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Chloé, ma belle-soeur – Chapitre 17




Début de la 6ème chronique : LES PERVERSITES DONCLE GEORGES

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Ce récit est inclassable. Il aurait pu être placé dans « inceste », « Trash » ou zoophilie. À vous de voir

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Dans lépisode N° 6, vous avez fait connaissance avec loncle Georges, veuf de 55 ans, au teint rubicond, il ne respire pas la propreté depuis la mort de sa femme il y a un an. Vieux vicieux, il a payé 500 pour baiser sa nièce dans un hôtel de la périphérie. Limmense fortune que lui a léguée sa femme lui permet de pouvoir réaliser tous ses phantasmes sexuels les plus fous depuis quil a découvert que Chloé, ma belle-sur, était là pour les assouvir.

Il a dailleurs persévéré dans lépisode N° 13 où, à loccasion de leur anniversaire, deux de ses potes, aussi crades que lui, ont profité du corps de sa nièce. Il a payé 5.000 pour ça Cette nuit-là elle a vraiment dégusté tellement ils lui ont fait subir les pires outrages. Lisez ou relisez cet épisode pour vous le remémorer.

Au fil des jours il a pris de lassurance car il sait quen mettant le prix, Chloé sera toujours là, obéissante, prompte à réaliser sa dernière trouvaille en matière de vice. Il sait que je la domine et il passe toujours par moi pour convenir dun rendez-vous et la convaincre.

Cest lobjet de son coup de téléphone ce soir-là où sa perversité va dépasser lentendement.

— Bonsoir mon neveu ! Jaimerais me payer une soirée avec ma nièce, disons mercredi soir, cest possible ?

— Pas de problème oncle Georges, elle est libre. Vous voulez quoi comme type de séance ?

— Eh bien cest un peu spécial. Tu te souviens de lanniversaire de mes deux copains, Marcel et Paul ?

— Oui je men souviens, Chloé a particulièrement morflé vous ny avez pas été de main morte cette nuit- là.

— Oui mais jai payé une bonne somme pour ça. On voudrait renouveler cette soirée mais en y ajoutant un peu de piment. On voudrait la dépraver encore plus cette salope. Faire quelle soit ramenée au niveau de la chienne quelle est. Alors voilà, Marcel possède un berger allemand et Paul un doberman et on aimerait quils la baisent.

— Vous voulez dire que Chloé fasse lamour avec des chiens ?

— Oui pas seulement les chiens, avec nous aussi bien sûr ! On a envie de vider nos burnes.

— Alors là je ne mattendais pas à cette demande. Elle na jamais fait ça !

— Tu sauras la convaincre mon neveu surtout si je te fais un don de 10.000 Ne tinquiète pas Marcel a lhabitude il a tenu un chenil et beaucoup de femmes venaient exprès pour se faire mettre.

— Ça vaut le coup dy réfléchir Chloé nest pas là. Je lui en parle et je vous rappelle.

En fait Chloé est là, elle a tout entendu de notre conversation. Elle a blêmi car elle sait quelle ne pourra pas y échapper et que ce sera une nouvelle étape dans sa déchéance.

— Quest-ce que tu en penses ?

— Ça va être très dur. Cest vraiment dégueulasse ce que vous me faites faire. Mais ais-je le choix ?

— Non tu as signé noublie pas, tu es consentante et de toute façon tu aimes ça (Voir épisode N° 8)

— Cest vrai tu as raison je suis une vraie salope.

Je rappelle loncle Georges pour lui donner mon accord.

Ce qui va suivre est la retranscription exacte de la vidéo de cette soirée ainsi que les commentaires qua pu nous en faire Chloé.

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Cest à 19h00 que sont arrivés comme prévu oncle Georges et ses deux amis accompagnés de deux chiens énormes.

Demblée je sus quils allaient me faire payer le prix fort tant ils sentaient mauvais.

