Pour la première fois, elle appréciait réellement de vivre à New York avec ses CD, ses livres ses revues de mode et objets divers. Elle était contente de s?être laissée convaincre par Pierre, son ami intime de faire un défilé à Rome pour un fameux créateur de mode qui présentera sa collection d?hiver.

Elle était capable de faire beaucoup de choses. Elle et le photographe Pierre étaient ensemble depuis près de trois ans et elle l?aimait toujours, probablement plus qu?au début parce qu?au début, c?était avant tout professionnel. Elle sourit en y pensant. Elle qui réservait son lit aux beaux garçons et aux jeunes. Le travail commun entre eux était une nouvelle étape dans leur relation. Une étape extrêmement positive jusqu?à présent. Le défilé à Rome et à Milan comptait autant pour Pierre que pour elle. En fait, il lui semblait qu?ils ne parlaient plus que de ça. Le top-model ne se plaignait pas, au demeurant qu?aurait-elle pu désirer de plus ? Maintenant elle avait un agent, un manager, une secrétaire, une maquilleuse, un comptable, un conseiller financier, et un professeur de sport. Elle devenue en peu de temps, la top-model favorite de Christian Dior, de John Galéano et d?autres…

Arrivés à Rome, ils étaient tous les deux fatigués.

Comme l?avion avait pris du retard, Glacyanne était vêtue d?une petite robe courte de coton bleue avec des sandales de même couleur, et vu la chaleur du moment, elle ne portait qu?une minuscule petite culotte blanche. Sans soutien-gorge sous la robe d?été, la pointe de ses seins se dessinait à travers le fin tissu, et les hommes qu?elle croisait dans l?aéroport et sur le trottoir ne manquaient pas de saluer sa beauté d?un regard admiratif et gourmand, d?autant que sa robe courte laissait aperçoit deux cuisses fermes et bronzées où plus d?un aurait eu envie de poser un baiser. Pierre faisait régulièrement des pauses mais cette fois, il avait vraiment envie d’uriner .

— Attends, attends, où tu vas?

— Attends un peu ! Répondit Pierre Il se dirigea vers les toilettes et entra dans le bâtiment. Devant lui, s’étalaient quatre urinoirs le long d’un mur couvert de carrelage. L’urinoir de gauche, à l’angle de deux murs était occupé par un homme auquel il jeta un coup d’oil rapide. Dans la cinquantaine, sans caractéristiques particulières Les trois autres urinoirs étaient libres.

Il s’approcha du troisième urinoir et commença à se débraguetter. Il ouvrit la fermeture de son jeans, baissa son slip et libéra rapidement son engin.

Pendant que son urine s’écoulait, il regardait à nouveau en direction de l’homme, et vit que celui-ci le regardait aussi. Et il surprit des mouvements du côté de son ventre. Comme il ne comprit pas tout de suite, il le regardait plus intensément, et puis, brusquement il compris : Il était en train de se masturber. L’homme qui était à deux urinoirs de lui était tout simplement en train de se branler ! Bêtement, Pierre le regardait faire et cela lui provoqua une tempête d’émotions. Il ne savait plus où il était, il ressentait juste une excitation sexuelle intense, comme il en avait rarement ressenti auparavant. Sa bite le ressentait aussi, car elle avait rapidement grossi. Alors, au beau milieu des toilettes publiques il se mit à le sucer.

Il avança sa bouche tout doucement. Il vécut cela comme au ralenti. Il le frôlait à présent et commença par lui faire un bisou sur le bout de son gland. Il se mit à le lécher tout doucement, avec délicatesse. Il approcha son nez et se mit à renifler le bout de son noud. Il releva la tête vers lui et dit :

— Tu sais que ta bite sent vraiment très bon. J’adore cette odeur mêlée de pisse et de début d’excitation. Tu me fais vraiment bander !

Ensuite Pierre engloutit la totalité du gland pour mieux le retirer ensuite.

Il le léchait à présent sur toute la longueur de la bite et c’était très agréable. Sa langue était douce et il y mettait de la salive afin de pouvoir mieux coulisser. L’excitation était à son apogée. Il devait avoir l’habitude de sucer des hommes car il enfourna la bite jusqu’aux poils. Le flot de sperme fut à l’unisson de son excitation. L’inconnu larguait une quantité impressionnante et Pierre ne put l’engloutir en totalité. Deux filets de sperme lui coulaient de chaque côté de la bouche et il avait l’air content..

Au moment où il sortit des toilettes il se demanda si Glacyanne ne c’était pas inquiété de son absence… Elle le regarda avec une expression de rage meurtrière.

