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RECIT D'UN COCU – DES VACANCES NOIRES – Chapitre 6




J’étais reparti discrètement de l’appartement avant qu’il n’ait pu me voir, rouge de honte d’avoir vu ma copine se faire baiser devant moi et n’être pas intervenu. Pire, je m’étais même masturbé devant ce glorieux spectacle de voir une puissante bite black fourrant la chatte de ma chérie. Ils passèrent le reste de la journée ensemble sans rien me dire de tout cela évidemment. A la fin de la journée, Driss dut partir vers la côté Méditerranéenne pour des affaires personnelles. Julie était très triste qu’il s’éloigne d’elle, même si ce n’était que pour 2 jours. Devant moi, elle lui roula de longues et belles pelles à la sortie de l’hôtel, pour qu’il ne l’oublie pas et qu’il revienne vite. Juste avant de monter dans sa voiture pour partir, Driss agrippa Julie par la chatte à travers son petit short moulant et lui dit :

— T’inquiètes pas une petite chatte comme ça ça s’oublie pas ma chérie.

— Elle va se sentir bien seule pendant deux jours, lui répondit-elle en lui agrippant à son tour la bite de Driss à travers son jean.

Il s’embrassèrent une dernière fois puis Driss s’éloigna en voiture, me laissant enfin à nouveau seul avec ma chérie.Le soir venu, dans le lit, j’essayais de reprendre le contrôle de mon couple. C’était enfin l’occasion. Mais Julie s’endormit immédiatement de son côté du lit sans que je ne puisse rien faire. Frustré, je m’endormis également de mon côté. Je fus réveillé au milieu de la nuit par une érection intense. J’avais le joli cul de Julie qui me faisait face mais je n’osais rien faire, alors que je l’avais baisé ces deux dernières années quand je voulais. Ce corps magnifique appartenait maintenant à Driss et je savais que j’y avais plus vraiment droit. Même à distance, il contrôlait et dominait notre couple.

J’alla donc dans la salle de bain, et je me branla en repensant à ce même lieu où, quelques heures plus tôt, Driss avait tringlé violemment ma copine par derrière. J’éjacula rapidement dans tous les sens, en regrettant de ne pas avoir pris de photos ou de vidéos souvenirs de ce moment magique où une grosse bite black faisait jouir la petite chatte blanche de mon amour.

Le lendemain, Julie, trop en manque, décida finalement d’aller rejoindre Driss sur la côte pour passer une journée à la plage. Je la conduisais alors en voiture auprès de son amant. En milieu d’après-midi, il nous attendait, enfin surtout elle, sur la plage, qui était totalement déserte. Quand elle l’aperçut, elle se précipita en courant vers lui et lui sauta dans les bras, passant ses jambes autour de sa taille, et s’embrassèrent comme deux amoureux qui ne s’étaient pas vu depuis longtemps.

— Tu m’as manqué mon chéri

— Toi aussi ma puce

J’arrivais en trainant la patte. Arrivé à leur hauteur, Driss, qui tenait Julie dans ses bras d’une seule main en la tenant par les fesses, me donna une petite baffe sur la joue en me demandant :

— Ca va Médor ? Tut t’es bien occupé de ma chérie en mon absence ?

— Je ne m’appelle pas Médor, essayais-je de me rebeller.

— A partir de maintenant ce sera Médor ok ? Et si t’es sage je serais pas méchant avec toi.

Julie était en train de lui faire des bisous dans le cou pendant qu’il me traitait comme un chien avec son ton autoritaire. Je n’osais rien répondre et baissa les yeux. Il me redonna une petite baffe :

— C’est bien Médor. Bon on va se baigner.