— Alors ma chère nièce contente de nous voir ? À voir ta tête on voit que tu sais déjà quon na pas pris de douche depuis plusieurs jours on sest réservé pour toi ! Dis oncle Georges en riant. Ses acolytes sesclaffèrent aussi.

— Tes toujours aussi bandante, jai déjà mon mât qui se dresse. Dit Marcel avec un air salace. Allez déshabille- toi on na pas de temps à perdre !

— Ouais moi jai déjà envie de tenculer ! Confirma Paul.

— Je crois que pour la ramollir on va la prendre en sandwich. Confirma mon oncle.

Jenlevai mes vêtements réduits à un strict minimum : jupette et tee-shirt pendant queux-mêmes se mettaient à poil. Les remugles quémettaient leurs corps ainsi mis à nu contrastaient avec lodeur de mon corps fraîchement parfumé.

— Allez ! Tu vas déjà bien nous lécher la bite, les couilles et le cul pour nous nettoyer et nous mettre en forme. Tu es une bonne salope bien dressée et tu vas faire honneur à ta réputation. Dis oncle Georges.

Leur volonté manifeste était de mhumilier, de me briser au maximum avant de me donner aux chiens. Je mexécutai, obéissante et passant de lun à lautre jentrepris, servilement, masquant mon dégoût total, la toilette demandée. Ils prirent un malin plaisir à me demander de bien faire pénétrer ma langue le plus loin possible dans leurs anus malodorants.

Puis, Oncle Georges sallongea par terre sur le dos et me demanda :

— Viens tempaler sur ma bite Chloé que Paul puisse te sodomiser pendant que Marcel te baisera la bouche !

Ce fut le démarrage dune intense séance de défonce où les trois vicelards profitèrent au maximum de mon corps, voulant goûter tous mes trous en me massacrant la poitrine de leurs mains avides. Ils terminèrent en éjaculant dans ma bouche, sur mon visage et sur ma poitrine. Je navais pas joui

Pendant tout ce temps les chiens rodaient autour de moi, probablement excités par les odeurs qui se dégageaient. À peine libérée de lentreprise des trois cochons, quils se mirent à me lécher longuement, se poussant lun lautre comme pour sassurer la primauté sur moi. Le berger allemand léchait mes seins pendant que le doberman sen prenait à mon abricot mamenant à un orgasme que navais pas eu jusque-là.

— Tas vu cette salope qui na pas joui avec nous et qui vient de prendre son pied avec les chiens ? Dit Marcel, le spécialiste « canin » qui mordonna alors de me mettre à quatre pattes au-dessus dun pouf pour me surélever le ventre et me fit poser la tête sur un petit tabouret qui relevait mon menton. Dans cette position, ma bouche, mon sexe et mon anus étaient entièrement disponibles.

Paul et oncle Georges, à la demande de Marcel, pour me protéger, équipèrent les pattes des chiens avec des chaussettes.

— Allez Brutus cest ton heure !

Un glissement, et soudainement mon cul léché par une langue râpeuse celle du berger allemand.

— Aujourdhui tu vas faire connaissance avec de nouveaux amants merveilleux qui vont distendre ta bouche, ton sexe et ton anus. Avec eux pas de risque de te retrouver enceinte ! Dis oncle Georges dans un ricanement.

Brutus continuait son travail en me léchant. Mon cul et mon sexe étaient couverts de bave, et joubliais vite mes craintes car, horreur de la situation, je commençais à jouir sous les assauts linguaux de lanimal. Cest alors que je me rendis compte que Brutus ne serait pas le seul partenaire canin que jaurais à subir puisque Marcel dirigea vers ma tête le doberman dont le sexe était déjà sorti de son fourreau il lavait probablement été excité au préalable et saidant de sa main il mordonna de lavaler et de le sucer

Pour manifester mon refus de cet acte ignoble, je fermai la bouche mais, mal men pris, car je reçu immédiatement une claque violente sur les fesses. Je compris alors quil ne me restait quune issue pour échapper à cet atroce châtiment, avaler la queue énorme du doberman qui confondant ma bouche avec le sexe dune de ses congénères commença à senfoncer au fond de ma gorge manquant de métouffer à chacun de ses assauts.

