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Famille, je vous aime – Chapitre 3




Ce n’est que le lundi suivant qu’elle revit Gran’Pa. A l’hôpital, elle était du matin, et était donc libre à 14 heures. Elle passa rapidement chez elle pour prendre une douche et se changer avant de s’acheminer vers la maison de son grand-père. Elle devait s’avouer qu’elle redoutait de le revoir; ou, plus exactement, elle redoutait que Gran’Pa s’excuse, lui dise que cela n’était qu’un moment d’égarement de sa part, et que cela ne se reproduirait plus. Oui, c’était ce qu’elle redoutait vraiment, parce que maintenant, dans sa tête, tout était bien clair. Elle avait eu tout le week-end pour y réfléchir et elle était maintenant certaine d’une chose : elle ferait tout pour embellir les dernières années de la vie de Gran’Pa, se disant qu’il le méritait bien. Le côté incestueux de cette relation, qui l’avait un instant embarrassée, elle l’avait rapidement balayé, se disant que l’inceste était répréhensible lorsque l’un des deux n’était pas consentant, ce qui était loin d’être le cas, et qu’à son âge elle ne risquait plus d’être traumatisée par cette aventure sexuelle avec Gran’Pa. Oui, elle désirait vraiment lui donner autant de plaisir qu’elle le pouvait… mais il fallait encore pour cela que Gran’Pa désire lui aussi poursuivre cette relation. Et ayant eu tout le temps d’y réfléchir, elle se sentait sûre d’elle et pensait avoir les bons arguments si son grand père s’excusait et souhaitait mettre un terme à cette aventure.

Elle avait la clé de son appartement, et c’est le cur battant qu’elle l’introduisit dans la serrure.

Son grand père était dans un des fauteuils du salon, en train de lire son journal… enfin… elle se rendit vite compte qu’il s’était endormi pendant sa lecture… Elle lui prit le journal des mains, le plia et le déposa sur la table basse avant de poser ses lèvres sur son front.

    – « Gran’Pa ! C’est moi… c’est Bénédicte… »

Il sursauta, avant de la regarder de la tête aux pieds, reprenant peu à peu ses esprits.

« Ah ! Ma petite fille… toujours aussi charmante… tu vas bien Bénédicte ?

« Oui, oui… bien… et toi Gran’Pa, comment tu te sens aujourd’hui ? »

« Bien ! Tu vois… je lisais mon journal… toujours aussi curieux de savoir ce qui se passe dans ce vaste monde ! »

« Je n’ai pas pris de café; tu en veux un aussi ?

« Oui, volontiers ! Je te laisse le faire, pendant que je sors les tasses et installe ce qu’il faut »

Elle revint rapidement et versa le café dans les tasses, avant de s’asseoir dans le fauteuil qui lui faisait face, de l’autre côté de la table basse. Ils commencèrent à boire en silence…

Si elle était certaine de ce qu’elle désirait, elle se rendait soudain compte qu’elle ne savaitpas comment revenir sur ce qu’il s’était passé entre eux deux à la fin de la dernière semaine. Mais Gran’Pa vint à son secours…

– « Ma petite fille… il faut que l’on parle tous les deux »

Elle leva les yeux, le regarda en face, attendant ce qu’il allait lui dire, repassant rapidement dans sa tête tous les arguments qu’elle avait trouvés pour le faire changer d’avis s’il voulait mettre un terme à leur brève aventure.

– « Bénédicte ! Tu m’en veux… pour ce qui c’est passé  l’autre jour ? »

Il avait parlé d’une voix chevrotante, attendant impatiemment sa réponse.