— Espèce d’ordure! Tu me laisserais ici? En territoire ennemi, en pleine nuit, sans personne pour répondre à mes appels ?

— Calme-toi! Mais non ça va passer. Tu ne veux pas mourir, mais franchement… je ne suis pas obligé de te raccompagner. dit-Pierre doucement.

Ca l?a mis plus qu?en rogne. Il faisait nuit noire, le ciel noir était parsemé de lourds nuages gris menaçants. Il allait pleuvoir d’ici peu de temps. Lorsqu’il arrivèrent à la maison galamment prêtée par Lord Trevisan qui était le promoteur du défilé de la collection d?hiver de Guy Larouche.

Elle, Glacyanne Sheiffer recevait une somme de 120.000$ dollars de payement.

Elle était restée avec le photographe Pierre installée dans un vrai château médiéval située près de l’escalier de la Piazza di Spagna. Elle apprit peu après que le magnifique parc qui entourait la demeure était aussi connu sous le nom de Villa Borghèse. Pierre avait étudié Napoléon Bonaparte. Le souvenir de ses lectures lui revint. Il était enthousiasmé par l’idée d’être installée à proximité du palais Borghèse, qui se trouvait juste au-dessous, sur les berges du Tibre. Pierre dit à son amie Glacyanne :

— Nous irons à la fontaine de Trèvi demain matin et nous jetterons nos pièces dans le bassin en faisant le voux que nous deux vivions heureux.

— Je suis convaincue que quel que soit ton voux à la fontaine, il se réalisera, dit la top-model.

Peut-être était ce une prophétie ! Elle se dirigea vers la salle et s’installa. Peu après, un homme s’assied à côté d’elle. Un ’bonjour’ lui fit tourner la tête vers l’homme pour lui répondre et le découvrir par la même occasion. Les tempes un peu grisonnantes et surtout une carrure impressionnante. Exactement le type d’homme qu’elle appréciait, avec son côté rassurant, ses épaules larges sur lesquelles elle avait tant envie de s’appuyer. Un léger embonpoint ne suffisait pas à gâcher l’aspect séduisant.

La pièce commença alors et elle se concentra sur le spectacle, oubliant presque la présence de son hôte.

Le lendemain matin, juste après le petit déjeuner, le comte de Trevisan se présenta. Glacyanne fut très agréablement surprise, remarquant avec soulagement qu’il était extrêmement attirant. Quand il la vit assise sur le canapé de salon, une très jolie femme, blonde dorée, yeux bleus, et jolie avec un air très féminin et coquin, sexy même. Il regardait ostensiblement ses cuisses qu’elle avait très découvertes, cela l’avait mise mal a l’aise et elle rougit un peu en gesticulant sur son canapé pour essayer de tirer sur sa courte robe mais sans succès. Il avait une vue plongeante sur son entrecuisse et sa petite culotte blanche, puis elle croisa les jambes.

Penaud, la tête basse, ce pauvre lord Trevisan avait perdu tout sa superbe, son air macho et son air supérieur.. Elle savait que chaque seconde qui passait était précieuse car elle était à Rome. Quel que soit le nombre de voux qu’elle pourrait faire devant la fontaine de Trévi, elle savait qu’elle n’aurait jamais l’occasion de revenir. La voiture mit assez longtemps pour arriver à destination car les rues étroites étaient fort encombrées. Puis elle constata qu’il était impossible de s’approcher de la fontaine en voiture. Ils durent s’arrêter dans une rue voisine, d’où une voie piétonne menait à la fontaine. La jeune fille songea qu’elle retrouverait facilement son chemin pour rentrer à la maison, en haut de l?escalier de la piazza di Spagna.

Elle paya donc le chauffeur la somme qu’il lui réclamait et glissa la monnaie dans son sac à main, puis se dirigea vers le passage qui menait à la fontaine. Il n?y avait guère de monde sur les gradins de pierre, quelques touristes étaient assis et contemplaient l’eau qui jaillissait de dessous une colossale statue de neptune. Il était représenté dans un char tiré par deux chevaux. Glacyanne ne put s’empêcher de rester longuement immobile, admirant la merveilleuse sculpture. L’eau captait la lumière du soleil qui faisait miroiter les pièces jetées au fond du bassin de pierre. Soudain, elle sentit qu’on tirait sur le sac qu’elle tenait de la main gauche.

Pendant un instant, elle resta stupéfaite. La chose lui semblait incroyable.