Je vis le nud commencer à se former à la racine de son sexe et je pris soudainement peur de mourir étouffée si le doberman le faisait entrer dans ma bouche en accentuant sa poussée. Marcel en prit conscience et, tirant brutalement sur la laisse du chien, il fit en sorte que son sexe fut retiré de ma bouche. Le chien frustré fut conduit alors près de Brutus qui continuait à me lécher. La force du doberman étant plus important que celle de Brutus, celui-ci fut repoussé. Le doberman prit sa place pour me lécher mais, compte tenu de sa frustration et de lexcitation que déversait mon sexe, il ne mit pas longtemps à monter sur moi comme si jétais sa chienne. La position dans laquelle jétais lui facilitait le travail, son sexe cherchait la bonne entrée et je poussai un soupir de soulagement quand je sentis que cétait ma chatte quil avait choisi

Sa pénétration fut brutale et, cette fois, ce fut un cri de douleur qui sortit du plus profond de moi-même. Comment moi, Chloé, javais pu en arriver là ?

À cet instant jétais incapable de pouvoir donner une réponse. Le chien entama de longs va-et-vient dans mon sexe en ahanant dans mon dos. Jétais défoncée par son énorme queue dont je sentais la pointe envahir ma matrice, la jouissance vînt alors une première fois alors que le nud de sa bite nétait pas encore entré. Mon amant canin était infatigable et, trouvant un intérêt certain à me monter ainsi, une ultime poussée fit pénétrer lénorme boule qui terminait son sexe marrachant une fois encore un hurlement au passage de celle-ci. Puis son sperme se déversa en moi, chaud, en jets interminables, calmant ma douleur et me faisant jouir au-delà du réelJe jouissais, oui je jouissais et voulais que cela ne sarrête pas Jétais devenue une chienne moi aussi. Quelque temps après un quart dheure peut-être jentendis un « plop » et le sexe du doberman sortit de moi.

Je crus que cétait fini mais cétait sans compter sur la frustration de Brutus qui, voyant lespace libéré, vint lui aussi me chevaucher et choisit ma voie étroite pour satisfaire ses pulsions. Il me défonça le cul, fit pénétrer son nud, me fit crier, me fit jouir, me fit crier de nouveau en se retirant puis me lécha lanus pour le nettoyer.

Puis lopération se renouvela avec le doberman dans mon cul et Brutus dans ma chatounette. Ces chiens étaient infatigables. Jétais percluse de douleurs, je nen pouvais plus.

— Magnifique spectacle ! Tes vraiment une salope ma nièce ! Tu ne vas pas ten tirer comme ça ! On est à nouveau pleins de vigueur Vas te laver et reviens propre comme un sou neuf je nai pas envie de mettre ma bite dans le sperme canin. Cest dégueulasse !

Un comble de sa part !

Jallai dans la salle de bains et pris une douche très chaude pour me détendre. Jétais bien mais ce fut de courte durée car mes trois lascars, tellement excités, ne purent tenir plus longtemps. Ils me firent plier en avant dans la grande douche à litalienne et éjaculèrent dans mon cul, à tour de rôle, après mavoir fait hurler de douleur en menculant sans prendre la précaution de me préparer à cet assaut brutal.

Ils mabandonnèrent ainsi, en pleurs tellement javais mal partout, le cul démoli. Jentendis la porte de lappartement claquer. Ils étaient partis. Jeus juste la force de me traîner jusquà mon lit où je mendormis dun sommeil pesant, entrecoupé de cauchemars où je me faisais sauter par des monstres hideux.

Fin de la 6ème chronique : LES PERVERSITES DONCLE GEORGES

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