– « Non Gran’Pa ! Non, pas du tout. C’est vrai, je t’avoue qu’au début j’ai été un peu perturbée -et uniquement perturbée, mais pas choquée- et puis en y réfléchissant je me suis dit que je te comprenais, que tu as encore des envies mais que tu connais de moins en moins de monde, alors que moi… je suis là, te visitant régulièrement, m’occupant de toi. Tu sais que j’ai toujours eu confiance en toi Gran’Pa, et je sais que depuis toujours tu aimes que je vienne te voir… et cela depuis que, toute petite, je passais mes vacances chez toi, à la campagne, là où s’est forgée notre entente, notre complicité ! Alors oui, c’est vrai, je ne pensais pas qu’entre toi et moi, cette complicité se développe à ce point… mais… non, cela ne me gêne pas, et je suis prête à faire tout ce que tu voudras pour te donner du plaisir… »

En disant cela elle avait posé sa tasse et s’était rapprochée de lui.

Doucement elle lui écarta les cuisses, commençant à les caresser par dessus l’étoffe de son pantalon. Sous ses yeux elle pouvait voir une belle petite protubérance se former à hauteur de sa braguette… Ses doigts furent rapidement au niveau de sa ceinture, qu’elle défit habilement, continuant ensuite en défaisant les boutons, en faisant glisser son slip… son sexe dur et bien tendu était juste devant ses lèvres. Sa langue se tendit, vint caresser le gland turgescent dont elle fit tout le tour. Puis ses lèvres se refermèrent dessus, avant de descendre le long de la hampe.

Elle sentit aussitôt la main de Gran’Pa se poser sur sa tête. Non pas pour la guider, il savait que cela n’était pas la peine et qu’il pouvait s’en remettre à son savoir faire. Non, il lui caresait simplement les cheveux, en commençant à pousser de petits gémissements de plaisir. En fixant ses yeux sur lui elle vit qu’il avait fermé les siens, s’abandonnant totalement à ses douces caresses.

Ses lèvres continuaient de monter et de descendre le long du sexe de Gran’Pa. Elles étaient parfois remplacées par la caresse de sa main, lorsque sa langue s’attardait plus longuement sur son gland; et puis, de nouveau, la caresse de ses lèvres…

Elle sentait le plaisir qui montait en lui et était elle-même assez excitée, comme pouvait en témoigner sa petite culotte qu’elle savait être de plus en plus humide entre ses propres cuisses.

« Bénédicte, s’il te plait… déshabille toi ! »

Ce n’était qu’un murmure, mais elle se redressa rapidement, pour répondre à sa prière. Elle avait d’ailleurs maintenant à son tour envie de sentir des mains sur son corps. Elle se retrouva rapidement nue devant lui, constatant qu’en effet son sexe dégoulinait de cyprine.

Toujours assis, la tête de Gran’Pa était à hauteur de son minou. Il posa les mains sur ses fesses, les caressant longuement, avant d’avancer sa bouche vers son sexe. Ses lèvres intimes étaient bien écartées et elle sentit bientôt une langue venir les lècher, puis s’insinuer entre elles. C’est maintenant elle qui avait les mains sur la nuque de son grand-père, lui serrant fortement sa tête contre son sexe.

Elle atteignit le point de non-retour lorsqu’elle sentit les lèvres de Gran’Pa se refermer sur son bouton d’amour…

Quant elle reprit ses esprits, son grand père s’était levé de son fauteuil. Il vint se placer derrière elle, lui demandant de poser ses mains sur les accoudoirs et de bien cambrer ses reins. Ses doigts s’insinuèrent en elle, pour bien récupérer sa cyprine, et quand ils furent convenablement humidifiés il vint caresser son anus, ne tardant pas à y enfoncer un, puis deux doigts… Bénédicte se mordait les lèvres, se cambrant de plus en plus sous cette carese qu’elle affectionnait. Quand les parois de son anus furent bien lubrifiées elle sentit le gland de Gran’Pa venir à sa rencontre… elle recula encore ses fesses tandis que son grand-père avançait son bassin. Il fut bientôt en elle, venant caresser ses seins de ses mains quand ses bourses furent tout contre elle. Il resta un moment immobile, le temps de soupirer d’aise, avant d’exécuter des allers-retours de plus en plus rapides.

Un second orgasme la submergea quand elle sentit le sperme de Grand’Pa se répandre en elle.

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