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La surprenante Emy – Chapitre 3




Le lendemain, Mylène est partie la première, puisqu’elle commençait les cours à 8h et nous à 9h (Julie était quant à elle repartie la veille, bien avant le retour de Mylène). Nous avions de la chance, cela allait nous permettre de discuter et peut-être, enfin, de crever l’abcès. Pourtant, je n’ai pas osé aller voir mon frère pour lui parler.

Heureusement quelques minutes après le départ de sa copine, c’est Maxime qui est venu me parler, apparemment très gêné lui aussi.

Emy, tu sais, à propos d’hier…

Il n’a pas terminé sa phrase, comme s’il ne savait pas quoi dire de plus. Il n’en eut cependant pas besoin, je savais très bien ce qu’il voulait me dire.

Ce n’est rien, ai-je assuré.

Tu es sûre ? a-t-il insisté, à moitié rassuré. C’est que… comme j’étais en plein orgasme, j’ai pas trop réfléchi…

Je sais. T’inquiète pas, je comprends. En ce qui me concerne, c’est oublié.

Il a néanmoins continué à se dandiner, toujours mal à l’aise, comme s’il y avait autre chose.

Mais je voulais te dire… a-t-il enfin continué. Enfin, je devrais pas trop, mais comme c’est arrivé, tu sais…

Il cherchait ses mots, plus gêné que jamais.

Enfin, voilà, je trouve que tes seins sont… beaux.

Euh… merci, ai-je bafouillé, soudain pas plus à l’aise que lui.

Nous nous sommes fait face sans parler pendant quelques interminables secondes, ne sachant pas si nous devions poursuivre cette conversation ou pas. D’un côté, nous étions presque certains que l’autre partageait notre désir, et nous étions conscients qu’il faudrait bien finir par aborder le sujet. D’un autre côté, la situation était atrocement gênante, interdite, et aussi peu probable que puisse paraître un quiproquo, il serait néanmoins désastreux.

Et ils ne sont pas seulement beaux, a-t-il poursuivi après un nouveau temps d’hésitation. Quand je les ai touchés… j’ai adoré qu’ils remplissent toute ma main, tu vois. Ils étaient doux et fermes, mais aussi tellement gros ! Je pouvais vraiment les presser, les prendre à pleines mains. J’aimerais tellement que Mylène en ait de pareils !

Cette dernière phrase m’a fait rougir de plaisir. J’ai bien vu qu’il partait dans son fantasme, oubliant qu’il parlait de ma poitrine. D’ailleurs, il devenait plus assuré, ne hachait plus ses phrases sous l’effet de la gêne.

Si c’était le cas, a-t-il continué, je crois que je passerais mon temps à lui caresser. Ça doit être merveilleux d’être avec une fille qui a tes seins. Huuumm, et je pourrais même y mettre ma bite et me branler dedans, ce que ça doit être bon… Je tuerai pour baiser une fille avec des nichons comme les tiens.

J’ai failli lui répondre : "eh bah alors vas-y, baise-moi !", mais c’était évidemment hors de question. Et pourtant, qu’est-ce que j’en avais envie ! S’il savait à quel point je partageais son fantasme, presque avoué désormais.

Tu voudrais…

J’avais commencé ma phrase sans réfléchir, mais je dus lutter de toutes mes forces pour la terminer.

Tu voudrais les revoir ?

Il est resté interdit quelques instants.

Tu… tu crois que tu pourrais ? Je veux dire… juste pour les regarder, une seconde.

J’ai haussé les épaules.

Tu les as déjà vus, et puis c’est juste pour regarder.

J’étais bien consciente que je répétais bêtement ce qu’il venait de dire, mais la gêne se mêlait à une intense excitation qui nous subjuguait tous les deux.

Alors ouais, j’aimerais bien les revoir. Juste une seconde.

Je m’apprêtais à retirer mon haut quand je me suis rendu compte d’un détail.

Mince, je suis en chemise de nuit et je… j’ai juste une culotte en dessous.