Et ils coururent main dans la main dans la mer. Il s’amusaient comme des petits fous dans l’eau, à se courir après, à s’attraper, à se jeter de l’eau, à s’embrasser… Je me baignais à une dizaine de mètres d’eux et je me surpris à avoir un petit sourire en les voyant s’amuser de la sorte. Un moment donné, Julie était dans les bras de Driss et ils s’embrassaient comme sur la plage. Sauf qu’ils commençaient à bouger sur place, allant d’avant en arrière. L’eau leur arrivait au niveau du ventre et on ne pouvait voir en dessous mais je finis par comprendre qu’ils avaient enlevés leur maillot de bain en bas et qu’ils étaient en train de baiser dans la mer.

Julie montait et redescendait le long de la longue tige dressée de Driss qui une fois de plus visitait la chatte de ma copine. Sauf que cette fois-ci, il le faisait sans vergogne, sans se cacher, à une dizaine de mètres de moi. Je me mis immédiatement à me masturber en voyant ce spectacle indécent qu’il faisait dans un lieu public. Julie accélérait le mouvement et commençait à pousser des gémissements en conséquence qui devait s’entendre à longue distance. Ses cris étaient juste interrompu par la langue de son amant qui pénétrait de temps en temps sa bouche et mélangeait leur salive. Puis Driss arracha son haut de bikini qu’elle avait encore et le jeta. Je le le récupéra pour le sentir en me branlant pendant qu’il lui léchait les tétons en la baisant. Il englobait ses jolis petits seins dans sa bouche et les léchait avec envie comme des boules de glace, pendant que Julie continuait de s’activer sur son pénis. Au bout de 10 minutes de ce traitement, Driss commença à avancer vers la plage, toujours dans la même position. Au fur et à mesure que l’eau descendait, je pus voir son énorme bite qui rentrait parfaitement dans le vagin de Julie, mouillé comme jamais. Il l’amena sur les serviettes qu’on avait posé au sol au milieu de la plage déserte et la posa sur le dos.

Ne sachant pas quoi faire, et n’osant rien dire, je les avais suivi et les observais. J’étais à une dizaine de mètres d’eux quand Driss sortit une petite caméra de son sac et me la tendit :

— Tiens Médor, au lieu de te branler tu vas nous filmer pendant qu’on baise.

Je restais sur place, abasourdi par l’ordre que me donnait mon nouveau maitre. Honteux, j’essayais de ranger en vitesse ma bite qui bandait à mort dans mon short de bain.

— Je vais pas me répéter Médor, dit-il d’un ton autoritaire.

Sans réfléchir je m’avançais doucement vers eux. Driss me cria :

— Depuis quand un chien marche sur deux jambes ?

Je m’étais mis instinctivement à quatre pattes, totalement soumis, et avança vers eux, entièrement nus au milieu de la plage. Arrivé à leur hauteur, je me saisis de la caméra sans oser regarder Driss dans les yeux mais j’avais les yeux rivés sur son énorme bite qui était encore plus impressionnante vu de près. Je resta bloqué sur cette énorme bite noire parfaite qui rendait folle de joie ma copine. Driss le remarqua et me dit :

— C’est de ça que Julie a besoin, pas de ta petite bite de blanc ridicule.

Il avait raison. Julie, allongée sur le dos et impatiente glissa :

— Baise moi mon chéri, vite.

— Allez filme Médor pendant que je baise ta copine.

Et il s’allongea sur elle pour l’embrasser fougueusement. Il prit une de ses cuisses et la remonta un peu pour faciliter la pénétration. Tandis que je filmais de profil, je vis dans le cadre de la caméra la grosse bite noire s’enfoncer doucement dans le corps blanc de ma copine qui gémissait de bonheur du retour de cette bite qui l’avait tant manqué. Elle ne pouvait plus s’en passer. Collé ventre contre ventre, Driss la pilonnait à tout va. Julie avait les bras autour de son cou et les jambes croisées autour de son bassin pour se maintenir et bien se coller à lui. Ils avaient la bouche grande ouverte l’un contre l’autre et de temps en temps, ils se donnaient des petits coups de langue amoureux. Leur sueur se mélangeait sous le puissant soleil méditerranéen.