Puis, rouvrant les yeux, elle découvrit un gamin, nu-pieds et en haillons, Il bondissait déjà sur les gradins de pierre, puis il s’élança dans le passage qu’elle avait emprunté pour atteindre la fontaine.

— Attends ! Cria-t-elle en Français, arrête. arrête !

Elle courut aussi vite qu’elle put derrière lui, mais à l?extrémité de la ruelle, elle s?aperçut qu’il avait disparu. Glacyanne savait qu’elle ne le rattraperait pas. Elle demeura immobile, choquée par l?incident, se demandant ce qu’il convenait de faire.

— Quel misérable ! Quel goujat !… quelle infamie !

Se disait-elle, en fuyant d’un pied nerveux sous les trembles de la route.

Quelque chose de belliqueux la transportait. Elle aurait voulu battre les hommes, leur cracher au visage, tous les broyer…

Soudain, derrière elle une voix traînante, qu’elle reconnut aussitôt, demanda :

— Voyons ! Que s’est-il passé pour que vous ayez cet air inquiet ? C’était Lord Trevisan. Sans même se retourner, Glacyanne répondit :

— On m’a volé mon sac à main, avec tout mon argent !

— C’est assurément fâcheux. Articula lentement Lord Trevisan. Vous voulez dire tout l’argent que vous aviez pris avec vous ce matin ?

Glacyanne était si bouleversée par la mésaventure que, pendant un moment elle ne comprit pas ce qu’il voulait dire.

Puis, après un petit silence, elle répondit :

— Oui, bien sûr ! C’est cela. Comment ai-je pu être assez stupide pour fermer les yeux ?

— Nous pouvons du moins remédier à la perte d’un objet aussi précieux. Je vais vous conduire dans une boutique, non loin d?ici, où je pense que vous trouverez le meilleur choix de toute la ville.

Glacyanne saisit alors le sens de ses paroles. Elle ne pouvait en aucun cas se permettre d?acheter un sac à main. En outre, elle était complètement démunie ! Elle cherchait désespérément une excuse pour s?esquiver. Elle lui dit qu?elle habitait dans un appartement confortable et fréquentait des lieux à la mode.

— Ma voiture est près d’ici, insista Lord Trevisan. Je me ferai un plaisir de vous conduire dans cette boutique, du reste elle est sur notre chemin.

Il l’a fit monter dans sa Jaguar jusque chez elle.

Elle en avait assez de la médiocrité. Elle éprouvait un sentiment de satisfaction dans le luxe de la voiture. Elle n’avait pas honte. Sa tenue était un peu provocante mais nullement vulgaire. Il se montrait compréhensif, doux et patient. Elle ne pouvait tomber mieux ! Alors elle tâcha de l’émouvoir, et, s’impressionnant elle-même, elle vint à lui conter l’étroitesse de son ménage, ses tiraillements, ses besoins. Il comprenait cela : une femme élégante ! Il se tourna complètement vers elle, si bien qu’il frôla du genou sa cuisse.

— Tu sais, il est rare que je rencontre quelqu’un qui me plaise comme toi.

— Je vous remercie. Vous êtes très bien, vous aussi…

Je préférerais rentrer, insista Glacyanne.

La conversation devenait de plus en plus embarrassante et, au bout d’un instant, elle s’écria :

— Que Rome est jolie ! Dans la rue, chaque maison est un tableau ! En outre, j’ai trouvé la fontaine de Trévi superbe. …

Glacyanne se retira dans sa chambre pensant que se serait une erreur de rester seule avec lord Trevisan. Il ne manquerait pas de continuer à lui poser des questions au sujet de son sac à main.

— Comment ai-je pu être aussi stupide ? Se demanda-t-elle. Et il sera encore plus désagréable de devoir lui révéler la perte de la grosse somme que son ami Pierre lui avait donné avant de partir.

Un peu plus tard, au moment où elle s’apprêtait à prendre son bain, on apporta un paquet dans sa chambre. D’abord, elle pensa que le domestique avait fait une erreur, et que le cadeau était destiné à sa cousine, mais l’homme insista : le paquet était bien pour elle. En ouvrant, elle constata qu?il contenait un ravissant sac à main, bien plus élégant que celui qui lui avait été volé. Et surprise, elle y trouva un bristol et la carte de lord Trevisan. Au dos, on pouvait lire :

