Ces souvenirs et lattraction que moffrait maman avec son chien me donnèrent envie de jouir, dune main je me caressais le clito et de lautre, je caressais mes fesses. Je lobservais, lil collé au trou de la serrure, de voir cette belle bite que maman suçait si bien me donnait lenvie de la recevoir non pas dans ma chatte, mais dans le cul. Peut importe que ce soit un chien, maman a raison.

Mais rentrerait-elle, sa bite est si grosse et mon cul si petit, ma position accroupie me permettait après lavoir humecté avec ma salive de me rentrer le majeur dans le cul, au risque de souffrir un peu jintroduis un deuxième doigt pour tester lélasticité de mon anus, malgré mes deux doigts dans le cul, jétais encore loin du compte, mais ce nétait quun début et jaurais peut-être besoin daide. Pour linstant, je me contentais de me chatouiller le clito en attendant que maman en finisse avec le chien.

Cela faisait bien 15 minutes quelle le pompait, puis à un blocage du chien, elle emprisonna sa bite derrière la grosse boule et la maintient dans sa bouche, je vis ses joues se gonfler progressivement. Le chien venait de lui envoyer tout son sperme, probablement pour ne pas sétouffer, rendant ses deux mains étanches, elle recracha une quantité impressionnante de foutre et sinstalla confortablement sur le lit et dégusta ce liquide tout en gémissant, cétait dingue elle jouissait. Ecartant les jambes, le chien, bien dressé, léchait le foutre qui sécoulait de sa chatte, pendant ce temps elle finissait de se nettoyer les mains avec sa langue, léchant chacun de ses doigts.

De voir ce spectacle me provoqua une jouissance intense, pinçant mes lèvres pour ne pas hurler, tout mon foutre atterrissant dans ma main et je me mis moi aussi à lécher mes doigts, je buvais mon propre foutre.

Je devais agir maintenant, prenant mon courage à deux mains, jouvris la porte brusquement, le chien lui léchait toujours la chatte, surprise ma mère rejeta le chien, je pris une mine étonnée et ressortit de sa chambre pour rejoindre la mienne. Quelques secondes plus tard, elle frappa à ma porte, mon plan avait fonctionné, nous entrâmes dans une longue discussion, essayant de me convaincre quelle nétait pas la seule à faire lamour avec son chien, que sur internet cétait courant, je lui ai répondu que je voudrais bien voir ça. Un peut déconcertée par ma réponse mais pour appuyer sa plaidoirie, nous nous dirigeâmes vers lordinateur.

Assise côte à côte, nous visionnons, une à une chaque image et parfois des vidéos, loin dêtre écurée jen éprouvais un plaisir fou, ce qui néchappa pas à ma mère et la réconforta. Machinalement, toutes deux avions mis la main sur notre chatte, je regardais ma mère se caresser et elle faisait de même.

Dans une vidéo, une fille était entrain de boire le sperme dun chien, aussitôt je lui demandais si cétait bon, ne sachant que répondre, je lui précisais quavant de rentrer dans sa chambre, je lavais espionnée par le trou de la serrure et que je lavais vue le boire. Nayant pas dautre choix que me répondre, elle mavoua que depuis son plus jeune âge elle adorait le sperme et quavec un chien, cétait encore plus délicieux et lavantage cest quil en donne beaucoup. Comme nous étions dans les confidences, je lui répondis que nous avions les mêmes goûts, et que depuis un an, je vidais les couilles des mecs dans une cave près du lycée, précisant tout de même que jétais encore vierge, que les mecs se contentaient uniquement de me donner leur sperme à boire. Ceux que je venais de lui dire était plutôt risqué, je pouvais très bien recevoir une paire de claques, mais elle nen fit rien, se contentant seulement dun léger sourire, elle me comprenait, peut-être la-t-elle vécu.