Je zooma en gros plan sur le lieu de la pénétration : la bite black entrait et ressortait à une vitesse impressionnante, sans se fatiguer une seule seconde. Toujours aussi longue, dure et puissante qu’aux premiers instants. Driss avait la vitesse et l’endurance.

Il se saisit soudainement des jambes de Julie et les passa sur ses bras de chaque côté, ce qui donnait encore plus d’impact aux coups de bite. Ses couilles claquaient violemment sur le bas de sa chatte. Après une dizaine de minutes de ce traitement, Julie finit par avoir un orgasme suite à ces coups de sexe répétés de son étalon dans sa petite chatte totalement trempée de mouille. Elle cria de bonheur :

— Oh oui Drisss ! C’est tellement bon ! Aaahhh !

Driss s’arrêta après que Julie eut son orgasme pour la regarder droit dans les yeux. Elle lui renvoya son regard de braise avant de l’embrasser à nouveau pour le remercier de ce premier orgasme jouissif.

— A mon tour, souffla-t-elle

Toujours emboité l’un dans l’autre, ils pivotèrent sur le côté. Julie passa au-dessus de Driss et le chevauchait maintenant. S’appuyant avec ses mains sur son torse musclé, elle soulevait doucement son bassin avant de retomber délicatement sur sa lance fièrement dressée vers le ciel. Elle allait de plus en plus loin vers le haut à chaque fois et la queue de Driss semblait interminable. Elle s’arrêta quand il n’y avait plus que son gland en elle avant de retomber une fois de plus. Elle se pencha pour lui rouler une pelle grandiose avant de recommencer le travail, mais en plus rapide ce coup-ci. Ma chérie semblait habitée par une force inconnue, une sorte de déesse du sexe qui avait créé un désir brulant en elle qu’elle tentait d’assouvir. Elle se tortillait sur cette belle bite de black dans tous les sens, à une vitesse de plus en plus grande. Elle gémissait, criant sur toute la plage son plaisir intense dont elle avait été privé jusque là dans sa vie.

Je continuais à filmer comme me l’avait ordonné mon maitre Driss. Je filmais le visage de Julie qui irradiait de bonheur et d’érotisme sexuel, surtout quand elle passait ses mains dans ses cheveux. Puis je descendis sur ses jolies seins qu’englobait de temps en temps Driss pour pincer ses tétons qui pointaient ; avant d’arriver à nouveau sur la bite de Driss, que Julie avalait en entier en elle, avec gourmandise. Je filmais d’une main en me branlant de l’autre, tellement ma bite était en érection de voir ma copine se donner en offrande à un black au milieu d’une plage publique, heureusement déserte pour le moment. Mais les cris de Julie pouvaient rameter du monde à tout moment. Au bout de 10 nouvelles minutes, Julie finit par fatiguer et tomba en avant pour s’étaler sur Driss qui reprit les choses en main. Par en dessous, il pilonna Julie à une vitesse fulgurante pour lui arracher un deuxième orgasme encore plus beau et intense que le premier. En sueur, ils prirent une petite pause, sans s’enlever l’un de l’autre. Ils s’embrassèrent à nouveau et se chuchotèrent des trucs que je ne pus entendre. Julie pouffa de rire avant de se reposer un instant sur son torse musclé.

Driss tourna son regard vers moi et me dit :

— Ca va Médor ?

— Oui, bredouillais-je..

— Oui qui ? insista-t-il autoritairement

Je savais pertinemment ce qu’il attendait comme réponse et j’hésita à lui sortir. Mais honnêtement, j’étais là, à suivre ses ordres : filmer pendant qu’il baisait ma copine dans tous les sens sur une plage publique, juste devant mes yeux ; et ce serait donc mentir que de ne pas oser le dire à voix haute :

— Oui maitre, dis-je honteusement

— Tu commences à être bien dressé, dit-il en rigolant. Bon le meilleur est à venir garde bien les yeux ouverts et continue de filmer.