’Un cadeau de Rome’ Glacyanne contempla le sac, stupéfaite. Comment Lord Trevisan, pouvait-il lui offrir un objet si coûteux et, comme par enchantement, juste ce dont elle avait besoin en cet instant ? Un peu plus tard, elle se fit poser de longs ongles rouges, se fit faire un maquillage fin mais sophistiqué avec les lèvres très soulignées, habillée d’une jupe en cuir très courte ainsi qu’un chemisier en dentelle noir transparente, les dessous assortis d’une guêpière, de bas à large dentelle en oubliant volontairement la culotte. Le tout fut complété par une paire de cuissardes en cuir à hauts talons aiguilles de 12 cm. Néanmoins, après avoir pratiqué plusieurs rapports presque tous les jours, elle sentit le besoin de faire de nouvelles expériences. On pouvait dire qu?elle devenait une vraie salope. Cependant celle-ci n’assouvissait pas encore son incroyable appétit sexuel. Ainsi elle prit la décision de se tourner vers de nouvelles pratiques. Joyeuse et confiante, Glacyanne se dirigea comme prévu vers son bureau, comme si elle n’était pas sûre de s’être adressée à la bonne porte :

— Euh… Monsieur Trevisan ?

— C’est moi. Entrez.

Le Comte Trevisan était surpris de sa visite. Dès son entrée, après un bref bonjour, et comme s’il avait peur qu’elle devine ses pensées, il s’était replongé dans son journal n’osant pas relever la tête vers la belle. Il tourna son fauteuil pour lui faire face. Il lui sourit tendrement. Ils avaient beaucoup de sentiments l’un pour l’autre. Ils avaient envie de cela, c’était le bon moment ; c’est tout !

— Je ne te plais pas ?

— Oh ! Si, beaucoup. Je ne m’attendais pas à une personne aussi…

charmante.

Elle montrait un curieux mélange d’assurance et de timidité. Ses gestes, ses regards, ses inflexions vocales étaient celles d’une jeune fille qui se cherchait, qui n’avait pas encore l’assurance d’une femme. Mais ce qu’elle disait dénotée d’un caractère trempé, bien déterminé.

Elle savait déjà parfaitement ce qu’elle voulait. Alors elle se leva, toujours la cigarette à la main. Après l’avoir éteinte, elle le regarda dans les yeux et l’embrassa avec fougue. Leurs bouches se frôlèrent, leurs langues se léchèrent. Toutes les fibres de son être répondaient à son étreinte. Il avait allumé un baiser en elle.

— Je vous remercie. C’est un très beau sac à main ! Je m?efforcerai de ne pas le perdre cette fois.

Elle ne se rendait pas compte qu?elle avait les joues en feu et qu’elle battait des cils. La jupe relevée laissait apparaître ses portes jarretelles, son imposante poitrine ressortait de son chemisier et ses bottes à talons hauts faisaient d’elle une bombe sexuelle. Elle était habillée juste comme il fallait pour attirer le regard d’un homme. Elle était ravissante et tellement sexy. Ses magnifiques yeux noisette brillaient. C’était un mélange appréciable des genres chic, sportif et sexy.

Le petit vicieux ne s’en privait pas, heureux qu’elle ne fasse preuve d’aucune pudeur. Elle sentait ses yeux sur ses jambes nues, son regard remontait presque jusqu’en haut des cuisses. Anne le voyait en train d’essayer de deviner ses seins par transparence.

-Vous me prenez peut-être pour une folle ?

Il était là, près d?elle sans bouger et sans dire un mot. Elle n’en pouvait plus d’attendre, elle décida de passer à l’attaque. En un clin d’oil, elle ôta sa jupe qu’elle plia soigneusement, puis s’approcha de lui, ouvrit largement les jambes, le sexe offert, et dit :

— Fait de moi tout ce que tu veux. Tu veux me baiser hein ! mon cochon ?

Allez dis-le à ta pute que tu veux la baiser.

— Bravo, je suis ravi de ton audace…

Bien que surpris sur le coup, ce nouveau langage l’excitait beaucoup. Elle l’empoigna par la cravate le tirant vers ses tétons à demi découverts et lui lança :

— Allez vas-y chéri, manges-moi les tétons, ils sont à toi. Humm, mange-moi, cochon je suis un fruit si juteux !

Elle le tenait maintenant par les oreilles lui dandinant la tête de gauche à droite afin de s’assurer que la bouche affamée ne perdait rien de sa superbe poitrine. Ses tétines étaient maintenant grosses comme le bout de son pouce.

Il n’avait jamais vu cela.

— Plus fort Trevisan, j’adore me faire croquer les seins.

