le logement, de préférence dans la panière à linge, où je prenais le temps de chercher une de ses petites culottes, blanches ou string noir, pour me parfumer les narines de sa liqueur qu’elle avait bien mouillé d’une épaisse glaire blanchâtre, que j’humais.
Puis, arriva notre fille, et là, nous avions convenu que durant mes périodes de nuits, j’allais dormir à leur maison de campagne à quelques kilomètres de là.
Là, j’étais seul, donc en arrivant, avant de me coucher dans leur lit, je prenais du temps à éplucher la corbeille de linges, dans la salle de bain, à la recherche d’une ou plusieurs culottes, au milieu de nuisettes et autre linge, et je passais mon temps à reluquer, humer, et dans mon jeu, je laissais une d’entre elles bien en vue, qu’elle voit ce que j’aime.
Et puis il y a eut ce jour-là
Je dormais jusqu’en début d’après midi, il est vrai que le temps que je passe à faire mon inspection, je m’endormais de plus en plus tard. Ce jour-là donc, je m’étais endormi avec comme doudou, une de ces culottes, celle-ci était en coton, noir, je n’avais pas eu le choix, c’est vrai que je ne suis pas attiré par cette couleur, mais c’est surtout qu’elle était bien imprégnée de glaire et donc parfumée comme j’aime.
À mon réveil, j’eus une intuition, comme si elle était venue me surprendre avec sa culotte sur l’oreillé, car elle était là, elle s’était fait amener et le soir je dus la ramener. Me levant de ma sieste, la porte de la chambre ouverte, le wc était allumé, elle avait laissé la porte grande ouverte, où elle était assise se soulageant tout en me regardant, je venais de faire le lit, je me mis dans le recoin de la porte de chambre à la mater quelques minutes, seul un échange de sourire. Puis la fin d’après midi arriva, alors que je m’installais dans la voiture, elle ressortit en prétextant qu’elle avait oublié quelque chose. Un moment plus tard, elle revint et nous sommes rentrés chacun chez soi, en sachant qu’il y aura une suite à tout cela.
À suivre… Merci à vous. À bientôt
faut un début à tout, aujourd’hui, avec mes 60 ans, je peux dire que j’y suis tombé dedans dés ma naissance. En effet, j’ai toujours vécu dans un village et donc dans le quartier nous passions nos temps de libre entre copains et copines, en fait 2 ou 3 familles. Et déjà, à l’age de 10 ans, ma passion se dessinait en cherchant à mater cette petite culotte,généralement blanche des filles qui faisaient partie de notre équipe. puis, en grandissant, je prenais du temps à voire ce que l’on étendait chez les voisines lorsque du linge séchait sur les files( je reconnais, encore aujourd’hui, j’adore donner un coup d’oeil sur les étendages, voire peut être une culotte, un string, une ficelle. le plaisir du voyeur, à sa base, tout ceci, sans attirer l’attention).
un voyeur est capable de deviner ce qui s’y cache sous un jean moulant, comme attendre un mouvement de jambes qui s’ouvre pour dévoiler une entre jambe de culotte à croquer des yeux. Ceci, je l’ai connu et je l’apprécie encore maintenant.
bien, les années ont passé, il y a eut plusieurs situations qui m’ont confortés dans mon état de voyeur. Celle qui m’a marqué à ce jour, c’est une belle histoire que j’ai vécu avec ma belle mère.
Nous étions jeunes mariés, ma belle mère, une piquante brune, cheveux mi longs, avait la quarantaine, nous avions une attirance l’un pour l’autre, mais jusque là, il n’y avait rien de plus. pour ma part, 25 ans, je travaillais en équipe. un point important à savoir, leur logement de fonction à mes beaux parents était mitoyen à mon service; un standard;
pourquoi je vous dis çà? eh bien, lorsque j’assurais mes nuits et qu’il n’y avait personne chez eux, lorsqu’ils étaient en vacances, j’allais faire un tour dans le logement, de préférence dans la panière à linge, où je prenais le temps de chercher une de ses petites culottes, blanches ou string noir, pour me parfumer les narines de sa liqueur qu’elle avait bien mouillé dune épaisse glaire blanchatre, que j’humais.
Puis, arriva notre fille, et là, nous avions convenu que durant mes périodes de nuits, j’allais dormir à leur maisons de campagne à quelques kilomètres de là.
Là, j’étais seul, donc en arrivant, avant de me coucher dans leur lit, je prenais du temps à éplucher la corbeille de linges, dans la salle de bain, à la recherche d’une ou plusieurs culottes, au milieu de nuisettes et autre linge, et je passais mon temps à reluquer, humer, et dans mon jeu, je laissais une d’entre elles bien en vue, qu’elle voit ce que j’aime.
Et puis il y a eut ce jour là.
je dormais jusqu’en début d’aprés midi, il est vrai que le temps que je passe à faire mon inspection, je m’endormais de plus en plus tard. ce jour là, donc, je m’étais endormi avec comme doudou, une de ces culottes, celle ci était en coton, noir, je n’avais pas eu le choix, c’est vrai que je ne suis pas attiré par cette couleur, mais c’est surtout qu’elle était bien impregnée de glaire et donc parfumée comme j’aime.
A mon réveil, j’eus une intuition, comme si elle était venue me surprendre avec sa culotte sur l’oreillée, car elle était là, elle s’était fait amenée et le soir je dus la ramener. Me levant de ma sieste, la porte de la chambre ouverte, le wc était allumé, elle avait laissé la porte grande ouverte,où elle était assise se soulageant tout en me regardant, je venais de faire le lit, je me mis dans le recoin de la porte de chambre à la mater quelques minutes, seul un échange de sourire. puis la fin d’après midi arriva, alors que je m’installais dans la voiture, elle ressortit en pretextant qu’elle avait oublié quelque chose. un moment plus tard, elle revint et nous sommes rentrés chacun chez soi, en sachant qu’il y aura une suite à tout celà.
A suivre… Merci à vous. A bientot