Après ces quelques mots, jétais soulagée, je pouvais enfin lui parler librement, elle aussi dailleurs, je le sentais bien, nous étions comme deux copines parlant de sexe hors normes. Nous avions toujours nos mains sur la chatte et dune audace folle, je lui demandais si nous pouvions inter changer nos mains, je la chatouillerais pendant quelle ferait de même avec moi. Elle ne répondit pas mais se caressait toujours, japprochais ma main de sa chatte et essayais de me frayer un chemin entre sa main. Ses yeux fixaient toujours lécran qui continuait à nous distribuer des belles images zoophiles, lentement elle retira sa main pour me donner le champ libre, elle mouillait abondement, je recueillis un peu de sa mouille sur mon doigt et la portai à ma bouche, chose qui lexcita davantage, elle écarta les jambes pour mencourager à recommencer. Mon doigt était dans sa chatte, très vite un deuxième, elle tendit le bras, posa sa main sur mon sexe et commença à le caresser, nous étions heureuses, ne quittant pas de vue les bites de chiens que nous voyons à lécran, ma main était trempée, de nouveau ma soif me reprit et je me précipitai sous le bureau, lui écartai les jambes et commençai à avaler tout le jus qui en sécoulait. Pour me faciliter la tâche, elle mit ses deux jambes sur les accoudoirs, ma langue pouvait ainsi la pénétrer et ramener son jus vers ma bouche, cétait divin.

Elle était en plein délire, elle se concentrait sur un film vidéo, ne voyant pas le film mais le devinait car je lentendais dire « Quelle est grosse, oui mon bon chien » à ce moment, je compris quil fallait que je tente quelque chose, jintroduisais deux doigts dans sa chatte puis trois, sa chatte pouvait en contenir bien plus, rapidement mon quatrième doigt et le pouce étaient dedans, à ce moment elle prit mon bras et sempala dessus, javais ma main et une partie de lavant bras dans sa chatte, je pouvais prendre son utérus dans ma main et le malaxer, comme je laurais fait avec une bite, jaurais bien voulu le sucer. Elle prit mon bras et se pistonna la chatte avec, après quelques va-et-vient, elle le bloqua au font et elle prit un magnifique pied, je sentais son foutre se déverser sur mes doigts et lentement, je ressortais ma main, mes doigts en étaient couverts, une crème bien épaisse, presque blanche et un à un je léchais chaque doigt avec gourmandise, prenant soins de lui en laisser un peu, quelle sempressa de faire disparaître en quelques coups de langue. Rapidement je jetais un coup dil sur lécran pour savoir ce qui lavait mis dans cet état, et je vis un dogue allemand avec une bite incroyable défoncer la chatte dune jeune fille, pensait-elle à elle ou à moi ?

Mais je navais toujours pas joui, elle sallongea sur le sol et me proposa de venir masseoir sur sa bouche et de sa langue très habile, elle me titilla, et aspira le clito. Je lui suppliais de me mettre un doigt dans le cul, ce quelle fit volontiers layant préalablement lubrifié avec sa mouille qui coulait toujours de sa chatte.

Je me tortillais sur son doigt, mécartant les fesses, elle comprit par cette invitation, quelle pouvait tenter un deuxième. Tout en me suçant le clito, ma mère avait ses deux doigts dans mon cul et pensant à la bite du chien que je voulais avoir dans le cul, je devais mélargir le plus rapidement possible, la situation me paraissait bonne pour tester un troisième doigt et je mintroduis un doigt dans mon cul pour faire comprendre à maman ce que je recherchais. Comprenant, elle accentua son léchage de chatte pour diminuer la douleur et nous tirions chacune de chaque côté de mon anus. Ma rondelle shabitua à ce jeu et pour mon plus grand bonheur, elle souvrait davantage. Maman en profita pour introduire un troisième doigt, ce qui en faisait quatre avec le mien, jy étais arrivée, les quatre doigts me paraissaient la grosseur correcte, je pouvais maintenant me concentrer sur ma jouissance et retirant mon doigt de mon cul, que maman remplaça immédiatement par lun des siens, je mécartais la chatte à la hauteur du clito et elle me lécha jusquà ma jouissance. Mon jus coulait dans sa bouche, elle retira doucement ses doigts de mon cul et me montra la bouche grande ouverte sa récolte, quelle ne tarda pas à avaler.

A lécran nous pouvions voir le dogue allemand déverser son sperme sur le corps de la jeune fille, vu la quantité, toutes les deux dans un réflexe, nous nous léchions les lèvres regrettant que ce bon jus ne soit pas dans notre bouche. Je ne pus mempêcher de lembrasser, nos langues se nouèrent dans un baiser passionné. Nous étions complices et que maintenant, nous pourrions assouvir ensemble tous nos fantasmes.

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