Ah… a lâché Maxime, comme si ça l’embêtait. Mais tu sais, au pire c’est pas très grave, j’ai déjà vu ta culotte aussi. Et puis ça cache quand même… l’essentiel.

J’avais l’impression que nous étions deux gamins en train de jouer au docteur, mais c’était follement excitant. En fait, c’était probablement le moment le plus excitant de toute ma vie. J’ai pris mon air le plus innocent, celle de la petite fille que je semblais parfois encore être dans le regard de mon frère, puis j’ai retiré mon haut de chemise de nuit.

Oh putain Emy… a-t-il lâché en approchant sa main subrepticement, comme s’il ne s’en rendait pas vraiment compte.

Sa main n’était plus qu’à quelques centimètres de ma poitrine, mais il n’osa pas aller plus loin.

Ils sont magnifiques ! Oh Emy je… je peux ?

Ses yeux étaient suppliants, ses doigts tremblaient en effleurant presque mon sein.

Je sais pas. Ce serait… pas bien, tu crois pas ?

Je devais désirer ses caresses autant que lui, mais je m’amusais tellement à le faire languir. Il semblait au supplice, il haletait littéralement de désir.

C’est juste pour les toucher un peu, pour voir ce que ça fait. Je suis juste un peu curieux, ça n’a rien de… sexuel.

Mon il !

Alors, vas-y. Juste pour voir ce que ça fait.

J’adorais vraiment ce jeu de prude, et je faisais tout ce que je pouvais pour qu’il dure le plus longtemps possible.

Mon frère a commencé à me caresser le sein, d’abord doucement, puis sa main s’est refermée dessus pour le malaxer. Bientôt, la deuxième l’a rejointe et il s’est mis à me peloter à pleines mains. Je l’ai laissé faire, j’adorais le voir me désirer ainsi.

Oh Emy…

Il s’est approché pour prendre un de mes tétons entre ses lèvres et le suçoter. J’ai lâché un gémissement de plaisir, sans pouvoir le retenir. C’était tellement merveilleux ! Il est resté un bon moment ainsi à me téter pendant que je lui caressais tendrement les cheveux. Jamais je n’avais vécu quoi que ce soit d’aussi fort !

On devrait peut-être aller en cours, non ? ai-je soudain lâché.

J’étais sadique, et surtout totalement hypocrite. Je ne voulais absolument pas mettre fin à ce qui se passait, et j’étais de toute façon fermement décidée à violer mon frère s’il s’avisait de reculer. Heureusement, je n’ai évidemment pas eu à me résoudre à cette extrémité.

Attends surette, juste une seconde ! Comme… tu vois, on teste des trucs, bah je me disais qu’il y a autre chose que j’ai toujours voulu essayer avec une poitrine comme la tienne…

J’attendais qu’il poursuive, mais il ne le fit pas, ce qui indiquait sans doute que sa demande le gênait plus encore que les précédentes. Je lui ai caressé doucement la joue pour le rassurer, en un geste très maternel.

Oui mon chéri, dis-moi. C’est le moment de tester des choses, tu crois pas ?

Je ne l’avais bien sûr jamais appelé "mon chéri", mais là… j’en avais envie.

C’est que… j’ai peur que tu penses que c’est trop. Enfin… je veux pas que tu te dises que… tu vois quoi ?!

Ce n’était absolument pas clair, mais en fait, je voyais assez bien. Ses hésitations de petit garçon étaient touchantes et me faisaient décidément fondre. Dire que mon frère est habituellement un tombeur, je ne l’avais jamais connu aussi gêné de sa vie !

Comme je ne répondais toujours rien, mais que je me contentais de le regarder en souriant, il s’est enfin lancé :

Je voudrais essayer de la mettre dedans.

Mon sourire s’est élargi, puis je me suis agenouillée devant lui. J’essayais de le mettre à l’aise en me comportant le plus possible comme un jouet soumis.

Pas de problème grand frère, ai-je enfin répondu d’une voix douce. Je te l’ai dit : c’est le moment de tester des trucs.