Elle criait à présent. Elle lui disait des mots obscènes… Il aspirait le plus fort qu’il pouvait pour ensuite lui mordre les bouts presque au sang.

Elle délirait presque.

— HAAAAaaaaaa ! Ouiiii !

Puis elle pressa sa tête vers le bas de son ventre en disant :

— Et ma chatte ? Qu’est-ce que tu en fait de ma chatte ?

Elle écarta les jambes pour faciliter son regard. Ses cuisses bronzées semblaient veloutées comme une pêche. Le comte se dirigea immédiatement vers sa chatte et colla son visage directement sur son sexe, et colla sa langue pointue contre le gros bouton mauve de sa vulve. La langue vicieuse du comte s’insinuait partout. Pénétrant du plus qu’elle pouvait la grotte vulvaire.

Titillant le clitoris. Aspirant la cyprine chaude et odorante. Il lui écarta les lèvres encore pour la lécher au plus profond. Son clitoris devint une tétine.

— Humm ! Haaaaa ! Ouiiiii ! Hoo merde que c’est bonnn ! Haaa ! Ouii ! Tu me fais jouiiir !!!

Il enfonça sa langue au plus profond de son intimité.

Il excellait dans l’art de faire jouir les femmes, mordillant son clitoris avec frénésie, léchant là où il savait qu?elle allait craquer suçant tout son jus comme une orange succulente, sa langue accéléra et elle jouit, elle pressa sa tête contre sa chatte, c’était le premier orgasme que l’homme lui procurait. Sa langue quitta sa chatte, il se releva.

— Oh ! Glacyanne ma chérie que tu es belle, j’ai trop envie de toi, je te veux.

Sa queue jaillit comme un diable hors de sa boîte.

Elle prit son sexe et le guida dans sa chatte ruisselante, son gland entra dans son minou qu’il avait si bien préparé. Elle se mordit quand il la pénétra et il poussa lentement.

— HAAAAAAAAAAAAaaaaaaaa ! Huummmm ! C’est gros dans mon sexe. Enfonces plus loin encore. Ouiiiiii ! Encore plus même.

— Et bien ma salope, tu aimes ça hein !

— J’adore ! C’est si gros.

  Il entrait millimètre par millimètre, un déchirement à peine douloureux, il était tout en elle, il la remplissait. Sa tête et ses seins étaient contre sa poitrine, elle sentit son odeur d’homme, il caressait ses cheveux, elle le sentait tendu, il commença à bouger tout doucement.

— Glacyanne ma chérie c’est trop bon, merci de t’être donnée à moi, je veux te donner tout le plaisir possible.

  Elle était femme, un homme était en elle, il la baisait, elle était attentive à ce membre qui remuait au fond de son intimité, il accéléra et il alla de plus en plus vite, ses mains se crispèrent dans ses cheveux, le membre ressortit d’un coup et elle sentit un liquide chaud sur son ventre, leurs ventres mouillés se plaquèrent l’un contre l’autre, son sperme sècha lentement sur son ventre, et la bouche de Glacyanne ne résista pas à la sienne, il l’embrassa longuement et amoureusement.

— Tu aimerais me sucer ?

— Oh oui ! Je crois que je suis une assez bonne suceuse…

Il était très dur, elle le suçait comme on suce un doigt ou une glace, et elle le faisait gémir, il avait mis ses mains dans ses cheveux, il lui disait ’ Continue, continue’ Glacyanne découvrait tout le plaisir qu?elle pouvait donner à un homme et quand il lui dit :

— Fais-moi jouir, garde-moi dans ta bouche.

Elle remua la tête pour lui faire comprendre qu’elle acceptait. Sa queue goutta déjà de plaisir. Sa bouche engloba encore son sexe. Ses lèvres se refermèrent sur son pénis turgescent et elle entreprit un va et vient de la tête, sa langue tournoyait autour du gland. Sa pipe était magistrale. Elle le sentit jaillir, il lui dit :

— Continue de sucer.

Elle fit ce qu’il demandait et sa bouche se remplie de son sperme salé.

— Haaaaaaa ! Ouiii comme ça ! C’est booooon. Je jouis, ça y est je jouis.

Haaaaaaaaaaaa !

Glacyanne sentit son jus lui couler entre les doigts.

— Hoh ! Glacyanne ! Comme tu m’as fait jouir !

Un grand silence suivit, pendant lequel chacun profitait de sa jouissance.

Depuis ce jour, ils étaient toujours ensemble et passaient de belles soirées dans sa maison de Rome.

A suivre…

Auteur:Ivan Ribeiro Lagos [email protected]

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