— D’accord maitre

J’avais ajouté cela pour bien lui montrer que j’avais compris et que je lui étais totalement soumis désormais, comme un toutou à son maitre. Il avait pris le contrôle de notre couple et régnait dessus.

Julie s’enleva de Driss et se mit à quatre pattes juste à côté. La suite semblait évidente : infatigable, Driss allait maintenant la prendre en levrette. Il posa d’abord sa bite sur la raie de ses fesses. Elle paraissait disproportionnée par rapport à la taille des fesses de Julie, qui était pourtant de belles petites fesses rebondies comme il faut. Il pénétra son vagin sans ménagement, vu comment elle était dilatée maintenant…

Il la saisit par les hanches et la baisa violemment par derrière, comme un sauvage. Il donnait tout ce qu’il avait, ne voyant à ce moment-là en Julie qu’un trou qu’il fallait baiser à fond. Julie, appuyée sur ses avants-bras, les cheveux ébouriffés, la bouche ouverte, les yeux mi-clos, se laissaient totalement faire. J’étais juste devant elle à filmer sa sextape avec son amant et elle s’en foutait. Elle me regardait, mais sans me voir, totalement perdu au 7ème ciel. Driss était son dieu qui l’avait emmené au firmament de l’orgasme. Elle avait, pour la première fois de sa vie, trois orgasmes dans une seule séance de baise, mais qui durait depuis une bonne demi-heure quand même. Driss l’attrapa par les cheveux pour la remonter. Julie semblait aimer être traitée comme une salope, de manière un peu brutale, mais toujours avec amour.

Après 15 minutes, Driss finit par ralentir la cadence. Julie avait la tête contre le sable, totalement comblée. Driss me fit signe :

— Passe moi la crème solaire Médor

Sans poser de questions, je la pris immédiatement dans son sac et lui passa. Il s’en versa une bonne quantité dans la paume de sa main et commença à enduire l’anus de ma copine avec. Julie, qui ne s’y attendait pas, se releva brusquement :

— Qu’est ce que tu fais chéri ?

— T’inquiètes laisse toi faire, lui dit-il en lui enfonçant un premier doigt dans le cul.

Julie, qui ne s’était jamais faite sodomiser de sa vie, prit un peu peur face au monstre qu’avait Driss entre les jambes.

— Mais c’est qu’elle énorme ta bite chéri.

— Je sais je sais. Mais elle t’a bien fait jouir dans ta petite chatte non ?

— Oui

— Alors elle te fera kiffer dans ton petit cul, lui dit-il en lui fourrant un deuxième doigt et en commençant à faire des mouvements circulaires en douceur.

Julie commença à apprécier le traitement et reposa sa tête sur le sable pour se cambrer au maximum.

Voilà, détends toi et ça va passer tout seul ma chérie.

Je n’en revenais pas. Toute ma vie Julie m’avait refusé son petit trou sacré en disant que jamais elle ne se ferait enculer, que ça ne l’intéressait pas, que ça ferait juste mal, et voilà qu’elle allait se faire prendre le cul par une grosse bite de black encore inconnu la semaine dernière. J’étais indigné et pourtant, à nouveau terriblement excité. Je voulais qu’il la prenne par le cul violemment. Maitre Driss avait le droit de la baiser par tous les trous, il méritait. Après lui avoir passé 3 doigts pour bien la préparer, Driss présenta son gland à l’entrée du trou de Julie, qui s’il s’était dilaté, était encore trop petit pour le diamètre énorme du pénis noir qui venait frapper à la porte.

— Je veux t’entendre le dire, lui dit-il d’une voix assuré.

— Encule moi mon chéri. Prends moi le cul violemment comme une chienne.