Je voyais bien que cette manière de faire le rendait dingue, et j’adorais ça. J’ai commencé à déboutonner son pantalon doucement, puis je l’ai fait descendre à ses chevilles en même temps que son caleçon.

On ne fait rien de mal, hein ? a tenté de se rassurer mon frère. Je veux dire, c’est pas vraiment interdit, c’est juste pour découvrir des choses…?

Chuuut… laisse-toi aller grand frère, ai-je répondu en prenant délicatement sa bite d’une main et en caressant ses couilles de l’autre.

Huuummm… t’as raison.

Je l’ai caressé quelques secondes ainsi, puis j’ai commencé à diriger son sexe vers ma poitrine.

C’est là que tu veux la mettre ? ai-je demandé d’une voix sensuelle en la logeant bien entre mes seins.

Oh oui Emy, c’est parfait… Maintenant, je voudrais juste…

Il n’a pas terminé sa phrase, mais il a attrapé mes seins et a commencé à se branler avec. Son visage exprimait une véritable extase, ce qui m’a remplie de joie. Il haletait de plaisir, plus fort que jamais.

Tu as dit hier que tu aimais sucer des bites ? m’a-t-il demandé au bout de quelques secondes de ce traitement.

J’ai hoché la tête pour toute réponse.

Tu sais, si tu veux, ça me dérangerait pas que tu… enfin si tu veux me sucer, y a pas de problème !

Ah tiens, comme il est généreux !!

C’est vrai, je pourrais ?

J’ai bien pris soin de faire comme s’il s’agissait d’un formidable cadeau qu’il m’offrait, ce qui était sans doute le moyen le plus sûr de l’exciter. En réalité, j’aimais vraiment sucer, c’est vrai, mais de là à dire que cela ne le dérangerait pas, LUI…

J’étais pourtant bien décidée à jouer le jeu jusqu’au bout, puisque ce jeu m’excitait follement. J’ai donc englouti sa bite avec voracité pendant qu’il continuait à se branler entre mes seins.

Oh oui, Emy, continue… a-t-il lâché en glissant une main dans mes cheveux pour m’inciter à aller plus vite et plus loin. Vas-y petite sur, c’est trop bon… Oh putain, tu suces comme une reine…

Je crois que là, on pouvait dire que tous les tabous étaient brisés. Cela valait-il le coup de faire semblant ? N’était-il pas en train de me dire qu’il adorait quand je le suçais ?

Oui, ça vaut le coup, parce que c’est ce qui est drôle.

Pourtant j’avais peur que, soumis à ce traitement, il ne rende les armes trop rapidement. Ce n’était pas encore le but ultime que je recherchais. Je me suis donc redressée, à son grand désarroi, puis je l’ai encore torturé une petite fois :

Je crois qu’il va vraiment falloir qu’on aille en cours, lui ai-je dit, plus cruelle que jamais. On va être en retard !

A son regard, on aurait pu croire qu’il était en train de se noyer.

On est déjà en retard, on n’est plus à ça près ! Et puis Emy, je vais pas aller en cours comme ça…

Il m’a montré sa queue, si tendue qu’elle semblait près d’exploser.

T’as raison, ce qu’on a fait m’a excitée aussi. Mais qu’est-ce qu’on peut faire, tu veux qu’on aille chacun se soulager dans nos chambres ?

Non ! a-t-il protesté, touchant de spontanéité. On pourrait peut-être… continuer ?

Tu veux dire que je te suce jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche ? Et moi alors ?

Il a haussé les épaules.

Je pourrais te lécher aussi…

J’ai fait mine d’y réfléchir une seconde.

Pas assez ambitieux frérot.

J’ai une idée ! ai-je soudain lancé, comme si l’idée en question venait de me frapper alors que je l’avais tournée et retournée dans ma tête toute la nuit.

Je me suis dirigée vers le canapé en l’invitant à me suivre. Là, je l’ai incité à s’asseoir, ce qu’il a fait, puis j’ai fait descendre doucement ma culotte, pour me révéler à lui dans ma plus totale nudité.

