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Une journée paradisiaque – Chapitre 1




Jai actuellement 20 ans. Je suis à l’université en études de langue. Je fais 1m80, corps moyen, et poilu de la tête aux pieds, et jassume parfaitement ce corps velu. Jai découvert mon homosexualité dès mes dix ans, quand j’allais dans les vestiaires de football, à l’époque où mon père jouait encore. Jadorais déjà la quéquette.

Pour aborder le sujet plus clairement, cela s’est passé un vendredi. Il était 13h30 et javais fini ma journée. Pendant le cours, jétais pris d’une forte érection, fantasmant sur certains mecs de ma promotion qui me plaisaient. Je me suis dirigé vers les toilettes. Quelqu’un pissait, il se vidait bien, le jet était puissant, je le voyais. Je me suis donc dirigé vers un urinoir, à côté du sien naturellement. Je jetais des coups d’oeil et lui aussi, car il voyait mon chibre tendu au max qui fait 21 cm avec de belles couilles pendantes.

Il m’empoigna de ma fesse gauche avant de la caresser un instant. Il me fit un clin d’oeil avec un signe de la tête, m’incitant à le rejoindre dans les toilettes.

Nous nous enfermâmes alors. Nous déposons nos sacs, nos mantaux. Sauvagement sur le sol. Il se faisait que nous portions tous les deux, une chemise ce jour là. La sienne et la mienne étaient déboutonnées de deux boutons, nos peaux étaient bronzées et révélaient une quantité de poils convenables, ce nétait pas Choubaka mais ni imberbe. De plus, le mec avait une barbe de deux, trois jours. Tout ce que j’aime. J’avais toujours la bite à lair. Je le plaque contre le mur, l’embrassa dans le cou, puis remontant son oreille, pour la lui croquer et lécher son lobe. Pendant ce temps il déboutonna ma chemise afin de libérer mon corps poilu avant de saisir ma teub circoncise. Après quelques instants, je me suis approché de ses lèvres. Nous nous embrassons langoureusement et sauvagement, pendant ce temps, chacun de notre côté, nos mains se glissèrent dans le pantalon de chacun dans le seul but de se caresser les fesses. Nous nous arrêtons de nous embrasser, nous esquissons chacun un sourire et des regards complices et en total L.O.V.E. Cest alors qu’il me balance que les mecs poilus, bien membrés et barbus lui plaisent. Depuis que nous sommes corps contre corps, je sentais que sa tige était tendue, elle devait lui faire bien mal, mais apparemment il aimait et moi aussi.

Juan, son prénom, un espagnol en plus, je les aime ces espagnols. Cest alors qu’il me repoussa et me plaqua à son tour sur le mur. Il déboutonna à son tour ma chemise, sorti sa langue qu’il dirigea en direction de mon téton droit. Pendant qu’il tétait et pinçait le gauche, il me le lécha puis mordit, cela me fit pousser un léger petit gémissement. Il ne fit qu’une bouchée de mon abdomen. Cest alors qu’il sassoit sur les toilettes pour être à la hauteur de mon membre. Il regarda mon gland bien rouge, rempli de sang, tout existé et levant les yeux, cest alors que je mordis un des coins de ma lèvre inférieure et lui disant : « Vas-y, elle t’appartient. ». Le petit Juan ne se fit pas prié. Il déplia sa langue sur mon frein, en le titillant tout en me malaxant mes bourses bien chaudes. Il s’attaque au gland qu’il lèche avec délicatesse, lentement, afin d’éprouver pleins de sensations mortelles, je gémis plusieurs fois. Il se recula, puis baissa son pantalon. Je vis alors dessiner sa teub dans son boxer rose. Il était tendu au maximum. Sans qu’il en ait eu conscience, je me suis précipité sur celle-ci. Elle faisait rêver, 25 cm et 6 cm de circonférence. Je le savais que les espagnols sont admirablement bien calibrés pour avoir passé de nombreux étés sur les plages hispaniques. Se faisant, circoncis lui aussi, je ne puis m’empêcher dattaquer sec, mais celui-ci me fit entendre que cétait la première fellation qu’il allait connaître. A vrai dire, ce qu’il vient de me dire est entré d’une oreille et en est sorti aussi rapidement de l’autre. Je commence progressivement, car une telle bête, ça ne s’improvise pas. J’en fis pénétrer la moitié dans ma bouche, en y déposant plein de salive, cest alors qu’il s’accrocha fortement à mes cheveux. Pour qu’il revienne à ses esprits, je lui demande de se lever. Et nous avons commencé une partie de branlette, chacun branlé celle de lautre. Je lui fis signe assez rapidement que j’allais exploser. Sans rien lui dire, en même temps la petite cochonne savait ce qui était bon, elle s’agenouilla la gueule grande ouverte. Celle ne tarda pas aussitôt, 5 gros jets sur sa petite barbe. Il se leva, et nous commençâmes à nouveaux des embrassades, mais je me tournais assez vite sur mon sperme pour lui lécher le visage, en récupérer et lui faire partager cela. Nos langues se roulèrent alors des galoches tournoyantes de ouf, je le branlais pendant ce temps. Il sentait celle-ci venir. Je m’abaissais, m’en saisis, finis de le branler, il éjacule tout dans la bouche. Je fis semblant de la recracher pour qu’il puisse voir, tout le foutre qu’il m’a envoyé. Sans avaler, je le suçais, le gland étant sensible, il frissonnait à chacun de mes passages, il contracte ses bonnes fesses fermes et velues que je tenais entre mes mains. Après que celle-ci dégringole, des galoches avec son bon sperme. Il aimait le sien en tout cas puisqu’il en a avalé une grande majorité.

Nous nous sommes rhabillés et auscultés pour voir s’il ny avait pas du sperme sur les vêtements et le visage. Nous nous sommes échangés spontanément nos numéros.

Jattends qu’il fasse le premier pas. Comme c’était sa première, cest à lui de décider à quand remettre ça. Je suis le premier à quitter les toilettes, pour essayer de ne plus y penser, je me suis rendu dans un bar, dans un cinéma pour voir un spectacle humoristique. Il est 23h quand je sors. Je décide de rentrer, jai encore une heure de RER.

La suite dans un prochain épisode Cela dépend de vous Vous êtes les maître du sexe.

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