Je ne reconnaissais plus du tout ma douce et paisible Julie. Elle était devenu une salope assoiffée de sexe, de sexe noir. Driss écarta ses fesses avec ses mains et commença à appuyer avec sa bite bien dure. Son gland finit par disparaître dans le cul de ma copine, ce qui lui arracha un petit cri de douleur. Driss la prit par les hanches et avança doucement mais surement dans ce territoire totalement vierge à ce jour. Il avançait de quelques centimètres de manière continu avant de s’arrêter, et de faire des petits allers retours sur le terrain qu’il avait dégagé. Sa petite technique semblait fonctionner car Julie ne souffrait pas trop. Petit à petit, ce nouveau plaisir qu’elle découvrait prenait le pas sur la douleur. Implacable, Driss continuait d’avancer. Il était arrivé à la moitié quand Julie souffla :

— Je peux pas en prendre plus. Elle est trop énorme.

Sa bite géante semblait en effet bien trop grosse pour le petit cul de Julie. Il la déchirait déjà en deux de ce que je voyais de mon point de vue. Pourtant, Driss la saisit par les hanches, et commença à la buriner avec passion et sauvagerie. Julie se faisait défoncer le cul par un gros black. Elle cria de douleur, serrant le sable dans ses petits poings. Elle hurlait tellement que je songea un moment à tenter d’arrêter leur relation sexuelle, tellement elle semblait souffrir. Les yeux clos et les dents serrés, elle encaissait toute la puissance sexuelle de Driss dans ses fesses. Elle avait pris cette bite dans sa bouche, dans sa chatte, et dorénavant dans son cul. Il l’avait totalement possédée par tous les trous, ce qui n’était même pas mon cas, alors que j’avais deux ans de relation sexuelle derrière moi.

Driss était comblé et continuait à la bourrer en respirant fortement. Au fur et à mesure, les cris de Julie changèrent d’intonation. La douleur faisait peu à peu place au plaisir. Elle découvrait une toute nouvelle jouissance. Elle criait des « Encore », « Baise moi », « Plus fort » à son amant black, qui souriait avec fierté de la combler aussi par le cul. Julie venait maintenant à sa rencontre pour augmenter l’impact de la bite dans son anus largement dilaté. Elle se prenait 25 centimètres de bite dans le cul. A la caméra je n’en loupais pas une miette. J’éjacula dans mon pantalon pour la deuxième fois, comme un adolescent. Ce spectacle de voir ma copine se faire prendre par le cul par une bite black géante sur une plage paradisiaque déserte était la plus belle chose que j’avais vu de ma vie.

Driss accéléra encore le mouvement, sentant le grand moment arriver. Il agrippa Julie par les cheveux et se vida en elle. De grands et puissants jets de sperme allèrent frapper le fin fond du cul de ma copine, qui avait les yeux clos tournés vers le ciel, la tête tirée en arrière par son amour. Driss fit encore quelques petits allers-retours pour bien se vider entièrement, puis tira encore plus sur les cheveux de Julie pour qu’elle se redresse à la verticale, dos à lui. Avec toujours une énorme bite plantée dans le cul, Julie tourna la tête pour embrasser son amant qui lui avait donné un quatrième orgasme par une voix qui était inconnu pour elle jusque là.

Driss avait baisé ma copine devant moi ouvertement. Il l’avait baisé par tous les trous désormais. Elle lui appartenait totalement. Elle était tombée amoureuse de sa grosse bite de black, bien plus épaisse, puissante, longue et endurante que la mienne. Je continuais de les filmer tandis que leurs langues s’unissaient dans un baiser langoureux qui me fit sourire. J’avais compris et admis la supériorité black et tout semblait logique maintenant : c’était tout à fait normal que Julie veuille de lui et qu’il finisse ensemble. Elle était faite pour lui, pour sa queue. Tout comme sa queue était faite pour baiser des femmes comme Julie, par tous les trous.

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