Waouh, t’es magnifique surette ! Mais, tu veux qu’on… ?

Ça va pas, t’es dingue, je suis ta sur !

Oui, je suis très forte dans le rôle de l’hypocrite.

Je me suis installée à califourchon face à lui, jusqu’à coller ma vulve contre sa bite bien dure.

On peut toujours se frotter l’un contre l’autre, ça nous donnera du plaisir à tous les deux et… on ne fera rien de mal !

Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, j’ai commencé à faire coulisser ma fente le long de son membre turgescent. Il a immédiatement soupiré de plaisir, puis il m’a attrapé les seins pour les malaxer en accompagnant mes mouvements de va-et-vient.

C’est une super idée surette, c’est génial !

Ah oui tu trouves ? Huuumm, j’adore sentir ta grosse bite contre moi. Ça doit être tellement bon de se faire baiser par un chibre pareil !

Tu veux essayer ? m’a-t-il répondu en me regardant droit dans les yeux, une étincelle dans le regard.

Je l’ai observé un instant, mes lèvres à quelques centimètres à peine des siennes.

Non Max, on ne peut pas.

Pourquoi ?

Je suis ta sur.

Et alors ? Regarde ce qu’on est en train de faire ! T’es vraiment trop bonne Emy, j’te jure j’en peux plus… Laisse-moi te baiser, s’il te plaît…

J’ai hoché la tête de gauche à droite, tout en accélérant mes mouvements contre sa queue.

Je suis vraiment perverse, je sais.

Emy, je t’en supplie… a-t-il gémi en contenant difficilement ses halètements de plaisir.

Non, on ne peut pas, ai-je insisté en posant mes lèvres quasiment contre les siennes. Je suis ta sur.

Je m’en fous : t’es juste la fille la mieux roulée que j’ai jamais vue. Quoiqu’il arrive, je ne te verrais plus jamais comme ma sur, mais juste comme la femme qui me rend dingue et avec laquelle je veux absolument coucher.

C’est non, ai-je tranché d’une voix plus ferme.

J’ai vu la tristesse dans ses yeux quand il a compris qu’il n’obtiendrait pas plus. Alors je l’ai embrassé, passionnément. Nous nous sommes roulé une pelle magistrale pendant quelques secondes, puis je me suis empalée d’un coup sur sa queue.

Sous le coup du plaisir et de la surprise, il est resté un moment la bouche ouverte à m’observer, les yeux roulants de plaisir.

Emy…

Ta gueule et baise-moi ! ai-je répondu en souriant, puis en l’embrassant de nouveau.

Il ne s’est pas fait prier : il m’a baisée comme jamais je ne l’avais été, comme j’avais rêvé qu’il le fasse. Pourtant ce ne fut pas très long : nous étions si excités par la situation et par notre petit jeu qu’il n’a pas tardé à jouir en moi en hurlant mon nom.

Fascinée par son orgasme, plus excitée que je ne l’avais jamais été, j’ai joui à mon tour en hurlant plus fort encore que lui.

Lorsque nous nous sommes un peu calmés, je me suis affalée contre lui en le serrant bien fort dans mes bras.

Tu crois qu’on a fait quelque chose de mal ? m’a-t-il demandé d’une petite voix.

Sûrement, et c’était trop bon !

Mais tu crois qu’on pourra… recommencer ?

Sa voix trahissait à la fois l’espoir et la crainte.

Tu plaisantes ? répondis-je.

Il s’est renfrogné, pensant sans doute que j’étais gagnée par les remords.

Oui t’as raison, il vaut peut-être mieux pas.

Il avait l’air anéanti.

Tu plaisantes ? ai-je répété. Je compte sur toi pour me baiser à chaque fois que ce sera possible : les soirs, les week-ends, les repas de famille… à mon mariage, je compte sur toi pour me baiser dans les chiottes juste avant le marié !

Il m’a souri.

T’es vraiment une chouette petite sur !

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